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[RP] Sur la côte d'opale

Sylith
J'avais donné naïvement rendez-vous au pied du beffroi, le seul point de rendez-vous que je connaissais, à toutes les personnes que j'avais croisées en taverne. Une tentative plutôt désespérée pour partager quelque chose avec les locaux.
Je commençais à m'en rendre compte à mesure que les passants me passaient sous le nez sans même s'arrêter. Je ne les connaissais pas et aux regards que certains me lançaient ils me le rendaient bien.

Je ne me laissais pas démonter et regardais la faune locale déambuler. Un homme passa devant moi, apparemment aussi inquiet par ce qui se passait dans son dos que de savoir dans qui il allait foncer. Un peu après qu'il soit passé je repérais deux pitbulls, sourcils froncés et mâchoire fermement serrée. Sûrement qu'ils lui collaient au train.
Moi aussi j'aurais pas été rassurée de voir ces lascars à mes trousses.
Sûrement qu'il l'avait bien cherché.

Un maigrelet qui boitillait s'approcha de moi. J'aurais parié qu'il était en réalité parfaitement alerte et qu'il jouait du caillou dans la chaussure pour s'inventer une démarche.
Quand il m'adressa la parole je reculais d'un pas. Pas que j'avais peur mais sa bouche devait abriter un putois mort depuis un mois.


Alors la belle ? On s'ennuie ? On cherche un peu de compagnie ? Besoin d'un protecteur peut-être ? J'connais tout le monde ici, besoin d'un peu d'aide ?

Moyennant commission bien sur …
J'avais beau ne pas avoir roulé ma bosse que je le sentais pas celui-là.


Non, ça va aller. J'attend quelqu'un. Un garde …

Je l'avais balancé comme ça, tout en sachant que si le type n'était pas stupide ça ne changerait rien.
Chanceuse, ça avait suffit. Le beffroi sonna 9 coups. Ils étaient presque en retard.
Sanzillusion
Sanzi arriva en courant.

Tentant de reprendre son souffle elle demanda : "chui pas trop en retard ?"
chez moi c'est la panique ! entre les grenouilles, Lucky et Recti's cat, je ne m'en sors pas !"

Puis regardant Syl : "ça va , toi ? t'as l'air perdue ! "

Et regardant autour d'elles : "tu attends d'autres personnes ? ou bien j'arrive trop tard et ils sont déjà partis ?"
Je te propose une balade au bord du lac : j'adore l'endroit. On y va ? on pourra faire trempette si tu veux !

Prenant Syl par le bras, elles prirent la direction du lac en papotant gaiement.
Vainsyl
Vain arriva doucement

Coucou les demoiselles

je dérange pas j éspere?

mais si vous allez au lac je pense que j ai pas ma place avec vous^^

Vain regarda les belles avec un sourire
Sylith
Sanzi était quelque part entre une invasion de sauterelle, une tornade au Nouveau-Mexique et une énorme tarte au pomme bien garnie de crème. Etouffante, débordante d'enthousiasme mais réconfortante.
Un dangereux mélange qui me traînait depuis mon bout de pavé, celui que j'avais commencé à lisser au cuir de mes semelles, jusqu'à la moitié de la place. Sans avoir eu le temps de dire Amen mes plans étaient passés de "mer" à "lac".
Elle jactait tant et si bien qu'elle m'avait pas laissé en caser une. J'aurais pu ne pas être d'accord avec le plan.

J'ai aperçu Vainsyl entre le moment où je soupirais et celui où j'allais me mettre à chercher un gros bras à bousculer afin qu'il prenne la mouche et nous fasse demi-tour en courant.

Déranger ? Non mais vous avez l'air de déranger ? Franchement ?
J'étais un peu comme un prêtre de l'EA debout sur son tas de bois au centre de la place de Genève, encerclé par le Lion et qui entendrait sonner la corne des chevaliers de la Licorne.
Le lac ? Quel lac ? Nous allons à la mer voyons. On se dégourdissait juste les jambes là.
Un peu de mensonge et de mauvaise foi n'ont jamais réussi à me porter préjudice.
D'ailleurs faudrait retourner près du beffroi pour pas louper les autres.
Vu le retard qu'ils ont, ils ne devraient plus trop tarder.


