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[RP] Eglise de Saint-Antoine de Conflans-lès-Sens.

Castafiore
Casty salua Dame Siva, regarda les paroissiens rentrer dans l'église et attendit le début de la messe.
Kristel
Kristel qui comme à son habitude était en retard pour la messe, malheureusement l'heure en était largement passé.

Elle entra en église se signa, fit sa génuflextion et se dirigea dans son banc habituelle.

Il lui sembla apercevoir Casty et lui fit un signe de tête.

Elle se recueillit et pria pour tous ses amis disparus et demanda à Aristote de lui donner la sérénité et le bonheur de vivre avec toutes ses amies, elle avait énormément de difficulté mais y parvenait.

Elle pria, pria, pria énormément pour essayer de comprendre l'agissement de certaines parfois qui ne donnent aucune nouvelle et aimerait savoir, mais il faut que je me résoudre à faire ma vie comme elle vient maintenant et être heureuse avec mes amies qui me le rendre très bien en plus.

Elle baissa la tête pour continuer à prier. Elle se releva se signa, fit sa génuflextion, alla allumer un cierge pour le repos de l'âme de Math et sortie de l'Église.
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Siva
[HRP: Pour info...la messe n'a pas encore commencé en soit...prenez garde a respecter le RP et aussi,accessoirement a le lire..ne serait ce qu'en diagonale...question de respect du temps passé a ecrire le sermont ^^

Bon jeu
LJD Siva]



Une fois le silence installé,le Diacre le brisa,en prenant la parole

Bienvenue cher fidele,en ce Saint Jour,et en cette Sainte demeure,pour notre traditionnelle communion avec le Tres Haut.
Et comme a chaque,commencons par demander pardon pour nos péchés


Tete baissée,mains jointes,Siva recita la confession,qui fut repris en choeur par tout le monde

Je vous rapelle,mes Freres et Soeurs,que je me tiens a votre disposition,afin d'ecouter vos confessions,et pour vous aider a repentir vos fautes...
A present,confirmons notre Foi en le Createur:




Une fois le Credo recité,elle fit silence un instant,pour laisser a tous le temps de prendre conscience de leur Foi,et ouvrit son,discretement,le Livre dont elle tirerait son sermont ce jour,caressant le ruban rouge qui lui servaitde repere.
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Tristan.
une foi sa tornée de pain terminée, il se prepara, il delaissa ses couleurs vertes habituelle, pour se vetir tout de blanc, il termina le tout par l'apport d'une cape blanche confectionné avec habilité par l'une des meilleurs tisserande de conflans.

il sortit de chez lui lorsque les cloche sonnerent a l'unnissons, il prit une nouvelle fois plaisir a les entendre, il poussa les grand porte de saint antoine, il enleva son chapeau et se signa puis brula un cierge comme a son habituide, il avait decider ce jour de consacré ses prieres aux ames en peines .

il avait l'habitude de se mettre au fond pour les offices, hors ce jour il brisa le rituel, se mettant au premier rang des fideles, il salua le diacre de la tete puis attendit les premieres paroles de celle ci . il s'aguenouilla et pria longuement .

au premieres paroles du diacre il releva la tete puis mumurra les paroles du credo



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Silane


C'était Dimanche aujourd'hui et Silane avait vite rangé sa maison pour se rendre à l'église.

Les cloches avaient déjà sonné mais elle avait encore vu du monde rentrer.

Elle alla donc rapidement se signer en trempant ses doigts dans l'eau bénite et se dirigea vers un banc pour suivre la messe dominicale.

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Siva
Le silence ayant assez duré,Siva repris la parole,en commencant la lecture du livre,puis en l'accompagnant du fameux sermont

Je vais vous lire un extrait du Livre 2,de la Vita d’Aristote,Chapitre XIII,intitulé « La Reception chez Polyphilos »

Vita d'Aristote a écrit:
Aristote avait été invité à une réception chez un riche marchand athénien exerçant également les fonctions d'archonte. Il s'appelait Polyphilos. C'était un homme riche et puissant, passionné par la philosophie. Il venait souvent écouter Aristote, aussi souvent que ses charges et son statut le lui permettaient. Sa maison était pleine à craquer, et les tables regorgeaient de victuailles.

Aristote tenait une coupe de vin qu'il venait de remplir au cratère. Il prit une feuille de vigne farcie quand Polyphilos s'approcha de lui.

