Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 12, 13, 14, ..., 71, 72, 73   >   >>

[DUCHE] Composition du Conseil et Anoblissements

Elisabeth1964
Eli suivait la cérémonie de près elle put ainsi se rendre compte que des éclats de voix se trouvaient être indispensables pour remettre de l'ordre dans les rangs.
Quand elle vit Hard hausser le ton un autre homme se trouvait devant elle décidément le rôle de gouverneur n'était pas de tout repos.

Lorsque ce fut le tour de Ka de prêter serment elle nota chez lui un timbre de voix pas très assuré cela était du à l'émotion et elle sourit le voyant si sensible.Mais elle était très fière de lui il méritait de se trouver là et elle l'encouragerait toujours à suivre sa voie.

Puis une pause fut annoncé et elle sourit à Phélim quand il vint lui proposer un poussin farci,il n'avait pas oublié la promesse qu'il lui avait faite à Briançon lors de l'une de ses visites.Elle apprécia ce tact et se servit avec délicatesse dans le plat qu'il lui présentait.


Bonjour Phélim,merci pour ce poussin farci je me réjouis de pouvoir enfin gouter à ce mets dont vous m'avez vanté le gout exceptionnel,il est de votre confection?

_________________
Phelim
Oui, c'est moi qui les ait fait.

Il accompagna son mensonge d'un grand sourire, pour mieux le masquer.

Il avait bien essayé de reproduire la recette des poussins farcis chez lui ... mais dès qu'il avait eu le dos tourné, son diner s'était carapaté ... il avait du sans doute mal s'y prendre quand il leur avait tordu le cou.. et sa réputation n'avait pas du s'améliorer auprès de ses voisins s'ils avaient aperçu des poussins farcis s'échapper de chez lui ...

Heureusement qu'il restait au conseil ducal, et qu'il pourrait ainsi continuer à profiter du cuisinier aux frais du duché !

Il posa le plat dans les bras d'un domestique, et se servit. Il commença à déguster l'aile pensivement pour masquer son trouble. Dans son impatience à satisfaire son appétit, il en avait oublié que le porte parole n'avait pas encore fait son allégeance, et s'était donc dirigé vers le buffet trop tôt.
Heureusement, celui-ci ne lui en avait pas tenu rigueur et l'avait même gratifier d'un sourire.

Le poussin farci .... surement la chose la meilleur que walan lui fit découvrir de lui même, préférant consacrer à l'époque le reste de son temps à martyriser Phelim. Il lança un regard de biais au Renard en se demandant si pour lui aussi ce plat représentait le plus beau côté de l'ancien gouverneur.

Conscient que les autres hésitaient à manger, il apporta un bébé poule à la bailli ... compter, ça donnait faim ... pas autant que courir dans tous les bureaux de la prévoté néanmoins !

Il avala son aile correctement mastiqué avant de faire face à nouveau au lieutenant de Briançon et de lui demander.


Alors, comment tu trouves?
_________________
Elorane
Elorane poussa la lourde porte, les gardes n'ayant même pas essayé de l'empêcher de rentrer, ne se souciant pas de savoir si elle interrompait quelqu un, il y avait des moment comme celui la ou peu lui importait les bonnes manières, oubliant qu'elle était vicomtesse, la douleur et la peine reprenaient le dessus

Normalement le lendemain de ses noces toutes personnes se devaient de nager dans le bonheur, mais cela n'était point le cas pour la jeune femme, le réveil avait été des plus douloureux, un message parmi toutes les félicitions et voeux de bonheur, un message venant de Champagne, l'avait bouleversée, chamboulée, après la lecture du parchemin, Elorane s'était enfermée durant de longue heures seule dans sa chambre refusant de parler ou de voir qui que se soit, a lire et relire ce message, au début ne voulant point y croire, puis de petits détails l avait fait se rendre a l'évidence.

C'est les yeux rougi d'avoir trop pleuré, qu'elle montra le message a son mari, il l'avait prise dans ses bras sans dire un mot, pour la consoler, mais même sa chaleur et sa tendresse n'avait pas apaisé la jeune femme.

