[RP] Taverne " Le Domaine du Loup Noir "

Au cours d'une conversation, pas si anodine que ça, Missdodo et Don firent remarquer à Birdinflames que la crémaillère de sa taverne n'avait toujours pas été pendue... Aussitôt dit aussitôt fait, les préparatifs se mettent en place...
Bien sûr Birdy qu'on va t'aider! Mais tu veux qu'on s'occupe de quoi?
Don voyait déjà deux ou trois choses qu'il fera de toute façon...
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Ah ben oui, mais sortie de ma cave personnelle hein pas de la mairie d'ailleurs il n'y en a pas en mairie....

Donc les liqueurs c'est bon, quoi d'autre vins, bière?
A manger aussi?
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Miss qui écoutait
Et moi je fait quoi, moi?
Miss attendit la réponse de Birdy
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Euh aider Nunam... ça peut être une idée... en même temps ...si tu veux que tout soit prêt... va falloir mettre les bouchées doubles
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Et puis on t'as ammené du vin...


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L'major l'air détendu, bras dessus-dessous avec sa douce Brise, sourire aux lèvres, il se promenaient tranquillement dans les rues de Bergerac, ils passaient enfin du temps ensemble, profitant du retour des beaux jours, le soleil caressaient leurs joue rougit du léger vent frisquet, ils aimaient bavarder de tout et de rien, quand soudain :

j'ai un goûteur attitré, mon frère, mais il dort encore à c't' heure, on va le tirer du lit ? je suis sûr que ça le gênera pas...

Haussant les épaules :

Salut la compagnie !!!
Je suis le pochtron de service moi ?
Et puis je dort pas la preuve !!

Riant doucement, souriant à sa Brise, regardant Don les bras charger de liqueur :

C'est tout ???
Et on fête quoi la d'abord ??

en me trainant les pieds je longeais les ruels afin de passer le temps. Mais qu'elle était ce bruit, il y avait un fond de musique, de gros rire, le tout bien mélanger me donnais gout a la fete! J'arrive devant une taverne bien vivante! Je me demande si le tout est une fete privée, alors je décide d'entrer bien discretement et je reconnais alors des visages bien familier! Je m'avance alors vers Brise, Don, Miss, Birdy.... tout doucement je tend l'oreille pour écouter birdy donner l'explication de la soirée a Brise et Fobia....
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"Je suis votre pire cauchemar"

Béa etait arrive de bonne heure avant de partir pour son voyage montée sur son frison un de ses chevaux quelle a put ramener de Nimes afin de faire un present au nouveau tavernier en signe de prosperitee future a son nouvel etablissement qui elle n en doutait point serais bourré de *hips* joyeux ^^


Elle avait concocté depuis quelque jours un vin d Hypocras

VIN D'HYPOCRAS

Ingrédients : 25 gr. de cannelle en poudre, 6 clous de girofle, 10 gousses de cardamome, 20 gr. de gingembre en poudre, 100 gr. miel, 5 litres de vin rouge et 1 petite cuillère d'eau de rose.

Mélangez les épices entre elles, une fois broyées au pilon. Disposez les dans un tissus de lin que vous fermerez solidement. Mélangez vin rouge, miel et l'eau de rose. Faites tremper le mouchoir d'épices dans cette préparation au minimum 12 h ou plus, si vous préférez très épicé. Goûtez et rajoutez du miel selon votre convenance. Mettez en bouteille et servez très frais. Se conserve parfaitement bien quelques mois.


apres avoir mit pied a terre elle se chargea comme une mule tout en pestant de n avoir pas pensé a en avoir prit une
Elle deposa le lourd fardeau aux portes et attendit qu on veuille bien lui ouvrir

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Béa vit une Mahaut toute chargée aussi la vit sourire et lui enjoindre d entrer sans attendre en donna t un vigoureux coup de botte a la porte afin que celle s ouvre
Elle se dechargerent de leur fardeau et vit que la salle etait bien garnie
et joliment decoree
Béa se sentie un peu embarrassée a venir ainsi elle tenta de dire a Mahaut quelle venait que donner un ptit present mais n eu pas le temps de s esquiver discretement quelle la vit attaquer birdy en lui brandissant une choppe vide sous le nez

heuuu Mahaut je m en vais je m installe pas tu sais!
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Je salut Birdy, que je regarde aussi un instant en lui faisant mon plus beau sourire, question de bien lui montrer mes dents dont celle qui a été réparé par des doigts de fée... Je fais, doucement bien entendu, un calin pour remercier l'hote de bien m'acceillir!
Dit moi Birdy, tous ont apporté à boire, il manque quelque chose que je puisse faire ma par?
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"Je suis votre pire cauchemar"

A peine la préparation avait-elle commencée... que déjà plusieurs personnes se poussaient au portillon pour demander s'il avait besoin d'aide... hé bien oui, j'en ai besoin... il me faut encore... des invités... mais comment les trouver ceux-là ?? c'est bien beau une crémaillère... mais pas tout seul...

Certaines personnes venaient simplement pour donner à boire... mais... ils pourraient au moins rester aussi pour la fête, minimum de la politesse... ça !!

Mais néanmoins, il saluait aimablement tous ses amis, les accueillant comme il le pouvait, au milieu des tonneaux qui commençaient à remplir la taverne... il sourit à Peluchette qui lui proposait son aide... puis regarda autour de lui... réfléchit un peu...beaucoup... toussota un petit coup... parce qu'il était resté silencieux un moment...
Hum... ben... aider, oui... tu peux ! En restant et en participant à la fête, et même à la préparation, si tu le veux.
Petit sourire puis, salua ses amis qui venait d'arriver, eux aussi...
Bonjour Mahaut, bonjour Béa

Puis, il entendit Béa s'expliquer...
heuuu Mahaut je m en vais je m installe pas tu sais!
Il se tourna alors vers elle
Oh, tu ne veux pas rester un peu ? Tu sais... c'est une chose qui n'arrive qu'une fois... puis, s'essayant un peu à l'humour, il ajouta : Oui, une seule fois dans la vie d'une taverne ! elle serait triste...

Soudain, comme d'un commun accord, Fobia et MOI, enfin, Mahaut, se lancèrent à son assaut, choppe en l'air, prêts à le crucifier, enfin... façon de parler... mais bon c'était beau de voir tant d'envie d'aider...
Bien sûr bien sûr... je vais vous servir... faut bien ... goûter hein... mais bon... sourire gêné il demanda : qui en veut ?
Se retournant, il alla chercher d'autres choppes, puis, revenant avec une dizaines de celles-ci, encore vide, il aperçut le... massacre...

Déjà, le fût percé un peu n'importe comment, soit dit en passant, et la bière giclait... et puis... Mahaut et Fobia qui levaient déjà leur choppe...
Il les regarda, dépité, puis se reprit et sourit...
Hé ben, vous auriez pu attendre un peu quand même ! je vous aurais servi, vous savez... ... et puis j'aurais ouvert ça comme il faut moi...
Après avoir remplit les autres choppes, souhaité la bonne santé ... enfin, ils goûtèrent, tous ensemble... puis Birdy demanda :

Bon bon... alors, vous en pensez quoi ? on la garde ou faut en goûter une autre ?

Il sourit, sachant déjà presque à l'avance la réponse... il ajouta rapidement :
Faut pas oublier qu'il y aura plusieurs ... breuvages... à goûter... alors, il vaudrait mieux ne pas abuser sur ... de petits détails... ! et puis.... on va pas goûter tous les fûts, faut qu'il en reste pour les autres aussi... demain arrivera bientôt.. aussi, donc il faudra quand même... être capable de fêter hein ? je peux compter sur vous ?
Dévisageant l'assemblée, il savait déjà bien que la fête risquait de durer plus d'un jour...
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Al arriva chargée d'un grand panier avec des "viennoiseries" dedans (très avant-garde^^)

Salut la compagnie ! Je vois qu'il y a déjà fort belle ambiance ici ! Et comme breuvage seul ne suffit pas à nourrir son homme je vous amène moults petites douceurs bien sucrées,grasses et fondantes !


Elle s'attabla auprès des autres convives et chercha du regard son zozio préféré pour le féliciter et lui faire un gros poutou^^

A peine arrivé à Bergerac Ludo de retrouva à la suite de sa douce compagne à la fête d'ouverture d'une taverne.

Vi mon ange ça devrait leur plaire la charcute surtout que celle là elle est drôlement bonne
Ça tombe bien le voyage m'a ouvert l'appétit et donné grande soif

Ludo embrassa tendrement son ange et se dirigea vers les tonneaux allons chercher à boire saluant au passage les gens qu'il connaissait.

Il revint auprès d'elle avec les verres d'hypocras

Tient mon amour faisons la fête

Il la regarda dans les yeux et trinqua avec elle
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Le jour était venu... c'était ce soir qu'ils fêtaient... déjà, il voyait arriver ses amis, tous chargés... il aperçut d'abord Althéa, qui amenait avec elle de quoi manger, et il s'avança pour la saluer et lui souhaiter la bienvenue...
Bonjour Al, laisse moi te décharger... il prit le panier sans vraiment regarder dedans et le déposa sur le buffet...
Puis se retourna vers elle et lui sourit
Content que tu sois venue Al ! et merci pour les .. douceurs
Tu restes aussi pour la fête, j'espère ?

Puis il alla saluer aussi les Castillonais, qu'il avait déjà rencontré plusieurs fois...

Bienvenue Lou et Ludo, vous avez fait bon voyage ?

Après cela, il se demanda si d'autres invités viendraient... étant donné le nombre de bouteilles et de fûts... s'ils ne recevaient pas de renforts, ils ne pourraient jamais arriver à bout de toute la garnison... enfin, façon de parler.

Puis il lança assez fort pour que tout le monde puisse entendre :
Merci à tous d'être venus ! J'espère que vous passez, et passerez tous une très bonne soirée !
Si vous n'êtes pas servis... euh hé bien... le... tavernier... se fera un plaisir de vous servir ! Pas vrai Fobia ? il ajouta, un peu moins fort : et puis, sinon... je m'en occuperai, bien sûr...
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

toute embarassée de la question, ne sachant moi-meme quoi y répondre, j'essaya de faire distraction Vous savez Fobia, que ma Soeur France et sa douce moitié Paul1er vont se marier probablement a la fin du mois, en fait ils attendent une personne ayant le droit d'unir deux êtres qui voudrait bien se pointer à Castillon! C'est merveilleux l'amour!

