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[DUCHE] Composition du Conseil et Anoblissements

Zwyrowsky
Le vicomte de Crots suivait le duel entre le Gouverneur et son premier conseiller - comment appeler autrement ce qui, sans l'autorité de l'un sur l'autre, eut du se terminer dès les premières paroles armes à la main, entre quatre témoins? Il chuchotta au baron de Bourdeaux:

Vois-tu mon ami, toi et moi avons si bien prêché la rébellion contre le roi, que certains qui nous parlaient honneur et loyauté risquent sous peu de se retrouver en même posture vis à vis du Gouverneur... Ca ne manque pas de piquant, ne penses-tu pas?

La fierté... Péché bien compréhensible. Lui même ne jetterait cette pierre à personne. Cependant il n'était guère douteux, même pour l'orgueilleux et impétueux vicomte de Crots, que le sire de Montgenèvre jouait avec les bornes des limites. Il devina plus qu'il ne vit le mouvement du capitaine et du connétable, et sentit le mouvement d'attention qui parcourait l'assistance.

Et voilà que le Gouverneur donnait la parole à messer Phelim, qui en matière de coup d'éclat valait bien les deux autres... Tout à la fois inquiet et impatient, Jean Zwyrowsky oublia un instant ses propres projets pour cette cérémonie, et tendit l'oreille.
Walan
Walan eut un léger sourire lorsqu'il prit conscience de la position quelque peu embarrassante dans laquelle il avait mis celui qui se désignait lui même comme un jeune artisan. Il continua cependant, prenant un ton encore plus protocolaire.

Nous insistons, Conseiller. Au regard de la Coutume comme à celui du peuple, vous êtes de part votre fonction de Conseiller Ducal l'égal de chacun des autres membres du Conseil en tant que représentant de peuple du Lyonnais Dauphiné.

Le seigneur de Saint Giraud et Montgenèvre désirant semble-t-il peser son choix, vous lui rendrez service en lui donnant un temps de réflexion qui, sinon, passerait sans nul doute comme fort inconvenant, si ce n'est insultant, à nos yeux comme à ceux de la noble assemblée ici présente.

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Argael
Nous insistons, Conseiller. Au regard de la Coutume comme à celui du peuple, vous êtes de part votre fonction de Conseiller Ducal l'égal de chacun des autres membres du Conseil en tant que représentant de peuple du Lyonnais Dauphiné.

Le seigneur de Saint Giraud et Montgenèvre désirant semble-t-il peser son choix, vous lui rendrez service en lui donnant un temps de réflexion qui, sinon, passerait sans nul doute comme fort inconvenant, si ce n'est insultant, à nos yeux comme à ceux de la noble assemblée ici présente.


Le doyen de Briançon, ne dit rien attendant que Phelim prenne la parole.
Son tour venu il regarda tous les nobles dont pas la moitié n’avaient écouté l’échange, avant de prendre la parole a voix puissante.


Vostre Grasce me pardonnerez vous que cela n’engagera que vous, je ne me sens pas au mieux sans doute une chevauché harassante depuis mes montagnes, sans même prendre la peine de me reposer décemment, ni de faire une toilette honorable avant de venir à vous.

Je pensais avoir en face de moi un Gouverneur ayant comprit l’intérêt d’avoir un conseil uni, je ne vois pas telle personne ici. Ne m’en voulais donc point si je ne m’attarde pas ici lieu mes serfs ont besoin de mon jugement pour une histoire de limites de parcelles, puisqu’ici nulle considération n’est de mise.

Mais n’ayez crainte, nobles gens vous qui êtes rassemblé ici, l’allégeance sera faite, je me demande juste pourquoi je souffrirai a m’agenouillé ou parler, alors que notre Gouverneur pour cause de distance n’a pas daigner rencontrer notre Roy alors qu’il semble parfaitement valide, je ne ferais que la même chose envoyant mon allégeance cacheté et fort bien rédigé, puisque ma longue expérience de l’exercice semble m’octroyer ce mérite.

Je ne dérange pas plus l’assistance et vous laisse ripailler, commenter lancer rumeurs qui sont souvent si douloureuses à entendre, les amplifier et les modifier.


