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[RP] Eglise de Saint-Antoine de Conflans-lès-Sens.

Tristan.
tristan recita le credo fermant les yeux et s'impregnant du calme des lieux


Citation:
Credo in unum Deum, Patrem omnipotentem, factorem caeli et terrae, visibilium omnium et invisibilium.
Et in unum Dominum Jesum Christum Filium Dei unigenitum.
Et ex Patre natum ante omnia saecula.
Deum de Deo, lumen de lumine, Deum verum de Deo vero.
Genitum, non factum, consubstantialem Patri : per quem omnia facta sunt.
Qui propter nos homines, et propter nostram salutem decendit de caelis.
Et incarnatus est de Spiritu sancto ex Maria Virgine : Et homo factus est.


Crucifixus etiam pro nobis : sub Pontio Pilato passus, et sepultus est.
Et resurrexit tertia die, secundum Scripuras.
Et ascendit in caelum : sedet ad dexteram Patris.
Et iterum venturus est cum gloria, judicare vivos et mortuos : cujus regni non erit finis.
Et in Spiritum sanctum, Dominum, et vivificantem : qui ex Patre Filioque procedit.
Qui cum Patre et Filio simul adoratur, et conglorificatur : qui locutus est per Prophetas.
Et unam, sanctam, catholicam, et apostolicam Ecclesiam.
Confiteor unum baptisma in remissionem peccatorum.
Et expecto resurrectionem mortuorum. Et vitam venturi saeculi.

Amen.

_________________
Elmichele
Elmichele ouvrit les yeux,hébétée de se trouver là.Elle porta la main
dans ses cheveux et réalisa qu'elle était couverte de sang,sa chemise aussi
d'ailleurs.

*ou suis je,que m'est il arrivé?*
elle etait assise sur une chaise basse de prière,sans doute était ce le prètre qui s'était penché sur elle et qui l'avait installée là....Elle se releva,
chancela et dut s'accrocher au dossier,incapable de tenir debout.Elle se
rassit donc ,écouta,regarda.

*que font ils?on dirait une cérémonie*
Les chants étaient si beaux!Elle ne comprenait pas les textes mystérieux
mais elle sentit une émotion l'étreindre,sans peur cette fois!
Lors de son évanouissement elle s'etait sentie avalée dans un trou noir,si
noirrr,des bribes de souvenirs tres anciens etaient apparus,la submergeant ,elle qui n'avait plus de mémoire depuis bien longtemps!
une église,des cris ,du sang,des cavaliers cagoulés et elle bébé cachée sous
l'autel.......et puis la solitude,le silence.....
Elle savait maintenant pourquoi ce lieu l'avait terrorrisée!
Elmichele
mais donc le dernier geste de sa mère avait été de la confier à une
église!!!elle lui avait dit de se cacher aupres du Père...
il fallait qu'elle retrouve la valeur de ce lieu,qu'elle renoue avec la foi de sa
mère qu'elle comprenne ce que font ces gens ici.

*mais qui peut m'aider,m'expliquer,me guider dans ma quète?*
elle regarda le pretre qui officiait devant l'autel avec espoir
*lui peut etre?c'est peut etre ça sa vocation ?ouvrir la voie de la vie et donner à ceux qui souffrent?
je n'aurai plus de cauchemards,cette chute m'a révélé ce que j'avais au
fond de moi,mais j'ai besoin d'aide pour renaitre *
Carmelle
Carmelle priait avec ferveur, récitant tout bas le credo, écoutant les paroles pieuses.
Elle se dit qu’elle devrait bien aller se confesser elle aussi. Elle enverrait un pigeon au père Andrus.

Regardant discrètement autour d’elle, il y avait peu de fidèles ce matin, un grand silence régnait et on pouvait entendre la voix du père résonner dans toute l’église.
Elmi était là elle aussi assise dans un petit coin, affreusement pàle. Carmelle se dit qu’elle irait la voir après la messe.
Elle ferma les yeux et repris ses prières.
pnj
Andrus ouvrit un passage du livre des Vertus




Citation:
Par un rude jour d’hiver, un disciple, qui avait atteint le terme de son enseignement, vint trouver Aristote, avant de quitter le lycée.

