Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 11, 12, 13, ..., 71, 72, 73   >   >>

[DUCHE] Composition du Conseil et Anoblissements

Dameisabeau
Pour sa deuxième allégeance, elle se sentait bien plus à l’aise, déjà parce qu’elle avait pris un peu plus confiance en elle,
qu’elle se sentait entourée de visages devenus familiers à présent, et que même si il régnait encore un petit rien de rancœurs de part et d’autres,
elle savait que tout cela serait vite balayé par le désir commun qu’ils avaient tous d’œuvrer pour le bien du duché et du peuple Dauphinois.
Oui, elle était optimiste, consciente qu’en ce jour, la politique ducale prenait un tournant différent et décisif pour l’avenir, et que c’était à eux tous de saisir cette opportunité.
C’est donc de bonne grâce et même avec grand plaisir non dissimulé, qu’elle s’était apprêtée ce jour là pour se rendre à cette cérémonie.

Ayant revêtu une de ces plus belles robes d’apparat, elle affichait un sourire radieux en suivant le déroulement de la cérémonie
quand on lui fit signe que c’était à présent son tour,
remarquant aussi avec joie que le nouveau porte parole semblait avoir renoncé à jouer de son instrument,
celui là même qui vous faisait sursauter et battre le cœur à chaque souffle impulsé dans le cuivre.
Elle remonta l’allée jusque devant le siège du nouveau gouverneur et c’est du fond du cœur que, s’inclinant dans une gracieuse révérence elle prononça solennellement ces mots :

Moi Dame Isabeau, en ce jour, jure devant dieu et les hommes de servir mon duché,
ses habitants du Lyonnais Dauphiné représenté par sa grâce Hardryan XX ème gouverneur du Lyonnais Dauphiné,
auquel je prête serment d’allégeance ainsi qu’à notre roi bien aimé.
Je lui promets fidélité, aide et conseil en toute circonstance, ainsi qu'au Lyonnais-Dauphiné.


Elle attendit ensuite que le gouverneur lui permette de se relever et de se retirer
_________________
Matom
Matom arriva, habillé de son nouvel appârat de procureur, d'une superbe couleur bleu nuit.
C'était la 2ème fois qu'il été présent dans cette salle, mais cette fois-ci il en été que plus fier avec les nombreuses péripéties lors des éléctions et suite à ces mêmes éléctions.
Mais alors que cette cérémonie avait fort bien débutée, même si certains visages de ces acolytes été malheuresement fermés, un homme se montrait impoli et arrogant.
Or le procureur n'aimait point ce genre de personnes, il les détestait même.


Messire Guidel, je vois que vous adorez cette cérémonie! Tout d'abord vous l'interrompez pour annoncer une passation de fief qui pouvait attendre, puis vous montrez votre impatience à des femmes et des hommes qui sont ici pour vous entre autres.
Sachez qu'entre venir ici, à une cérémonie certes officielle, mais qui prend toujours du temps et m'occuper de mes fonctions de procureur, de conseiller municipal, ou encore, lorsque j'essaie de remonter l'equipe de soule de ma ville, je préfère effectuer ces deuxièmes choses plûtot que la première que je trouve insinifiante.
Messire Hardyan, notre gouverneur, nous a demander de passer chacun son tour selon un ordre bien précis, choix que je respecte beaucoup et qui montre sa personnalité, de la droiture.
Si vous préférez un capharnaüm, c'est votre choix.
Ainsi j'ai décider de ne prêter allégeance que samedi prochain (HRP parlant) et de plûtot effectuer mes fonctions.
Je m'en excuse auprès de vous, Hardryan, de vous conseillers ducaux, et de vous, peuple dauphinois mais je ne peux tolérer une telle attitude de la part d'une telle personne.
Sur ce!


Matom repartit dans son bureau de procureur et attendit la suite de la cérémonie.
_________________
N°8 des Tritons.
Tisserand et Berger.
Archiviste du LD.
Echevin aux étudiants de Valence.
Juge du LD.

Ex-Comissaire aux Mines-Bailli-Procureur du LD.
Ex Echevin aux tisserands, aux maraîchers de Valence.
Mirandor
Mirandor était abasourdi par l'attitude de Matom, et ne savait que faire en pareille situation... Il regarda l'assemblée, repéra la Commissaire aux Mines Ecaterina de Sevillano, puis lui fit signe de venir se présenter dès qu'elle croisa son regard...