Polyphilos : Aristote, cher maître. Comment trouvez-vous cette réception ?

Aristote : Je vous avoue que je préfère les plus petits comités, on ne s'entend pas, ici. Mais votre maison est splendide et le banquet est digne des plus grands rois.

Polyphilos : Merci pour ces compliments. Mais rien n'est trop beau pour mes amis et j'aime à les avoir tous autour de moi.

Aristote : Tous ces gens ici, sont donc vos amis ?

Polyphilos : Bien entendu. Nul n'entre ici qui ne soit mon ami.

Aristote : Je vois pourtant des gens de toutes extractions sociales et occupant diverses fonctions pour la Cité.

Polyphilos : Et alors ? Je ne suis pas hautain. Je laisse ça au nouveaux riches.

Aristote : Certes, c'est tout à votre honneur. Mais il ne peut s'agir d'amitié véritable. Un vrai ami est un égal car l'amitié doit être parfaitement réciproque et équitable. Si elle ne l'est pas, ce n'est plus de l'amitié mais de l'intéressement. Un roi ne peut rien attendre d'un mendiant, ce dernier est incapable de l'aider en cas de besoin, or l'entraide est la base de l'amitié. Donc il n'y a pas d'amitié possible entre personnes par trop inégales.

Le jeune fils de Polyphilos s'était approché.

Eumónos : Je le répète sans cesse à mon père. Ces gens ne sont pas ses amis et il doit prendre ses distances.

Aristote : Ce serait tomber dans l'excès inverse, jeune homme. L'amitié est le plus grand bien de l'homme. Elle noue les liens des communautés. Et les communautés forment à leur tour la Cité. L'amitié permet les relations sociale et l'Humain peut alors prendre part dans les affaires de la Cité. Et comme la vertu cardinale de l'homme est la participation à la cité, l'amitié est une chose essentielle.

Eumónos : Mais comment trouver un parfait égal ?

Aristote : Ce n'est pas nécessaire. Il faut surtout que l'intéressement ne soit pas trop prononcé dans le chef d'un des prétendus amis. Le juste milieu, celui de la vertu, c'est de savoir s'entourer d'amis véritables, de gens qui peuvent compter sur vous et sur qui vous pouvez compter.

Polyphilos et Eumónos hochèrent la tête pour marquer leur accord. Aristote s'éloigna de quelques pas avant de se retourner.

Aristote : Ces feuilles de vigne sont délicieuses, aussi délicieuses que le conseil d'un ami, vous ne trouvez pas ?


Dans ce passage,Aristote nous parle de l’amitié qui lie les Hommes.Il s’etonne de voir tant de monde chez Polyphilos,qui les pretend ses amis,car ceux ci le lui ont assurés.
Il nous parle de la profondeur de l’amitié,et de son but.Ainsi,un veritable ami est une personne sur qui nous devons pouvoir compter,en toute circonstance,et qui saura nous apporter l’aide necessaire au besoin,aussi reciproquement que nous devrons le faire envers eux.Il doit nous rendre ce que nous lui donnons,l’amour que nous lui portons a l’egal.Il nous apprend a faire la difference entre l’amitié vraie,et l’interessement.
Par beaucoup de personnes nous entourant,nous avons des amis,et des interessés.Celui qui ne nous apprecie pas autant que nous,n’est guidé que par l’interessement.
Souvent,j’entends de la bouche de fideles « Je le connais bien,c’est un ami »,mais ce fidele est il sur que l’ami dont il parle a pour lui les memes mots,ou les memes intentions ?Qu’il n’est juste pas un homme qu’il ne hait point ?
Aristote nous dit aussi comment reconnaître un veritable ami,de celui qui le pretend.
L’amitié qui lie deux etres,les rends souvent inseparables.Ainsi,l’ami sera toujours present,et prêt a soutenir de quelque facon que se soit celui qui l’aime.
L’amitié est ce qui fait la force d’une communauté.Elle est necessaire.Des que l’interessement prend le dessus sur l’amitié,la communauté est vouée a s’eloigner du chemin de la vertu et de l’amour qui le predomine.Nous le voyons chaque jour,et le constatons,lorsque nous assistons a des discussions ou deux personnes qui se pretendent "amies" se dechirent pour ensuite ne plus se parler.

