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[DUCHE] Composition du Conseil et Anoblissements

Argawaen


Jeremdehuit étant appelé ailleurs entra dans la salle des allégeances.
Il s'avança vers le Gouverneur Hardryan.
Il mit genou à terre,posa son casque à côté de lui,posa sa main droite sur le pommeau de son épée,sa cape recouvrant son dos et son mantel légèrement ouvert il dict :

Moi Jeremdehuit,Seigneur des lances de Valence et détenant le Fief d'Antonaves du à ce grade preste aujourd'hui allégeance au Gouverneur Hardryan,représentant du Lyonnais-Dauphiné.
Je lui jure aide,conseil et fidélité ainsi qu'en travers lui à Sa Majesté Levan III Roy de France.
Qu'Aristote m'en soit témoin !


Le Seigneur d'Antonaves attendit un signe du Gouverneur afin qu'il puisse se relevé.

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Boursiero
« Aaah, ce Goupil ! » Se dit Grégoire en écoutant les dire du Vicomte de Crots. Son inaliénable envie de voir un jour le Duché indépendant faisait maintenant sourire le Connétable à le voir trouver quelconque excuses. Tous les moyens étaient bon et le Vicomte avait bien raison de profiter des quelques ‘faiblesses’ passagères de la Couronne. Pour certains il en devenait sans doute agaçant, mais pour Grégoire, il buvait ses paroles tels un apprenti apprenant de son maître. Il faut dire que le Goupil était de ceux qui avait de la fort bonne verve et le don de la plume.

Le Connétable l’examinai, ses gestes et analysait même chaque mot. Et plus il étudiait la félonie dauphinoise qu’il incarnait plus cela l’amusait. Ce qui n’empêcha pas le Seigneur de Saint Nazaire en Royans de froncer les sourcils à certains propos, dont il jugeait que le Vicomte y allait un peu fort et assez loin en besogne. Le ‘capitulation’ ou encore le ‘lâche’ étaient des mots fort peu plaisant à entendre. Il aurait bien envie de prendre parole, mais l’envie fut rassasiée par son loisir de voir le Vicomte ressortir l’’indépendance’. Qui plus est, cela aurait été une marque de bien peu de respect vers le Gouverneur, représentant du Roy en terres delphinales.

Ce qui le fit penser qu’en tant que représentant, l’allégeance que lui faisaient les nobles était de part la même une allégeance au Roy. Certes, le Gouverneur était son vassal, et par ce fait ‘le vassal de mon vassal n’est pas mon vassal’, mais le cas ici n’était-il pas différent ? Vassal oui, mais représentant, ce dernier point intriguai le Seigneur dont il se disait qu’à quoi bon aller voir un Héraut dont la version sera peut-être différente d’un autre, puisque visiblement chaque théorie arrangerai chaque ‘camp’…

C’est le regard noir qu’il regardait le Vicomte gesticuler enchaînant le mal et le semblant de bien. Partir d’un acte de paix et insultant le Roy pour venir jusqu’à invoquer la mort de son Suzerain et parrain, voilà chose bien déplacée.
Le regard noir se transforma peu à peu laissant place à cette dérive vers le vague et la brume de la pensée. Il s’en voulait de n’avoir été plus présent du temps de son vivant et s’en voulait de ne put se rendre à Briançon de par ses obligations. Son ami fut renvoyé par et vers Aristote. Eux que tout avait séparés : l’un fut engagé vers la Bretagne et l’autre vers l’Artois. Et tandis que l’un regagnait difficilement le Lyonnais, l’autre se rendit dans un semblable état vers le Piémont. Il ne l’avait vu depuis bien un an, et ses souvenirs étaient maintenant bien lointains.
Un sourire aux lèvres lorsqu’il repensa au temps où tous deux travaillaient dans la complicité, l’un Prévôt, l’autre Lieutenant…

C’est dépité qu’il quitta la salle dans un grand besoin d’air frais. Il posa ses mains sur les accoudoirs du siège et se leva tournant la tête vers le Gouverneur, il l’a pencha dans un signe de respect et d’excuse. Peut-être comprendra-t-il que les propos du Vicomte l’avait rendu bien las, et que ses derniers mots évoquaient un être cher dont le souvenir l’avait éprouvé.
pnj
François de Macquart, après un long moment passé à se morfondre à l'hostel familial de Lyon, s'était résolu à sortir de son état de deuil profond. Si la vie s'était arrêté pour son père, elle suivait bel et bien son cours pour lui et il ne devait en aucun cas l'oublier. Il avait d'ailleurs bien peur que Charles ne lui rende un petite visite pour le gronder comme il savait si bien le faire lorsque son fils ne marchait pas bien droit. Le poids des responsabilités était très difficile à soutenir depuis ces dernières semaines et cela risquait d'empirer, mais il fallait faire honneur à son sang et cela le noble hardi y était bien résolu.