Afin de m'assurer qu'il ne revienne pas à la charge... Regarde Fobia, je crois que certains sont impatient de s'abreuver, ils n'attendent que votre bon service!

Je me retourna en ricanant vers Birdy... du coup je n'aurais plus à répondre! Cette soirée est super, tes amis et toi avez organisé quelque chose de génial!
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"Je suis votre pire cauchemar"

Glak vit de la lumière alors il se demanda pourquoi ne pas s'inviter? L'inauguration de la taverne de Birdy faisait sensation, c'est vrai qu'on manquait tellement d'occasion de picoler de nos jours... Enfin il valait mieux ne pas trop se remplir la panse ou bien Bav risquerait de le punir encore.

Il vit qu'il y avait déjà granf foule, aprés tout c'était de la faute à Birdy. Le bougre ne savait pas à quel point il était risqué de laisser la lumière allumé. Parce qu'il y a toujours des petits malins qui s'invitent à se faire payer un coup à la tête du patron. Et voilà que maintenant c'était n'importe quoi, tout le monde s'était incrusté... comme lui. Pauvre Birdy, voilà qu'il devrait payer la note. Par compassion Glak se décida à aller chercher un verre de vin afin de lui rendre hommage.

A Birdy et à sa taverne!

Entendant Peluchette parler du mariage de sa soeur il s'approcha d'elle et engagea la conversation.

Salutation, dame Peluchette. J'ai entendu dire que Marijeanne allait mieux? J'en suis heureux pour elle. Je connais un peu Paul, on a sympathisé durant l'enrolement dans la compagnie d'ordonnance. Vous n'hésiterez pas à m'écrire pour me prévenir du mariage?

Il vit alors le major Fobia faire le tavernier. Comme c'était triste de le voir ainsi déchue. Il le salua néanmoins comme cela se devait.

Nut entre en fanfare et fait de grosses bises à tous ses amis!

COUCOU!!!!!

JE VEUX AVOIR UNE BIERE AVANT DE PARTIR CHEZ LES NONES POUR QUELQUES JOURS!!!

je vais encore m'ennuyer à mourir là bas... pffff

Vous allez comment?

Shraphin entra dans la taverne. La "fête" battait son plein, et Shraphin remarqua beaucoup de visage connus, et d'autres... Pas connus...


Normal, apres etre réster un mois à l'église !

Enfin, il était là c'était le principal ! Il saluat ceux qu'il connaissait de vu, et il salua fortement Birdy et Fobia. (Désolé si j'en oublie de ceux que je connais bien, car ces deux, il m'ont flahés !)
Il trouva une place pour poser son séant et... Flute, il avait rien apporté !


Rahhh, c'est balot, je fais comment moi...

Il se dit qu'avec un peu de chance on le remarquerait pas...
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Bavmorda se demandant bien où Glak pouvait être à cette heure-ci, passa devant la taverne de Birdy. Il y avait du monde dis donc se dit elle en entendant le bruit qui s'en échappait. Elle se souvint d'avoir entendu parler de l'inauguration.

Elle revient sur ses pas, décidée à participer également. Elle ouvrit la porte timidement et vit bon nombre de visages qu'elle connaissait.

Bonsoir à tous !! Elle fit le tour de toutes ses connaissances pour finir à coté de Glak. Il buvait un verre de vin. ça lui donna envie de faire de même et elle se dirigea vers le comptoir.

Revenant vers son bienaimé, elle vit Birdy qui discutait. Sans l'interrompre, elle leva son verre lui montrant qu'elle buvait à sa santé
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Ricco entra avec Fracas !!

Mais que tenait-il là ??

Mais des bouteilles pardi !!!

Et grace à lui !

Tout le monde se trouve, maintenant, au Paradis !!
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Le vrai courage consiste à vivre quand il est juste de vivre, à mourir quand il est juste de mourir.
citation du Bushido

Ricco regardait tout le monde s'amuser !

Il regardait attentivement Birdy... ce compagnon de beuvrie, qui n'avait pas hésité une seconde pour le ramener chez lui alors qu'ils étaient saouls, commencer à se dandiner sur le son de la musique !!
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Le vrai courage consiste à vivre quand il est juste de vivre, à mourir quand il est juste de mourir.
citation du Bushido

Brise répond à son cavalier :
Si je suis prête ? Et comment !!
Sinon, n'ayez crainte pour mes pieds, songez plutôt aux vôtres.

Elle sourit doucement et attend que Birdy commence à danser avec sa dame...
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Brise Dellarosa, épouse d'Hermance de Ginestel ~ Le vrai courage ne se laisse jamais abattre ~

Bavmorda écoutant Glak l'inviter à danser avec ce regard ....ggggrrrr... qui en disait long,prit la main de son bienaimé pour faire quelques pas de danse.

Ils en avaient rarement l'occasion. Cette soirée lui fit se remémorer le bal des célibataires où il y avait beaucoup plus de couple que de célibataires. Elle se souvint de Glak, assis, observant les couples...c'était à leur tour de se laisser observer...

Il l'enlaça plaçant sa deuxième hanche sur le bas de son dos.
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Glak était bon danseur. Et cela c'était grâce à Bav. Elle le lui avait enseigné afin qu'il ne soit pas trop ridicule au bal des célibataires. Une façon de se remémorer quelques souvenirs. Cela lui avait parut il y a des siècles et il songea à tout ce qui s'était passé depuis. Tant de choses, tant de rencontres.

Il souriait à sa chérie. Executant ses pas avec une dextérité et une souplesse gracieuse et svelte. Cela faisait tout drole pour certain de voir le major adjoint en train d'executer une danse de maniere élégante alors qu'il était plutot connu pour sa fougue au combat et sa passion quelque peu excessive pour l'alcool. Certain s'en donnait à coeur joie et n'hésitait pas à se moquer de lui.

Mais Glak n'en avait cure. Il avait devant les yeux la personne qui comptait le plus à ses yeux et la regardait avec tendresse. Il se sentait heureux. Il la fit danser, glisser, tournoyer sur la piste avec douceur et grâce. Ses pieds se plaçaient autour des siens et semblaient comme flotter au dessus du sol, et les entrainaient joyeusement vers des valses de gaieté. En lui glissant par moment quelques mots doux.

Tu es la plus belle, mon amour...

Et ils dansèrent.

A peine commençaient-ils à danser qu'il dû la rattraper pour ne pas qu'elle tombe.... il en profita pour la serrer doucement dans ses bras, puis l'aida à reprendre appui sur ses pieds et lui déposa un léger baiser sur la joue, puis lui sourit et ils entreprirent alors d'essayer de danser.. et comme il était le tenancier, c'était à lui de mener la danse, à ce qu'il parait....

Plongeant ses yeux dans ceux de Peluche, il l'entraina d'un pas incertain dans une danse ... pas si rapide que ça, mais ils riaient tous deux, ne se souciant que peu du rythme de la musique..
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Bergerac ,,,,,, la fin du voyages s'annonçait ,,, bientôt enfin elle rencontrerai sa filleule ,,,,,
le voyage au coté de troll c'était merveilleusement passée , souvent rit, beaucoup bue , plus que de raison même ,,,, ce long voyages entrepris depuis Alais en Languedoc s'achevait demain,,,,

tout en marchant et découvrant la jolie ville de Bergerac, elle songeait a ces long jours passée loin de chez elle et a son arrivée , qu'allait elle bien pouvoir offrir a cette jeune fille , nommée Misstigri , cette même jeune fille pour qui elle avait pris la route ,,,,,,,,
son rôle de marraine lui tenait a cœur et quand bien même ces filleul fussent a triffouillit les oies elle y aurait été ,,,,,,

prise dans ces songes, la soif se fit ressentir , la au coin de rue une taverne, elle s'avance observe l'enseigne quelques instant , sourit a ce nom qu'elle trouve bien a adéquate pour une louve dans son genre ,,,,
elle pousse la lourde porte , entre ,,,, assez sombre , une douce odeur de cigare, mélanger a l'alcool ,,,,
s'approche du comptoir , s'accoude et s'adresse a l'homme au balai

hep , joli merle !!!!!! c'est toi qui fait office de tavernier?????? j'ai grand soif ,,,, donne moi un verre de ton meilleur alcool !!! ,,

un sourire fend son jolie visage , elle passe la main dans ces cheveux éternellement ébouriffé,,,
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Info importante : Toutes les fautes d'orthographes de mes messages sont sous copyright et sont la propriété exclusive de l'auteur de ce message, toute reproduction est interdite et donnerais lieu à des poursuites.

Vla qu'le sir daigne lui servir a boire , de la mirabelle qu'il lui propose ,,, hummm il doit connaître la légende de apo la diablesse et de son penchant pour l'alcool fort ,,,,
un sourire parcoure son jolie minois , il la sert elle attrape le verre et le boit cul sec,,,comme a l'accoutumer,!!!

rhaaaaa !!!!!!! extra !!! un autre !!! dit elle en claquant le verre sur le zinc ,,,,,
je me nomme apolonia dite apolonia la diablesse ,et on me surnomme apo voir la louve cela dépend ,,,, enfin j'ai mil surnom,,, elle chasse ces mots d'un geste de la main,,,

un surnom donner par chaqu'un de mes amant dans le passé !! elle rit ,,,,rire franc et tonitruant ,,, elle attend son second verre ,,, v'la enfin qu'il la sert , c'est qu'elle a soif la apo,,,, elle reprend la route sous peu ,,,
juste le temps de faire une pause rapide ,,,,,

elle liquide son second verre en vitesse, le liquide sucré et fort a à peine le temps de toucher le palais, que le voilà engloutie au tréfonds de son estomac ,,
elle y prend plaisir la diablesse ,a cette délicate brulure ,que lui donne son alcoolémie ,,

claquant le verre vide a coté du premier , elle largue 2 écus sur la table et s'empresse de repartir,,,y'a de la route a faire, troll a retrouver ,,,quelques achats,,,,, et le temps presse ,,,

tn'ez garder la monnaie !!!!! criait elle alors qu'elle s'était déjà engouffrée dans la rue ,,,,
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Louanne qui passait dans les rue de Bergerac trompant l ennuie vit une enseigne qu elle reconnaissait pour etre passée avec Ludo son tendre amour resté a Castillon
Elle vit de la lumière elle décida d entrer pour en boire une derniere avant de rentrer
[i]Hola tavernier c est ti qu on pourrait en boire une ici??[/i]
Elle regarda autour d elle trouva le lieu propre mais bien vide!!
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Birdy passa à sa taverne récupérer quelques affaires, il partait, c'était l'heure... Il prit son paquetage, quelques provisions, puis passa saluer tout le monde...
L'heure du départ approchait... Une nouvelle aventure qui risquait de ne pas être facile à oublier... comme les autres d'ailleurs...
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Gramoune se réveilla quelque part... Il ouvrit un oeil puis l'autre et vit autour de lui... Que d' fûts! pensa t'il, il semblerait qu'il était dans une cave, pour une fois il ne grogna pas, mais il ne se souvint pas comment il était arrivé ici, il tacha de sortir discrètement mais ne vit personne retourna donc dans la cave et vida quelques chopines....