Je pivotai sur mes talons et incitait ma voisine à me suivre d'une légère pression sur le bras puisqu'elle avait d'office calé le sien sous le mien.
Maryse
Maryse qui chevauche son Démon le fait galoper à tout allure , Vic qui est aussi sur l'animal tient sa soeur par la taille et cri

-Arrête tu vas nous tuer !! Pas possible une soeur pareille .


Maryse rit de l'entendre , quand ils arrivent à la hauteur de la petite troupe , la jeune femme stop sa monture , en descend d'un saut rapide .


-Coucou nous ne sommes pas en retard ? Vic a mis un temps fou à se préparer .
Ben tu ne descends pas mon frère de Démon ?


Le jeune homme râle en disant la prochaine fois je conduis ma soeur !!


La mairesse éclate de rire , puis tend une besace aux jeunes femmes .

-Comme promis du pain aux noix !! Allez mon moustachu je te laisserai prendre les rennes en rentrant !!
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Kat_gri
Kat était arrivé à bon...heuu, port ? Lac ? Hum...
Toujours est-il qu'elle était bel et bien là, présente devant le petit groupe, après une discrète approche.
Instinctivement, elle se rapprocha de Vain, personne qu'elle connaissait le mieux parmi ces jeunes gens. Elle adressa un sourire à Sylith :

_Héhé, à croire que les plus brefs rendez-vous sont les meilleurs...J'ai finalement décidé d'être membre de cette expédition ! Vous aviez raison...c'est sans doute un crime de n'avoir jamais visité le coin plus en détail...

La brune leva la tête, contemplant le ciel qui se volait légèrement, et, soudainement saisit d'un frisson d'origine inconnue, porta une main à son cou, resserrant au passage l'étoffe de son col.

_V'êtes certains qu'on serait pas mieux sur les remparts là, avec quelques tonneaux de bière dans le coin ?...

Clin d'oeil en direction de Maryse, redressement espiègle d'un coin de sa bouche, et Kat, patiente, s'appuya contre un muret de pierre, observant les habitants de Bruges déambuler ici et là...
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Vainsyl
Vain regarda Kat

héé Katou tu pense qu a boire toi aussi!

lui sourit

bon avec le pain de Maryse vrai que ca passera mieux

Vain se retourna vers Maryse

Maryse commence pas a fermer les yeux!

rit de bon coeur
Sylith
Je ne suis pas du genre tachycardiaque mais à voir la mairesse faire galoper son cheval sur les pavés de la place je me suis dit que ce n'était qu'une question de jours avant que je ne le devienne.
Et ce n'est pas un bout de pain aux noix qui allait me guérir le coeur une fois qu'il aurait été interverti avec celui de Roger Rabbit. La seule chose qui me réconfortait c'était que celui sur le cheval avait l'air encore plus pâle que le linge de lit de la Mortain. Après nettoyage s'entend. On sait tous quel genre de cochonneries se passent dedans.

Malgré ça je décidai de ne pas la jouer bêcheuse et d'accepter avec gratitude le pain aux noix. Peut-être que ça la calmerait.
Sinon je pouvais toujours la refiler à Sanzi, leurs énergies devraient se compenser.


Merci pour le pain. S'il est aussi bon que ce qu'il en a l'air il ne tiendra pas 5 minutes avec nous !

Quand Kat s'est installée contre un mur et je lui ai rendu son sourire.

On serait peut-être mieux sur les remparts mais on n'aurait toujours pas vu la mer. En tout cas on n'y aurait toujours pas trempé le bout des pieds.

Je dois dire que c'était quand même ce qui me faisait le plus envie dans l'expédition. Voir la mer c'était une chose aisée. Il suffisait de soudoyer un garde et de grimper en haut du beffroi pour la voir. Moi je voulais la toucher, y plonger la main. La sonder.
La faire mienne.


