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[DUCHE] Composition du Conseil et Anoblissements

Argawaen


Le Gouverneur lui avait signe de se relevé, il le salua puis quitta la pièce, au mesme moment ce fut au tour de Anne dict de Culan de venir prester serment, il lui fit un signe amical de la teste puis sortit de la salle.

Le Prévôt retourna ensuite à ses occupations...

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Zwyrowsky
La nouvelle de la seconde intronisation du sire Hardryan avait trouvé Jean Zwyrowsky en ses terres quatre ou cinq jours plutôt. Le vicomte avait maugréé. Non pas tellement pour l'homme. Après tout... on en avait vu d'autres, et sa fierté personnelle était d'avoir contribué à bâtir des institutions permettant à tous de trouver conseil dans les domaines vitaux. Non, l'ennuyaient beaucoup plus la perspective du déplacement à Lyon, ces trois jours de chevauchée nécessaires pour quelques minutes de génuflexions, sourires compassés et déclarations grandiloquentes...

L'idée d'envoyer Aymeric, ou Guillemot, porteur d'un vélin bien choisi, dûment scellé, lui avait passé par l'esprit. Mais baste! Pour être retiré, il n'en restait pas moins noble et conscient des devoirs les plus élémentaires de son rang.

Il en avait parlé avec la vicomtesse. Celle-ci approchait du terme. Il prêterait serment pour eux deux.

Il était entré dans Lyon par Ainay le matin même, et n'avait que pris la peine de se décrotter et de passer un pourpoint et une coiffe plus dignes de lui que sa cotte de cavalier. Quand il gagna la salle d'honneur du château de Pierre-Scize, la cérémonie était déjà entamée, quoi que l'affluence ne soit plus celle d'antan.

La demoiselle de Culan venait de s'incliner. Tiens? En était-on seulement aux conseillers ducaux? *Par ma foi, je suis là, je ne m'éterniserai pas non plus*, pensa le vicomte. Il comptait retourner le soir coucher à Vienne, où il visiterai peut-être un ou l'autre ami.

Il s'avança de quelques pas, la démarche tranquille, regardant du côté du héraut afin que celui-ci (ou le Gouverneur, d'un geste) l'arrêtât si ce n'était pas encore le temps. Tiens... Le jeune Macquart. La Salle n'avait donc pas encore été remplacé?
Lavoyageuse
La porte Parole qui était arrivée un peu en retard, avança à son tour, elle posa un genou à terre avec la même fierté que la première fois qu'elle avait prêté serment, et prononça les mots suivants:

Moi Lavoyageuse, Porte Parole du Lyonnais Dauphiné, viens devant vous et prête allégeance à vous, Gouverneur du Lyonnais Dauphiné, Hardryan et à travers vous notre Roy, Levan III.

Elle attendit que le gouverneur accepte son allégeance, puis se releva te conformément à son rôle s'adressa à la salle:

C'est ainsi que se termine l'allégeance des Conseillers Ducaux...
Gentes dames et nobles sires, vous êtes maintenant invité à prêter allégeance au nouveau gouverneur Hardryan.


Puis elle se retira sur le côté pour laisser les nobles prêter allégeance voyant Jean Zwyrowsky prêt à accomplir sa tâche. Elle lui sourit, lui faisant comprendre ainsi que son tour était venu.
Ulan
Ulan se rendit au Chateau de Lyon pour assister à la cérémonie d'allégeance. Elle se présenta devant le gouverneur, juste derrière Voya, mit un genou à terre et s'exprima d'une voix distincte

Moi, Ulan de Saint Prigent, Baronne de Montfort, Dame d'Aubenasson, Maire de Montélimar et Rectrice du Lyonnais Dauphiné, reconnait Messire Hardryan comme Gouverneur légitime du Lyonnais-Dauphiné et lui prête hommage.

Je lui promets fidélité, aide et conseil en toute circonstance, et à travers lui, à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan III, ainsi qu'au Lyonnais-Dauphiné.