Son intendant n'avait eu cesse de lui rappeler la cérémonie d'allégeance au castel de Lyon. Bien que François avait tenté de faire la sourde oreille, l'information s'était bel et bien gravée dans son esprit et c'est donc seul qu'il s'y rendit. Il avait poliment renvoyé les trois hommes d'armes qui s'étaient dévoués pour l'escorter. Il remarqua cependant avec une humeur dissimulée que ces derniers l'avait suivi au loin. La perte de leur Seigneur les avait tous marqué, meurtri, touché au plus profond.

Le poursuivant d'armes du Seigneur de la Rué gravit les marches le menant au parvis. Il avait revêtu sa tenue de cérémonie plus sombre encore que la nuit. Seul le tabard d'azur au dragon d'or donnait un souffle de vie à l'aspirant chevalier. Il s'apprêtait à pénétrer dans l'immense salle lorsqu'il découvrit un visage devenu à présent familier. Le Seigneur Grégoire de Saint Nazaire en Royans était à quelques pas de lui. Il ne lui fallut que quelques instants pour le rejoindre et le saluer d'un sourire quelque peu difficile.


" Je te souhaite la bonne journée Grégoire, je suis heureux de te voir icelieu. "
Espoire
Citation:
Au Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, Messire Hardryan,

Moi, Espoire d’Amilly, Vicomtesse de Crots, Baronne de Marsanne et de Saillans, Dame de Ribiers, et Chancelière du Lyonnais-Dauphiné, reconnais ma vassalité envers le Lyonnais-Dauphiné ainsi qu'à son légitime souverain.

Par ce serment, Je jure aide, conseil et fidélité au Gouverneur du Lyonnais-Dauphin et à Sa Majesté Levan III Roy de France.
Je jure de servir au mieux les intérêts du Lyonnais-Dauphiné et d'apporter mon aide à son conseil ducal.

Qu'Aristote m'en soit témoin

Faict à Amilly le seizième jour du mois de Novembre de l’an de grâce 1456


Hardryan
Hardryan laissa le vicomte s'exprimer sans l'interrompre, sourcillant légèrement par moment, baissant les yeux un instant à la fin du discours avant de les relever vers le Goupil et de lui répondre d'un ton qu'il voulait neutre mais qui perdait parfois de son impartialité:

Vicomte, je crois que vous ne devriez pas attribuer à tout un peuple vos désirs et fantasmes les plus profonds, car tout le monde ne les partage pas comme c'est sans doute le cas pour le seigneur de Meyrieu, votre ami je crois, qui a approuvé le traité du Mont Saint-Michel au nom de notre duché en compagnie de... S'interrompant un instant alors qu'une missive lui était portée... votre charmante épouse que vous saluerez pour moi.

Le fol espoir qui aurait effleuré votre esprit, je vous le confirme, était bien fol, car j'ai prêté allégeance le 3 novembre dernier et, Dauphiné étant des plus occupés à ce moment-là, j'ai souhaité faire annoncer la nouvelle au plus vite par l'intermédiaire de notre Porte-parole messire Mirandor qui n'a pas tardé à le faire dès qu'il l'a apprise. Je n'ai donc pas octroyé au peuple Lyonnais-Dauphinois l'indépendance que vous souhaitée tant, mais je vous permets tout de même malgré cela de me déclarer votre affection et votre admiration, votre dévouement j'entends bien l'avoir déjà puisque vous venez de prêter allégeance devant moi.

Quant à votre seconde requête... Je n'en connais pas les détails malheureusement, pas plus que le Conseil ducal. Je ne puis donc vous accorder ce sauf-conduit que vous souhaitez sans en savoir davantage. Par ailleurs, il existe des coopérations judiciaires entre nous et plusieurs contrées étrangères, donc nous pouvons laisser sa chance à la Justice d'agir avant de commettre des actes qui pourraient être graves de conséquences. Je comprends votre tristesse et votre rage, mais je ne crois pas que c'eut été le voeu de Freyelda et de Carnil de mettre tout un peuple en péril simplement pour venger leur mort.

Enfin, si vous n'avez autre chose à faire en ce lieu que de traiter notre Roy de lâche et de vendu, je vous serai gré de partir sur le champ, vos calomnies sont inadmissibles en cette salle et elles seront rapportées en plus haut lieu soyez-en assuré.
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Zwyrowsky
Le Goupil se releva. Tout était clair et simple désormais; il avait retrouvé sa souplesse et sa force.

Je vous remercie de votre patience, monseigneur. Je ne doute pas de votre honorable délation. Elle ne m'impressionne pas vraiment, vous vous en doutez. Mes opinions sont connues: un vrai roy, ou pas de roy. Malgré le surnom qu'on veut bien me donner, je recours rarement à la tromperie pour parvenir à mes fins.

