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[DUCHE] Composition du Conseil et Anoblissements

Zwyrowsky
Zwyrowsky sourit en voyant le sire Kernos Rouvray présenter son hagiographie. L'homme était toujours digne de l'affection et de l'estime que lui portait le vicomte. Pourvu qu'il aille loin, pensa-t'il. Pour le Dauphiné. Cela nous changera des bras-cassés sans imagination et sans énergie. Son sourire se mua en air de surprise en entendant le seigneur des lances de Die parler de défi. Le seul que lui-même ait jamais lancé datait d'il y a plus de dix jours... Et personne ne l'avait relevé. En allant prêcher la liberté, Jean Zwyrowsky avait d'ailleurs commencé par prendre celle de se rapproprier son gant jeté, qui avait été laissé à l'abandon sur l'estrade électorale. On verrait. Cela datait déjà d'un autre temps, pour lui.

Cependant, il s'aperçut du départ des deux jeunes gens qu'il essayait de ne pas perdre de vue. N'attendant plus vraiment de surprise - la seule pouvait venir du nombre de nobles anormalement élevé qui manquaient à l'appel, et des suites que cela aurait, si cela en avait jamais - il se rapprocha de la baronne de Marsannes, et lui chuchota à l'oreille:


Ma très chère Espoire, que diriez-vous de nous retirer séant, et de rejoindre mon hostel? Nous n'y aurons pas moins bonne compagnie, et du moins celle de notre choix.

Alors que discrètement il quittait son rang et gagnait la porte, suivi de son amie, le page qu'il avait chargé de la commission tout à l'heure revint, et se planta devant lui pour attirer son attention.

La d'moiselle de votre message vous prie de vous rendre à l'hostel de Macquart, Votre Grandeur. Au plus vite, sauf votre respect, messire.

Hum... Soit. A l'hostel de Macquart, donc.
pnj
Averti par le royal hérault que la cérémonie des allégeances se déroulait en ce moment mesme, le Prince, qui pour une fois était dans le Dauphiné après l'élection d'un Gouverneur, remercia le jeune hérault et avertit qu'il viendrait faire en personne, les serments d'usage au nouveau Gouverneur.

Le lendemain, il revint pour la première fois depuis bien longtemps dans le castel de Lyon... Beaucoup de souvenirs le submergèrent, et ceux qui purent le croiser le trouvèrent brumeux...

Enfin, alors que les derniers des retardataires avaient finit leur serment, il arriva dans la salle où siégeait le Gouverneur - qu'il avait sans doute retardé icelieu mais il fut bien trop ému et heureux pour s'en rendre compte - et s'avança vers ce trosne qu'il occupa jadis, il y a bien longtemps.

Face au Gouverneur et à ses conseillers, il inclina la teste avec le respect dû aux Grands Feudataires du Royaume, et déclama d'une voix forte et fière :


Moi, Morgennes de Mortain, reconnaist ici et devant tous le Seigneur Walan de Meyrieu comme seul et unique Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, auquel sont rattachées les terres du Duché des Dombes, dont l'octroi m'a été fait par ce mesme Lyonnais-Dauphiné pour mes services rendus à cette province.

Pour cette terre et cet honneur, je renouvelle l'allégeance des Dombes, de ses gens et de ses armes au Lyonnais-Dauphiné et à son Gouverneur, et jure de lui apporter conseil et soutien en toute occasion, à lui comme à son peuple.

Qu'il soit connu de tous que nulle terre n'a plus grande place dans mon coeur, et que jamais, de par mes devoirs divers, je ne saurai détourner mon regard du Lyonnais-Dauphiné et qu'en tout temps et tout lieu, je lui serai dévoué et répondrai à son appel.


Le Prince savait que son discours pourrait paraistre pompeux, mais il était trop rarement présent pour cette cérémonie rituelle et n'avait que trop rarement l'occasion de rappeler son profond attachement au Lyonnais-Dauphiné. Il espérait simplement que l'on n'hésiterai pas à faire appel à lui...

Son regard se posa sur Sa grâce, et il attendit sa réponse...


Walan
Voyant Kernos lui présenter l'hagiographie de Georges de Lydda, Walan eut un nouveau sourire.

Merci pour ce magnifique travail, il est bon de voir que l'Eglise a su reconnaitre notre patron et officialiser ses vertus.

Le Gouverneur eut ensuite un froncement de sourcil en entendant l'aparté et y répondit sur le même ton :
Ceci pourra être réglé dans un temps et un lieu plus appropriés, effectivement.

Alors que les deux nobles s'éloignaient, la personne suivante à s'avancer fut assez inattendue, et le seigneur de Meyrieu vit s'avancer le Prince Morgennes avec un regard quelque peu surpris . Il réussit néanmoins à reprendre une expression plus sérieuse alors que le premier gouverneur du Duché arrivait devant lui, et lui rendit son salut d'une inclinaison de la tête toute aussi respectueuse.