Ulan se redressa, souria à Messire Hardryan puis se retira parmi la foule
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Penelope.


Tout juste revenue à Vienne et le temps d'enfiler son bel uniforme de cérémonie, toujours le même d'ailleurs car le seul et unique, Pénélope ne prit pas la peine de tresser ses macarons et se mit en selle illico pour Lyon.
Arrivée sur le parvis elle descendit de son destrier et prit son cheval par la bride en le confiant à un garde. Puis elle grimpa quatre à quatre les marches qui la menèrent à la salle d'allégeance.

A chacun, elle jeta un coup d'oeil amical, penchant la tête en signe de salutation quand une vague et folle idée lui traversa alors l'esprit et la fit sourire. Rapidement elle chassa ses pensées inutiles en ces lieux et se cala dans un coin en s'adossant contre un mur en attendant son tour.
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Hardryan
Toutes les allégeances des Conseillers ducaux avaient été faites, il ne manquait plus que celle de la Porte-Parole qui en tant que fière représentante de la gente féminine, savait se faire désirer juste ce qu'il fallait pour que le soupçon de l'attente ne vienne pas se faire trop long. Hardryan l'accueillit avec un sourire alors qu'elle posait genoux au sol et qu'elle y alla de son serment d'allégeance sous l'œil du Goupil.

Dame Voya, j'accepte votre allégeance. Je ne doute pas que vous saurez garder votre dynamisme et votre vivacité tout au long de ce mandat et j'en suis très heureux.

Il lui fit signe de se relever alors que la baronne de Montfort et dame d'Aubenasson posait à son tour genoux au sol; le vicomte de Crots en bon gentilhomme qu'il était lui avait cédé la place. La baronne était rayonnante comme à son habitude et elle semblait avoir été épargnée par la petite contagion qui touchait Montélimar ces derniers temps.

Baronne, il me fait plaisir de recevoir votre serment en ce jour. Surtout n'hésitez pas à venir me voir pour parler de l'Université ou de quelque autre sujet que vous jugerez pertinent. Saluez les Montiliens pour moi, et remerciez-les de l'accueil qu'ils nous ont fait à ma famille et moi lors de notre dernier séjour chez vous.

Le Gouverneur lui adressa un sourire amical appuyé d'un léger signe de tête et l'invita à se relever.
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Zwyrowsky
La baronne de Montfort avait eu le même désir que lui de prêter serment sans tarder. En souriant (ce qui lui était rare à Lyon désormais), il lui laissa ouvrir les allégeances de la noblesse. Puis, quand elle se fut retirée, s'avança à son tour.

L'espace d'un instant, comme il mettait genoux en terre, le souvenir de la première intronisation du gouverneur lui revint. Dame, quelle esclandre il avait faite... *La colère est mauvaise conseillère, se souvint-il. Plus que l'indifférence?*

Il releva la tête, sans manifester d'autre émotion.


Je, Jean Zwyrowsky, vicomte de Crots, baron de Saillans et seigneur de Ribiers, fais ici allégeance pour ces terres à mon seigneur Hardryan, gouverneur du Lyonnais et du Dauphiné.

Je lui promets fidélité, aide et conseil en toute circonstance, à lui ainsi qu'à son Conseil et qu'à notre duché bien-aimé.


Il se releva sur le geste du nouveau gouverneur, mais ne se retira point, fouillant calmement la bourse qui pendait à sa ceinture et en sortit un velin.

Monseigneur, avec votre permission...

Il sourit, espiègle, et ajouta à titre d'explication:

Non, ne craignez rien... C'est que ma chère épouse se trouve empêchée de m'accompagner. Nous attendons pour d'ici peu un heureux événement. Elle m'a chargé de la représenter devant vous.

Il déplia la missive, au bas de laquelle était attaché un scel d'or, et la lut à voix sonore.

Citation:
Au gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, à son conseil et à tous ceux qui liront ou ouïront cette lettre,

Moi, Espoire d’Amilly, vicomtesse de Crots, baronne de Marsanne et de Saillans et dame de Ribiers, étant dans l’impossibilité de me déplacer afin de remplir les obligations qui sont miennes déclare ce qui suit.