Le disciple : "Cher maître, maintenant que je vais être livré à moi-même, il y a une chose que j’aimerais savoir."

Aristote : "Je t’écoute, brillant disciple."

Le disciple : "Vous m’avez remarquablement formé à l’art de la logique et à la science métaphysique, mais vous ne m’avez rien dit quant à la morale."

Aristote : "Tu dis vrai, mon ami. C’est en effet une lacune de mon enseignement. Que veux-tu savoir au juste ?"

Le disciple : "Il est important pour un homme, je le crois, de savoir identifier le bien du mal, afin de se conformer aux règles qui conduisent au premier, et qui permettent d’éviter le second."

Aristote : "Certes."

Le disciple : "Ce qui m’amène à cette question simple, maître, qu’est-ce que le bien ?"

Aristote : "C’est un problème tout à la fois vaste et d’une simplicité limpide comme le cristal. Le bien, dans son principe, c’est la perfection de la nature de l’objet, de sa substance."

Le disciple : "Mais pourquoi donc, cher maître ?"

Aristote : "Parce que le bien ultime réside dans le divin, sans nul doute. Et pour identifier le bien, il suffit donc de s’attacher à l’analyse de l’essence du divin. La substance du tout puissant étant intelligibilité pure et parfaite, le bien ne peut être que perfection de la substance, et donc de la nature d’une chose. Comprends-tu ?"

Le disciple : "Oui, cher maître, je comprends."

Aristote : "Je t’ai enseigné, cher disciple, que la nature d’une chose réside dans sa destination, puisque le mouvement révèle la substance de l’objet. Tu sais donc quelle est la nature de l’homme n’est-ce pas ?"

Le disciple : "Certes, maître, la nature de l’homme est de vivre en collectivité, et cette collectivité prend le nom de cité."

Aristote : "Tout à fait. Le bien de l’homme, c’est à dire ce qui tend à réaliser la perfection de sa propre nature, est donc une vie vouée à assurer les conditions de l’harmonie au sein de la cité. Or, le bien de la cité, est tout ce qui participe à son équilibre, puisque la nature de la collectivité est de se perpétuer. Ainsi donc, tu peux le constater, le bien de l’homme conduit au bien de la cité."

Le disciple : "C’est remarquable !"

Aristote : "En effet, ça l’est. Vois-tu, l’homme ne fait le bien qu’en s’intégrant pleinement à la cité, en participant à la politéïa, et en faisant tout son possible pour en maintenir l’harmonie."

Le disciple : "Alors, cher maître, l’homme de bien est donc le citoyen ?"

Aristote : "Je n’ai pas dit cela, cher disciple. Un esclave peut être un homme de bien, s’il a conscience de sa propre nature d’homme, et qu’il sait se satisfaire de sa condition, car ainsi il œuvre au maintien de l’équilibre de la cité. La politéïa n’est pas que la participation aux assemblées."

Le disciple : "Et bien, cher maître, voilà des réponses qui me satisfont."

Aristote : "J’en suis heureux, mon ami."

Et sur ce, Aristote ne revit jamais son disciple qui, selon la légende, vécut une existence exemplaire, inspirée par les principes de la vertu.


Voici un texte fort intéressant pour nous parler de la nature du bien et on peut faire la conclusion que ce qu'est le mal réellement .
En effet , mes enfants , vous êtes responsable de votre destins , ce n'est pas en restant seul que les portes du paradis solaire vous seront ouvert bien au contraire car vous n'aurez pas prouvez votre valeur envers le très haut .
Le bien est une question bien complexe que même moi je ne pourrais vous répondre , je pourrais vous citez le dogme mais je vous ne donnerais pas de réponses net et précise .
Je dirais que cela vous appartiens a votre humble et conscience , réfléchissez vraiment a la nature de chaque chose , le bien doit être cohérent avec l'Amitié Aristotélicienne , l'aide d'autrui et non ça destruction , notre cité a connu pas mal de problème avec les différents mandat qui ont porter notre ville en échec , mais je pense que chacun a su ce relevé petit a petit , nous avons tendu la main a ce qui en avait besoin et je pense que désormais Conflans , redeviens une belle cité qui va entré dans son apogée .
Le mal , pour moi c'est de vouloir faire souffrir autrui , le mensonge , la haine , la colère ,et la tristesse qui s'en suit .