Sur le coup elle en voulu a tout le royaume, personne n'avait cru Phelim quand il avait parlé avec l'ancien gouverneur de sa disparition, elle l'avait cherché avec les personnes les plus proche d'elle, aucun de ses « amis »ne c'étaient bougés pour le rechercher, elle s'en voulait a elle même de n'avoir pas su être clair dans ses désirs, elle en voulu a cet homme qui venait de mourir qu 'elle n'avait croisé que quelque fois entre deux portes du château de Lyon, cet homme qu il avait refusé au Duc d'Albon de la prendre comme vassal, feignant d'avoir perdu les messages envoyé par celui ci, elle lui en voulait terriblement, tout aurait pu être différent si il avait fait son travail correctement, Kalten de son vivant en avait voulu a Carnil, tout comme la jeune femme. Elorane en arriva même a trouver sa mort trop douce et surtout elle la voyait comme une punition et elle espérait qu il irait croupir en enfer, c'est tout ce qu'il méritait.

La douleur était telle qu 'elle n'arrivait pas a contrôler ses pensées, une seule chose lui venait a l'esprit avertir l'actuel gouverneur Hardryan, l'avertir qu'il venait de perdre un autre vassal un homme fidèle et loyal. La vicomtesse avait prit Jaddor et l'avait fait galoper jusqu'a la capitale, il y avait qu'une courte distance entre Saint-Symphorien-sur-Coise et Lyon, elle aurait souhaité ne jamais y arriver.

La voila devant le Gouverneur, aucun mot ne sortait de ses lèvres, juste des larmes qui coulaient sur ses joues, elle ne pu que lui tendre le message.


Citation:
A la vicomtesse Elorane, salue

Au cours d'un voyage qui m'a conduit à croiser nombre de voyageurs, je fis la triste découverte près d'un chemin amenant à Blois, du corps d'un homme avoisinant la quarantaine,aux cheveux bruns, un bouc bien soigner, portant cicatrices sur tout le corps, et disposant avec lui d'une bourse contenant un nécessaire à écrire. Mon devoir m'imposant de permettre à cet homme de reposer en paix auprès d'Aristote, je m'enquis d'ouvrir sa bourse et d'y découvrir des poèmes au bas desquels votre nom figure.

Je n'ai pas voulu savoir les relations que vous entretenez avec cet homme,que vous appeliez Kalten, cela n'a jamais été mon intention en ouvrant les plis, mais je tenais à vous en avertir, ignorer la perte d'un être cher peut être plus douloureux que la perte elle même. Des moines ayant fait halte se sont permis de lui offrir le repos de l'âme par une prière, en attendant son prochain enterrement.

Acceptez donc mes sincères condoléances



Elle baissa la tête avant de se retourner voyant le goupil adossé au fond de la salle, elle lui jeta un regard noir, lui non plus n'avait pas levé le petit doigt pour partir a la recherche de Kalten, mais lui faire des reproches quand a sa vie privée ca il savait le faire.
Elle regarda a nouveau Hardryan avant de lui demander pardon.


Gouverneur pardonnez moi...c'est de ma faute...

Ne pouvant en dire plus, plus rien ne sortirait de sa bouche, elle tendit la main pour récupérer ce message
_________________
Elisabeth1964
Eli très empruntée de constater que la cérémonie n'était pas terminée retira avec délicatesse le poussin farci de sa bouche,regarda les autres convives en souriant et chuchota à Phélim:

Succulent mais je me sens quelques gênée là la cérémonie n'est pas terminée et nous sommes déjà tous les deux en train de nous restaurer.

Eli mis sa main derrière son dos pour dissimuler tant bien que mal le poussin farci,même si à présent le gout exquis de ce petit volatile lui donnait la terrible envie de le croquer à nouveau à pleine de dents.

Lorsqu'elle vit entrer une Dame Elorane les yeux rougis elle se demanda quelle en était la raison,sentant l'odeur du poussin lui chatouiller les narines,elle réussit à reprendre une attitude de circonstance se tenant droite et écoutant ses paroles avec la plus vive attention.

_________________
Sagaben
Sagaben était assis au premier rang. Il suivait les allégeances. Les bras croisés. Il vit entrer la vicomtesse de Crets. Elle semblait bouleversée. Elle avait les yeux de ceux que je chagrin avait assailli. Que se passait-il? Elle s'avança et tendit un parchemin au gouverneur. Le vicomte de Laragne se leva machinalement comme pour demander un complément d'information. Il ne savait ce qu'il se passait.
_________________
Hardryan
Après avoir accepté les serments de dame Isabeau, de Matom, de Monseigneur Ecaterina, du seigneur de Saint Nazaire en Royans, de Ka et enfin de Mirandor, un tumulte sembla s'installer dans la salle et le Gouverneur demanda à tous le silence afin que se poursuive la cérémonie.

