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[RP] Divertissement en place publique : la foire de Mai

Wonderanny
[Toujours à la même place, parce qu’une GA ça ne chasse que les groupes de détrousseurs.]

Arrivée en mode discrète de la Scribe de l’Ordre armée de l’étendard reconnaissable. Pensée amusée… non Lulue ça compte pas comme fait d’armes ça !
Echanges de simili mondanités qui s’ensuivent, entre Dames au retour d’une lointaine mission, heureuses de se retrouver enfin. Echanges couvés par le regard à la fois fatigué et heureux de la Grande sur les Dames.
Sourire qui s’affiche encore plus grand quand Azelie fait également son apparition. Plaisir de les revoir, étrange sentiment de sécurité que de se retrouver sur les terres du Bourbonnais-Auvergne. Impatience d'y croiser certains chers à son coeur.


Au Voleur ! Ma bourse, au voleur !

La voix nasillarde est des plus agressives. Mouvements rapides de la foule bousculée, et une Scribe qui manque de tomber. Ça non plus Lulue… pas un fait d’armes.

Improvisation d’une course poursuite dans les ruelles… Une Blanche partie… puis une seconde… et le regard qui suit paisiblement le mouvement. A les connaître, il n’ira point loin, et si ce n’est elles… les forces armées l’auront à nul doute. Alors pourquoi s’inquiéter ? Dans la foule les deux Blanches ont disparues. Poursuivre la veille, l’observation passive des prunelles. Dans la foule quelques visages connus… n’est ce pas la rectrice là qui déambule ? Depuis le temps qu’elles ne se sont pas vues… Est-ce bien elle ?

Cesser les interrogations quand un Duc bien connu vient les accueillir.


Que je suis heureux de te revoir, comment vas tu ? Vous avez fait bon voyage ?

Petite révérence devant le Duc, appuyé d’un sourire ravi de le revoir.

Bonjour à toi mon ami ! Oui le voyage fut presque sans encombre depuis la Touraine… Long et épuisant je dois l’avouer. Enfin… tu te doutes de la raison de notre venue en Bourbonnais Auvergne…

Deux Dames viennent de partir à la poursuite d’un petit scélérat, elles ne devraient plus tarder. En attendant permet que je te présente Pherea, Azelie et Atalante. Et toi, dis moi... comment vas-tu ?

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Jacouillet
Le Jacou se promenait tout en chantonnant

Pom pom pom, youplaboum.....hey, mais y'a du monde dans ce pays.

En effet, pas de mal de monde s'était aglutiné au même endroit, comme des sardines...ou comme des vautours autour d'une carcasse pour les plus cyniques. Curieux, il décida d'aller voir par lui même, péniblement, car il avait blessé deux jours auparavant après une petite chamaillerie avec des brigands. Le pauvre, il avait encore mal partout, surtout à son bras.

Heureusement pour lui, il trouva une rambarde ou il pouvait s'accouder pour se reposer, tout en observant les gens. Il y avait beaucoup de femmes d'ailleurs, ce qui ne déplaisaient pas aux yeux du blond. D'ailleurs, il crut reconnaître l'une d'elle, sans pouvoir mettre un nom dessus. Pas grâve hein.


Bon Jacou...Beer or not beer ?...Huuum Beer

Il sourit en coin et reprit ses affaires, toujours un peu laborieusement et décida de partir en quête d'une buvette. Mais sur son chemin il percuta deux dames de pleins fouets qui courraient après quelqu'un. Il chuta sur son mauvais bras. Une grande douleur lui traversa tout le corps et il se mit à débiter des jurons tout en étant assis. Pour préserver les chastes oreilles, certains termes nauséabonds seront remplacés par des "tuuuuuuuuut"

tuuuuuuut.....bordel de.....tuuuuuuuut......de balai à chiotte de mes deux...tuuuuuuuuuuuuut.....grosse...tuuuuuuuut....vache...tuuuuuuuuuut raclure de bidet......tuuuuuuut...je te dévisserais la tête et....tuuuuut dans le cou.

Tout en haletant, il se leva doucement, sans s'aider de son bras blessé.