Il fit demi-tour devant l’assistance quelque peu soufflée, se permettant une tape amicale à Phelim en passant, encore un conseiller qu’il avait vu arrivé au conseil ducal, plus si jeune et lui un peu plus las et sans doute un peu plus vieux aussi.

Une fois dehors il prit la direction de l’auberge de la ville afin de retrouver son porte étendard afin de reprendre la route.

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Lady_antlia
La jeune femme blonde dans son uniforme avait prété serment d'allegeance, et en tant que Capitaine avait des devoirs .
et ce malgré les sentiments personnels qu'elle avait, elle se devait d'être présente auprès du représentant du Duché .
Antlia regardait Argael, ne laissant rien paraitre des tourments l'habitant, l'écouta sans broncher s'adresser au Gouverneur .
Elle ne savait que trop bien ce qui le rongeait ainsi : il estimait que l'on ne l'avait point reconnu à la juste valeur du travail qu'il avait accompli, son espoir déchu d'être gouverneur une seconde fois ..
Et son coeur ...
Avait il mal compris son geste ? Ils ne s'adressaient plus la parole , il en avait été décidé comme cela , malgré le mal que cela leur faisait endurer .

Elle chassa tout cela de sa tête, pour ne penser plus qu'en soldat qu'elle était toujours au fond d'elle même .

Mais quand elle le vit partir, elle ne put réprimer un frisson, son angoisse revenue ....
Il repartait .... dans ses montagnes . Sans doute parlait il de ces paysans qu'elle avait aperçus durant leur dernière balade ....

L'ambiance était quelque peu tendue . L'atmosphere lourde, elle se sentait très mal à l'aise et essayait de ne plus penser . La jeune femme balaya la salle d'un regard vide quand elle aperçut une chevelure blonde hirsute qu'elle reconnut avec tendresse . Son angoisse se dissipa, son regard s'adoucit; elle garda sa place l'esprit plus clair .

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Nynaeve87
Sentant la tension s’accentuer, le connétable venant de jurer par sa vie et son épée avait tout naturellement pris place en retrait de Walan, et fixait abasourdie le premier conseiller.
Se donner ainsi en spectacle au milieu des grands du duché ne pouvait que porter préjudice au conseil. Comment réfléchir aux propositions des uns et des autres sereinement si dès le début l’on était à couteau tiré.
Elle observa un instant Lady devenue subitement blanche… décomposée…
Quand à Phelim… serein… il lui semblait qu’il observait tout ça avec un amusement certain rappelant à tous une condition qu’il avait dépassé depuis longtemps…

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Phelim
Phelim, malgré la nouvelle invitation de Walan à s'avancer, continua à hésiter et finalement, Argael retrouva les mots qu'il cherchait et s'exprima.

En sortant, celui-ci lui fit une tape amicale qu'il lui rendit sur le torse.
Enfin seul, il sentit le regard du gouverneur rivait sur lui et il leva des yeux amusés dans sa direction.


Un courrier, mais c'est merveilleux ! ça nous rappelera Vanack lors de sa chasse à l'ours.

Il se fendit d'un sourire et s'avança jusque devant Walan.

Avant toute chose ...

Des murmures d'impatience se firent entendre à l'arrière ce qui commença à l'irriter.

Diantre, ont-il tous de l'eau sur le feu?

Reprenant contenance, il poursuivit.

Avant toute chose donc, je voulais informer sa grasce de la disparition de Kalten. Je suis surpris que le pauvre homme n'est que moi, sa fiancée et Salade pour le rechercher.
Le duché aurait-il oublié ce que cet homme a fait pour lui pour que seul Elorane s'inquiète de son absence et m'envoie le chercher dans les bord ... dans Lyon?