A cet instant, un page vint le trouver, lui apprenant la présence de Messire Jean Zwyrowski (qui semblait fort irrité), ainsi qu'une fâcheuse nouvelle qui expliquait sans doute l'attitude du Vicomte... Mirandor s'empourpra, car même s'il avait annoncé la constitution du Conseil, il avait manifestement oublié de convoquer les nobles du Duché...

Il s'éclipsa alors que toute l'attention était sur le Procureur, griffonna un parchemin qu'il fit envoyer au plus vite... Il espérait seulement que l'information arriverait à temps...

_________________
Guidel
Le baron le regarda simplement avec un regard glacial.

Messire, vous vous oubliez...

Il regarda autour de lui, l'attention avait été attirée et cette fois le dit procureur avait bel et bien interrompu la cérémonie. Il répondit calmement et clairement mais sans hausser la voix, comme l'exigeaient les convenances en cette salle.

Avez-vous toute votre santé mentale, roturier?
Je n'ai pas interrompu la cérémonie à quelque moment que ce soit, j'entre et je sors avec discrétion et n'ai prononcé aucune parole depuis que cette cérémonie est entamée... Si vous portez encore une seule accusation diffamatoire sur ma personne, vous devrez en répondre devant le gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, mon suzerain.

Même si un léger sourire d'amusement passait sur ses lèvres, il fixait toujours son regard interrogateur sur l'impoli interlocuteur.

Pour votre gouverne, sachez que personne ne vient ici pour moi, mais pour présenter son allégeance au Lyonnais-Dauphiné, ce dont je ne suis que l'humble témoin, en ce qui concerne la noblesse bien sûr, les affaires du conseil ducal ne me concernant pas le moins du monde.

Permettez-moi également de douter même de votre sens des priorités. En tant que conseiller ducal, votre premier devoir est celui d'allégeance et de fidélité au Lyonnais-Dauphiné, avant même l'exercice de vos fonctions de procureur, qui ne peut se faire correctement que moyennant la validation de cette première condition... Imaginez donc un conseiller ducal qui ne soit pas fidèle à son duché et au peuple qui l'a élu... Le "remontage de l'équipe de soule de votre ville" me paraît bien dérisoire en comparaison de tout cela.

Vous désirez toujours faire attendre le Lyonnais-Dauphiné? Assumez donc les conséquences de vos actes et relisez donc les paragraphes des articles de loi concernant les refus d'allégeance en Lyonnais-Dauphiné.

Il se tourna vers la porte et n'attendit guère plus pour la franchir sans autre forme de procès.

HRP: Apprenez à lire.
_________________
Matom
Premièrement, oui vous l'avez interrompue lorsque vous avez divulguer le document pour messire Salah ad Din.

Citation:
Dans sa main, il tenait un papier annonçant une bonne nouvelle pour l'un de ces nobles...


Si vous n'aviez dit que cela, je n'aurais faire aucune remarque, mais vous avez divulguer le contenu de ce papier, or que je sache vous ne l'avez pas dit haut et fort et les conseillers ducaux et moi-même ne sont pas venu lire ce papier dans votre main, donc comment savons nous cette information?

Vous n'aviez qu'à dire :
Citation:
Dans sa main, il tenait un papier annonçant une bonne nouvelle pour l'un de ces nobles...

et divulguer l'information à la fin des allégeances.

Deuxièmement, où voyez vous que j'ai décider de ne point porter allégeance à nostre Gouverneur? Je n'ai jamais dit le contraire.

[HRP] Apprenez à lire. [HRP]
_________________
N°8 des Tritons.
Tisserand et Berger.
Archiviste du LD.
Echevin aux étudiants de Valence.
Juge du LD.

Ex-Comissaire aux Mines-Bailli-Procureur du LD.
Ex Echevin aux tisserands, aux maraîchers de Valence.
Hardryan
La patience du Gouverneur commençait à s'effriter au fur et à mesure que la discussion entre le sieur Guidel et le conseiller Matom s'intensifiait. Tout juste avant que Guidel ne tourne les talons, le Gouverneur, agacé, interrompit les deux protagonistes de cet échange inopportun:

Maintenant ça suffit. Si vous voulez discuter vous pouvez sortir tous les deux, nous ne sommes pas à la cour de justice ici. dit Hardryan, ne cachant rien de son exaspération, avant de marquer une pause et de reprendre sur un ton plus calme:

Messire Matom, je ne doute pas de votre loyauté, mais si vous vouliez bien prêter allégeance maintenant, par respect du protocole et des personnes qui l'ont suivi jusqu'ici et qui patientent, je vous en serais reconnaissant.