Altesse, je reçois le renouvèlement de votre allégeance avec humilité. Le Lyonnais Dauphiné a toujours été honoré et fier que vous soyez l'un de ses enfants et de l'attachement que vous lui portez.
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pnj


Holà ma demoiselle ! Pouvez-vous me renseigner, je vous prie ?

Soupir.

Aliénor se retourna pour voir qui les empêchaient, François et elle, de quitter prestement ces lieux pour le moins désagréables. Elle resta alors figée devant le magnifique jeune garçon blond qui se tenait devant eux.

L'espace d'un instant, elle oublia toutes ses contrariétés. Elle en avait la conviction, tout au fond de son coeur mais ses yeux et son esprit se demandaient encore s'il s'agissait bien de celui dont elle attendait impatiemment le retour depuis des semaines.

Les larmes lui montèrent aux yeux en même temps qu'une foule de souvenirs : les deux licornes mêlées de l'Ordre du même nom et de la famille d'Avencourt ne mentaient point.


- Mon frère...


Elle eut grand mal à refréner son envie de se jetter au cou de la seule famille qu'il semblait lui rester. Mais cela ne se faisait pas, du moins pas en "public" et encore moins en pleine rue. Cela attendrait l'intimité du château des Roches. Sa gorge était serrée, peu de mots réussirent à franchir le seuil de sa bouche, tandis qu'elle se tournait de François vers Enguerrand et d'Enguerrand vers François.

- Je ne sais si vous vous êtes déjà rencontrés, aussi vais-je faire faire de sommaires présentations.Mon frère, voici François de Marquart. François, je vous présente mon très cher frère, Enguerrand d'Avencourt.

Elle jeta un oeil au palais Pierre Scize tandis que les deux jeunes gens se saluaient et une petite moue triste voila son visage.

- Mais ne restons pas là, je vous en conjure. Quittons ces tristes lieux où les noms de nos deux illustres familles sont raillés dans l'indifférence générale...


Tous trois s'en furent, sans se retourner, en direction de l'hostel des Macquart.

Etrange trio que celui-là... non ?
pnj
Morgennes eut un sourire large. Ces mots lui procuraient un grand plaisir, et il répondit avec émotion et assurance :

Monseigneur, je suis flatté de la haute estime dans laquelle me tient mon peuple et son Gouverneur.


Il inclina la teste à ces mots, remerciant l'honneur qui lui était fait, puis poursuivit :

J'espère pouvoir, mieux qu'auparavant, donner et apporter au Lyonnais-Dauphiné ce dont il aura besoin de ma part. Je ferai de mon mieux pour ne plus jamais trop m'éloigner de sa destiné, qui m'est chère, et vous remercie avec humilité de l'accepter.

Ses paroles, hors du protocole mais importantes pour le Prince, concluaient la partie cérémonieuse de sa visite, après s'estre incliné une dernière fois, il s'approcha un peu plus du trosne ducal, et adressa au Gouverneur, d'une voix moins forte et plus officieuse :

Je me tiens à vostre disposition, Vostre Grasce, pour tout ce que vous pourrez attendre de moi.


Morgennes fixait le regard du Gouverneur, cherchant signe qu'il comprit bien ce que cela entendait, avant de se retirer.
Sagaben
Sagaben assistait, avec le reste du Conseil, au défilé des nobles pour la reconduction d'allégeance. Après avoir eu l'attention captée par des jeunes gens qui tranchaient tellement avec le reste de l'assemblée. Il eut la surprise de voir le Prince Morgennes en personne. Sa présence rehaussait encore la cérémonie. L'intérêt qu'il montrait au Dauphiné attisa justement l'intérêt du jeune vicomte qui tendit spécialement l'oreille durant cet entretien.

Une fois celui-ci terminé, il se remit dans une position d'attente, les nobles prenant généralement leur temps pour prêter leur allégeance... Un petit rappel à l'ordre serait-il nécessaire? ... Boarf...

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Coppensbe
Le Duc d'Albon qui passait par là en chevauchant un mouton

Nom de djiou, ils en ont pas encore finis avec cette cérémonie.
Chance que j'ai renouvellé mon allégeance bien en avance


Semblant perdre le contrôle de sa monture, si on peut contrôler une telle monture, le Duc s'éloigna au galop tout en se retenant à la fourrure de la pauvre bête pour ne point choîr
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Regimon
Sorti depuis peu d'une longue retraite spirituelle, Régimon se joignit à la cérémonie d'allégeance en cours et prêta serment à sa grâce le Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné.