Mon époux, Jean Zwyrowsky, Vicomte de Crots se voit confier mes terres personnelles de Marsanne, et de ce fait prêtera allégeance au Conseil et au Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné pour ces terres.

Qu'il en soit fait ainsi devant Aristote, mon scel apposé ici-bas témoignant de ma volonté incontestable.

Faict à Crots ce vingtième jour du mois de Mars de l'an de grâce 1457


Ayant rempli sa mission, il s'inclina, et ne tarda guère à s'échapper.
Coppensbe
Moi, Coppensbe, Duc d'Albon, reconnait Messire Hardryan comme Gouverneur légitime du Lyonnais-Dauphiné et lui fait serment d'allégeance.

Je lui promets fidélité, aide et conseil en toute circonstance, et à travers lui, à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan III, ainsi qu'au Lyonnais-Dauphiné

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Hardryan
Le vicomte de Crots semblait plus à même de se plier que la dernière fois qu'il avait prêté allégeance devant Hardryan. Sans doute avait-il repris quelque forme d'exercice au cours des derniers mois, grand bien lui fasse! Le Gouverneur l'écouta prêter allégeance et quand il eut terminé:

Vicomte, j'accepte le renouvèlement de votre allégeance et je vous remercie d'être toujours prêt à servir votre duché.

Il lui fit un signe de la main pour l'inviter à se retirer, mais le vicomte resta là, cherchant quelque chose à sa ceinture, une missive de son épouse...

... et j'accepte également celle de votre épouse.


Alors que la place était libre, le duc d'Albon vint pour prêter serment à son tour. Comme toujours il fut des plus expéditifs, certains n'aiment pas s'éterniser dans des courbettes qui n'en finissaient plus. C'est donc le genou au sol que le duc prêta lui aussi allégeance au Gouverneur pour une énième fois.

Votre Grâce, j'accepte votre allégeance avec respect et vous me voyez heureux de savoir notre capitale en de si bonnes mains que les vôtres.

À son tour, il l'invita à se relever et attendit qu'une autre personne se présente devant lui.
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Shinji
Shinji alla faire son devoir afin de rendre grace au nouveau Gouverneur. Il s'agissait d'un formalité dont il s'acquitait consciencieusement à chaque fois. en tant que simple tributaire d'une terre offerte par le Gouverneur. Shinji s'avança vers le nouveau gouverneur, respecta le protocole et dit ces paroles :

Moi, Shinji de Kiriyama,seigneur de Bocsozel, détenteur du fief bocsozel obtenu par la grâce du Gouverneur, jure devant Aristhote fidélité au légitime Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, Hardryan, et, à travers lui, sa majesté Lévan III.

Je fait serment de fidélité (obsequium), je jure aide et service armé (auxilium), et conseil (consilium) au nouveau Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné.


Shinji se retira ensuite et pris la direction de l'université cotoyer les étudiants et professeurs de medecine afin de persévérer dans ses études de médecine et de maçonnerie.
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Penelope.


Voyant que les nobles précédents venaient de recevoir la réponse à leurs serments, c'est les pieds envahis par une colonne de fourmis que Pénélope s'avança à travers la salle pour se rendre devant le trône.
Elle prit soin de ne pas faire claquer ses talons puis s’agenouilla devant Hardryan sans le quitter du regard, sa main gauche toujours posée sur le pommeau de son épée.
D’une voie assurée et forte elle déclara

Moi, Pénélope de Barsac, Dame de la Terrasse, Seigneur des Lances de Vienne, reconnait Hardryan comme Gouverneur légitime du Lyonnais-Dauphiné et lui prête hommage.
Je lui promets fidélité, aide et conseil en toute circonstance, et à travers lui, à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan III, ainsi qu'au Lyonnais-Dauphiné.