La vicomtesse de Crest arriva à ce moment et si le silence ne s'était pas déjà fait il se serait instauré par cette entrée... Elorane avait le visage défait à un point tel qu'on pouvait y ressentir tout la tristesse et le chagrin, mais aussi une amertume qui n'avait rien de rassurant.

Alors que la vicomtesse se tenait devant le Gouverneur, aucun ne semblait savoir trouver mot jusqu'à ce qu'Elorane tende à Hardryan un parchemin qu'il hésita l'instant d'une seconde à déplier. Après un coup d'oeil à la vicomtesse, il commença la lecture du message, retenant son souffle dès les premières lignes. Sa lecture terminée, il replia soigneusement le parchemin, reportant son regard sur la vicomtesse. Avant qu'il eut pu prononcer quelques paroles de réconfort, celle-ci lui demanda pardon... Pardon... Pardon de quoi? Hardryan ne comprenait pas. En quoi la mort du seigneur de Boissieu pouvait-elle être la faute d'Elorane. Jamais il n'aurait cru qu'elle eut pu faire du mal de quelque manière que ce soit à cet homme. Lui rendant la missive qu'elle réclamait de la main, il prit un instant avant de faire signe à un garde de s'approcher...

_________________
Kederick
Kederick s'etait enveloppé dans ses atours pour garder la chaleur car la ceremonie trainait, trainait...
Soudain, il fut tout d'abord outré du comportement de certains conseillers ducaux et notamment du procureur qui avait osé, tout conseiller ducal qu'il soit, s'adresser a un officier royal sur un ton plus qu' inconvenant dans l'exercice de ses fonctions. Par l'affront fait à son collegue héraut, il se sentit lui même offensé. Il se tremoussa mais rumina sa fureur, jugeant qu'il était a Dauphiné de régler cela seul.
Tant que le Procureur n'avait pas prété allégeance, il n'etait pas procureur, ni conseiller Ducal, il etait un simple roturier manquant de respect a un noble Homme et qui plus est, un officier Royal. Kederick regarda son futur collegue avec froideur.

Puis une atmosphère toujours plus tendue et glaciale s'installa de manière durable. Le reste du conseil Ducal vint préter allégeance, puis certains nobles du royaumes commencèrent à pointer leur bouts de chausses, pour renouveler leur devoir...

Kederick en avait assez, s'etait la première fois qu'il assistait a une cérémonie aussi désastreuse. Le Seigneur de la Rué commençait a penser a ses dossiers quand son attention fut attirée par la venue de la Vicomtesse Elorane,qu'il connaissait assez bien. Il se remémora son récent mariage, le bonheur dont elle semblait comblée. Cependant, elle semblait désemparée, térassée par un profond chagrin. Saint-Prigent, qui etait assis pres du Vicome de Laragne le regarda, interrogateur, car ils voulaient savoir la raison de tout ceci. Kederick néanmoins eu un présentiment et pensa au père de son fils dont elle était sans nouvelle depuis de longs mois.
Il attendit de voir la suite des evenements

_________________
Guidel
Le héraut avait pris ce bol d'air frais dont il avait tant besoin. Les conseillers avaient finalement fini de prêter allégeance, et ce serait bientôt au tour de la noblesse, enfin...

Elorane venait d'entrer avant lui, présentant une missive au gouverneur dont il ignorait tout. Il se contenta donc d'observer les traits des deux interlocuteurs durant l'échange et la lecture de la missive. Elorane semblait chercher des coupables et adressa des regards noirs et accusateurs aux alentours, au Goupil y compris, et lorsqu'elle prononça ses mots d'excuses, Guidel ne put cacher son air abasourdi devant l'expression hypocrite et fausse que la Vicomtesse arborait.

Pensait-elle réellement les mots prononcés?

Il s'approcha quelque peu, assez pour que le gouverneur l'aperçoive et fasse appel à lui s'il en éprouvait le besoin, mais pas suffisamment pour s'imiscer dans la conversation, qui ne le regardait peut-être pas.

_________________
Argael
[Sur les routes]

Couvert de son mantel, en cette période ou les température descendait, il prit la route, laissant déjà Briançon sous la neige. Etendard flottant au vent, il c’était entouré de deux gardes afin de descendre sur Lyon.