Après que tous les conseillers soient passés devant moi nous pourrons prendre une petite pause, nous en avons tous besoin je pense.
termina-t-il, faisant le tour de l'assemblée du regard.
_________________
Matom
Matom reçu une missive d'Hardryan, il vint donc, fit ce qu'il devait faire et repartit aussi sec.

Moi, Matom, en ce jour, jure devant dieu et les hommes de servir mon duché, ses habitants du Lyonnais Dauphiné représenté par sa grâce Hardryan XX ème gouverneur du Lyonnais Dauphiné, auquel je prête serment d’allégeance ainsi qu’à notre roi bien aimé. Je promets fidélité, aide et conseil en toute circonstance, ainsi qu'au Lyonnais Dauphiné.
_________________
N°8 des Tritons.
Tisserand et Berger.
Archiviste du LD.
Echevin aux étudiants de Valence.
Juge du LD.

Ex-Comissaire aux Mines-Bailli-Procureur du LD.
Ex Echevin aux tisserands, aux maraîchers de Valence.
Zwyrowsky
Jean Zwyrowsky, les yeux mi-clos et enroulé dans sa cape pour se réchauffer, était bien loin de Lyon quand un bref et acide échange opposa Dauphiné au nouveau procureur. Le baron de La Salle devait être à peu de choses près dans le même état d'esprit sinistre que lui. Quant au sieur Matom... Le vicomte eut un rictus méprisant. Enfin, le serment était porté. S'il ne s'était pas trompé, devaient resté encore un ou deux conseillers sans portefeuille, et le porte-parole.

Il serra dans son poing un vélin hâtivement roulé dont les coins arrachés témoignaient du destin d'affiche qui avait du être le sien. Jean Zwyrowsky s'inquiéta soudain. Le déroulement de la cérémonie, et la désinvolture de certains serments, témoignaient que ces braves bourgeois entendaient bien mal les tenants et les aboutissants des nobles notions d'honneur et de souveraineté. Il ne pouvait guère leur reprocher, sans doute: mis à part les seigneurs de la Rué et de Saint-Nazaire, ce conseil était désespérément roturier. Mais combien parmi eux entendraient alors ce qu'il avait à leur dire, et la requête qu'il comptait présenter?
Ecaterina
Voyant que son tour n'était pas encore venu, Ecaterina était retourneé à la cathédrale.

[ A la cathédrale]

En pleine réunion avec les clercs et certaines personnes d'autres duchés, l'Archevêque écoutait sans trop parler... quand son secrétaire lui fit de grands gestes devant la porte avant de venir la voir.

Monseigneur, c'est à votre tour de prester serment au Gouverneur.

Ecaterina se leva, s'excusa auprès de ses visiteur, tout en demandant à Igor de les occuper et couru ( essayer de courir avec une soutane vous ....) vers le Palais.


[ Au Palais]

Ecaterina venait juste d'arriver lorsqu'elle vit Mirandor lui faire signe d'avancer. Elle prit une grande respiration pour retrouver son souffle et avança d'un pas sûr et léger, sa soutane verte flottant derrière ses pas.

Arrivée devant le Gouverneur, elle posa un genoux à terre et prit la parole:


Nous, Monseigneur Ecaterina de Sevillano, Archevêque Métropolitain d'Embrun, Baronne de Chamblay, Commissaire aux Mines, prestons allégeance à notre Gouverneur légitime, Sa Grâce, Hardryan.
Face à la Protection nous offrirons le Conseil. Face à la justice nous offrirons le Respect.

Que son mandat soit prospère et qu'il soit juste sous le regard du Seigneur, afin que jamais sous l'effort il ne cède.
Que sa main ne donne que justice et bienfaits et que sa parole soit saine.


Le serment presté, elle resta le genoux à terre devant son Gouverneur.
Boursiero
Toujours accoudé à son siège, regardant la petite scène trainer en longueur, et c'est las qu'il suivait la discutions entre le Baron de La Salle et le Procureur. Il attendit donc "que ça passe"... qu'avait-on à dire de plus de toute manière, qu'un noble n'a pas respecté un Conseiller Ducal, et qu'un roturier n'a pas respecté un noble.