Bien consciente que la cérémonie devait se poursuivre, elle se releva et attendit l'acceptation du serment.
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Hardryan
Le Gouverneur vit arriver devant lui Shinji qu'il n'avait pas la chance de croiser très souvent. Étrange cependant, car bien qu'il ne le voyait qu'aux quatre lunes, Hardryan eut une curieuse impression de déjà vu quand le compagnon de sa chère amie Julie vint poser genou au sol. Balayant de son esprit ces vagues idées, Hardryan écouta le serment de cet homme honorable et quand il eut terminé:

Seigneur de Bocsovel, c'est avec grande estime que je reçois le renouvèlement de votre allégeance au Lyonnais-Dauphiné.

Puis, une fois qu'il se fut retiré, le Seigneur des Lances de Vienne s'approcha à son tour. Le Gouverneur regarda cette jeune femme qui inspirait à la fois courage et respect et repensa à leur première rencontre sous le couvert d'une taverne de Bretagne, là où elle l'avait pour une première fois menacé de sa botte alors qu'il se faisait trop fanfaron. Il n'avait pas très apprécié ce premier contact d'ailleurs, croyant cette femme d'une prétention un peu plus grande que sa personne. Il s'en était écoulé du temps depuis et les choses avaient bien changées. Ils avaient appris à se connaitre; elle ne menaçait plus du talon même si le pied était toujours prêt et lui, sans doute un peu plus sage, se gardait bien de provoquer l'ire de la semelle, désireux de préserver de toute torsion le bout du nez de la Viennoise dont le joli minois gagnait encore plus à être égayé d'un sourire. Attentif à ses paroles, Hardryan lui répondit ensuite:

Penelope, dame de la Terrasse, j'accepte votre allégeance avec respect et considération. Votre attachement pour ce duché et pour votre garnison de même que votre dévouement devraient servir de modèles pour tous.

D'un signe de tête appuyé d'un regard il l'invita à se relever.
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Feanaro56
Feanaro arrivait des terres de Neuville sur Saone au nord de Lyon, le trajet vers la place de Lyon fut assez rapide.
Il descendit de cheval et donna la longe de son cheval au palefrenier qui attendait en bas des marches.
Il s'était habillé de ses plus beaux habits, son épée sur le coté, il gravit les marches, passa devant les gardes qui le regardèrent entrer, il se demanda si il n'avait pas quelque chose qui n'allait pas, bref il continua et entra dans la grande salle du conseil.
Il y avait quelques personnes déjà présente, un rapide coup d'oeil il s'aperçut que tous les conseillers ducaux étaient passés puisque se relevait son beau-frère Shinji et sa douce femme lui emboitait le pas pour prêter allégeance au gouverneur Hardryan.

Il la regarda faire et sourit lorsqu'elle prêta son allégeance. Le gouverneur répondit et elle se releva pour regagner les autres nobles. Il lui fit un petit signe en souriant et voyant que personne d'autre ne se lançait, il sortit de la "foule" et s'avança tranquillement vers le siège du gouverneur.
Arrivé devant les quelques marches qui menaient au siège, il regarda le gouverneur et mit un genou à terre en tenant son épée dans sa main. Puis il déclara d'une voie forte :


Moi, Florian de Barsac, Seigneur de Neuville sur Saone, reconnait messire Hardryan comme Gouverneur légitime du Lyonnais Dauphiné et à travers lui, sa majesté Lévan III. Je fais ici serment d'allégeance pour mes terres.
Je lui promets fidélité, aide et conseil en toute circonstance, à lui ainsi qu'à son Conseil.


Il releva légèrement la tete en attendant la réponse d'Hardryan.
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Sagaben
Le Chancelier venait faire un dernier détour avant de commencer son voyage. Nommé en début de mandat, il s'était activé à améliorer encore le fonctionnement et l'efficacité de Mercurol. Beaucoup de choses restaient à faire, mais le mouvement était lancé. Départ programmé pour une tournée diplomatique. Avec elle. Escorte prévue, itinéraire et vivres également. Le Tempéré pénétra dans la salle et croisa la dame de Terasse qui venait de prêter serment. Les Conseillers étaient présent ainsi qu'une partie de la noblesse dauphinoise et quelques autres personnes.