Ne fait jamais a autrui ce que tu n'aimerais pas que Autrui te fasse , je pense que cela caractérise bien mes propos .

Je suis curé depuis de nombreuses années , e j'ai vu beaucoup de gens faire du mal :

-La tromperie
-Meurtre
-torture

Et bien d'autres choses que l'on ne pourrais imaginer alors mes enfants , ne tombez pas dans un tel excès , sachez vous resaisir avant l'inévitable , le Très Haut pardonne mais sous certaine condition , comparer aux autres espèces l'esprit nous donne le pouvoir de faire un choix , sachez l'utilisez a des fins noble .

Je Concluerais par ceci "
Le mal se fait sans effort, naturellement, par fatalité ; le bien est toujours le produit d'un art."



le père Andrus alla prendre les hosties puis il invita les fidèles à la communion.




Que ceux qui le souhaitent s’avancent et viennent communier. Partageons avec tous les fidèles de l’Eglise Aristotélicienne. Retrouvons le sens de l’amitié et laissons nous guider par elle.



Il me reste à vous souhaiter un excellent dimanche. N’oubliez pas d’accueillir ceux qui nous reviennent avec toute l’attention qu’ils pourraient avoir à notre égard.

Allez dans la paix de Dieu !
pnj


Il faisait à peine jour lorsque Ana déambula dans les rues de Conflans. Elle avait un voyage à préparer et il lui fallait dire au revoir à beaucoup de monde mais une personne importait dans ce matin brumeux, une personne qui lui tenait à coeur et à qui elle n'avait pas encore pu parler. Elle s'était dit que le meilleur endroit pour ça serait l'église, bien qu'elle n'avait pas d'attachement particulier pour ce lieu et qu'elle évitait de s'y rendre le plus possible.

Elle se retrouva devant la porte du lieu saint, fixant d'un regard presque éteint la porte. La dernière fois qu'elle y était venue c'était.... oui il y a bien longtemps. Prenant une profonde respiration, elle s'avança, poussa la lourde porte et entra. Elle ne se signa pas et alla directement s'installer sur le premier banc du fond, dans la pénombre. Assise, seule, au petit matin, sa cape la recouvrant de la tête au pied, elle pencha le visage vers l'avant, ferma les yeux un instant et pensa. Elle entendit des rires et des chuchotements dans sa tête, des mots tendres d'amitiés, d'amour fraternel, elle revoyait le dernier voyage qu'ils avaient fait et pensa à son voyage à elle qui débuterait dans quelques heures. Sa vie ressemblait à celle des vagabonds, elle n'arrivait plus à se fixer, tout était devenu si triste, si ennuyeux depuis... Elle était devenue une ombre, passant par ci, par là... il était loin le temps des joies et des rires, elle s'en était rendue compte en revenant à Conflans, ne reconnaissant pas vraiment les gens d'autrefois, les rues d'autrefois, la bonne humeur d'autrefois .... une page était tournée, elle se demandait encore si elle avait envie d'en écrire la suite.... Elle soupira, essuya rageusement une larme qui s'était échappée, se leva tranquillement et sortit de sous sa cape une rose bleue qu'elle laissa là sur le banc, tout en chuchotant un "adieu" dans un souffle.



Elle resserra les pans de sa pelisse, tira sur la capuche afin de couvrir un peu plus son visage et sortit de l'église d'un pas pressé. Elle prit la direction de la maison de Cune afin de préparer ses bagages et son cheval. Les quelques personnes qu'elle croisa ne purent qu'apercevoir une ombre au petit matin qui déambulait dans les rue...
Verya2
Verya, comme chaque matin, se rendait à la mairie.
Elle avait très mal dormi, un étrange sentiment l’avait envahie.
Ne rencontrer personne, c’est tout ce qui lui importait.
Aussi avait-elle longé les remparts pour se rendre en ville.
Elle aimait à rester seule, pouvant ainsi rêver à sa guise.