Une vague et folle idée lui parcourait alors l'esprit et le fit sourire. Ne peut-on pas bruler l'un, et couper la tête de l'autre ? Une petite animation pour le bon peuple Lyonnais-Dauphinois, qui sera à n'en point douter ravi de voir un noble et un procureur renvoyer par Aristote...

Il secoua alors la tête légèrement quand Son Eminence l'Archevêque d'Embrun vint à son tour prêter allégeance au Gouverneur. Ce fut rapide, et c'était donc à son tour. Alors que la dame faisait son allégeance, il se leva de son siège, s'aidant en appuyant de la force de ses bras sur les accoudoirs, manquant de ne point pousser un 'cri' de soulagement, celui qui détend quand on a les os qui craquelles un peu lors des mouvements.

Il attendit la fin de discours d'Ecaterina, puis une fois qu'elle se retira, il toussota avant de s'avançer vers le Gouverneur. Il posa donc un genou à terre. Puis d'une voix grave et forte...


Moi, Grégoire, Seigneur de Sainct Nazaire en Royans, Connétable du Lyonnais et du Dauphiné preste i celieu allégeance devant Messire Hardryan, Gouverneur légitime du Duché du Lyonnais-Dauphiné et à travers lui, Sa Majesté Levan le Troisième de Normandie, Roy de France.

Je lui offre conseil part mes enseignements et mes expériences, protection de part mon épée.

Je jure de servir le Duché et son peuple.

Qu'Aristote en soit témoin.


Il se releva paisiblement sa main sur le pommeau de son épée, et rejoignit son siège parmi les autres conseillers.
Ka_devirieux
Ka vit Boursiero s'avancer et prêter allégeance , il savait donc qu'après lui viendrait son tour...

Pris par le stress, et la panique de ce qu'il dirait, un tourbillon de paroles tournait dans son esprit, il n'avait pas encore su décider de ses mots...Une idée lui était bien venue! Mais elle avait disparue lorsque 2 messires eurent des mots l'un pour l'autre.

Lorsque Boursiero eut rejoint son siège, Ka se leva à son tour. Et même en faisant tout efforts qu'il put, son assurance lui fit défaut et ses pas se montrèrent hésitant...

Le gouverneur ne lui était pas inconnu! Ce qui aurait pu étonner certains que Ka fut impressionné, mais si Ka avait un parcours tel, Hardryan n'y était pas étranger...C'était en partie grâce à lui! Lui qui l'avait épaulé dès son arrivée dans le Lyonnais-Dauphiné...

Il prit alors la parole la voix tremblante:


"Nous, Ka_de_brugeliete, Conseiller ducal, prête aujourd'hui serment d'allégeance envers notre Gouverneur, Hardryan, et à travers lui, jure devant Dieu et les hommes de servir mon Duché le Dauphiné-Lyonnais ainsi que son peuple, de même que sa Majesté notre Roy Levan III.
"

_________________

- Secrétaire d'Etat, secrétaire de l'Assemblée nobiliaire du Lyonnais-Dauphiné - Kartographe
pnj
Max entra dans la salle d'allégeance sans faire de bruit, vêtu comme toujours de son uniforme noir de capitaine épiscopal, complété d'une lourde cape de voyage, tout aussi noire. La cérémonie battait son plein, malgré les visages fermés. Il stoppa un instant après avoir passé les portes, balayant la pièce du regard. Il ne s'arrêta pas sur les conseillers ni le Gouverneur. Bien qu'il soit porteur d'une lettre en provenance du Sud Ouest pour celui ci, c'était l'auteur d'une autre lettre qu'il était venu chercher.
Il le repéra quelques instants plus tard, adossé à une colonne, lui aussi sombrement vêtu. Il s'approcha de lui dans son dos, discrètement, les voix qui prêtaient serment couvrant ses pas. Il s'arrêta un peu plus près du vicomte de Crots que les convenances ne le permettaient, puis le salua dans un souffle, par dessus son épaule.