[ RP après le baptême, dimanche après-midi 5 juillet ]

Birdy rentra chez lui après le baptême, il avait invité tout le monde, les plats étaient prêts, il sortit donc de nombreux emballages et mit toute en place pour la "fête" qui n'en était pas totalement une, mais il ne voulait pas gâcher toute cette nourriture. Il invita donc tout le monde à entrer et à se servir.
Il déboucha de nombreux fûts pour l'occasion !



Et les tonneaux, de taille tout à fait raisonnables

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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Arrivé à Bergerac... déposage d'affaires partout... rangement...
Birdy était enfin chez lui... sourire aux lèvres...
Emportant avec lui une pile de parchemins, une plume, et un parchemin vierge, il s'apprêtait à terminer sa quête...
Rapports... rapports et rapports... il les emporta avec lui afin de trouver un peu de compagnie connue... depuis le temps qu'il était parti !

S'installant à une table, il commença à rédiger ses rapports, attendant que quelqu'un vienne le rejoindre...
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Elle n'avait fait que quelques pas, accoutumant ses yeux au contraste entre les rayons rougeoyant au-dehors, et la pénombre de la pièce, elle n'avait fait que quelques pas à l'intérieur avant que cette voix ne la jette dans un réflexe derrière un pilier.

Hollllaaaaa... Le dernier mot entendu avant que l'armée de ses concitoyens ne la broie dans son étau.

Contre ce pilier qui mordait son dos de sa froide rugosité, Meliann, les yeux agrandis, retenait son souffle.

Une voix féminine, plus douce, un sourire dans la voix, un accueil... Un parfum, persistant, de nourriture, qui s'infiltrait, titillant les papilles, décuplant sa faim. Prise entre les deux voix, la tonnante et l'accueillante, Meliann serrait les poings, hésitant sur son prochain mouvement.

Cette tiédeur visqueuse... sa blessure à la main s'était à nouveau ouverte. Prenant sa résolution, elle détacha son dos de la pierre, juste assez pour être visible. Elle avait bien trop faim... Elle fut surprise au son de sa voix, assourdie par des semaines de silence, sous-tendue par l'urgence d'un repas :

Hola ? Est-il possible... un repas ? j'ai de quoi payer...

Brise salue Béatrice et file sans tarder en cuisine préparer un copieux repas pour son amie. Elle revient peu après.

Installe-toi, je t'en prie.

Elle dépose à sa table un plat de haricots et un steak de bœuf bien cuit, du pain, une pomme et pose une cruche de vin.

Je te ferai couler un bon bain après manger. Une fois propre, j'examinerai tes blessures si tu veux.

Brise écoute Béatrice et Fobia se chamailler comme... d'habitude en fait se dit-elle. Son infortunée amie a encore de l'énergie à revendre, ce qui rassure la taverne sur son état de santé. Se faire attaquer deux fois de suite seule sur la route était plus que de la malchance.

Je te remercie bien Brise de ce bon repas il m a remonter si tu pouvais effectivement me nettoyer la plaie au front et me remettre un bon bandage bien serré je pourrais usiter de ton lieu de bain pour pouvoir me présenter correctement demain j'ai rendez vous au château mais sale comme je suis ça le fera pas

Brise se penche, écarte quelques mèches de cheveux pour examiner la plaie.

Bien sûr. Je vais te nettoyer ça en deux temps trois mouvements et faire chauffer de l'eau pour ton bain.

Elle se tourne alors vers le petit curieux qui lui salit sa taverne avec ses habits tout poussiéreux et ses bottes crottées, à croire qu'il s'était roulé par terre avant d'entrer ici. La tavernière aura du ménage à faire avant le retour du patron, assurément.

Dis-moi Fobia, Birdy et toi êtes partis ensemble avec Béatrice chasser le brigand. Comment se fait-il que vous ayez tous été séparé de la sorte et que Béa ait dû rentrer seule ?

Tandis qu'elle regarde les "dégâts" qu'elle aura à nettoyer, elle fronce les sourcils en relevant une tâche de sang au sol qui n'était pas là tout à l'heure. Ecartant la blessure au front de Béatrice qui est sèche, Brise regarde ses mains pour voir si elle ne s'est pas coupée par mégarde. Constatant que non, elle regarde alors tour à tour Fobia, Meliann et Béatrice.

Lequel d'entre vous est blessé ? Et ne me parlez pas du coup à la tête de Béa. L'un de vous perd son sang.

Le regard de Brise revient se poser sur la jeune damoiselle, dont la pâleur l'avait inquiétée. Elle détaille alors cette dernière de la tête au pied... Elle était tellement sale qu'il était difficile de voir quoi que ce soit.

Brise s'approche de Méliann et aperçoit brièvement l'entaille à la main.

Dis-moi Brise ... ne pourrais-tu pas recoudre la p'tite dame après t'être occupé de Béa ?!
Moi je pourrais le faire mais ça ne serait pas aussi propre et cicatrisant que toi, je n'ai que l'expérience des rafistollements sur les chantiers de bataille.

Je crois plutôt qu'on va inverser l'ordre vu l'état de la damoiselle...

Entendant Birdinflames, elle se tourne vers ce dernier.

Bienvenue chez toi, patron. Nous avons deux blessées, Béatrice et cette damoiselle. Il faudrait un bon alcool fort pour la dernière car je dois lui faire des points de suture. Peux-tu t'en occuper pendant je vais chercher le reste ?

L'étudiante en médecine n'ose pas parler de matériel de couture. Elle file chercher de quoi recoudre la damoiselle, matériel qu'elle nettoie préalablement, des bandages et revient également avec de l'eau dans une bassine en bois.

Brise adresse à Méliann un sourire rassurant puis entreprend de nettoyer la blessure à la main. Quand elle a terminé, elle prend alors un fil et une aiguille. A la damoiselle :

Votre blessure n'est pas bien méchante mais il faut l'aider à cicatriser. Vous m'avez l'air d'une damoiselle courageuse, Méliann. J'ai l'habitude de faire cela, vous ne sentirez presque rien. Vous êtes prête ?

A l'attention de Fobia : Peux-tu lui tenir la main, s'il te plait, pour qu'elle ne la bouge pas ?

Béa fut rassurée que ce sang ne venait pas d elle et fut tout à fait d accord que l on s occupe de la dame qui avait le visage pâle tout de même
Elle pensa qu heureusement elle avait mangé copieusement elle soutiendra les sutures quand elle vit Birdy entrer poussiéreux à souhait aussi et Brise lui dire

Bienvenue chez toi, patron. Nous avons deux blessées, Béatrice et cette damoiselle. Il faudrait un bon alcool fort pour la dernière car je dois lui faire des points de suture. Peux-tu t'en occuper pendant je vais chercher le reste ?

Bon ben pour l alcool il va bien nous trouver ca au vu de toutes les bouteilles qu on a ramené de nos voyage a moins que... roooh nan pas potible ca pas put tous buaaaare lui quoi que... se dit elle
Elle le regarda en coin quand elle le vit fouiller dans sa besace qui avait un air ventru de chez les moines elle sourit
Elle se leva de table ragaillardie par la bonne viande et s approcha de la table de la blessée tout en débarrassant celle ci des reliefs de leurs repas
(nan pas le vin gnééé)
Bijourrr tuaaaa comment vas tu tu as fait bon voyage au moins toi?
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Béa avait assisté aux soins apportés par Brise à la main de dame Méliann elle n avait pas bronchée mais visiblement à bout de résistance se trouva mal ce qui est plus que naturel chez une si frêle nature heureusement que Fob était à coté ainsi que Birdy ils allaient pouvoir la conduire dans une chambre
Elle vit Brise s'approcher d'elle

Merci d'avoir patienté. Bon... ta blessure est un peu sale mais je vais te nettoyer ça. Ils n'y sont pas allés de main morte. Heureusement que tu as le crâne solide. La bonne nouvelle, c'est que ça ne devrait pas te laisser de cicatrice dès que ce sera guéri.

Comme tu dis dans mon malheur il ne m'ont pas défigurer pffff m'en fiche une fois bien remise j'irais leurs secouer leurs puces à tous ses féneants de racketteurs de mer..... excuses moi je m'emporte mais à force on commence vraiment à en avoir marre on trime comme des esclaves on survit à peine et voila qu on nous vole grrrrr!!

Heureusement que j ai eu Zabou pour me tirer de l affaire je n'avais plus un seul quignon de pain et plus d'écus même plus de quoi payer mes impots c'est pas la misère ca? je suis en dette de 16 écus envers Zab enfin je te remercie de m'avoir pensé je te suis pour le bain cela me fera du bien je dois avoir dans ma besace des sels que j ai ramenée de la rochelles à la lavande je t'en donnerais tu m'en diras des nouvelles

Elle se pencha doucement pour la prendre fouilla dedans mais vu le gourbit elle mit un certain temps à la trouver faut dire que c'etait sa fidèle compagne de voyage
Elle sortit fièrement un étrange flacon violacé des petits cailloux se trouvaient dedans ils ressemblaient à des diamants violines


Voila je l'aiiii pffff va falloir vraiment que je fasse un rangement la dedans allons y je te suis
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Birdy vint une dernière fois sur les lieux... ses sacs étaient prêts, ses chevaux sellés, il allait repartir... Rassemblant ses émotions... il passa une dernière fois à sa taverne, saluer ceux qui étaient là, et particulièrement son frère... avec une promesse... revenir bientôt. 2 semaines, 3 semaines, au plus.