Il haussa à moitié un sourcil et fixa Walan en attendant sa réponse.
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pnj
Ziglord, en tant qu'ambassadeur devait mais aussi voulait prêter allégeances au nouveau gouverneur. Il avait fait le voyage depuis Briançon mais avait eu quelque soucis pour arriver jusqu’à Lyon du à l’Etat de siège mais il avait fait aussi vite que possible, il ne voulait pas faire mauvaise impression dès le premier jour mais comme il le regrettait il arriva en retard, à première vu. Il se déplaça vers le groupe de personne, se faisant très discrètement. Il se mit un peu à l’écart ne voulant pas les déranger surtout qu’il avait l’air d’être en train de s’entretenir. Il attendrait tout simplement que le gouverneur lui donne la parole.
Penelope.
Pénélope contrainte d'assister à des discours qui n'avaient pas lieu d'être en ces lieux, soufflait sur sa mèche de cheveux pour s'éventer le front.....
Si elle pouvait elle irait bien ouvrir la fenêtre derrière elle, elle pourrait s'y adosser, soulager sa crampe et se planquer derrière Sam...
Elle abandonna son idée pas si lumineuse que cela et se concentra à nouveau sur la cérémonie.
Quand Phélim entama sa tirade, elle réussit à balancer sa mèche rebelle sur son crâne et la cala d'un doigt discret.

Chasse à l'ours, Kalten, bordels de Lyon....erff les temps avaient bien changé, et la salle d'allégeance ressemblait maintenant à la place du marché les jours de foire aux bestiaux.

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Zwyrowsky
Une disparition de Kalten? Dame, cette cérémonie était décidement la plus riche qu'on ait jamais entendu! Zwyrowsky ne put s'empêcher de penser que si le pauvre avait réellement disparu (ne s'était-il pas plutôt retiré quelques jours des vilenies de ce bas monde dans quelque monastère, ou dans quelque bordel?), il était bien mal chanceux si les seuls à le chercher étaient sa volage fiancée, et l'amant déclaré de celle-ci. Il irait se renseigner à l'APD, où l'on voyait parfois émerger l'ours de Boissieu quand il ne souhaitait pas être vu ailleurs. Cependant, qui s'était préoccupé de deux autres éminentes figures dauphinoises, le duc d'Hostun et la vicomtesse de Guillestre, l'une de notoriété publique enlevée, l'autre disparu depuis des semaines? Il ne put s'empêcher de penser que Phelim, outre sa préoccupation pour Kalten de Boissieu, n'était pas mécontent de retarder un instant son serment, et de se mesurer à son tour au Gouverneur.

Les cloches de la ville sonnèrent nones, et le vicomte les entendant s'aperçut en les comptant que plusieurs heures s'étaient déjà écoulées depuis le début de la cérémonie, en début d'après-midi. Tout ça pour ça... Il était impatient de pouvoir regagner ses terres: plus rien ne le retenait à Lyon, et tout l'attirait dans ses vallées.
Walan
Le Gouverneur observa sans sembler s'y intéresser Argael quitter la salle, regardant toujours vers Phelim. Lorsque le seigneur de Saint Giraud atteignit les portes, Walan lança alors d'une voix forte.

Qu'il soit dit, qu'eût égard à vos actions passées et l'état de fatigue où vous êtes,il vous est accordé à compter de maintenant deux jours pour venir ou faire parvenir votre allégeance, sans quoi vous serez accusé de trahison conformément à notre coutume.
De plus, à compter de ce jour également et jusqu'à votre allégeance, gardes et huissiers recevront l'ordre de ne plus vous laisser pénétrer au sein des lieux auxquels seule votre fonction de conseiller vous donne accès.


Restant à nouveau silencieux le temps que le briançonais soit sorti, le seigneur de Meyrieu reprit ensuite à l'intention de Phelim.

J'apprends seulement la disparition du seigneur de Boissieu, mais je ne doute pas que celle-ci sera parfaitement explicable et expliquée et que celui-ci ne tardera pas à nous revenir avec, qui sait, un collier en poil de barbe de roux ou un pendentif en dents d'anglois. J'ai l'heur de me croire comme faisant partie de ses amis et je serai fort touché s'il s'avérait que ce soit une réelle disparition, mais de part la situation actuelle du Duché, il serait irresponsable de détacher des soldats pour ce genre de mission.
Sans quoi certains d'entre eux auraient également été détachés depuis longtemps pour partir à la recherche des deux autres personnes, ayant aussi grandement œuvré pour le Duché -en plus de m'être tout aussi proches- et dont nous sommes sans nouvelles depuis un temps tout aussi important, ces deux autres personnes étant dame Francesca Amalya d'Avencourt et sire Charles de Macquart ...