Moi, Régimon de Prume, Duc de Rives et Baron de Sassenage, jure devant Aristote d'apporter aide, conseil, fidélité et allégeance au Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, le Seigneur Walan de Meyrieu, et à travers lui, au Dauphin et à sa Majesté le Roy. Je jure de servir et de défendre au mieux les intérêts du Duché et de ces habitants.
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Walan
Walan regarda le dernier arrivant prêter serment.

Votre Grâce, j'accepte le renouvèlement de votre allégeance.

Après un rapide coup d'oeil à Dauphiné , le Gouverneur se leva pour déclarer.

Le temps et délais accordés aux nobles du Duché pour qu'ils prêtent allégeance est désormais écoulé et la cérémonie est maintenant close.

Effectuant un dernier salut de la tête à l'intention des nobles présents, le seigneur de Meyrieu fit volte face et sortit de la salle par le porte latérale par laquelle il était entré, abordé dès lors par un page visiblement porteur d'un pli urgent.
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Guidel
Le héraut, averti par un page de l'arrivée d'une missive attendue, était sorti de la salle des renouvellements d'allégeance pour s'enquérir des nouvelles émanant de la Chapelle Saint-Antoine-le-Petit.

C'est tout sourire qu'il entra dans la salle, remettant le précieux document entre les mains de son gouverneur, le régent du Dauphiné Walan de Meyrieu.


Nebisa a écrit:
Citation:
Par la présente, Nous, Nebisa de Malemort, Comtesse de Ségur, Vicomtesse de Chabrières, Grand Chambellan de France, Maréchal d'Armes Royal, Héraut d'armes du comté du Limousin et de la Marche, de part le blanc seing consentit par le Roy d'Armes, après consultation du collège héraldique, validons et contresignons les procédures d'anoblissement suivantes proposées par Messire Argael, Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné:


Le seigneur Salah ad'Din, est élevé au rang de Baron de Monestier d'Allemont ; il portera «D'or à trois arbres terrassés et rangés de sinople, au chef cousu d'argent chargé d'une étoile d'azur accostée de deux tourteaux de gueules. ».



Dame Julienurs, est élevée au rang de Baronne de Saint-Vallier; elle portera «D'azur à la tête de cheval d'or allumée de gueules, au chef cousu du même aux trois croisettes d'argent.».




Le seigneur Guidel de Montdauphin est élevé au rang de Baron de La Salle; il portera désormais «Parti au premier d'azur au lion contourné d'or, au second de sable au léopard lionné d'argent.».



Sieur Kernos Rouvray, est élevé au rang de Seigneur de Glandage; il portera désormais «Écartelé aux 1 et 4 de gueules au château à trois tours d'or; aux 2 et 3 d'azur à trois tours d'or.».



Sieur Feanaro56, est élevé au rang de Seigneur de Neuville-sur-Saône; il portera «D'azur au chevron d'or, accompagné de trois croisettes ancrées du même.».



Dame Elorane, est élevée au rang de Dame de Saint-Symphorien-sur-Coise et portera «D'azur au château de trois tours d'or, celle du milieu plus haute, coulissé et maçonné de sable, accompagné de trois fleurs de lys aussi d'or.».


Par nostre Scel,nous actons ce document comme valide et conforme aux reglements Héraldiques .

Faict le IV e jour du Mois d'Octobre 1456 sous le règne de nostre souverrain bien aimé le Roy Levan le troisieme de Normandie.





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Fontvell
A peine sa nomination inattendue signifiée, Fontvell se dirigea vers le Conseil Ducal afin d'y prêter serment...
Une fois devant le Gouverneur, Fontvell s'agenouilla et prononça les paroles rituelles :


Moi, Fontvell, jure devant Aristote d'apporter aide, conseil, fidélité et allégeance au Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, le Seigneur Walan de Meyrieu, et à travers lui, au Dauphin et à sa Majesté le Roy. Je jure de servir et de défendre au mieux les intérêts du Duché et de ces habitants.
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Guidel


Avec un nouveau sourire, Guidel entra une nouvelle fois dans la salle, pour rapporter d'autres nouvelles d'annoblissements tant attendus.


Voici, votre Grasce, les réponses pour les octrois de fiefs de retraite pour Argael de Saint-Giraud et Elorane. Vous aurez le plaisir de recevoir le tout premier serment d'allégeance de nombreux nobles, semble-t-il...

Nebisa a écrit:
Citation:
A tous présent et à venir salut.

Nous, Nebisa de Malemort, Comtesse de Ségur, vicomtesse de Chabrières, Maréchal d'Armes Royal, par blanc seing accordé par le Legueux, Roy d'Armes de France, validons et contresignons les demandes des gouverneurs sortants Argael de Saint-Giraud et Elorane quant au choix de leur fief de retraite respectif.