Après avoir bien salué tout le monde, il récupéra tous ses sacs et s'en alla.
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

[ Une arrivée à cheval... ]
Les chemins... tels étaient sa nouvelle demeure... toujours, encore, il ne pouvait s'en passer.

Néanmoins, il se devait de rentrer... chez lui... Enfin chez lui, il allait arriver. Il se voyait déjà dans son bain mousseux... Coulé par sa chère tavernière... Ses pensées étaient là, avec l'image d'une belle noireaude à ses côtés ... Rêve tranquille... puis Bergerac, la belle, scintillante, apparut devant lui...

Elle était toujours là, pareille à elle-même... Autant belle que calme, riche que silencieuse... et pourtant, il entendait vaguement quelques bêlements s'échapper... Mais ne s'en inquiétait guère. Il se dirigea droit vers sa taverne, sans avoir en tête d'aller ailleurs...

Arrivé devant la porte, il fut bien surpris de la voir vide... Nulle tavernière, son frère parti... il l'avait oublié... il avait rêvé... il était seul...

Résigné, il entama les longs trajets qui permettraient de remplir la cuvette qui lui servait de baignoire...

Ceci fait, il grimpa la volée d'escaliers avant d'aller prendre un bon bain... afin de se débarrasser de la poussière qui s'était incrusté sous ses vêtements, dans les touffes de ses cheveux... partout... il se prélassa dans son bain et profita du calme qui s'était emparé de lui... tranquillité... paix... Bonheur... il ne manquait qu'une personne pour que tout soit parfait...
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Nut hésitait à entrer dans la taverne.
Serait-elle reconnue? Serait-elle de nouveau intégrée dans la vie de son petit village?

Elle se decida a entrer...

OHE!!!!

Il y a quelqu'un ici??

Rififi, le Kender

La bière tisanée semblait n'avoir aucun effet sur la belle assoupie...
Le petit Kender commençait sérieusement à s'inquiéter...

Hého ? La madame qui dort ? Youhou, réveilleuh toi!

Et l'autre de l'entrée qui semblait avoir disparu...

Rififi fila à la recherche de quelqu'un, espérant bien le trouver, ce quelqu'un...

Des affaires à emmener, des bouteilles, son sac. Une dernière soirée. Ce soir, il partait. Un dernier coup d'oeil sur la taverne... Se demandant si il allait voir sa belle. Elle ne semblait pas vouloir venir...

Il laissa un mot... rassembla ses bagages, et s'en alla...
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Battopher avait grand besoin de se désaltérer après avoir travaillé dans sa forge toute la matinée.

Il décida donc de passé à la taverne. Il entra et vit une gente dame qui semblait avoir grand froid auprès de la cheminée.

"Bonjour gente dame. Vous semblez ne pas avoir très chaud. "

Puis Battopher commanda une infusion au tavernier pour la dame et la lui porta près de la cheminée.

"Tenez, cela vous aidera à vous réchauffer"
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Battopher accepta l'invitation de la belle demoiselleet lui rendit un beau sourire.

Vous avez un très joli sourire gente dame. Merci pour le compliment il me va droit au coeur.

Quel dommage que vous repartiez déjà ce soir.

Mais je viendrais vous voir avec plaisir en Cascogne. Je suis moi aussi enchanté de vous avoir rencontré.

Sachez que vous êtes la bienvenue ici. Vous y êtes comme chez vous.

Faites très attention sur les routes, elles ne sont pas sûr. Surtout pour une gente dame comme vous.
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Au revoir ravissante Kaline.

Faites bonne route et a très bientôt alors.

Prenez soin de vous et donnez bien le bonjour à votre frère que j'ai eu grand plaisir à rencontrer.

Battopher embrassa amicalement et tendrement Kaline sur la joue.

Bonne route.
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L'aube était à peine levée... Birdy encore assoupi... il entendit des bruits en bas... Dans sa taverne... Attrapant son couteau de chasse, enfilant rapidement quelques vêtements et se secouant la tête et les épaules dans une vaine tentative d'être réveillé, il traversa la couloir qui le séparait de l'escalier...

Il était presque trop tôt pour que quelqu'un veuille boire une choppe... Inquiet, il descendit silencieusement chaque marche... couteau en main...

Il atteint sans bruit le bas de l'escalier.. puis tourna la tête... penché en avant... et là, il vit...

Lâchant là son arme, il sourit, et avança encore en silence... Sourire aux lèvres.
Il ne l'attendait pas si tôt... Mais une planche craqua sur son passage... elle se retourna...
Bonjour Zab, content de te voir.... tu as fait bon voyage, de nuit ?

Faisant couler deux bonnes choppes fraîches, il en tendit une à la belle, prenant l'autre pour lui, et lui sourit.
Tu restes quelques jours ? Tu sais bien qu'il y a toujours des chambres de libre en haut.. à croire que personne ne veut rester...
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Apres une soirée pleine de rires, de *hips*, et de degustation de confiture, une bonne nuit de sommeil s'imposa....
Au petit matin, Zabou se leva, déjeuna d'une entrecote de boeuf sauce à l'orange, rassembla ses affaires et déposa un mot à l'intention de Birdy

Aprés un dernier regard autour d'elle Zab sortit et poursuivit son chemin....

Crakity rentrait à la taverne. Le lieu était calme, personne n'était là. Le patron lui ayant remis la clé il s'approcha de l'escalier puis vit le comptoir et la caisse. Réprimant un sourire il secoua la tête.

Ne sois pas stupide, monte te coucher ya rien dans cette caisse.

Ne cédant pas à la tentation, et ne voulant pas trahir la confiance du tenancier qui avait l'air bien sympathique, il monta.

La chambre était parfaite, petite, mais propre et bien agencée. Crakity ferma la porte à clé, se déshabilla et s'allongea.

Il sortit une fiole et but quelques rasades du peu d'Armagnac qu'il lui restait. Il souffla la bougie et s'endormit rapidement.
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BADABOUM !!!!!

La porte claquant fit sursauter Birdy... Il attendait de la visite pour le jour même... Et il était en train de sélectionner les meilleurs fûts à la cave...

Abandonnant là tout le contenu de sa cave, il gravit les escaliers quatre par quatre, et atteignit l'entrée de la taverne en quelques secondes....

Fobia était là, les vêtements trempés, une choppe de bière dans la main, Birdy sourit, et s'élança dans ses bras...
Frèèèèèèèèèrooooooooooooooooooooooooot!!!!!
Eclatant de rire, il lui offrit une nouvelle bière... et lui fit remarquer l'odeur de... mort... qui s'échappait de ses vêtements, lui proposant un bon bain... Après avoir discuté un peu beaucoup, il accepta...

Birdy lui fit donc monter de l'eau bien chaude... puis, les ordres donnés, retourna à son choix... il ne fallait surtout pas avoir une mauvaise bière pour LE retour !!
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Crakity jeta ses vêtements au pied du lit et à peine sa tête eut touché l'oreiller qu'il sombra dans l'inconscience plus que dans le sommeil.

Le lenemain matin fut difficile. Crakity ouvrit un oeil et entendit une respiration calme et régulière à ses cotés...Calli, il n'était pas seul dans le lit, comment avait il pu l'oublier. Souriant, il regarda la jeune femme au visage paisible qui dormait profondément. Il lui caressa doucement les cheveux, attendant tranquillement qu'elle se réveille.
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Crakity ne tint pas longtemps éveillé. Il se recoucha lourdement et se blottit contre Calli. Il l'attrapa par la taille et cala sa tête sur son épaule. Le sommeil vint rapidement le cueillir.

Quand il se réveilla à nouveau, il était seul. Il s'habilla et descendit lentement les escaliers pour se retrouver dans la salle commune.

Calli était là, près du feu. Il s'assit à coté d'elle et lui dit:

J'ai dormi comme un nourrisson, on est mieux dans un bon lit que dehors, n'est ce pas? Et vous vous avez bien dormi?
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Les embrassades et autres éclats de rire passés, Fobia décida de partir prendre bon bain dans sa chambre, Birdy bien gentil qu'il était lui amena sa bassine d'eau chaude pour qu'il puisse profiter de ce retour dans un bain digne de ce nom.
Laver, propre, soigné, rasé de près, il repris quelques affaires propres et redescendit en taverne.
Brise et Birdy discutait déjà, il s'assied et paya sa tournée, la soirée pouvait enfin commencer !

Au fils et à mesure des minutes, des heures, des gens entraient, présentation envoyées vite fait bien fait, il paya chopines, se faisant payer lui même godet, et tout ceci s'enchainant, les fûts se vidaient à une vitesse phénoménal.
Un déversoir, puis deux, l'déversoir des frères puits, pourraient-on appeler ça.
La tête commençait à tourner, le plafond tourbillonnait, les yeux voyait flou, puis double et triple ... et un moment même quadruple !
Une dame sort, re-rentre, surement un vomi expédier direction le gazon extérieur, d'autres tentent de voler : Aoutch ...... rater !!!
Des rapprochement femelles-mâle, puis d'autres se lance des défis de faire aller-retour du fond de la taverne à la porte, en passant par tout les genoux des gens présent, vacillement oblige !!!

Puis quelques souvenirs flou, une dame sur ses genoux, sourires échangés, des éléphant avec cou de girafe volant, une embrouille pour savoir qui dort avec qui, d'autre semblent s'obstiner à vouloir dormir à poil ....
Une soirée comme on en fait rarement.

Le lendemain :


Quelques rayons de soleil vinrent sur son visage,Une main poser sur la tête, un regard jeter à droite et gauche, les yeux pas en face des trou, il s'rappele même plus si y'avait quelqu'un à ses coter.

Boum !

Sommeil éthylique, réveil début d'après midi, entre ... heu ...... 13heure et ..... 16heures, sait plus trop au juste.
Pas de vomi au sol, au moins c'est déjà ça d'gagner, assez difficile de tout faire rentrer, si en plus faut tout faire ressortir ... pfiouuuuu, la flemme !
Il se leva, tituba, s'humidifia la figure, s'regardant dans la glace :

Pfiouuuuuuuuuuuuu .........
Aie, aie, j'ai une sale gueule c'matin moi ....
Au moins j'ai fêter mon retour dignement,
bourrin et cul-sec !