Piuf....ça défoule

Il s'épousseta un peu et remarqua que quelques personnes l'observaient, avec désaprobations. Il se tourna vers eux.

Quoi ?!! vous voulez mon portrait ?
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Titca
Typhanie était coincée ici dans ce Duché loin de chez elle après un trop long voyage, la Dame ronchonnait donc plus que raison, ce sentant enfermée dans une cage, elle qui aimait la liberté c'était mal parti ! Alors elle décida de prendre l'air et profiter de la situation plutôt que de passer ses journées à râler. Joyeusement elle sortie dans les rues de la villes quand une mer d'insultes arrivaient à ses douces oreilles, tien tien son papa ours était pas loin ! Pouffant elle passa à travers la foule et le regarda au sol demandant à qui veux s'ils aimeraient son portait. Mmmh, le Mamour semblait aussi de mauvaise humeur.

Votre portrait Sir de Divonne, bien volontiers il aurait une place de choix au dessus de mon lit ! Mais je préfère encore vous avoir vous.

Soye lui tendit doucement la main et l'aida a ce relever dans un sourire ravageur.

Puis-je vous apporter mon aide ? Peut-être auriez-vous besoin d'un brin d'amour ?

Typhanie n'attendit pas sa réponse et alla le rejoindre au sol déposant ses lèvres sur les siennes, ainsi assises au sol, elle regarda autour d'elle et haussa les sourcils.

Pourquoi tant de monde ici lieu ?
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Héraldique
--Sauvez_willy
William était terrorisé. Il s’dit que le sort lui jouait bien des tours aujourd’hui et qu’il lui serait difficile de se sortir de c’te affaire là. Déjà les cris du garde se rapprochaient dangereusement et le grand messire ne voulait plus le lâcher. De toute façon il ne serait pas allé bien loin, pétrifié qu’il était, sentant ses jambes se dérober sous son poids malgré son envie de fuite. Heureusement pour ses gambettes faiblardes, l’seigneur l’agrippa et le souleva du sol pour rencontrer ses yeux brillants. C’était un rudement beau seigneur, bien habillé, et surement d’un statut important dans le duché.

Un éclair se fit dans les yeux du jeune garçon. Cet homme avait le regard de son père, la mine fermée et sévère en signe de réprobation mais toujours calme et juste comme seul un père pouvait exprimer. Cette constatation calma un peu les battements de cœur du jeune garçon qui commençait à s’emballer. Le garde arriva et ses lèvres ne remuèrent pas d’un millimètre, suivant sagement l’injonction de l’homme de ne pas parler.

Il était un peu naïf le Willy, il avait tendance à faire confiance aux personnes qui lui inspirait le respect. Dame Francine n’avait jamais fait parti de cette catégorie alors jusqu’ici, il n’avait jamais eu à pâtir de cette insouciance. Ainsi, silencieusement, il suivi l’échange entre les deux hommes et se dit qu’une fois de plus, son instinct lui avait porté chance. Entre lui et la jeune femme de tout à l’heure, il avait de quoi se réjouir. Son avenir n’était pas si noir qu’il n’y paraissait.

Sa bourse lui fut retirée sans qu’le blondinet ne montre un seul signe de protestation. Il venait de trouver un sauveur providentiel, même si celui-ci lui promettrait une bonne correction, mais enfin après tout, il la méritait bien. Il ne voulait juste pas aller en prison. Les pupilles bleues turquoise se firent soudain plus brillantes. Tous ceux qui aurait été attentif à l’éclat de ses yeux auraient vu le changement de l’effroi, à la honte puis à l’admiration lorsque l’homme déclina son identité. Prit d’une soudaine assurance, il lança au garde qui repartait.


On ne discute pas les ordres du duc ! et que je n’te revois plus !

Bon sang Willy ! Ptit veinard va ! Un sourire apparu sur son visage angélique, tout fier d’avoir rencontré un homme si respecté. Il avait une mine malicieuse qu’il quitta immédiatement devant le regard réprobateur de l’homme en question Il fut toutefois traîné vers l’auberge la plus proche et baissa la tête comme un enfant devant son géniteur après une lourde bêtise. Ses pieds retrouvant la terre ferme, il s’inclina devant le messire en murmurant, le rouge aux joues « Merci vôtre grâce ». Il savait à présent inconsciemment qu’il ne risquait plus grand mal alors il soupira bruyamment.