Mais là n'est point la question et nous auront amplement le temps d'en discuter au sein du Conseil, une fois que vous aurez prêté allégeance.


Le ton du Gouverneur était à nouveau devenu clair et net : il s'agissait d'une cérémonie officielle et les personnes présentes étaient là pour une unique chose.
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Kernos
Les sourcils de Kernos se dressèrent sur son front tant le spectacle... car à ce niveau là, on pouvait bien parler de farce... que lui offrait ces allégeances était surprenant.

Même plus besoin d'aller en Bourgogne pour être divertis lors de cérémonies officielles.

Murmura t-il entre ses dents. Depuis plus d'un an, jamais il n'avait encore vu telle agitation en salle d'allégeances dauphinoises, les cérémonies n'étaient qu'un long défilé de nobles allant et venant pour répéter les mêmes mots avant de repartir aussi vite qu'ils étaient venus, suivis du cortège des coursiers, écuyers, pages et autres portant missives des vassaux retenus loin du palais... Mais là... On peut dire que cela avait le mérite de rompre la monotonie, même si cela ne prêtait pas forcément à l'amusement.

Son regard alla du trône à son ami Argael qui s'éloignait après cette confrontation dont il ignorait la cause et se garderait bien de partir en conjoncture dessus, même si la réaction du Capitaine et du Connétable lui semblait démesurée, à croire que l’Ancien encore convalescent allait se jeter sur le Gouverneur… peu probable de la part d’un homme comme lui qui attaché à l’honneur et au respect… Enfin, on ne pouvait leur reprocher de faire leur devoir.

Il se tourna alors sur la deuxième source d’agitation, Phelim. Etonant? Pas forcément, il avait toujours aimé remuer les choses et les conventions, et son antipathie envers Walan aurait été suffisante pour qu’il se décide à jouer les trublions. Mais il n’était pas question de lui. Visiblement, un des grands-pères de l’ost avait disparu, laissant fiancée et enfant derrière lui sans prévenir… Décidément, la vie n’était pas de tout repos en Lyonnais-Dauphiné en ce moment et la salle du trône devenait de plus en plus le théâtre des règlements de comptes ou des histoires personnelles.

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Phelim
D'humeur soudain pensive, il n'entendit qu'à moitié ce que lui disait Walan. De ce fait, il ne capta pas le ton devenu dangereusement plus formel du gouverneur. De toute façon, Walan s'était tant de fois adressé à Phelim de façon formelle qu'à la fin ce dernier avait fini par penser que le seigneur de Meyrieu était la formalité même.

C'est ainsi donc qu'il poursuivit sur le ton de la conversation.


Je pense que ces deux là ont tout simplement décidé de visiter les sables chauds de Provence sans en avertir personne afin de ne point être dérangés.


Après une courte pause de reflexion.

Enfin il se pourrait que Kalten soit comme d'habitude retourné au monastère ...


Esquissant un sourire, il poursuivit

Mais Elorane, malgré qu'elle ne soit plus gouverneur, a gardé une telle autorité dans sa voix que je ne peux ne pas lui obéir.

Baissant la voix d'un ton

En plus, la rusée me fait fouiller des lieux qui sont sur mon chemin et je n'ose pas refuser du coup.

Il reprit une voix normale.

Mais qu'il soit su que si je l'assiste dans ses recherches, c'est parce que c'est une amie. Les rumeurs qui disent que nous sommes amants sont fausses, il n'y a jamais eu d'attirance physique entre nous, et puis l'amitié de sal ... de kalten m'est trop chère pour que j'ose faire cela de toute manière.

Il avisa alors soudain les cloches de la ville en train de sonner. Il s'en mordit la lèvre.

Mais ... il est si tard?
J'ai tant d'endroits encore à fouiller ..


Il prit un ton de reproche

Sa grasce m'a trop fait bavardé, moi qui était simplement venu prêter allégeance....


Il devint plus solennel et mit un genou à terre. Ses yeux fixèrent le sol.

Moi, Phelim, conseiller ducal sans portefeuille, jure allégeance au Lyonnais-Dauphiné, par le biais de son Gouverneur, le seigneur Walan de Meyrieu.