Re-titube jusqu'au lit, s'y allonge ......
Vallait p'têtre mieux passer la journée là, au pieu.

Glak arrivait enfin à Bergerac, cela lui semblait faire des années maintenant et il avait bien l'intention de retourner voir tout le monde et s'occuper un peu maintenant qu'il avait du temps libre. Arrivé en centre ville, il vit la taverne qu'il recherchait. Il ne savait guère si tout le monde était là. Il franchit la porte d'entrée, la clochette tinta et Glak s'approcha du comptoir pour passer commande.

Hé y a moyen de passer commande dans ce bouge?

Dit il en souriant. Alors il sortit de son baluchon un bon tas de maïs que l'armée lui avait fourni. Il ajouta tout en ayant l'air de s'excuser.

Par contre je suis une peu rèche niveau écus car j'ai une assez grosse commande à payer... une bonne cinquantaine de maïs ça devrait suffire non? Parce que ça j'en manque pas.
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Soldat de Bergerac, compagnon de Bavmorda "La garde recrute engagez vous!!!"

En coup de vent, elle entre dans l'auberge. Les derniers mots d'une conversation lui viennent aux oreilles.
Un court instant, elle regarde vers la cheminée un doux sourire sur les lèvres . Souvenirs, souvenirs ...
Puis se reprend et salue son supérieur.

Le bon jour mon Lieutenant. Ben justement, les festivités ... voilà !
elle lui tend une affiche



Puis remarquant un sieur inconnu, elle s'incline

Bon jour Messire. je suis Eony, enchantée.

Best, dis moi,il est par là Birdy ? Que je lui demande si je peux laisser l' affiche ici en sa taverne ?
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** Sursum corda ! **

Birdy entra dans la taverne... il vit ses amis réunis et sourit..

Heyyy !! Salut Glak !! Tu peux payer en maïs bien sûr ! héhé !

Il salua Best et Eony, puis vit la pencarte... en souriant aux souvenirs du dernier bal où il avait écrasé les pieds de bien des dames et sieurs présents, lors de son ivreuse tentative de traverser la salle pour demander à Brise de danser avec lui... et en plus, il n'était jamais arrivé à destination, s'effondrant au beau milieu de la salle...

Oh... un bal... j'espère que j'y serai pas seul cette fois..

Souriant, il accrocha l'affiche bien en vue dans sa taverne, et offrit à boire..

Buvons, encore une fois, au retour de nos soldats, et au futur bal... Santéééééééé !
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Brise sort un Tournée générale !! et sert à boire à toutes les personnes présentes.

Aux soldats et au futur bal ! Santé à tous !!

Aux propos de la jeune femme, la députée esquisse un sourire.

J'ai le sentiment que tu garderas un souvenir inoubliable de ce bal, Eony...
... En effet, ce n'est pas tous les jours jour de fête.
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Brise Dellarosa, épouse d'Hermance de Ginestel ~ Le vrai courage ne se laisse jamais abattre ~

[ Le jour du bal... à la taverne ]


Sur la proposition de Birdy, elle avait emménagé quelques temps à l’ auberge, le temps que son logis au Haras soit habitable.
C’est donc là qu’elle était venu se préparer pour le Bal.
Simplicité, elle voulait de la simplicité. Mais bien sûr un peu de coquetterie, sinon à quoi ça sert d’être une femme songe t-elle un sourire aux lèvres en finissant de lacer les crevets de son bustier.
Elle glisse autour de son cou un pendentif offert par son grand- père et achève le tout en coiffant sa tête d' un mince escoffion assorti à sa robe.
C’est, ses fins souliers de cuir souple à la main, qu’elle sort de la chambre et descend les escaliers.

C’est sa première sortie festive depuis qu’elle est à Bergerac, et sa première sortie en compagnie d’un homme du village. Et quel homme ! C’est Birdy qui l’accompagnera à cette fête et sera son cavalier. Il lui en a fait la demande quelques jours avant, et elle avait accepté avec bonheur cette invitation.

Sur la dernière marche, elle s’arrête, se baisse et enfile rapidement ses souliers.
"Allez ma fille …. Ne pas montrer ta nervosité, essayer de calmer les battements désordonnés de ton cœur … tu peux le faire. Tout va bien se passer... " pense t-elle en sautant d’un petit bond au pied de l’escalier




Me voici … j’espère que je n’ ai pas été trop ….. Elle ne peut finir sa phrase.
Oh Birdy quelle élégance !
S’approchant de lui elle lui fait, en riant, légère révérence dansante
Votre cavalière vous sied t-elle Messire ?
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** Sursum corda ! **

Votre dame vous suit Messire !

Dans un éclat de rire elle prend le bras de Birdy.

La nuit est à nous, allons y !
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** Sursum corda ! **

Les bras chargés de deux lourds paniers, elle entre dans la taverne. Il est bien tôt encore, mais elle doit prendre sa garde au plus vite, elle dépose donc prestement ses paniers sur le comptoir et les vide.
Les tourtes salées et sucrées qu’elle a préparées pour la journée sont encore chaudes et embaument la salle. Elle les disposent un peu à l’ écart, ainsi, Birdy les verra.

Allez encore un petit moment et je file ! elle se défait de son épais mantel et se tourne pour se diriger vers la cheminée
Oh ! ... Dans la faible lueur des flammes, elle distingue une silhouette attablée, s’approche doucement car si la personne n’ a pas réagit à son entrée c’est qu’elle doit somnoler.

Ah mais c’est dame Zabou ! S’exclame t-elle un peu trop fort. La jeune femme sursaute et ouvre les yeux

Le bon jour dame Zabou, je vous ai réveillée, je suis navrée. Ravie de vous revoir parmi nous.
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** Sursum corda ! **

Birdy faisait un peu de rangement dans ses chambres... les remettait en état... Il avait eu vent d'une courte visite de son amie Zabou...

Il défroissait le drap d'un lit quand il entendit du bruit à la taverne... juste en bas des escaliers. Il laissa là son travail inachevé, et traversa plutôt rapidement l'espace qui le séparait des escaliers, avant de les dévaler - comme à son inhabitude - deux à deux.

Eony et Zabou étaient bien là... il sourit.

Bonjour vous deux !

Vous allez bien ? Tu as fait bon voyage Zabou ??

Souriant... ils parlèrent un peu de choses et d'autres... puis Birdy repensa à ses chambres...

Dis, Zab, si tu ne pars pas tout de suite ce soir... je te propose une des deux chambres ici, elles sont presque prêtes... ça te tenterait de dormir dans un lit bien chaud cette nuit ??
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Laurent rentra dans la taverne. Il balaya la salle du regard et vit une dame qui dormait.
Vaut mieux pas la réveiller Marmonna t'il.
Il se dirigea vers le fond de la salle et s'assit sur une chaise. Il attendit que quelqu'un vienne.

Laurent entendit un bruit et vit la dame tomber de sa chaise.
Oulà !! ça va ? Oui vous avez raison, il faut s'entretenir en faisant des exercices sinon on se ramolli n'est ce pas ?

Des écuelles et des chopes à laver, la soupe du lendemain à préparer … petite pause !
La chaleur du feu, le doux et ronronnant brouhaha des discussions des clients, l’ étreinte rassurante et réconfortante des bras de son aimé … elle ne peut plus lutter et la pause devient sommeil profond.
Faut dire que depuis 10 jours elle n’ avait eu qu’un jour de repos. Elle enchainait garde sur garde, et la fatigue commençait à se faire sérieusement sentir.
Le manque de sommeil surtout ! Elle, vraie marmotte avait besoin de beaucoup dormir.
Si elle n’ avait pas senti Morphée l’emmener, elle sent vaguement que Birdy la porte, la déshabille et la couche.
Plaisir divin de sentir un matelas et une couverture. Le monde peut bien s’écrouler, elle dort !
Son sommeil est vite peuplée de rêves à la fois étranges, comme le sont souvent les songes, et doux comme ceux d’une jeune femme au cœur amoureux. Puis la réalité la rattrapant, les rêves se font plus réalistes dirons nous. Et soudain elle fait un bond.
Elle qui se voyait dans une ruelle sombre de Bergerac entrain de poursuivre un maraud, se retrouve assise dans son lit.

Mon Dieu … la garde !

Un bond, elle saute de la couche.
Où est Birdy ? Pas le temps de vraiment chercher la réponse.
Un petit cri, le sol est froid, elle enfile prestement son uniforme.
Passage obligé par la bassine de toilette, la froidure de l’eau la réveille totalement.
A cloche pied, essayant d’enfiler ses maudites bottes, elle se dirige vers la porte.

Arhhh mon bouclier et mon épée !

Si l’ épée est bien là, posée sur la table, le bouclier est lui introuvable. Parcourant la chambre
du regard, elle aperçoit un parchemin sur le chevet du lit.
Le temps de lire les quelques mots, elle oublie la garde et l’urgence qu’elle doit mettre à prendre sa garde. Juste quelques petites secondes où son esprit s’envole.

Puis glissant la petite missive dans la poche, elle attrape au vol son épais mantel et dévale les escaliers en parlant tout haut

Il est terrible, je lui avais dit de ne pas partir à ma place !
Attend un peu sieur Birdy que je te rattrape …
Te quiero tambien .. Amor murmure t-elle en claquant la porte de la taverne vide à cette heure avancée de la nuit.
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** Sursum corda ! **

Enfin !
Enfin elle allait s’accorder une longue pause. Tout était calme. Trop peut être ! Elle allait donc se reposer un peu. Elle serait plus en forme après, au cas où !

Heureusement qu’elle a trouvé une jeune fille qui veut bien s’occuper de la taverne en son absence. Elle quasiment tout le temps sur les remparts ou au Château, Birdy parti en urgence … la taverne ne pouvait pas rester ainsi.
Elle était soigneuse et courageuse la jeune Lysiane, et la taverne tournait bien.
La douce chaleur qui l’accueille lui fait penser que la bachelière a déjà dû passer par là ce matin.
La pénombre qui règne dans la salle, lui laisse juste entrapercevoir une silhouette auprès de l’ âtre.

Lysiane … c’est toi ? Tu es bien matinale !
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** Sursum corda ! **

Ayé ! Retour à case départ ou presque... Après une cavalcade effrénée par une nuit pluvieuse... Bah oui, effrénée parce que moins longtemps on se fait mouiller, plus vite on arrive à se sécher... CQFD...