La veille avait été journée chargée émotions, la visite d’Ana, le souvenir de son frère……..
L’église se tenait face à elle.
Elle n’y était plus entrée depuis qu’elle LUI avait présentée Carmelle et avant c’était pour ……..
Son cœur se serra.
Elle se décida à y pénétrer et alla s’installer près d’ELLE.
Il n’y avait personne, c’était une chance…..
Elle resta un moment à se recueillir, revit cette messe, repensa à son chagrin,
s’inquiétait pour Ana qui repartirait, pour son prince sur les routes en proie à tous les dangers.
Son cœur était trop lourd, elle regrettait d’être entrée.


Verya allait pour sortir lorsqu’elle aperçu une forme sur le banc le plus reculé.
Elle s’approcha . C’était une rose bleue.
Elle s’asseya, prit la fleur dans ses mains.
Elle regarda la rose, regarda la chaire, revit ses yeux sous son capuchon le soir de leur départ.
Elle souriait.
Puisses-tu être en paix maintenant.
Elle reposa la rose et sortit de l’église.

Le jour commençait à poindre, il faisait frais, une de ces matinées d’automne.

_________________
pnj
Après une mission qui l'avait emmener dans une contrée lointaine , le père Andrus de Nivellus rentra dans la bonne ville de Conflans lès Sens fatigué , vêtu d'une cape noir et d'un bâton , il rentra dans l'Eglise et vu tout la scène qui venais de ce passer , il ce mit a l'écart et ce dit :


Tiens bizarre ?
pnj
Aujourd'hui était le jour de la messe paroissial , Andrus allait commencez ça messe .
Il alla sonner les cloches comme a son habitude .




Les paroissiens les plus assidues étaient déjà dans la cathédrale mais le curé attendait les retardataires qui avaient du mal à se lever le dimanche matin….

Bonjour à vous tous mes enfants, soyez les bienvenus aujourd’hui dimanche dans la maison de Dieu nous allons communier ensemble et se partager l’hostie en signe de fraternité.

Voyant les villageois venir en masse dans l’Eglise Andrus commence alors la cérémonie

Chers fidèles,
Bienvenue en ce jour saint où nous allons prier et nous confesser aux yeux du Très Haut et vous pourrez alors découvrir un passage du Livre des Vertus.

Commençons donc notre confession et répétez après moi, n'oubliez pas cependant de venir me voir au confessionnal :


Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Carmelle
Carmelle arriva en courant, sur le perron de l'église. Les cloches avaient déjà sonné depuis longtemps.
Elle regardait autour d’elle n’espérant croiser personne de sa connaissance ce matin là.
Elle entra, se signa et pris place discrètement au fond de l’église. Assise bien droite, elle attendit, tête baissée les yeux a demi clos.

_________________
pnj
Après avoir entendu les paroissiens répéter ses paroles Andrus retourna près de l’autel puis déclara :

Répétez encore après moi afin de clamer notre foi au Très Haut

Carmelle
Le mal se fait sans effort, naturellement, par fatalité ; le bien est toujours le produit d'un art

Les paroles de père Andrus résonnèrent comme un éclair dans la tête de Carmelle.
Jamais elle ne pourrai a nouveau faire le mal dont elle était la cause.

La douleur la rappela à la réalité, ainsi que les prières du père. Elle pria avec ferveur.
pnj
Andrus regarda le peuple présent puis se dirigea alors vers la chaire afin de pouvoir commencer la lecture :



Ecoutons maintenant un passage du Livre des Vertus :



Lecture du Livre sacré - Livre 3 : Sainteté : Sainte Nitouche face aux Bogomiles[/size]

Gloire à toi Seigneur
    Alors que la foi Aristotélicienne essaimait à travers le monde, une secte nommée “Bogomiles” faisaient rage à travers tous les Balkans. Ils brutalisaient les vrais croyants et brûlaient leurs églises. A leur tête se trouvait Abaddon, le fléau, gourou dont la folie fut rarement depuis égalée.

    Nitouche, jeune fille vertueuse, était cultivatrice de maïs et maire du charmant village de Sarajevo. Elle vivait encore dans la ferme familiale et était fiancée à Igor de Zagreb, petit marchand croate qui l’aimait tendrement. Lorsque Abaddon et ses sectateurs firent étape dans la ferme des parents de la sainte, ils s’efforcèrent de tous les convertir. Mais Nitouche, ses parents et son fiancé Igor étaient des vrais croyants. Fidèles à l’Eglise Aristotélicienne, ils refusèrent toute compromission avec ces hérétiques.