Ils passèrent sans s’arrêter plus que nécessaire les villes du duché, voyant changer la végétation, voyant monter la chaleur. Etrangement « le fier », était d’humeur joyeuse et volubile, Sa Grasce Hardryan, Gouverneur du Lyonnais Dauphiné, voila qui était pour le faire sourire, il le revoyait ainsi en tenu bien noble arrivé à Briançon, curieux de tout désireux d’apprendre, Dieu que le temps file…


[Lyon]

Apres 5 jours de voyages ils arrivèrent en vu du château imposant édifice de Pierre dédié a la grandeur du duché. Il le regarda mélange de fierté et de pincement au cœur de l’avoir quitté. Aujourd’hui encore, à l’heure de trouver un sens à son engagement pour le duché, il voyait l’édifice dans lequel il avait siégé 6 mandats pour le bien du Lyonnais Dauphiné et de ses habitants.

Messieurs, prenait donc mon cheval, trouver une auberge descente, réserver 2 chambres comme d’habitude, et revenait m’attendre devant le château.

Une fois, ses hommes partis, il épousta ses vêtements, regarda au ciel heureux d’y voir un ciel dégagé en cet saison.

Il s’approcha des gardes en faction à l’entrée, et leur demanda à entrée. Bien vite la porte fût ouverte et le Vicomte s’avança allant prendre place en attendant de pouvoir prêter allégeance.

Il remarqua alors certains nobles déjà présent, les salua d’un hochement de tête afin de ne pas perturbé la cérémonie que cela devienne une mauvaise habitude.

_________________
Zwyrowsky
Le vicomte patientait. Privilège de la retraite: il avait le temps. Le spectacle indécent en ces temps de bonace économique de quelques conseillers allant s'empiffrer en pleine cérémonie avait manqué lui arracher un haussement d'épaule. Mais après tout... le prévôt était déjà arrivé ivre à l'église, il pouvait bien dévorer à une allégeance. O tempora, o mores... cela ne semblait choquer ni le gouverneur, ni la plupart de ses collègues. Le seigneur de la Rué, peut-être? fronça un sourcil; mais était-ce pour la même raison?

Jean Zwyrowsky allait néanmoins profiter de cette espèce d'intermède pour aller exposer ses affaires, et prêter allégeance, mais il fut coupé dans son élan par la vicomtesse de Crest, le visage bouleversé, jetant des regards noirs alentours. Le vicomte ne cilla pas. S'il lui reconnaissait un certain talent, le jeu de la dame Elorane ne l'avait jamais vraiment impressionné.

Il n'entendit pas les quelques mots qu'elle prononça en tendant une lettre au gouverneur, pas plus qu'il ne put en deviner le contenu: Sa Grâce Hardryan resta de marbre, une expression étonnée figée sur ses lèvres.

Le vicomte patientait. Il ferait ce qu'il avait à faire, puis s'en irait, indifférent.
Phelim
Succulent mais je me sens quelques gênée là la cérémonie n'est pas terminée et nous sommes déjà tous les deux en train de nous restaurer.


Relevant le nez de son poussin, il remarqua qu'en effet, pas tous n'avaient compris qu'il y avait une pause, puisqu'ils restaient plantés là à essayer de prendre racine.

Il trouva dommage que personne n'aille se servir un peu au buffet pour patienter .... le duché avait du se saigner pour fournir de quoi fêter dignement l'accession du gouverneur Hardryan sur le trône ... Ingres n'avait après tout pas laisser grand chose dans les caisses ! Alors raison de plus pour ne pas attendre que ça se gate ...

Il soupira en donnant le reste de son poussin au domestique et lui intima d'aller poser le plat dans son bureau de prévôt, où il le partagerait avec les agents de la maréchaussée ...
Il se pencha vers la lieutenante pour lui répondre dans un chuchotement.


Si vous commencez à faire attention de ne point froisser quelques vieux aigris à chaques gestes que vous ferez, vous êtes bien partis pour rester immobile jusqu'à la fin de votre vie.

Il esquissa un sourire qui se figea quand la vicomtesse de Crest entra les yeux rougis, le lendemain de son mariage. Il se demanda bien ce que le maréchal de France avait pu faire pour la mettre dans un tel état.

Il regarda avec insistance Hardryan ... attendant que celui-ci donne quelques explications ...
Sinon, il réussirait de toute manière à avoir un entretien seul à seul avec Elorane afin qu'elle lui dévoile tout ...

_________________
Argawaen


[Garnison de Valence]

Devant prester allégeance au nouveau Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné le Seigneur d'Antonaves fit préparer son cheval afin de se rendre à Lyon,capitale du Lyonnais et Dauphiné.
Il désigna deux soldats afin de l'accompagner jusqu'à Lyon.
Jeremdehuit quitta la ville et partit sur les routes.