Ouvrir la porte de la taverne. Pas celle de devant, hein ! Il est pas idiot le zozio, évidemment qu'il l'a fermée. Non, mais celle de la ressert et se laisser accueillir par l'odeur alléchante des pommes sûres en train de fermenter pour être brûlées, de la viande fumée accrochée au plafond...

Ouvrir la porte de la salle, la trouver proprette et bien rangée, encore des odeurs... la cire d'abeilles se mélant aux embruns des dernières bûches encore rougeoyantes dans la cheminée, le ferment de la bière qui a coulé, le fumet de la viande grillée à la flamme... Soupir de contentement...

Ouvrir la porte de l'escalier, monter progressivement dans le noir les marches sans les faires grincer pour ne pas les réveiller. Une, deux, trois, quatre, grande enjambée pour éviter la cinquième qui a elle seule réveillerait le cimetière. Le coeur tambourinant sans cesse et de plus en plus fort.

Ouvrir la porte de la chambre, éclairée par les seules flammes de l'âtre qui réchauffe la pièce et l'âme. Elle sourit. Rien n'a changé. Entrant sur la pointe des pieds... elle laisse la porte ouverte. Il n'est pas loin derrière. Elle retire prestement son col et son chapeau détrempés, s'approche du feu et quitte également sa houppelande pour la faire sécher. Ses chausses et ses bas suivent la direction du valet...

S'asseoir près de la cheminée, en bras de chemise, regarder ses orteils et les faire jouer... Sourire à son bonheur retrouvé, à cette chambre retrouvée, à la vie qui peut recommencer.
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Tu n'es pas responsable de la tronche que tu as, juste de la gueule que tu fais...

Du bruit sur le palier, la grande se réjouit. Qu'attend-il au juste pour la rejoindre diantre... Si longtemps séparés, encore trop longtemps à passer à cavaler du Poitou jusqu'ici. Ils vont enfin pouvoir se reposer, ensemble.

Elle tourne le visage vers la porte... Dans la lueur des flammes sa silhouette à quelquechose d'étrange, une forte impression de rétréci. Elle murmure :
Aah... Te voil....
Attend un peu vaurien … je vais te chauffer autre chose que les pieds moi ! Que fais tu là ?

Surprise elle en retombe sur ses fesses alors qu'elle s'apprétait à se lever pour l'accueillir. Nulle doute, c'est cette silhouette qui a parlé. A volume rétréci, clairon de sortie. Hou la braillarde... « Marchande de poisson » sort du corps de cette jeune fille... Mais elle reconnaît désormais l'allure, le port, la dague et le clapet.

Eony d'Ynoe, s'rait-y possible de se reposer, se sécher et se réchauffer dans c't'auberge sans y être pourfendu par le menu ?

Elle se prend à rire de son rire sonore et reconnaissable entre tous... En même temps, elle prie juste pour qu'il ne soit pas juste derrière. Il serait très bien capable d'envoyer la donzelle au tapis, elle et sa dague, sans autre forme de procès.
Veux-tu ranger ça avant que le titulaire de cette chambre n'arrive ? T'asseoir sur la courtepointe et te calmer ? Moi qui voulait que nous soyons discrets...
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Tu n'es pas responsable de la tronche que tu as, juste de la gueule que tu fais...

Et voilà ! C'est pas possible à quel point elle a l'instinct pour la détection de la situation à la c... qui va immanquablement se produire. Et ça n'a pas loupé. Il a changé sur certains points... Mais il est toujours le même au fond. Un tantinet sanguin... la défense de la veuve et de l'orphelin, patin couffin... enfin, surtout un tantinet sanguin. Elle sourit à le voir brandir son arme de fortune à la tête de la petiote armée jusqu'aux dents, en chemise de nuit... Elle doit faire la moitié de sa taille, c'en est presque amusant.

La grande se relève doucement pour éviter les réactions incongrues, les gestes non calculés, les peurs... les ... enfin surtout le grand n'importe quoi qui commence à s'installer.

Comme c'est bien de rentrer à la maison, entouré de ceux qu'on aime, non ?

Ouais, je sais... Dans un autre contexte, ça ferait méga toupoutou... Là, c'est juste que qu'elle a trouvé de moins idiot à dire. Elle est fatiguée la grande, faut pas oublier.
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Tu n'es pas responsable de la tronche que tu as, juste de la gueule que tu fais...

Rififi le Kender

Sorti bien loin de sa vagabondite, Rififi traversait le comté Périgourdin-angoumoisien de long en large, à la recherche d'un mythe, d'une légende, de ce qui n'existait pas. Une créature ailée aussi grande qu'une montagne, plus puissante, vivante, volante. Un rêve. On lui avait raconté des histoires lorsqu'il était petit. Il en avait vu un jour. Peut-être avait-il rêvé. Peut-être était-ce la réalité ? Il n'en savait rien. Peu importait. Il espérait en trouver, ou en retrouver.

Une seule taverne à Bergerac avait encore les lumières allumées, une seule taverne qu'il connaissait un peu. Le Domaine du Loup Noir... que de souvenirs... Des souvenirs, des joies, des peines... et surtout le souvenir d'un délicieux sanglier rôti. Aaah le bon temps. C'était il y a tant de temps. Il n'avait pas compté les mois. Les mois ou les années ? Non. Les mois.

Un sourire enjoué sur les lèvres, il traversa la distance qui le séparait de la taverne, et poussa fortement la porte... au risque de la faire sortir de ses gonds. Ce qui n'avait aucune chance d'arriver au vu de sa force plutôt misérable. C'est son bâton en main qu'il entre en souriant et en hurlant à moitié sans tenir compte du fait que les personnes qui y étaient déjà à ce moment le prendraient sans doute pour un fou, d'autant plus qu'il n'était pas sûr que l'oiseau serait là...

Je suis rentré !! ça y est ! YOuhou ?! Y a quelqu'un ?? Héhooo ??

[ Dimanche matin, à l'aube ]



Rififi, le Kender

L'aube pointe... les cloches de l'église sonnent... Léger ronflement. Souffle qui caresse sa poitrine... Le Kender ouvre des yeux pétillants, en pleine forme !

Il se lève d'un seul bond, en essayant de deviner quelle heure il est... Aucune idée. Sourire épanoui. Il adore ne pas savoir. Peu importe à dire vrai. Seul importe son estomac qui commence à grogner. Il fouille dans l'une de ses nombreuses sacoches, et en sort un morceau de pain rassi et une tranche de viande séchée qu'il a "empruntée" sur le chemin...
Puis il entreprend de vider ses sacoches. Toutes, afin de trier leur contenu ... et peut-être de les montrer à son vieil ami plus tard...

Le feu avait fatigué tout le monde... Ils étaient monté se coucher tôt. Très tôt... Birdy n'avait pas réussi à trouver le sommeil. Il souriait en regardant la belle dormir à ses côtés... puis il entendit un cri... Un appel. Une voix qu'il reconnut presque immédiatement. Celle de son frère. Sans faire de bruit, pour ne pas réveiller Eony, il se glissa hors du lit, traversa le couloir, descendit les escaliers... Sourit.
T'EST ..... la ?!
Oui, je suis là.

Il sourit encore en voyant Fobia se retourner, avant de lui foncer dessus pour l'enlacer.

Salut frèrot ! Comment vas-tu ? Bryn n'est pas venue avec toi ?
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Le frangin se tourne vers le bar... soif de son voyage sans doute. Birdy sourit.

Bien sûr ! Toujours le temps pour la mousse ! J'étais déjà couché... on a eu quelques soucis éreintants ... comme tu as pu le remarquer sans doute...

Et sache que tu ne déranges jamais et tu ne dérangeras jamais !

Ce disant, il contournait le comptoir et débouchait l'un des fûts, prenait deux chopes et les remplissait d'un geste machinal et rapide, forgé par l'habitude. Il lui en tendit une... et leva la sienne.

100Té !

Après avoir vidé la chope d'un seul trait, il reprit la parole...
Alors, le voyage s'est bien passé ? Tu penses rester quelques jours à Bergerac, j'espère ?
Ta chambre est toujours prête, bien sûr...
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Je vais mettre des fûts au frais dès ce soir alors, qu'ils soient prêts pour son arrivée ! Va falloir fêter ça !

Enfin... ce qu'il s'est passé ici...

Montrant les murs légèrement noircis, et la porte tout juste reconstruite...

Un imbécile a mis le feu à différents bâtiments de Bergerac... vois-tu... Et il a fallu éteindre les feux un peu partout jusqu'à il y a peu... À part ce détail mineur... tout va bien !

Il les servit à nouveau et prit une gorgée de bière avant de reprendre...

D'ailleurs beaucoup d'entre nous ont bien failli y passer...
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Personne ne l'a trouvé... pour l'instant. Mais je crois que ça va pas tarder, vu tout ce qui a été mis en place...

Léger sourire

Oh oui t'inquiète pas je vois très bien ce que tu veux dire... je pense qu'il adorerait ça !

Reprenant une gorgée... réfléchissant un peu...
Il y a eu quelques dégâts... mais je crois que dans le général ça n'a pas été si terrible... à part l'église...
Les feus du poste de police et de la mairie ont été vite maitrisés... pusi les autres...
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

[Mardi matin...]

Passage de la poterne en règle. Ecuries... Kuhlwch renâcle un peu. Il n'aime pas passer la nuit avec des chevaux qui ne lui ont pas été présentés. Gentil le frison, mais toujours un peu collet monté.

Désagréable impression... Désagréable odeur et qui ne sort pas de que de la cuisine de la Crevette... Etrange. Charbon... Cochon grillé... Ouais, ça pourrait être un effet "Crevette" généralisé mais bon ! Ca serait festif alors que là, c'est lugubre, triste... et accablant. Sombre, évidemment, que ça l'est on est en pleine nuit. Ma vieille reprend tes esprits... Ca t'apprendra à lire les Histoires de Simbad.

Arrivée à l'auberge par derrière, comme d'habitude... Rien à signaler... Odeur de fumée dans la resserre, rien de très singulier, ouverture de la porte de la salle.

Foutrebleu...

C'est tout noir et tout charbonneux ici aussi. La porte aussi... Dommage pour les gravures de Fazzino...