    Sainte Nitouche leur demanda: “Pourquoi Dieu se serait-il limité et déplacé dans un corps humain, alors qu’Il est la Toute-Puissance, infini et éternel?”

    Elle demanda de plus: “Pourquoi Dieu aurait-Il Lui-même transmis Son message alors qu’Il l’avait auparavant confié à un humain, en la personne du prophète Aristote?”

    Enfin, elle demanda: “Si Dieu s’était incarné, pourquoi se serait-Il laissé martyriser et tuer, alors qu’Il est immortel et Tout-Puissant?”.

    A ces questions, les hérétiques, tels les animaux de la Création, ne surent répondre. Ils bouillaient de rage devant une foi si pure. Alors, vraisemblablement encouragés par la Créature Sans Nom, les Bogomiles se ruèrent sur elle, sa famille et son fiancé. Ils leur firent subir les pires atrocités, laissant libre cour aux péchés dont ils étaient gorgés.

Louange à toi Seigneur

Voyez chers fidèles, ou plutôt entendez ! Ici, la mauvaise croyance vous est présentée… Rappelez-vous lorsque Dieu convoquera toutes ses créatures le jour du jugement dernier, celui ci ne se trompera point et vous ne le duperez point. Ceux qui auront tels les "bogomiles" péchés en pronant un dogme hérétique seront chatiés. Gardez toujours à l'esprit qu'il faut se méfier des gens se détournant de la voie des Saintes écritures.

Andrus marqua un temps d'arret.

Depuis cette époque, et afin de protéger la bonne foi des ordres religieux ou militaires se sont créés. Je penses notament aux Franciscains, aux Cisterciens ou encore aux templiers et aux hospitaliers. D'autres tels que les hospitaliers ou le Saint Esprit défendent le Roy et les valeurs aristotélicienne sans défendre la curie. Ceux ci défendent la Vrai Foi, Celle dont sa Sainteté le Pape Eugène et Notre Bon Roy sont les garants.

N'oubliez donc pas mes biens chers freres et soeurs, que notre guide en ce bas monde est Dieu et ses représentant sur terre tel notre bon Roy et sa Sainteté le Pape.


Les orgues jouèrent alors une douce mélodie inscitant ainsi à la réflexion…

Préparons-nous maintenant à la célébration du repas, symbole de l’Amitié Aristotélicienne qui nous lie, en reconnaissant que nous sommes pécheurs.

    Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant mes frères, que j'ai péché, en pensée, en parole, par action et par omission, oui, j'ai vraiment péché.
    C'est pourquoi je supplie les anges et tous les saints, et vous aussi, mes frères, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.
    Amen.


Que Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde; qu'il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle.

Partageons ensemble le pain et le vin, symbole de l’amitié Aristotélicienne et du peuple des hommes réunis tous égaux devant Dieu et en toute humilité. Prions ensemble au moment de ce partage, prions le Seigneur pour ses biens faits, pour son amour et sa grande générosité.







Avant de nous quitter, je tiens à vous remercier d'etre venu si nombreux en ce dimanche.




Le Seigneur soit avec vous.
Et avec votre esprit.
Que Dieu tout-puissant vous bénisse.
Amen.
Allez, dans la paix.
Nous rendons grâce à Dieu.[/quote]
pnj
Le père Andrus alla déposer sur les parvis de l'Eglise un mot pour toute la communauté :


Mes chers enfants , après eu certaine remarque sur mon rôle de prêtre , j'aimerais que vous me dissiez ce que vous aimeriez que je change , donc dites moi ce qui est positive et négative , je reste a votre entière disposition ,

votre père dévoué

père Andrus de Nivellus
1er Archidiacre de Sens
Cunegonde5
Cune était enfin arrivée en l'église qu'elle aimait tant, elle se signa et s'avança pour prendre place. Elle ne pouvait point rester bien sûr, la route l'appelait encore et toujours....
C'est avec un grand plaisir qu'elle vint s'asseoir et prier ce jour, dans ce calme qu'elle affectionnait tout particulièrement.
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