A ces mots, il regarda attentivement le Gouverneur, repensant à des conversations récentes avec certains de ses amis.

Ma royaliste épouse vous priait d'ailleurs de l'excuser de ne pas s'être déplacée: elle était souffrante ce matin.

Il marqua une légère pause, laissant le Gouverneur apprécier l'absence et lire en détail l'allégeance; puis il s'inclina:

Votre Grâce, serviteur!

Jean Zwyrowsky se retira doucement; il découvrit en quittant la salle la présence des jeunes François et Aliénor venus remplacer leurs défunts parents. Il était temps de se mettre à l'œuvre pour eux. En l'absence de protection, il s'agirait donc d'être discret, et de ne laisser nul témoin. Cela épicerait certainement l'aventure...
Coppensbe
Moi Coppensbe, Duc D'Albon preste aujourd'hui allégeance au Gouverneur Hardryan,représentant du Lyonnais-Dauphiné.
Je lui jure aide,conseil et fidélité ainsi qu'en travers lui à Sa Majesté Levan III Roy de France.
Qu'Aristote m'en soit témoin !
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Hardryan
Le vicomte ayant libéré la place, les allégeances pouvaient se poursuivre. Sans doute impatient de prêter serment, le Seigneur des Lances de Valence s'avança pour le faire; légère entorse au protocole, mais ce n'était pas la première à survenir depuis le début de la cérémonie et Hardryan ne lui en tint pas rigueur. Acceptant son serment d'un hochement de tête et d'un léger sourire, il lui fit signe de se relever, laissant ainsi la place au duc d'Albon qui y alla de manière assez expéditive. Hardryan le remercia de s'être déplacé et accepta également son serment. Relevant les yeux vers l'assemblée, il attendit qu'une autre personne de la noblesse se présente pour prêter allégeance.
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Ulan
Ulan arriva dans la salle de cérémonie. Cela faisait plusieurs jours qu'elle attendait cet instant. Elle salua toutes les personnes déjà présentes et s'avança devant le gouverneur, puis s'agenouilla devant lui. D'une voix assez forte, elle prononça ces paroles.

Moi, Ulan d'Aubenasson, Baronne de Montfort, Maire de Montélimar et Rectrice du Lyonnais Dauphiné, preste aujourd'hui allégeance au Gouverneur Hardryan, représentant du Lyonnais-Dauphiné.

Je lui jure aide, conseil et fidélité, ainsi qu'en travers lui, à Sa Majesté Levan III Roy de France.

Qu'Aristote m'en soit témoin !


Ulan se redressa, salua le gouverneur, recula afin de laisser la place.
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Penelope.


Pénélope attendit qu'Ullan ait terminé de prêter allégeance puis se elle dirigea à sa suite.

Une fois de plus même protocole immuable, elle posa un genou à terre, regarda le Gouverneur dans les yeux, mit sa main sur la garde de son épée, et dit d'une voix haute et claire

Moi, Pénélope, Dame de la Terrasse, Seigneur des Lances de Vienne, jure protection, fidélité, aide et conseil au Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné Hardryan et en travers lui à Sa Majesté Levan III Roy de France.

Qu'Aristote m'en soit témoin !

Puis elle se redressa,en souriant au Gouverneur, fière de le voir à cette place.
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Samarel
après avoir écouté avec attention l'échange entre le vicomte de crots et le gouverneur, samarel se présenta à son tour devant hardryan. il posa un genoux en terre et fixa le gouverneur dans les yeux.

moi, samarel, baron de bourdeaux, conseiller militaire du lyonnais dauphiné, renouvelle ce jour mon allégeance envers le lyonnais dauphiné. je jure assistance, conseil et présence envers sa grace hardryan, légitime gouverneur du lyonnais dauphiné et représentant du dauphin.

il se releva ensuite avant d'ajouter.

votre grace, mon épée et mon energie sont à votre disposition. que votre regne soit inspiré, prospère, et connaisse la paix.
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pnj
Arrivant tout droit de Montluel, Pathan s'avança d'un pas assuré mais fatigué, il s'agenouilla devant le nouveau gouverneur afin de presté l'allégeance coutumière.

Citation:
Moi, Pathan, Vicomte de Montluel, jure devant Aristote et les hommes allégeance à Hardryan, légitime Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné et à travers lui à Sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan le Troisième. Je lui jure aide, fidélité et conseil .
Walan
Walan avait écouté les demandes de Zwyrowsky sans guère manifester de réaction.
La première aurait pu lui faire esquisser un sourire de voir le vicomte de Crots reprendre son discours autonomiste envers et contre tout, quitte à s'attirer les foudres de quelques "biens pensants" se prétendant des modèles de fidélité envers une personne qu'elles n'avaient jamais vues et qui ne les connaissait même pas. Et la réponse du Gouverneur, s'abritant derrière le prédécesseur que Walan était pour la signature du traité du Mont Saint-Michel avant de passer aux menaces vides de sens, n'aurait pas eu d'effet différent ... autrefois. Car désormais, qu'importait que le roi soit lâche ou non, qu'allégeance ait été faite ou pas ?