Et de s'agenouiller près de la cheminée... rallumer le foyer... et attendre... Des gens, des explications, des... Qu'est-ce qui s'est passé à Bergerac, nom de nom ?
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Tu n'es pas responsable de la tronche que tu as, juste de la gueule que tu fais...

Les mêmes chevaux qui passaient dans les rues de Bergerac arrivent devant l'auberge. Sourire des deux messieurs qui se réjouissent déjà à l'idée du souper, diner, ou déjeuner en tout genre. La dame sourit en les voyant, et se laisse aider pour descendre de sa monture, se laisse embrasser par son époux qui profite à chaque fois de cette occasion pour déposer délicat baiser sur les lèvres de son épouse.

Une flatterie à sa jument Querida, une caresse à Vandale, avant que l'intendant les emmène à l'écurie. Regard bienveillant sur les chevaux qui s'en vont et seront toujours prêts à repartir avec eux, grâce aux soins qu'on leur apporte chaque jour, grâce à la bienveillance de Jazon et l'intendant Passepoil.

Courte mèche remise en place, jupe défroissée de quelques coups de main, regard à Jazon toujours élégant, et la rectrice en vadrouille pousse la porte de l'auberge. Gypsie entre et se réjouit de la douce chaleur, et surtout de la bonne odeur qui planent ici.
Personne derrière le comptoir, qu'importe, Jazon interpelle.

Ola !!! Il y a quelqu'un ?

Pourvu que oui pense Gypsie derrière lui, sinon elle va devoir repartir et dormir à la belle étoile. Quoique... l'hiver depuis quelques jours a laissé sa place au doux printemps, camper n'est alors plus désagréable.
Regard circulaire, inspection de la pièce bien entretenue, comme doivent l'être les chambres.
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Un peu plus tard, les trois voyageurs purent prendre possession de leurs chambres.
Après un bon repas, ils remontèrent à l'étage prendre du repos.

Souhaitant rester quelques jours à Bergerac, ils avaient l'intention de faire connaissance des lieux et des gens.
Jazon ferait l'aller-retour quotidiennement jusqu'en la chancellerie. Mais il espérait prendre le temps d'aller jusqu'à un haras qu'il avait vu en arrivant à Bergerac.
Peut être trouverait il des reproducteurs pour l'élevage qu'il comptait créer en Auvergne ?

Le lendemain, le soleil, une fois de plus, les accueillit à la sortie de leur sommeil.
Jazon ouvrit les yeux et sourit tendrement en voyant le visage de Gypsie endormie, la tête sur son épaule et son bras reposant sur son ventre.
Il l'effleura de sa main dans une douce caresse et l'écarta doucement.
Elle se retourna dans son demi-sommeil.
Il lui donna un léger baiser dans le cou, s'étira longuement et se leva.

Chemise et braies enfilées, il jeta un regard par la fenêtre et fouilla dans ses sacoches à la recherche de quoi écrire.
Une pensée s'était imposée à lui à son réveil : Gandelin !
Pour il ne sait quel raison, il lui fallait lui écrire, prendre de ses nouvelles.

Le père soucieux s'attabla près de la fenêtre et commença sa correspondance.
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Le visage de Gypsie n'était que sourire ; elle souriait jusque derrière les oreilles. Derrière elle, Jazon devait sourire autant. Elle le sentait, sentait ses bras vigoureux et fermes, doux et rassurants qui l'entouraient, sentait son souffle dans son cou, et sentait son sourire.

Là ils souriaient tous les deux, car devant eux, s'étalait du bleu, du brun, du vert, du blanc, toutes les couleurs imaginables réunies en un seul lieu. L'endroit était si animé, l'on s'affairait de partout, l'on courait dans tous les sens, l'on criait, répondait encore plus fort. Un endroit plein de vie, débordant d'énergie, comme ils n'en n'avaient jamais vu les Duchesne.

Et... voilà leur rêve qui va se réaliser. Là ! Maintenant ! C'est sûr ! Aujourd'hui ! Enfin ! Tant attendu ! Espéré ! Depuis le jour de leur mariage !

Elle se retourne vers son époux la vicomtesse, l'embrasse de partout, sautille de joie, lui sourit, et rit !

C'est aujourd'hui Jazon ! Aujourd'hui !! Enfin !! Viens !! Là bas !! Le petit brun et blanc !! Juste pour nous !!

Gypsie court, entraîne son époux vers le port, vers le petit bateau à la belle voile blanche, court à en perdre haleine, trébuche, rit, tient toujours la main de Jazon qui la suit et s'amuse, et... voilà le quai...
Le quai... un souffle de vent. Un souffle dans son cou... un baiser... elle est allongée et pas du tout sur un quai... Elle ouvre les yeux pour découvrir un plafond partagé entre le brun des poutres et le blanc des murs... Son bateau et sa voile qui s'en vont soudain... Soupir déçu... Aussi déçu que l'édredon esseulé d'un côté, car Jazon a déserté le lit.

Dur, cruel retour à la réalité. Le bateau ne sera pas pour aujourd'hui, mais un jour... Jazon l'emmènera voguer, il l'a promis, et Jazon tient toujours ses promesses.
Un coup d'oeil circulaire, elle le retrouve son amour. Attablé, tout à son écriture. Sans doute donne-t-il nouvelle à son supérieur, le chancelier du Ba, Sémias. Ou à quelqu'un d'autre... Ou peut être écrit-il simplement un mot d'amour à sa douce... Voilà délicieuse idée...
Soupir, étirement, baillement, qu'elle est belle la vie oisive, mais... il faut toujours se lever, et Gypsie rejette l'édredon si doux, se lève, et retrouve la douce odeur de son amour en arrivant derrière lui, l'enlaçant, l'embrassant tendrement dans la nuque.

Te voilà déjà au travail Jazon... mais... nous avions dit...

Le calme habituel de la taverne est soudain troublé par un appel dans le couloir

Y'a quelqu'un ?

Regard à Jazon, question...

Sommes nous là ? Crois tu ? Sommes nous les seuls vivants ici ?
Et !! Tu n'as pas faim toi ? Je m'habille et on descend ! Cette personne qui crie saura alors qu'il y a quelqu'un, oui !
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Hop hop hop ; pas de tenue d'apparat, rien du tout. Juste... une simple jupe, un simple corsage, tout blanc et plein de jours comme elle les aimait Gypsie. Rien d'officiel là dedans, et elle prend le bras de son époux en sortant de la chambre, n'omettant pas de lui déposer délicieux baiser sur sa joue.

Porte qui claque, visages qui se tournent vers le couloir ou une brune à la mine mauvaise rencontre les regards des Duchesne.
Oulà... palote la fille... mauvaise nuit elle a dû passer à allaiter son enfant... ou autre... veiller son grand père-mère mourant, enfin un cas forcément bienveillant, puisque Gypsie ne penserait jamais qu'elle aurait pu boire ou brigander toute la nuit durant.

Or, la rectrice du Ba, toujours méfiante, engagea son époux à aller de l'avant, et faire prime connaissance avec la petite brune devant eux.
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Un craquement, elle a entendu un craquement. Et peut-être même un couinement. En tous cas, un truc pas net. Aussi écoute-t-elle la voix de la raison (pour une fois) et redescend t-elle chercher de quoi se défendre en cas d'attaque.
Le choix est cornélien.
Un couteau de cuisine, c'est très aiguisé et tout mais face à une épée, ça ne fait pas le poids. Un billot, oui, pourquoi pas, mais elle va avoir besoin d'ide pour le soulever et on perd toute crédibilité en demandant de l'aide pour attaquer quelqu'un. Vite, vite, trouver quelque chose !
Une cuiller ! Voilà l'arme parfaite ! Tranchante, précise et euh... maniable à l'extrême. En plus si jamais elle se retrouve face à plusieurs agresseurs, elle pourra toujours proposer une ratatouille.

Fière de son choix, elle revient vers le couloir où des voix s'élèvent.

Bonjour dame....
Vous cherchez quelqu'un ? L'aubergiste ?

La cuiller levée, Mahaut reste bouche bée, cherchant quoi répondre. Des fois il vaut mieux dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité.

Bonjour ! Non il n'est pas là l'aubergiste, il est parti alors que je lui ai demandé une houppelande rose, avec des broderies, là, là et là et en plus c'est urgent.

Voilà, toute la vérité, même s'il s'en fout. Derrière l'homme, une femme qu'elle a déjà aperçue en taverne. Ragaillardie, elle baisse son arme.

Bonjour au fait, je suis Mahaut ! Soyez les bienviendus à Bergerac. Bonjour Dame, vous vous souvenez de moi ?

Rapide retour en arrière pour savoir si elle avait bu le soir en question ou pas. Non, elle était restée étonnamment sobre, Dieu merci. Faut dire on parlait diplomatie, et la diplomatie, Mahaut, ça lui plait, même si ça fait beaucoup parler. Oui, bon, d'accord, justement à cause de ça. Mais aussi parce qu'on fait des réceptions avec des petits fours, hein.
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Mahaut baissa donc son arme, et tapota une table avec, machinalement.

- Mais oui, bien sûr ! Messire Jazon, soyez le bienvenu en Périgord. J'ai rencontré un de vos hommes en chancellerie, lors de ce que j'appelle "la plus longue attente du siècle". Dieu merci on a survécu en partageant des victuailles.

Mahaut soupira un instant et leur proposa de s'installer à une table, après avoir rallumé le feu dans la cheminée.

- Non, non, je ne cherchais personne, Dame, j'avais juste entendu du bruit alors que je croyais la taverne vide. En réalité, je...

Devait-elle le dire ? Une ambassadrice, ça a un devoir de réserve, et un devoir de se la péter aussi. Devait-elle donc avouer qu'elle venait se siffler la réserve du propriétaire en son absence ?

- Je venais vérifier que tout allait bien, notamment dans la cave. Au fil du temps, j'ai développé de grandes compétences œnologiques et je me proposais de venir surveiller les fûts de mon ami. Voilà.

Demi mensonge, donc, largement acceptable. La base même de la diplomatie.

- Je vous propose de vérifier cela avec moi et de converser en même temps, qu'en pensez-vous ?

Elle ferait passer la note sur sa note de frais auprès de sa chancelière, après tout c'était de bonne guerre.