Mieux vaut n’avoir que peu d’amis,mais de vrais,que beaucoup qui ne voit en vous que de l’interet…Il ne tient qu’a vous d’etre l’ami d’une personne.Mais soyez conscient qu’il vous faille etre toujours la pour elle,quoiqu’il arrive.Restez dans le chemin de la Vertu,en ayant des amitiés sinceres,et non basées sur les apparences et les interets…


Puis vint le moment de la communion.
Une fois le pain et le vin partagé,le Diacre termina par diverses annonces


Nous avons vu arriver un nouveau Bourgmestre,cette semaine,a la Mairie,aussi devons nous le soutenir au travers d'une priere que nous adresserons,pour son equipe et lui...

Je vous rapelle que je tiens a disposition des pauvres et des necessiteux,du pain a prix modeste.N'hesitez pas a leur dire de venir me trouver.

A present,allez en paix,et que le Tres haut vous garde...


Se furent ses derniers mots,et l'assemblée se leva bientot dans un brouhaha sourd,avant de tous se diriger vers la porte,accompagnés par Siva
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Tristan.
il ecouta avec attention le sermon, prenant chaque mot que le diacre disait pour propre experience il ne pus s'empecher de regarder la croix puis baisser les yeux. Ikl s'avait que c'etait un de ses derniers offices a conflans, sont depart etant les effets de ses amitiés trahie.

quand les fideles partirent il resta la ressassant en boucle cette phrase pleine de sens a ses yeux "Ainsi,l’ami sera toujours present,et prêt a soutenir de quelque facon que se soit celui qui l’aime."

il les regarda partir! un moment d'intense emotion l'envahit, ne voulant pas rompre l'instant il resta longuement immobile
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Siva
La plupart des fideles etaient partis.Seuls quelques uns,discutaient encore sur le parvis.Un ou deux,avaient posés des questions auxquelles le Diacre repondit avec enthousiasme.Elle aimat a parler de la parole divine.

Remontant l'allée,elle commenca a souffler les cierges,alors que Guillain se mit a ramasser les missels sur les bancs.
Alors qu'elle arrivait vers une rangée,une silhouette attira son attention.Silhouette familiere,qu'elle reconnu rapidement.Un fin sourire,empreint d'une douce nostalgie la prit,en repensant aux fois ou elle meme etait restée sur ce banc apres l'office,a reflechir.
Arrivant derriere lui,elle posa sa main sur son épaule


Je peux te dire par experience,que tu vas finir par prendre froid,a rester ainsi...

Elle s'assied a coté de lui,mais a l'envers,tournant le dos a la croix,mais faisant face a Tristan

Tu sembles soucieux...presque triste...Moi qui croyait mon homelie emplie d'espoir...te voir ainsi me fait penser le contraire...
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Tristan.
assaillis pas la tristesse l'amertume et les regrets il ne luttait plus laissant tomber l'armure qu'il s'etait forgé depuis des mois, l'heure etait au bilande plusieurs mois ou il avait toujours voulu aidé. aide non reconnu. il ete persuader qu'il ne laisserais que l'image du maire demissionnat, oublié les longues heures assises a son bureau.
il se retourna regard humide quand une main se posa sur son epaule il sourit a la premiere phrase de son ami sourire timide accompagné d'un leger signe de la tete
puis il l'ecouta quand elle s'assit a coté de lui!

En effet je suis triste et melancolique, votre sermon etait en effet plein d'espoir mais pour moi il resonne differament, un sentiment de gachis m'envahit, de ses amitiés qui n'etait qu'interet finalement! et une amitié sincere de celle ou je pourrais mourrir pour la preservé et que je vais devoir quitté! pour moi il n'est qu'amertume et desolation! desolation de voir ce qui a ete construit detruit par imcomprehension et interet! je suis las de tout ca! et je suis coupable tellement coupable

il detourna le visage pour dissimulé ce qu'il ressentait puis la regarda en reprenant

je crois que j'ai besoin d'une confession avant de partir

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Siva
Son regard se perdit quand Tristan repondit.Elle repensait aux nombreuses fois ou elle avait ressenti la meme chose.Sa main se posa sur la sienne,pour tenter de lui exprimer sa compassion

Tu as fais l'experience de ce qu'Aristote a decrit a Polyphilos...Tu as gouté en la vrai amitié...Helas,tu as aussi gouté a l'autre,celle que Polyphilos croyait vraie...Mais rejouis toi,tu n'as pas ete abusé longuement,et la douleur est sans doute moins intense que si tes yeux s'etaient ouverts plus tard...