Par contre on peut tenter de se procurer une outre de vin en cours de route. ¡a nous réchauffera quand on sera transis.

Des fourmis ont envahi mes jambes, ça grouillait plus au fond de mes bottes qu'au coeur qu'une ruche.
Une bonne raison de donner le signal de départ.

En route mauvaise troupe ! Les autres nous rejoindront sur la route. Ils sont pas culs de jatte que je sache.
Et je pris la tête de notre petit groupe. Direction le port, on chercherait une plage une fois qu'on aurait vu de l'eau.
Kat_gri
Kat sourit en entendant Vain lui donner ce drôle de surnom...qui la faisait donc toujours sourire en fin de compte.
Puis, aux dires de la leader...

Citation:
Par contre on peut tenter de se procurer une outre de vin en cours de route. ¡a nous réchauffera quand on sera transis.


_Ne vous en faites pas, je plaisantais pour les remparts...C'est pas accoudée à une barrière en hauteur, la lourde épée à bout de bras que j'imaginais ma première sortie au bord de la mer...

La brune sourit à nouveau, puis laissa sont regard se voiler, le temps de penser à une éventuelle accroche du quotidien, du genre...heu...Katou à la mer...Grinonne est de sortie...Kat pêche...Grise en vacances...(?)...Mouarf, elle repris ensuite :

_J'avoue préférer le vin à la bière en vérité...Aucun problème pour moi donc, si d'aventure, nous avions à dérober quelques gourdes oubliées...

La jeune femme sourit de nouveau, puis, alors que le groupe se mettait en marche, accéléra le pas, attrapant Vain par la manche -parce qu'il avait l'air de vouloir partir oh !- pour arriver à la hauteur de Sylith, et lui demander, espiègle ;

_Pas que j'aime vraiment le poisson mais...c'est toujours moi cher si...si l'eau n'est pas trop trop froide...Vous croyez qu'il y a moyen d'en attraper à la main, au bord du rivage ?!
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Vainsyl
Vain pris le pas de Sylith quand soudain il senti une main le retenir,il se retourna
il regarda Katou sans un mot et lui prit le bras avec un sourire aux levres

doucement Sylith il y a pas le feu

je vais t appeler "étoile fillante"a courir aussi vite Sylith

Vain sourit ,en pensant que le vie avait aussi de bon coté
Brezhonneg
Brez aperçut un petit attroupement sur la place du Beffroi, que des têtes connues, de très bien à un peu... Il s'approcha dudit groupe qui commençait à faire mouvement...

Goeden dag ! Bien le bonjour à vous !

Ils s'arrêtèrent progressivement en entendant une voix les interpeller. Brez salua Maryse qui était la plus proche de lui, étant à l'écart avec Démon qu'elle tenait fermement par la bride puis poursuivit son tour de salutations.

Commençant par une poignée de main à Vic qui n'était jamais bien loin de Maryse, il en fit une autre à Vainsyl, qu'il ne connaissait que peu mais qui gagnerait sans nul doute à être connu. Apercevant une jeune femme non loin de lui, il constitua à tort ou à raison une nouvelle paire dans son esprit en associant l'Anversois à la demoiselle qu'il avait croisé dans la ville la plus proche de la Hollande voici quelques semaines... Kat Gri si sa mémoire était bonne... Brez exécuta un baise-main des plus académiques.

Poursuivant son tour, il vit Sanzi - sans Choupette-, une bise et quelques mots pour prendre ses nouvelles puis, tout à l'avant, une jeune femme brune qui ne lui était pas inconnue du tout bien qu'elle était arrivée depuis peu à Bruges. Elle semblait ne pas s'être aperçue que la troupe avait fait halte... Peut-être ne l'avait elle pas entendu, ou simplement le groupe était déjà au complet et personne d'autre n'était attendu...

Et puis Brez se souvenu qu'elle lui avait parlé de se balader au port et au bord de la mer, mais il avait tardé se libérer pour l'accompagner, peut-être qu'elle lui en tenait rigueur ?... Pourtant il avait bien envie de les accompagner.