Je promets fidélité, aide, service armé et conseil au Lyonnais-Dauphiné et à son légitime souverain. Mon dévouement pour lui sera entier.
Qu’Aristote m’en soit témoin !


Il se releva, toute envie de bavarder l'ayant quitté.

Puis-je disposer maintenant?
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Walan
Le regard du Gouverneur était devenu dangereusement sombre et froid lorsque Phelim lui répondit, et il allait intervenir à nouveau lorsque le conseiller jugea bon de prêter serment. C'est d'une voix charriant des glaciers qu'il répondit :

Conseiller, nous acceptons votre allégeance avec humeur. Je compte sur votre verve pour participer aux débats du Conseil plutôt que l'en distraire.

Les conseillers étaient donc tous passés, ou presque, aussi Walan tourna le regard vers le Porte Parole et l'invita d'un geste à venir à son tour et à clore ainsi la première partie de la cérémonie.
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Espoire
La chancelière venait d’arriver à la cérémonie d’allégeance, elle était en retard, mais n’y pensait même plus, si ce n’était pas son ami Walan qui était Gouverneur aujourd’hui elle ne serait peut-être pas venue.
Elle entra toute de noir habillée, heureusement qu’elle aimait cette couleur et son sourire habituelle avait disparu, les voyages de ces dernières semaines l’avaient épuisée, en plus ils finissaient très mal, par une agression… qui plus est, la scène à la quelle elle venait d’assister la fit regretter encore plus d’être venue…

Le pouvoir en change bien des gens…pensa-t-elle…à qui se ferait remarquer plus que les autres, ça en devenait ridicule.

Regardant Argael s’éloigner, Phelim prêter allégeance plutôt amusé, elle se demanda ce qui allait se passer dans deux mois…

Elle détourna le regard un moment, et vit enfin une raison de sourire, une raison de rester, Elle s’avança lentement ne voulant pas se faire remarquer, puis pensa que cela ne changerait rien, c’est donc tout simplement qu’elle se rapprocha du Vicomte de Crots, qui se trouvait à coté de la jeune Aliénor, on lui trouverait bien une place. (à Espoire pas à Aliénor)
Argael
Il arriva à l’auberge de Lyon tenue par le bourgmestre de Lyon, y retrouvant son porte étendard.

Nous ne restons pas, finalement nous repartons au plus vite, je vais rédiger une missive que tu auras en charge de faire parvenir au Gouverneur sa Grasce Walan de Meyrieu.

Il sortit un vélin, prit une plume trouva une table libre et rédigea son allégeance.

Citation:
A sa Grasce Walan de Meyrieu, Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné.

Vostre Grasce,

Moi, Argael, Seigneur de Montgenèvre, jure devant Aristote et les hommes, aide, conseil, fidélité et allégeance à Walan de Meyrieu, légitime Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné et à travers elle au Dauphin du Royaume de France Marc-Philippe et à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan III, je jure de servir au mieux les intérêts du Lyonnais-Dauphiné et d'apporter mon aide à son conseil ducal.

Je place entre les mains du Gouverneur mes terres de Montgenèvre et renouvelle mon allégeance en tant que fidèle vassal, en espérant que vous serez diriger avec humilité et respect.

Qu'Aristote m'en soit témoin.

J'ai l'honneur d'être, Vostre Grasce, vostre humble serviteur.

Argael de Montgenèvre,


Il plia la missive, se remémorant le mépris que le Gouverneur avait eu pour sa personne, sans doute la pression de vouloir bien faire se dit t’il. Intérieurement il en fut troublé, il avait cru en Walan de Meyrieu aurait t’il eu tord ? Il espérait que non que tout cela ne fut qu’un malentendu….
Enfin le voici légitimement reconnu devant les hommes et devant Dieu, son devoir était d’être à ses cotés pour la grandeur du duché et de ses habitants, seul ceci revêtait de l’importance.

Il tendit sa missive,


rejoint moi sur la place je vais chercher les chevaux.

Le suivant prit la missive et se dirigea en salle d’allégeance. Une fois arrivait intimidé par les lieux, il repéra un page a qui il chargea de remettre le pli au Gouverneur ce qu’il vit faire avant de sortir rejoindre son seigneur.
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