J'ai acourru, Vicomte, sitôt votre lettre reçue. Vos projets sont complètement fous et déraisonnables. Vous n'en sortirez pas vivant.
Puis un instant plus tard, le regard fixé sur le trône du Gouverneur, comme s'il suivait la cérémonie, il ajouta, toujours aussi doucement
Comptez sur moi. Jusqu'à l'honneur. Ou la mort.
Zwyrowsky
Zwyrowsky sortit à nouveau de ses ruminations à la voix du seigneur de Mions, qui avait parlé presqu'à voix haute malgré son désir certain de chuchoter; il lui sourit en se tournant vers lui. A voix basse, il corrigea:

Il n'y aura pas d'honneur. Seulement de l'ombre et de sang. C'est aussi bien, quand on voit ce que certains considèrent comme l'honneur.

Puis, mystérieux, il s'emmura à nouveau dans son silence.
Phelim
Phelim sourit de la leçon du procureur donnait au hérault. Celui-ci avait du se croire chez lui pour s'être laissé aller à danser comme un sauvage puis à sortir de la sorte.
Surement que le rôle primordial de distributeur de terres avait fini par lui monter à la tête, et il en avait surement oublié qu'il manquait pour la seconde fois de respect à un conseiller ducal. Au prochain manquement, il se chargerait personnellement de son cas ... après tout le hérault n'était important que pour ceux qui collectionnaient les lopins et qui y tenaient plus qu'à la prunelle de leurs yeux. Personnellement, il tirait beaucoup plus de plaisir en se réveillant le matin aux côtés d'une belle jouvencelle.
Il faillit rire de l'époque où Guidel était arrivé à Lyon pour devenir seigneur des Lances. Heureusement qu'en ces temps, il sut faire preuve de plus d'humilité, car la garnison, notamment duanera, boursiero et lui même, avait perçu d'un très mauvais oeil l'arrivée d'un briançonnais pour les diriger, et ils n'auraient jamais hésité à lui en faire voir de toutes les couleurs au cas où ils auraient été pris de haut !
Il eut à ce moment là une pensée nostalgique pour Boubou et Dudu ... si ils furent comme les doigts de la main, par la suite ... ils avaient pris des directions opposées au possible ... pensez donc, un gold, un apd et un officier breton ...

Il suivit la suite de la cérémonie avec attention, mais eut à retenir un baillement. Il en fallait des choses avant que le conseil puisse enfin se mettre en marche, ils passaient plus de temps ici que dans leurs bureaux ...

L'arrivée de Maxdelyon qui alla rejoindre très vite le vicomte accentua un sentiment de malaise chez le prévôt. Le goupil était en quelques sorte un nid à problèmes, avec lui c'était comme à la loterie, on ne savait jamais ce qui allait en sortir ...

Pour se calmer et puisque le gouverneur avait décrété une pause, il alla jusqu'au buffet et récupéra le plat de poussins farcis. Il avait bien répété au cuisinier de lui en préparer et que le moindre oubli ne serait pardonné que sous le fouet.
Il se dirigea ensuite vers la lieutenante Elisabeth, présente à la cérémonie et à qui il avait promis d'en faire gouter, puis lui tendit le plat pour qu'elle se serve.
Il tourna la tête vers Hard, en se demandant si lui aussi en voudrait ...


_________________
Mirandor
Mirandor était embarrassé par l'altercation entre les deux hommes, et se dit qu'Hardryan avait bien fait d'intervenir... Par la suite, tout s'était enchaîné très vite, si bien que c'était à son tour de prêter serment...

La gorge nouée, il s'avança vers le trône, et posa un genou sur le sol... La main sur le cœur, il énonça :


Moi, Mirandor, Porte-Parole, jure devant Aristote et les hommes, aide, conseil, fidélité et allégeance à Hardryan, légitime Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné et à travers elle au Dauphin du Royaume de France Marc-Philippe et à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan III, je jure de servir au mieux les intérêts du Lyonnais-Dauphiné et d'apporter mon aide à son conseil ducal.



Il avait fait court... Trop court ? Il ne l'espérait pas... Toutefois, il se releva, s'inclina devant le Gouverneur et les Conseillers autours de lui, et annonça :


C'est ainsi que se termine l'allégeance des Conseillers Ducaux... Il est tard maintenant, et nous reprendrons la cérémonie après un bon repas ! Bon appétit !!

Il sourit en voyant Phelim déjà à proximité du banquet, bien vite rejoint par d'autres...

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 11, 12, 13, ..., 71, 72, 73   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)