Damoiselle Sylith ! dit le Breton pour l'interpeller, Puis-je me joindre à vous ? Vous allez bien à la mer ?

La voyant se retourner, il esquissa un sourire un peu confus d'arriver si tardivement...
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Sylith
J'étais en marche, le pavé sous mon pied était ferme, quelques mouettes se disputaient les poissons restes de poisson du marché. On les vidait de leurs entrailles avant de les vendre : c'est là que s'arrêtaient mes connaissances sur ces bestioles.
Quant à savoir si ça s'attrapait à la main j'en savais foutrement rien.
Dans ces conditions le plus simple était encore de demander, au pêcheur qui ravaudait ses filets par exemple, histoire de ternir un peu plus encore mon éclat d'étoile filante.

Je prenais mon air le plus naturel possible qui par chance était celui d'une fille qui avait passé un peu trop de temps à l'intérieur des terres et qui ne connaissait pas grand chose à la vraie vie.


Excusez moi môssieurs C'est l'accent flamand ça, un truc détestable dont on ne se défait jamais tout à fait. Vous croyez que c'est possible de pêcher des poissons à la main dans la mer ?

Il a cligné des yeux, haussé les sourcils qui ont bien dûs rester figés dans cette position pendant cinq secondes. Le genre de regard que vous lancerait Levan III si vous lui demandiez si Caedes ou Volpone seraient bien les parrains de ses futurs enfants.
Le regard qu'on jette à un demeuré profond.

Si vous avez le bras aussi long que ce fieffé coquin de Cardinal alors p'têtre ben. Mais sinon ma bonne dame va falloir lancer une ligne ou un filet comme tout le monde. Et d'ajouter plus bas. Ces gens d'la campagne j'vous jure. Y f'raient pas la différence entre une morue et un hareng …

J'ai rejoint la Kat, ça m'ennuyait de couper net son élan mais j'ai toujours été partisane de la limitation des gros dégats au strict minimum. Dans ce cas : éviter de prendre deux claques quand une seule aurait pu suffire.

Je crois qu'on ne va pas pêcher aujourd'hui. Il a été assez catégorique là dessus.

Inutile de s'étendre sur le passage emprunt de profond mépris.
C'est là que mon grand, beau, brun tribun est arrivé. J'étais plutôt satisfaite qu'il n'ait pas assisté à la scène précédente et je l'accueillais d'un plein sourire soulagé.


Damoiseau Brez ! Il savait que je n'aimais pas qu'on me donne du damoiselle. Nous y allions en effet. Et vous avez intérêt à nous accompagner oui : Maryse nous a ramené son pain au noix.

Je tapotais significativement la besace qui pendant sur ma hanche tout en glissant sur l'outre de vin qui n'allait pas tarder à la rejoindre.
Brezhonneg
Brez qui avait peur d'être de trop dans le cortège, fut accueilli par un sourire des plus agréables de la jeune demoiselle. Il lui en rendit un tout aussi amical mais il vira bien vite au rire lorsqu'elle l'appela damoiseau...

Je crois bien que l'on ne m'a jamais appelé damoiseau à moins que ma mémoire ne me fasse défaut... mais je ne suis pas encore assez vieux pour cela !

Après avoir rit encore quelques instant, il se tut à nouveau pour laisser parler Sylith... elle évoqua un pain au noix apporté par Maryse, ce qui étonna un peu le tribun.

Oh damoiselle ! dit il d'un air taquin avec un petit sourire Point besoin de pain au noix, tout aussi bon qu'il soit, pour motiver un Breton à venir au bord de la mer voyons, et encore moins pour moi qui ai grandit sur une île ! Rajoutez à cela que vous former tous une charmante petite troupe et vous n'avez vraiment nul besoin d'évoquer le pain aux noix pour m'inciter à vous rejoindre !

C'est plutôt moi qui suis heureux que vous acceptiez ma compagnie...