Malheureusement il n’entendit pas derrière lui les pas feutré d’une blanche furieuse qui le regardait de ses yeux perçants. C’est lorsqu’il leva les yeux vers son sauveur qu’il sut que quelque chose ne tournait pas rond… encore. D’un bond, il se retourna, faisant face à une grande femme majestueuse et terrifiante à la fois tant ses yeux lui envoyaient des éclairs. Il l’a reconnu en un fragment de seconde, la chevalière qui avait déclenché le mouvement de foule à l’origine de ce remue-ménage. Il ne savait s’il fallait la remercier pour l’avoir libérer de l’emprise de la vicomtesse ou la détester de l’avoir précipité dans un avenir bien sombre.


T’sais dans certaines contrées, on coupe une main aux voleurs, d’autant plus lorsqu’ils bousculent les gens sur leur passage.

Déglutition difficile, le gamin se cacha tout naturellement derrière le duc, calant ses mains derrière son dos. Ne sachant si elle comptait appliquer les coutumes lointaines. M’enfin, ce n’était pas une réaction de chevalier ça, de se cacher derrière un adulte plus fort. Il fallait qu’il commence enfin à affronter ses ennemis. Il sortit alors de sa cachette timidement mais avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit, elle avait fait demi-tour et était reparti vers la sortie.

C’est là qu’il la vit. La majestueuse cape qu’il reconnut aussitôt. C’était la même que l’aspirante Abbygaelle de tout à l’heure. Il voulu lui sauter dessus, lui poser plein d’question, la première étant si elle savait où il pourrait retrouver la dame brune. Mais encore pétrifié par ce qu’elle venait de lui dire, il ne put que pousser un bruit rauque qui mourut faiblement entre ses lèvres.

Il s’retourna vers son héros et se jeta dans ses jambes, le regard profond accroché à son visage.


Oh dites, vous la connaissez ? Vous croyez qu’elle va me couper la main ? Vous connaissez son ordre ? Vous connaissez dame Abbygaelle ?

Son cerveau recommençait enfin à fonctionner et bouillonnait de question. Il s’accrochait désespérément à sa seule bouée de secours mais baissa le ton un peu et souffla à l’homme en question.

J’suis William McGrégor et j’suis un futur chevalier
Abby8659
[Toujours dans une course poursuite…]

Pourquoi courrait-elle ? Abbygaelle serait mieux auprès de la GA pour la protéger de cette foule malveillante… Pfff, comme si la GA ne savait pas se défendre seule. Non, elle était bien là, l’blondinet avait certainement plus besoin de son aide à cet instant. Regard parcourant la place alors que l’agitation grimpait à mesure que l’après-midi avançait. Elle perdit le fuyard et pesta intérieurement. Grognement, grimace, enfin tout l’arsenal facial de la limousine fut déployer au milieu de la foire. Des regards distraits observaient la mine déconfite qu’elle affichait et s’écartait un peu de son chemin.

Des voix d’hommes parvinrent à ses oreilles. L’une plus particulièrement lui fut familière et elle s’approcha un peu de son origine, tentant de se couper de tous les autres sons alentours. Elle vit alors le garde de tout à l’heure avec le gosse et un Duc exaltant ses muscles en portant l’blondinet. La course reprit alors pour les rejoindre.

C’était sans compter sur un autre blondinet, plus vieux cette fois, à l’allure étrange, qui se mit au travers de son chemin. Le choc fut brutal et l’homme tomba à terre dans un bruit sourd. Décidemment c‘était la journée des blonds, se dit-elle et celui-ci n’était pas mal du tout. Abby s’arrêta et l’observa avec un sourire aux lèvres tandis que celui-ci proférait des jurons de toutes sortes. Ce n’était pas pour lui déplaire, à l’aspirante et elle s’dit que finalement l’gosse n’était pas si important que ça. Tous ses espoirs s’envolèrent en fumée quand une belle jeune femme vint réconforter son apparent compagnon par un baiser. Maqué, flut alors…

Bon du coup, elle n’vit pas Lucie la devancer et prendre les devants avec l’jeune Willy et quand elle s’retourna, plus de duc ni de gamin à l’horizon. Elle erra lamentablement entre les bourbonnais avant d’apercevoir la silhouette de la scribe de son ordre, le visage tout aussi impassible que d’habitude. Impossible de lire ses traits ni sa colère récente, ce qui déstabilisait toujours quiconque se trouvait face à elle, et encore plus la limousine mal à l’aise.