- Allons, j'amène un tonnelet ici et un peu de pain frais, si vous n'avez pas mangé, avec de la confiture vous aurez un petit déjeuner du tonnerre. Enfin, pas parce que ça fait du bruit, hein, juste parce qu'il sera vraiment bien.

Oui, elle avait toujours besoin d'expliquer ce qui ne lui paraissait pas clair. Elle revint donc avec l'ensemble, qu'elle disposa sur la table. Servant trois choppes, elle empoigna la sienne avec un véritable sourire de contentement.

- La robe est mordorée, hein ?

Peu importe ce qu'on dit, l'important c'est la conviction dans la voix. Et surtout, surtout ! Détourner l'attention du mot inscrit au charbon sur le côté du tonnelet qui précise bien "ne pas toucher !".
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Aussi amusée que son époux Gypsie, elle suivait la jeune femme dans ses explications, puis la remercia pour ces mets présentés devant eux. Pain, confiture et délicieux liquide dans une choppe poussée par Jazon devant elle. Mais... elle n'y gouta pas tout de suite, car comme lui, elle avait lu " ne pas toucher " sur le tonnelet. Voilà qui pouvait être drôle ou inquiétant. Et... s'il y avait quelque maléfice, poison dans la boisson ? Elle était de nature plutôt méfiante la rectrice, et s'était retenue de retirer la choppe de la bouche de Jazon. Voilà qui aurait fait désordre. Elle le regardait maintenant... l'écoutait... Il ne changeait pas de couleur, avait l'air tout à fait normal, n'était pas pris de frisson ou autre chaleur diverse, aucune perle de sueur à son front... du moins pour l'instant...
Quelques secondes s'écoulent, rien d'anormal... Gypsie trempe alors ses lèvres, goute au breuvage, bien délicieux d'ailleurs.

Vraiment délicieux ce vin dame Mahaut, merci ! Trinquons !

Joignant le geste à la parole, Gypsie lève le bras et son verre

Santé ! A la diplomatie, au Pa, au Ba, et au roy !

Le verre se repose doucement sur la table, voilà joli rose aux joues de Gypsie peu habituée à boire du vin dès le matin.

Oui, dites nous ! Nous remontons vers le nord, encore longue route nous attend, regard amoureux à Jazon, bientôt la capitale, Périgueux, puis Angoulême.
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Ils trinquèrent et Mahaut étendit ses jambes alors qu'un début d'endormissement la prenait.

- A nous et au Roy ! au Maine qui vit des heures bien sombres...
Mais ne parlons pas de ce genre de sujets de bon matin, ça vous gâche une journée. Donc vous visitez ?
Alors, Périgueux, comme toutes les capitales, c'est très calme. Mais une très jolie forêt. Le bourg est divisé en deux parties en réalité mais les habitants vous expliqueront ça mieux que moi.
Angoulême, jolie ville également, agrémentée d'un verger, comme nous. L'angoumois est une région un peu à part, il faut deux jours de marche à pied pour y aller. La ville est plus proche de Saintes ou de La Rochelle, ce qui peut toujours être intéressant.

Elle pensa à se faire rémunérer comme office du tourisme, une honnête reconversion.

- Oh, vers Angoulême il y a Barbezieux. Très joli château, propriété du baron Matpel. J'ai été en charge du domaine là bas en son absence. J'ai... oui bon, peu importe, ne revenons pas là dessus. Très joli domaine,et un élevage de poules ! Mon dieu ces poules sont notre fierté. Si jamais, n'hésitez pas à y passer.

Elle se leva et fouilla dans sa besace.

- Vous devez absolument goûter les spécialités du coin ! Tenez, j'ai toujours une truffe sur moi. En général, on me surnomme comme ça, voyez ? Quoi de mieux qu'une truffe pour représenter le Périgord ? Je vous la conseille en accompagnement. L'aspect est un peu brut mais c'est une pure merveille, essayez en omelette si jamais. Et... à la chancellerie, je vous ferai livrer du foie gras. Ça aussi, spécialité.

Elle devisa un instant de l'importance culinaire du Périgord dans le patrimoine commun du Royaume de France et une fois le petit déjeuner de ses convives terminé, elle décidé de les laisser un peu en paix.

- Allez, je m'excuse, je vais remporter ce tonnelet...oh il est vide ! Je vais le ramener en cuisine. Je vous souhaite un excellent séjour chez nous. N'hésitez pas à me contacter en cas de soucis.

Elle tenta une révérence qu'elle rattrapa de justesse en se tenant à la table.

- Sainte Boulasse vous bénisse !
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[ Hier au soir, j'étais dehors, je regardais la luneuhhh... ]

Dormir. Insomnies. Birdy se lève. Il repense à ce qu'il a fait un peu plus tôt dans la journée. Tuer. Il l'avait fait souvent, mais la dernière commençait à dater. Il voyait encore la peur dans le regard de Maurin, et pourtant, il ne ressentait aucun regret. Il regarda Eony. Elle dormait profondément. Sans un bruit, il se leva. Descendit les escaliers, prendre l'air. Quelques gens dans la taverne qu'il salua, avant de quitter l'établissement. Il sortit dans la ville et se balada un peu au hasard des rues... Levant les yeux au ciel, la perle lunaire était presque ronde. Il sourit. Comme un signe, apaisant son coeur et ses pensées. Clignement des yeux, sourire, il prit lentement le chemin du retour, ouvrit la porte de la taverne, et sourit à nouveau en reconnaissant tout de suite un cri et une voix.

Perle. Un sourire et une embrassade partagés...

Ils discutèrent alors pendant un moment malgré les quelques paroles échangées par les autres clients, racontant les derniers événements... Partager un verre, spécialité du chef, recette secrètement cachée. Partager avec d'autres, arc-en-ciel vivant sur les visages.

Puis Birdy voulut rejoindre Eony, là-haut. Il proposa donc à Calli de venir la voir. Malgré son sommeil troublé, il ne doutait pas qu'elle serait heureuse de savoir l'arrivée de son amie... Ils grimpèrent donc tous deux l'escalier qui menait aux chambres - L'oiseau lui indiqua au passage laquelle serait la sienne pour son séjour - traversèrent le couloir, entrèrent dans la chambre... Birdy un doigt sur les lèvres pour intimer le silence... Eony était là... toujours endormie.

Birdy s'en approcha doucement et se pencha vers elle pour la réveiller à la manière d'un prince charmant...
Amor... nous avons de la visite...
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Qu’il avait été difficile de trouver le sommeil. Elle l’ avait pourtant appelé de toutes ses pensées, espérant trouver un moment de répit et l’ appaisement de ses souffrances autant physiques que morales.
Mais dieu que c’était angoissant de chercher les bienfaits de la nuit, de fermer les yeux , alors qu’on est déjà plongé dans les ténèbres.
C’est en écoutant du bout de ses doigts les sursauts bavards de son enfant, qu’elle avait réussi à trouver l’endormissement.

……………….....................................

Laissez moi … non je ne veux pas … un pas de plus je vous tue … il s’approche encore un peu plus d’elle, il est laid de méchanceté et de malfaisance, il pue la perversité et la monstruosité.
Un pas de plus et il pourra la toucher et une fois encore la brusquer.

NONNNNNNNNNNNNN ….

Il se penche. Elle sent ses lèvres, la nausée lui vient à la gorge

Arrrrrrêtttttezzzzzzzz … Je vous hais Maurin !

Elle le repousse, se débat, elle crie … mais que dit-il ?

Amor... nous avons de la visite...

Amor … Amor …
C’est le cœur battant à se rompre que ce mot la sort de son cauchemar.
Les lèvres qu’elle avait senties étaient celles de Birdy.
Elle ouvre les yeux et …
Si le cauchemar de son sommeil avait pris fin, celui bien réel qui depuis la veille habitait sa vie lui sautait à nouveau à l’ esprit.

Devant elle le noir, le froid, le mutisme de la lumière et des couleurs, le rien !
Mais en elle la chaleur des mots, la quiétude des souffles autres se mêlant au sien, la présence rassurante de la vie … du Baume, du Miel pour tout son être !

Birdy ? Que se passet-il ? C’est déjà le matin ?
Peu importe la réponse, elle est à présent bien réveillée. Cette voix, ces mots, ce nom, elle les reconnaitrait entre mille

Calli .. Perle … tu es là … les larmes de joie qui avaient balayé celles de ses souffrances, se perdent dans un rire qui à lui seul illumine son obscurité.

Une pomme ? .. Oui je vais bientôt rouler comme quand elles tombent des pommiers du verger.

Un instant son cœur se serre … je serai tes yeux … est-ce là mon avenir ? Songe t-elle avant de se redresser totalement sur sa couche et de chasser son amertume.
Elle s’était fait une promesse : ne pas assombrir la vie des autres par l’obscurité de la sienne.

Quatre yeux, six mains, six jambes … oui je sens qu’on ira loin !

Agrippant une des mains de Perle, elle met pied à terre.

Bon allez hop debout, on va aller fêter ton retour. Je vais faire réchauffer la soupe d’hier soir , et puis on ira faire le marché, y a plus rien dans les réserves.
J’ai bien dormi, je ne t’ai pas entendu te coucher Amor, ni ronfler ! Mais j’ aurais bien dormi encore un peu !!

Sourire, encore sourire … vaincre la nuit de ses yeux par le soleil de son cœur, telle sera sa devise maintenant.



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** Sursum corda ! **

[ Remontée dans le temps - la nuit, dans la chambre avec Calli et Eony ]

Elle était agitée dans son sommeil... Puis se réveilla presque d'un seul coup. Il lui sourit tendrement - sourire qu'elle ne pouvait pas voir... mais qu'elle pouvait sentir au son de sa voix.

Non, ce n'est pas du tout le matin ! Il fait encore nuit, et d'autres invités arriveront dans les jours avenirs, mais j'ai pensé que tu serais heureuse de savoir que Perle était arrivée, et qu'elle était là...

Ils discutèrent encore un peu, puis rejoignirent chacun leur lit... et se couchèrent pour une courte fin de nuit.


[ On r'avance - Arrivée d'Aphy ]

Des bruits, des voix, rapidement Birdy sortit de la souillarde où il préparait les repas pour le soir.

Bien sûr qu'y a quelqu'un ! Aphy ! Tu as fait bon voyage ? Comment vas-tu ?

Heureux de te voir !

Foules de questions, sourires, souvenirs, nouvelles...
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o