La seconde question du baron de Saillans, et surtout sa réponse, intéressèrent davantage le seigneur de Meyrieu et c'est cette fois un froncement de sourcil qui aurait pu apparaitre sur son visage en entendant la réponse. Il n'en fut cependant rien, mais le conseiller militaire n'en resta pas moins pensif durant un long temps avant de s'avancer au devant du trône après une brève et protectrice pression sur l'épaule de sa filleule.

Arrivé devant son successeur, il prit une première fois la parole d'une voix atone, restant debout :


Votre Grâce, puisque le Duché préfère que des étrangers puissent venir assassiner certains de ses habitants sans s'inquiéter des représailles, est-il malgré tout possible de compter sur lui afin que deux de ses Grands reçoivent un ultime hommage de sa part et que les derniers honneurs leurs soient rendus comme il se doit ?

Laissant la question en suspend sans donner l'impression d'attendre de réelle réponse, Walan s'agenouilla et déclara d'une voix ferme qui fut largement audible par toute l'assemblée.

Moi, Walan de Meyrieu, reconnait ma vassalité envers le Lyonnais Dauphiné et son légitime souverain de part ma qualité de vicomte d'Ancelle et baron de Charpey.
Je prête par là même allégeance au Duché et jure ainsi aide, fidélité et conseil au Gouverneur du Lyonnais Dauphiné.
Que mon verbe et ma lame puissent continuer de servir le Duché comme il se doit et que le Très Haut m'en soit témoin.


Gardant les yeux fixés sur Hardryan, l'ancien gouverneur attendit que celui-ci prononce sa propre partie du serment, sans laquelle l'allégeance n'aurait nulle valeur.
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Hardryan
La Baronne de Montfort venait de prêter allégeance, le Gouverneur était heureux de la voir si bien qu'il retrouva l'ombre d'un sourire:

Baronne, j'accepte le renouvellement de votre allégeance et j'espère très bientôt pouvoir me rendre à Montélimar pour profiter de votre hospitalité et de celle des Montiliens.

Il la laissa se retirer, laissant le Seigneur des lances de Vienne s'agenouiller à son tours:

Madame, j'accepte le renouvellement de votre allégeance. Puissent votre épée et vos bottes toujours mener nos troupes avec la détermination que je vous connais. lui dit-il un sourire en coin.

Vint le tour du Baron de Bourdeaux:

Baron, j'accepte le renouvellement de votre allégeance et je sais que l'énergie que vous déployez pour ce duché ne faiblira pas et que vous continuerez à le faire bénéficier de votre expérience.

Le Vicomte de Montluel se présenta ensuite, Hardryan ne le connaissait que très peu, mais il savait qu'il était toujours là pour défendre le duché ou pour mener à bien des échanges commerciaux:

Vicomte j'accepte le renouvellement de votre allégeance. Je vous remercie pour votre dévouement indéfectible, vous êtes un exemple pour tous.

L'ancien Gouverneur se présenta alors, y allant d'une remarque qui surprit Hardryan qui n'eut pas le temps de répondre alors que le Vicomte s'agenouillait déjà pour prêter serment, le regard fixé dans le sien:

Vicomte, j'accepte votre allégeance.

Pour ce qui est de votre remarque sur d'éventuelles représailles, si vous avez bien écouté quand j'ai parlé tout à l'heure j'ai dit que la Justice devait avoir sa chance avant que nous agissions sous quelque autre forme de représailles que ce soit qui pourraient s'avérerer graves de conséquences pour tout ce duché. Par ailleurs, je trouve troublante votre remarque. N'avez-vous point confiance en la Justice Lyonnaise-Dauphinoise? Si c'est le cas, il est fort étonnant que vous n'ayez point daigné soulever le "problème" pendant votre mandat.

Quant à un ultime hommage et des honneurs que nous pourrions rendre à deux grands disparus de ce duché, je vous rassure, nous sommes en train de veiller à cela.


Ne l'ayant pas quitté des yeux un instant, le Gouverneur attendit de voir si le Vicomte avait quelque chose à ajouter ou s'il allait se retirer.
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Regimon
A son tour, Régimon se présenta devant le nouveau Gouverneur et lui prêta allégeance :

Moi, Régimon de Prume, Duc de Rives et Baron de Sassenage, jure devant Aristote d'apporter aide, conseil, fidélité et allégeance au Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, Messire Hardryan, et à travers lui, au Dauphin et à sa Majesté le Roy. Je jure de servir et de défendre au mieux les intérêts du Duché et de ces habitants.

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