Abby ? On a assez perdu de temps comme ça, faut rejoindre les autres maintenant.

Non… elle n’était pas d’accord, la brunette. Elle s’était fixé une mission, retrouver le gamin, et c’mystérieux duc par la même occasion, un autre blondinet pensa-t-elle. Et puis quel était ce temps si précieusement perdu ? Qu’avaient-elles à faire de si important ? Voilà des jours qu’elles étaient là à défendre contre cet ennemi invincible. Comme pour toutes les missions d’ailleurs. Et puis elle n’avait aucune envie de faire des mondanités à parler avec les auvergnats. Elle n’était de toute manière pas très diplomate, elle n’servirait à rien à Nanny. Fronçant les sourcils, elle décida de se rebeller de l’autorité de Lulue et d’filer vers sa propre mission personnelle.

J’te laisse les rejoindre, faut que je m’occupe d’une affaire personnelle. J’passerai en taverne pour ramener les repas pour toutes les blanches. A toute

Elle n’lui laissa pas l’temps d’répondre, sachant très bien qu’elle insisterait pour qu’elle la suive. Elle s’précipita vers la taverne la plus proche pour lui prouver son argumentation de ravitailleuse du groupe. Fermant la porte derrière elle, Abby s’appuya contre l’encadrure et souffla un coup. Elle regarda où elle était tombée et poussa un ptit cri. Willy et l’duc étaient en face d’elle, l’un collé à l’autre, dans une discussion passionnée. S’approchant du duo, elle croisa les bras d’un air entendu et sourit en coin.

Bah t’as trouvé un nouvel allié, gamin ?

Elle savait très bien son nom mais l’habitude avait été prise d’appeler tous les lilliputiens gamin, juste parce qu’elle aimait jouer les grandes sœurs caractériels. Son regard bleu profond quitta le petit et se posa sur le grand, et ses joues se mirent naturellement à rougir. Dans une courbette habile, elle le salua poliment.

Je vous salue, votre grâce. Je suis Abbygaelle de Kermaëdic, aspirante dame blanche et à la recherche d’un ptit voleur qui a semé le trouble dans la ville. Vous ne sauriez pas où j’puis l’trouver par hasard ?

Son sourire se fit plus grand alors que ses yeux jetaient de rapides coups d’œil vers le petit. Le regard turquoise de Willy la dévorait des yeux et il y avait de quoi s’inquiéter. Mais elle n’en fit rien, observant juste l’absence de bourse entre les doigts du garçon.

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Pierre_de_roanne
( Dans la taverne )

Les voilà donc rentrés dans la taverne, Pierre lâche son étreinte du col du gamin, il n’irait de toute façon pas bien loin, et quelque chose lui dit qu’il n’en a pas l’intention.

Voilà qu’une blanche déboule telle une immense vague sur la plage de la côte Mimizanaise, une sorte de flot qu’on ne voit pas venir et qui repart aussitôt.

Une voix forte, des menaces au petit qui sont justifiées et qui doivent lui faire peur. Elle lui adresse un signe de tête puis plus rien, un demi tour rapide et un départ tout aussi rapide, la blanche disparaît comme elle est venue.

On peut dire que la politesse ne l’étouffe pas, mais il n’est pas là pour refaire l’éducation des gens qu’il ne connaît pas.

Il tourne son regard sur le gamin qui est sorti de derrière ses jambes. Et voilà une cascade de questions, on peut dire qu’il n’a point la langue dans sa poche. Il se présente, Pierre hausse un sourcil, s’accroupit devant lui.