Personne ne s'avançant, et le Tempéré étant relativement pressé, il s'avança devant le Gouverneur. Leur dernière rencontre officielle s'était très mal déroulée. Il s'était promis de ne plus reparaître devant lui, encore moins dans cette position. Seulement, il l'avait nommé chancelier. La hache de guerre était-elle enterrée? Peu importait... Seul le bien du Dauphiné et des Dauphinois l'était. Le chef de la diplomatie Dauphinoise se devait donc d'être présent en personne. En avançant, il figea son regard dans celui du gouverneur. Rien ne transpaissait. Rien de chaleureux, certes. Mais regard neutre.

Après avoir salué le gouverneur par un inclinement du chef, le Tempéré s'agenouilla, sa longue cape noire s'étalant autour de lui. Il mit la main sur le pommeau de son épée et replongea son regard dans celui de son gouverneur. D'une voix forte et claire il récita.


Je, Bastien d'Amilly, dict le Tempéré, Vicomte de Laragne-Montéglin, reconnaît Hardryan dict le Montagnard, comme seul gouverneur du Lyonnais-Dauphiné et lui rend hommage.

Au Lyonnais-Dauphiné et à son représentant, je promets Conseil, Aide et Fidélité. Qu'Aristote en soit témoin.


Le vicomte inclina la tête en signe de fin et d'accord scellé. Il se releva ensuite. Il reprit la parole.

Avec la permission de Votre Grasce, je prends congé. Je pars en tournée diplomatique pour le Lyonnais-Dauphiné. Je m'en vais représenter sa Grandeur dans tout le Royaume de France. Je laisse mes terres, mes hommes et mes biens, à la gestion de mon intendance. Puisse Votre Grasce m'accorder de veiller sur eux.
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Alixe
La Montbazon-Navailles avait tenu à accompagner le Chancelier jusqu’à Lyon, ville qu’ils ne reverraient pas avant le mois de mai, comme l’avait prévue Alixe qui avait eu tout le temps d’étudier leur itinéraire durant ses longues journées de solitude au domaine d’Amilly qui l’avait accueillit depuis son retour officiel en Dauphiné, fin février. Alixe fit un signe de tête encouragent à Sagaben qui s’avança dans la salle pour prêter allégeance. La Poursuivante d’armes se contenta de rester quelque peu en retrait, prenant toutefois la peine de franchir les portes de la salle. Il n’était pas convenable pour une demoiselle de rester dans le couloir, bien que si les mœurs lui avaient permis elle aurait vérifié une dernière fois que tout se déroulerait à merveille avec son page qui tenait ses parchemins. Le voyage, à but diplomatique, ne tolérait aucuns impairs.

Ses prunelles vertes observent donc la scène, remarquant par la même occasion une partie de la fleur Dauphinoise. Petit signe de tête vers la plupart, tandis que le Tempéré finit son allégeance. Alixe le fixe tandis qu’une idée lui transverse l’esprit. Ho, et puis … Elle n’est pas venue jusqu’ici pour rien ! Quite à se montrer en public, autant aller au fond des choses ...

Sa démarche assurée lui permet de rejoindre rapidement le Gouverneur devant lequel elle s’incline.


Le Bonjour, Vostre Grace. Vous me voyez navrée d’un tel dérangement, mais je tenais à vous saluer avant le voyage qui nous attend, Son Excellence et moi-même.

Coup d’œil rapide vers l’homme en question.

Permettez-vous également de vous rendre les hommages dus à vostre rang. Puisse ce mandat être bénéfique au Lyonnais-Dauphiné.

Regard fixé dans celui du Gouverneur qui se baisse (son regard, pas celui d'Hardryan), suivant le mouvement de sa tête.

A présent, si sa Grâce le veut, nous devons partir ; le temps nous presse.
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