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Viken
Du haut des remparts qu'il arpentait depuis un moment déjà, Viken aperçut un petit groupe se diriger vers le chemin de la côte. Curieux comme à son habitude, il plissa les yeux afin d'y regarder à deux fois.
Quelle était donc cette expédition qui quittait les murs d'enceinte ?

Redoublant d'efforts pour affûter sa vision, il reconnut enfin son ami Brez et une silhouette qu'il crut reconnaitre ...celle de Kat-gri il lui semblait bien. Aux côtés de l'illustre tribun, une femme inconnue semblait lui tenir conversation.

Viken se pencha un peu plus du haut des remparts pour observer au mieux tel un vilain curieux. Il semblait donc que cette petite assemblée se dirigeait tout droit vers la mer.

Murmure pour lui même:

Ah ... ben il ne s'embête pas le Brezonneau ... crois tu qu'il m'aurait fait profiter de la ballade cet égoïste !! Et toujours bien entouré à ce que je vois.

Ni une, ni deux, ... plutôt que de bougonner à voix haute, il prend ses jambes à son cou et dévale les escaliers glissants de la forteresse. Manquant s'étaler à chaque virage serré, il était bien décidé à rejoindre la troupe.

Jouer les trouble fêtes ne lui faisait pas peur, il savait que son ami ne lui en voudrait pas. D'ailleurs, c'était aussi fait pour ça les amis, les vrais ... pour accepter vos facéties.

Une fois passées les lourdes portes, il se lança dans une course effreinée pour rattraper tout ce petit monde, si bien qu'arrivé à leur niveau, l'air lui manquait. Il déboula rougeaud et le souffle court, conscient d'être ainsi ridicule mais assez satisfait de voir les regards surpris par son arrivée en fanfare.


Erf ... erf ... vv .....erf ... vv ..zz ... erf

Ah foutus poumons qui ne se remplissent pas assez vite et cette respiration qui ne reprend pas le cours normal des choses ... allez on se calme et on reprend

Erf ...v'z'allez où comme ça ?

Enfin... les mots réussissent à se refaire une petite place au milieu des râles ... ça va aller mieux mais pour le moment, le plus difficile va être de se redonner une constance.
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Sylith
Votre breton vous trompe tribun. On applique la qualificatif de "damoiseau" aux jeunes hommes.
Le Conseil Comtal ne vous a pas encore donné assez de rides pour que je change d'appellation.


Le protocolaire de l'échange avait étiré les commissures de mes lèvres en un demi-sourire moqueur, aussi bien de lui que de moi.
J'envisageai une seconde qu'il ait pu se moquer gentiment de ma trogne quand un visage rubicond sous livrée de la garde de Bruges fit son apparition, apparemment à court d'air.

Je lui jetais un regard amusé avant de me tourner vers Brezh.

C'est ça la garde de Bruges, tellement habitués à vivre dans leurs hauteurs plus pures qu'ils ne peuvent pas redescendre sur le plancher des vaches sans suffoquer. Devriez les voir si on les foutait dans une forge … Ils en crèveraient à coup sûr.
Deux autres de ses compères passèrent en patrouille à côté de nous à ce moment-là, dont un particulièrement ventru il faut bien l'avouer.
A moins que ça ne soit le muscle du houblon le responsable. Qui sait ?

Je le trouvais malgré tout sympathique, il avait l'air à peu près dénué de ce balai qu'ils ont habituellement bien campé dans le fondement et je me laissais aller à la tentative de subversion d'agent public.

C'est le garde ou le pillier de taverne qui le demande ?

Malgré tout ça les fourmis de mes jambes revenaient. Avec toute cette troupe qui n'avançait pas d'un pouce on n'allait jamais y arriver la mer et la patience n'avait jamais été mon fort.

Dans tous les cas vous ne voulez pas parler en marchant, j'ai bien peur de devoir installer un feu de camp sur la place sinon. Tout ces olibrius sont doués en parlote mais en action un gamin de 5 ans pourrait leur donner la leçon.
Enfin, vous êtes un homme d'action non ? Un homme de la garde comme vous !
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