Hé bien William, moi je suis Pierre


Il lui tend la main

Puisque tu as encore ta main, permets moi de la serrer.

Il prend la main du petit William et la serre fermement. Puis se relève et pose sa main sur son épaule.

Avant de répondre à tes questions, je veux que saches que tu as une dette envers moi, note bien cela dans ta tête futur chevalier McGrégor

Il le jauge et poursuit.

Alors dans l’ordre, je ne la connais point, mais je te rassure, tu vas garder ta main. Oui je connais son ordre, je le connais très bien même et je t’en parlerai plus tard. Quand à Abbygaelle, je la connais également.

Il regarde après une table libre.

Viens avec moi, on va s’asseoir tout les deux. Je suis sur que tu as faim et soif.

Ils se dirige vers la table quand une autre blanche entre dans la taverne.

Bah t’as trouvé un nouvel allié, gamin ?

Pierre regarde la nouvelle entrante

Je vous salue, votre grâce. Je suis Abbygaelle de Kermaëdic, aspirante dame blanche et à la recherche d’un ptit voleur qui a semé le trouble dans la ville. Vous ne sauriez pas où j’puis l’trouver par hasard ?

Pierre ne peut s’empêcher de rire

Hé bien ravi de vous voir Abbygaelle, on peut dire que le hasard fait bien les choses. Alors pour ce qui est du petit, en dehors de celui ci, il montre William, je n’en vois pas d’autre. Mais il est maintenant sous ma responsabilité.

Il regarde le gamin qui ne quitte pas des yeux la jeune aspirante. Un clin d’œil à la blanche.

Nous allions nous restaurer, est ce que vous vous joignez à nous ? J’ai à vous parler.

Sans attendre la réponse, Pierre prend place, poussant William à s’asseoir près de lui et hèle le tavernier.

Tavernier, apportes nous deux bières fraîches et un verre de lait pour le gamin. Et donnes nous de quoi manger, mon estomac commence à crier famine.
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Jacouillet
Le Jacou posa ses yeux sur son épouse qui venait tout juste d'arriver. L'énervement était encore la, mais il disparaissait doucement. Dans un sourire, il adressa la paroles à sa femme.

Ah ben tu tombes bien toi, tu vas pouvoir aider le pauvre infirme que je suis à survivre parmis tout cette populasse.

Le blond embrassa Tit.

Pour ce qui est de la raison d'un tel attroupement...beeeen, j'en ai aucunes idées. Faudrait peut être leur demander.

Il regarda autour de lui.

D'ailleurs l'ai l'impression que des gens se dirigent vers ce qui semble être une taverne

Il regarda en souriant en coin

Huuuum dis moi, tu n'aurais pas une petite soif toi ?
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Titca
Souriante la Dame aida son époux à ce remettre sur deux jambes et épousseta ses braies avant d'en faire de même avec sa robe. Puis attrapant son bras ''valide'', elle la regarda. En taverne ? Une petite soif ? Ravie de passer un moment avec l'homme quelle aime Typhanie approuva.

J'avoue ne pas être contre une bonne tisane, mais je n'ai pas d'écus... Cela t'ennuierais de m'avancer une verre ?

Elle rougit, pas vraiment habituée de réclamer une tournée. Puis regardant les quelques personnes enter dans le tripot elle attendit que son époux la guide, peut-être auraient-ils la chance de rencontrer du monde ?
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Héraldique
*atalante
Bon, voila qu'un duc, un des dernier du duché, je ne sais plus son nom, car je l'ai peu vu entre toutes les missions de l'ordre, je n'ai pas été très présente ces dernier temps dans le duché, légères courbettes, faut dire que tenant les chevaux, c'est pas facile, en plus, j'ai récupéré celui de Abbygaelle en plus du miens et de celui de la Grande Amazone, puis je laisse cette dernière se perdre en palabre avec le nouvel arrivant pour me diriger vers l'écurie la plus proche déposer nos chevaux et les soigner.