[Sur les routes]

Beaucoup de voyageurs,de marchands,de paysans estaient présents sur les routes,quelques charrettes inutilisables estaient sur le côté.
Les deux soldats qui l'accompagnaient passèrent devant afin d'ouvrir le chemin jusqu'à Lyon.


[Lyon]

Ils arrivèrent enfin dans la capitale,il dict aux deux soldats :

Faites garder mon cheval puis allez vous désaltérez dans une taverne.
Nous nous retrouvons à la sortie de la ville.


Les deux soldats acquiescèrent puis Jeremdehuit se dirigea dans la salle des allégeances.

Une fois sur place il salua les personnes présentent.
Le Seigneur d'Antonaves apprit la mort du Seigneur Kalten de Boissieu...
Il avait croiser quelques fois cet homme en taverne autour d'une ou plusieurs chopes,il savait juste que c'était un combattant et mérite.

Jeremdehuit attendit la suite...

_________________
Penelope.


Le Seigneur des Lances de Vienne, après une longue chevauchée, arriva enfin à Lyon, les macarons de travers et craignant d'être une fois de plus en retard.
Elle confia sa jument aux gardes qui semblaient se moquer de sa coiffure...pour un peu elle les aurait bien sermonner, puis pensa que ces braves soldats se gelaient sans doute les orteils à planter là durant des heures.

Elle grimpa les marches du palais quatre à quatre dans un claquement de bottes aussi discret qu'une cavalerie au grand galop.

Vêtue de son uniforme de cérémonie, celui qui en jette un max, elle remit ses macarons d'aplomb, lorgna sur ses bottes discrètement et pénétra dans la grande salle d'allégeance la main posée sur le pommeau de son épée.

Elle posa un regard discret sur le Capitaine, gratifia de sourires l'ensemble des présents et se faufila entre les Conseillers pour rejoindre Jerem en attendant que vienne son tour.
_________________
Samarel
d'humeur maussade, le vieil écossais escalada quatre à quatre la volée de marches qui menait à la salle du trone. il salua machinalement ses deux confrères qui tenaient hallebarde à l'entrée et entra dans la salle.

il se demanda d'abord si il ne s'était pas trompé. celà n'avait rien d'une cérémonie d'allégeance. il n'y avait pas un chat. phelim grignotait dans un coin ce qui ressemblait à un frugal banquet.

bigre. après tout ce que l'apd a fait ces 4 derniers mois pour redresser la barre d'une gestion desastreuse des golds, sont radins. ils n'auraient pas tout claqué en une semaine tout de meme ?

se dit intérieurement le baron de bourdeaux.

dépoussiérant son mantel jeté sur son harnois blanc, le militaire s'approcha un peu plus afin de comprendre. il revenait de l'étranger et peut etre était il trop tard. tout le monde était déjà parti. soudain il aperçut le vicomte de crots et le seigneur de mions.


mes amis ? que se passe t il donc ici ? j'arrive à l'instant et j'apprend que carnil, frey et fredido sont morts, c'est l'hécatombe. et que se passe t il ici ? pourquoi la cérémonie d'allégeance n'a t elle pas eu lieu ? a t on perdu tout honneur, tout sens de la grandeur de notre duché ?
_________________
Elorane
Elorane repris le message de Bigbosspower et la rangea dans sa besace, quand elle entendit le vieux sam,le fléau économique avec ces projets couteux et dont l'utilité ne fut jamais prouvée... Il etait tant qu il se réveille celui la, elle espérait que son coma de 6 mois lui avait fait du bien en entendant ses paroles, la vicomtesse serra les poings, mais elle ne pu se retenir de lui répondre

Si toi et tes amis étiez partie a la recherche de Frey et Kalten peut etre seraient-ils encore tout les deux de ce monde

Ignorant volontairement Carnil, car sa mort lui faisait bien plus plaisirs, qu autre chose. Puis elle passa près du vieux sam, s essuyant les yeux, elle lui chuchota a voix basse

Désormais Crest ne craint plus rien, car mes innombrables amants la défendront.

Sans en attendre d'avantage, elle sorti, Hard était au courant il restait plus qu partir a Blois, chercher le corps de Kalten, se doutant bien qu'aucun de ses vieux aigris n'iraient chercher la dépouille de son ex-amant, se demandant comment annoncer la nouvelle a son fils, lui qui ne jurait que par son père.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 12, 13, 14, ..., 71, 72, 73   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)