Viendra un jour le temps du pardon,et alors tout s'arrangera...D'ici la,tu peux compter sur la reelle amitié dont tu parles..Et tu pourras compter sur d'autres qui viendront....Le depart,peut parfois etre un bienfait,meme s'il demande un sacrifice...
Sache que la distance n'altere pas une vraie amitié...Et que la presence d'un ami,peut etre au travers de prieres,et d'ecrit,plus qu'en la presence physique...


Le voir ainsi la touchait.Elle detestait la souffrance d'un etre,plus encore quand il etait un ami.Sa main s'etait discretement retirée,et sa tete se redressa,un sourire triste sur ses levres

Je peux entendre en confession,ceux qui le souhaitent.Saches que la confession ne saurait etre repetée a autre que le Tres Haut.Sois aussi assuré,que se serait le Diacre,et non l'amie qui ecouterait,et que je saurais garder la place qui m'est due...Cependant,si tu le preferes,je puis demander a l'Archeveque de t'entendre,auquel cas,je comprendrais...

Elle attendit sa reponse.Entendre une confession n'etait jamais aisé,et l'entendre de la bouche d'un ami cher pouvait l'etre encore moins.Mais Siva se savait assez impartiale pour savoir faire la part des choses.Elle pensa aussi que la reciproque valait,et que peut etre Tristan ouvirait moins son ame en confession a une amie,qu'a un prelat qu'il ne connaissait pas plus que cela.
Elle le regarda,croisant les doigts de ses mains,qu'elle tordaient discretement.Non qu'elle etait nerveuse,mais elle luttait pour ne pas avoir un geste trop familier,en le voyant si triste,comme elle en aurait eu si elle avait vu sa fille dans cet etat.

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Tristan.
il la regarda lomgtemps, ses yeux a moitié dans le vague, les mots resonnant comme des verités qu'il etait desormais pret a entendre.
il devait laver toutes ses fautes et faire en sorte de les attenués comme ci sa vie en depender remords et prises de conscience s'accumuler depuis des jours.

il hesita longtemps quand elle lui proposeras la confession, allait il pouvoir se livré entierement certains passages la concernerait certainement puis certaines choses serait plus difficile a dire. ils se livraient beaucoup tout les deux exprimant leurs sentiments et leur visions. ils savaient faire la part des choses entre leur poste et leur amitié, il la savait impartiale, mais il se demandé si il pourrait tout dire

il la regarda un moment puis repondit d'une voix basse

je suis pret! allons y! j'en ai besoin!

il se tus la regardant son visge se fermant et s'assombrissant

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Siva
Siva acquiessa d'un signe de tete a la réponse de Tristan.Elle se leva,et lui emboita le pas jusqu'au confessionnal
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Coxynel
Coxynel profita d'être sur la place du marché pour aller à l'église prier... Cela faisait des lustres qu'elle n'y était pas allée. Elle poussa la porte d'entrée, l'église semblait déserte. Elle traversa la nef et une fois arrivée devant l'autel, elle se signa puis alla s'assoir sur le banc le plus proche.
Elle commença à réciter son crédo, à demi-voix.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN
Castafiore
Casty, avant d'aller ouvrir sa taverne, s'arrêta à l'église. Elle poussa la lourde porte, rentra, fit une génuflexion et se signa. Elle s'approcha de l'autel, enleva les fleurs fânées dans les gros vases et en remit des fraîches.

Elle alla s'installer sur un banc, à l'écart. Tout était calme, elle se mit à prier, pour ses amis, sa famille, pour ceux qui n'étaient plus là...... Conflans se vidait petit à petit. Quelques larmes roulèrent sur ses joues, elle se demandait ce qu'elle allait faire, rester, partir, tout était devenu tellement difficile.....

Elle se plongea dans ses prières et se recueillit comme il se devait....

Nettoyage du sujet de l'église ayant dépassé largement les 50 pages. J'ai laissé les interventions depuis septembre de l'année passée.

{Tournicoteur}
Haile..
R-one entra dans l'eglise il se signa puis se mit dans un coin et fit une priere, pour les gens qu'il aime et aussi pour sa taverne qu'il vient d'ouvrir.
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