Ainsi donc, Argael de Saint-Giraud, Seigneur de Saint-Giraud et de Montgenèvre est élevé au rang de Vicomte de Monestier-les-Bains. Il portera donc désormais "D'azur à une coquille d'argent accompagnée en chef, à dextre et à senestre de deux équerres affrontées d'or, et en pointe d'un huchet contourné d'or embouché, lié, virolé et enguiché de sable".



Elorane est quant à elle élevée au rang de Vicomtesse de Crest et portera désormais "D'azur à la tour carrée d'or fenestrée, portillée et maçonnée de sable, au chef d’argent chargé de trois crêtes de coq de gueules,et à la terrasse de sinople portant un grand C " Crista d’or"".




Faict le sixième jour d'Octobre 1456 sous le Régne de Sa Majesté Lévan III, à la chapelle Sainct-Anthoine-le-Petit.








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Demons


[Début]

Descendant alors de son destrier, Demons prit son cheval par la bride et s'avança vers le garde devant le château qui lui barra le chemin. Tendant la main alors à sa poche et la retirant lentement de façon à ne faire aucune frayeur au garde qui semblait serrer de plus en plus sa hallebarde, Demons en sortit et parchemin et le tendit au soldat. D'un sourire il dit:

Porte cette missive à ton maître. Je t'en remercie.

Puis sans que personne ne le prie, il se retourna et repartit laissant le garde et son parchemin scellé du seau de Salerans sur lequel était écrit :

Citation:
A sa Grâce Walan de Meyrieu, Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné.

Moi, Demons, Baron de Salerans, jure devant Aristote et les hommes , aide, conseil, fidélité et allégeance à Messire Walan, Seigneur de Meyrieu, légitime Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné et à travers elle au Dauphin Marc-Philippe, je jure de servir au mieux les intérêts du Lyonnais-Dauphiné et d'apporter mon aide à son conseil ducal en toute circonstance.
Je place entre les mains du Gouverneur mes terres de Salerans et renouvelle mon allégeance en tant que fidèle vassal.

Du fond de ma retraite que j'aurai quitté lorsque vous lirez ces mots, je tenais à m'excuser de ne pas avoir été présent lors de la cérémonie d'allégeance et à vous féliciter pour votre élection à la charge de gouverneur du Lyonnais Dauphiné, puisse Aristote vous aider dans votre tâche.

De plus comme à tout nouveau gouverneur je tenais à vous rappeler que le gouverneur se garde un droit de regard sur l'Ordre de Sainct-Georges, dont j'ai la charge actuellement, et peut proposer lui même des nouveaux membres.

Recevez par le biais de ce parchemin mes plus profondes salutations.

Fait en Dauphiné le 10 du mois Octobre 1456.
Demons

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Guidel
Le héraut avait été convoqué en salle des annoblissements par son gouverneur. Aussi se dépêchait-il dans les ruelles de Lyon, animées par la multitude de fêtes qui se donnaient de toutes parts pour célébrer la visite royale au duché.

La nuit commençait à se refroidir cependant, aussi resserra-t-il le col de sa cape pour se protéger de la fraicheur nocturne, qui ne faisait que trop souffrir ses blessures récoltées à Rennes.

Pourquoi donc l'avait-on convoqué? Des nobles avaient-ils annoncé qu'ils viendraient renouveler leur serment d'allégeance ce soir? Il pressa le pas, emporté par la curiosité.

C'est dans une salle froide et calme qu'il fit irruption.
pnj
François de Macquart avait reçu une invitation pour assister à l'ennoblissement de "Dauphiné". Bien qu'il ne le connaissait que peu encore, le Héraut d'Armes était un fidèle de la maison de Macquart, ainsi que celle d'Avencourt. Il était le Vassal de Francesca Amalya dicte Freyelda la Pieuse et surtout un homme grandement estimé dans le duché et au delà.

Le poursuivant chevalier, vêtu de sa tenue de cérémonie d'or et d'azur, ajustée de son tabard au dragon de même émail, était venu en compagnie de son amie, Aliénor d'Avencourt. Tous deux, aidés par le Vicomte de Maubec, représentaient leurs parents lors de cette cérémonie. Cela faisait à présent plusieurs évènements où cela se produisait et le jeune dragon Macquart espérait que son père serait présent la prochaine fois.

Le futur Baron avait fière allure, et le Maréchal d'Armes faisait honneur à ses caducées. Ce serait la seconde fois, qu'un dauphiné en fonction serait ennobli. Pour le premier, c'était le Montjoye de l'époque qui avait officié, et ce dauphiné avait par la suite ceint la couronne de Roy d'Armes.

François, don l'attirance pour l'héraldique n'était plus à prouver, observa la cérémonie avec un intérêt accru.
"Enfin", soupira-t-il pour Aliénor.
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