--Baronetbaronnedepercy
La sortie était à quelques pas, le butin leur appartenait, ils se voyaient déjà dans leur château savourant leur prise. Ils allaient enfin pouvoir se reposer, l'objet tant désiré dans les bras, tout était parfait . Il ne restait plus qu'à franchir les portes de la salle des allégeances.
Ce pauvre homme allongé par terre leur avait facilité la tache, dommage pour lui mais tant mieux pour eux. Il attirait l'attention de tout le monde. Aristote le bénisse.
Plus que quelques pas et ils passeraient les portes devant les gardes qui eux aussi tentaient d'apercevoir ce qui se passait près du trône... Le trône, quel trône ? Tout à coup ce fut la surprise.
La Baronne fût attrapée par la chevelure puis plaquée au sol. Le Baron quant à lui allait perdre l'équilibre après qu'une dame lui eut lancer un croc en jambe afin de le faire basculer. De justesse il posa le siège au sol et se rattrapa aux accoudoirs.
Ils étaient démasqués, il fallait riposter, demi tour sur lui-même il la fixa d'un air sévère, il n'allait pas la frapper cela ne se faisait pas de s'attaquer à une personne plus faible qui plus est une femme. Il n'avait pas de morale lorsqu'il s'agissait de voler mais là tout de même, frapper une femme ! Elle avait eu de la chance et la surprise l'avait aidé mais elle ne risquait pas de faire grand mal à personne vu sa tenue, elle n'était même pas en tenue pour se battre.
Il avait des valeurs tout de même, il dédaigna donc cette jeune femme et se tourna vers la sienne. Elle était dominée par une espèce de brute, il n'allait pas laissé faire ça, pas de cadeau pour lui par contre... Tout en souplesse il s'approcha de l'autre...
La baronne surprise par le placage soudain au sol n'avait pu s'empêcher de sourire en voyant son adversaire grimacer de douleur, lors de son choc avec elle il s'était appuyé tout contre elle, mais ce qu'il ne savait pas c'est qu'elle avait piqué de l'argenterie. Qui dit argenterie dit couteaux et fourchettes généralement et si le gaillard qui la tenait ne le savait pas encore lorsqu'il lui avait sauté dessus, il était maintenant au courant une fourchette planté dans votre bedaine malgré votre pourpoint ça fait mal de même qu'un couteau qui tout doucement rentre dans votre genou. Car non content de la maintenir plaquée au sol le gaillard, bien musclé d'ailleurs elle pouvait le sentir, ou était-ce autre chose ? Faisait pression avec son genou sur le sac, ce qui amena une des lames à traverser la toile du sac et à faire son chemin à travers l'étoffe des braies.
Le baron s'était donc lancé dans une opération de sauvetage de sa femme. Ni une ni deux il souleva le fauteuil, qui n'était pas si lourd que ça finalement, était-ce du toc ? et l'envoya direct sur le sire pour libérer sa femme. La seule option qui restait au duc lorsqu'il vit le Baron soulever le fauteuil c'était de lâcher sa femme sinon il risquait de prendre le fauteuil en pleine poire. Le Baron le vit donc reculer, plié sur lui-même et ainsi libérer la baronne, le Baron esquissa un sourire de pleine réussite.
Ne t'avise plus de touchez à un cheveu de ma baronne compris?
Elle, surprise par la rapidité des faits, fusilla le duc un instant du regard et ajouta...
Tenez il vous manque la fourchette de luxe ! Prenez un bain froid également, cela vous fera le plus grand bien...
Elle s'était rapidement remise et décidant de se venger, attrapa une fourchette dans son sac et la planta dans la fesse droite du messire. Elle se releva et rejoignit aussitôt son mari. Pliés de rire, les narguant un peu plus, le Baron récupéra le siège et cette fois, ils sortirent sans plus de problème car la jeune femme était toujours figée sur place....
Ce pauvre homme allongé par terre leur avait facilité la tache, dommage pour lui mais tant mieux pour eux. Il attirait l'attention de tout le monde. Aristote le bénisse.
Plus que quelques pas et ils passeraient les portes devant les gardes qui eux aussi tentaient d'apercevoir ce qui se passait près du trône... Le trône, quel trône ? Tout à coup ce fut la surprise.
La Baronne fût attrapée par la chevelure puis plaquée au sol. Le Baron quant à lui allait perdre l'équilibre après qu'une dame lui eut lancer un croc en jambe afin de le faire basculer. De justesse il posa le siège au sol et se rattrapa aux accoudoirs.
Ils étaient démasqués, il fallait riposter, demi tour sur lui-même il la fixa d'un air sévère, il n'allait pas la frapper cela ne se faisait pas de s'attaquer à une personne plus faible qui plus est une femme. Il n'avait pas de morale lorsqu'il s'agissait de voler mais là tout de même, frapper une femme ! Elle avait eu de la chance et la surprise l'avait aidé mais elle ne risquait pas de faire grand mal à personne vu sa tenue, elle n'était même pas en tenue pour se battre.
Il avait des valeurs tout de même, il dédaigna donc cette jeune femme et se tourna vers la sienne. Elle était dominée par une espèce de brute, il n'allait pas laissé faire ça, pas de cadeau pour lui par contre... Tout en souplesse il s'approcha de l'autre...
La baronne surprise par le placage soudain au sol n'avait pu s'empêcher de sourire en voyant son adversaire grimacer de douleur, lors de son choc avec elle il s'était appuyé tout contre elle, mais ce qu'il ne savait pas c'est qu'elle avait piqué de l'argenterie. Qui dit argenterie dit couteaux et fourchettes généralement et si le gaillard qui la tenait ne le savait pas encore lorsqu'il lui avait sauté dessus, il était maintenant au courant une fourchette planté dans votre bedaine malgré votre pourpoint ça fait mal de même qu'un couteau qui tout doucement rentre dans votre genou. Car non content de la maintenir plaquée au sol le gaillard, bien musclé d'ailleurs elle pouvait le sentir, ou était-ce autre chose ? Faisait pression avec son genou sur le sac, ce qui amena une des lames à traverser la toile du sac et à faire son chemin à travers l'étoffe des braies.
Le baron s'était donc lancé dans une opération de sauvetage de sa femme. Ni une ni deux il souleva le fauteuil, qui n'était pas si lourd que ça finalement, était-ce du toc ? et l'envoya direct sur le sire pour libérer sa femme. La seule option qui restait au duc lorsqu'il vit le Baron soulever le fauteuil c'était de lâcher sa femme sinon il risquait de prendre le fauteuil en pleine poire. Le Baron le vit donc reculer, plié sur lui-même et ainsi libérer la baronne, le Baron esquissa un sourire de pleine réussite.
Ne t'avise plus de touchez à un cheveu de ma baronne compris?
Elle, surprise par la rapidité des faits, fusilla le duc un instant du regard et ajouta...
Tenez il vous manque la fourchette de luxe ! Prenez un bain froid également, cela vous fera le plus grand bien...
Elle s'était rapidement remise et décidant de se venger, attrapa une fourchette dans son sac et la planta dans la fesse droite du messire. Elle se releva et rejoignit aussitôt son mari. Pliés de rire, les narguant un peu plus, le Baron récupéra le siège et cette fois, ils sortirent sans plus de problème car la jeune femme était toujours figée sur place....