Un palefrenier viens m'aider pour installer les animaux puis je m'occupe en premier de la noble monture de la baronne.
L'abreuver, puis le frotter longuement avec une poignée de paille, lui enlever la poussière et la sueur du au voyage tout en le massant pour le détendre de cette longue promenade de plusieurs jours.
Ceci fait, au tour de celui de Abbygaelle, mais que fait elle, surement à trainer en taverne, elle est partie en coup de vent, peut être que ça faim était plus grande que je en le pensais.
J'enlève la selle, les fontes, tiens, je vais en faire quoi de tout ça moi, déjà les miennes, puis celle de Wonderanny, avec celle d'Abbygaelle, je vais pas pouvoir tout porter d'un coup, ou alors, je vais devoir embaucher un bougre.
Au tour de mon cheval gentillement prêté par mon parrain, d'ailleurs, il est ou lui, est il dans le coin, si je savais, j'aimerai tant le voir.
Je pense du coup à mon Norbert qui m'attend là bas chez lui à Saint Nectaire, pourvu que le gros Planchet ne l'ai pas mangé le prenant pour un âne.
Maintenant, tous abreuvé, à manger, puis, prendre soins de moi aussi.
Je me charge de mes affaires avec celles de la Baronne de Veauce, confiant celle de la Limousine à un garçon d'écuries avec ordre de me suivre.
Il nous faut rejoindre le groupe en espérant les trouver rapidement et facilement.

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Beths
[Note HRP : alors voila, j'avais envie de participer à ce RP, et j'ai demandé l'autorisation de LJD Wonderanny, sachant notamment que Beths fut à Clermont pendant deux semaines en gros du 17 au 30 mai, qu'avant elle était retournée à Thiers et qu'encore avant lors de la "reprise" du chateau aux brigands, elle était à Clermont.
Donc bref, pour les puristes, il y aura surement des incohérences de temps ^^
Voila pour les explications HRP]


La défense civile ou l'art et la manière du casse tête. Elle en avait usé du parchemin pour tenter de mettre en place ces fameuses défenses, faisant moult propositions, décidant de certaines choses, demandant l'aide et l'assistance des maires, des nobles, des membres de la prévôté, de leur prévôt aussi, et puis de la COBA bien évidemment, mais aussi des autres conseillers dits de "défense". Car il était fondamental que tout soit unifié et que chacun puisse savoir qui faisait quoi. Une défense harmonisée, voila ce qu'il fallait.

Et les heures passées avaient été récompensée, les Bourbonnais Auvergnat se révélant une nouvelle fois être un peuple fier et courageux, répondant aux appels à volontariat. Et elle avait été fière d'avoir pu trouver plus ou moins, un système qui fonctionnerait au moins une quinzaine de jours, avec la bonne volonté de tous.

Elle avait donc aidé à tout mettre en place, et une fois chose faite, elle avait prévenu que la gestion reviendrait de droit au prévôt qui se trouvait ainsi en charge d'une défense potentiellement conséquente.

De son côté Beths avait accepté de se rendre sur Clermont pour soulager un peu les jeunes aspirants, et pour prendre des gardes. Elle avait donc pris quelques victuailles, quelques écus qui lui permettraient de payer ses nuits dans une auberge convenable ... enfin ses nuits ... des heures de repos glanées de-ci et de-là, et elle avait fait un trajet sans encombre.

Arrivée dans la capitale, la Dame de Gondole s'était émerveillée de la gentillesse de tous les habitants, nouveaux comme anciens, prêts à défendre et aider à défendre leur ville, mais aussi le château. La bonne humeur avait circulé au sein des défenseurs, et la maréchale qu'elle était avait été ravie de cet état de fait.

Et puis une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule ... les Dames Blanches arrivaient pour leur prêter main forte. Beths en aurait sauté de joie. Nanny, elle allait enfin la revoir.


Le jour tant attendu arrivait, et alors qu'elle déambulait dans la ville, contrôlant discrètement les visages, cherchant à vérifier si certains ne cherchaient à baisser la tête, échappant ainsi aux vérifications ... des hommes et femmes de l'ombre ...
Soudain une clameur ... un vol. La maréchale se précipita sur les lieux et tomba ... sur un groupe de Dames dans lequel Nanny se trouvait, et un homme heureux, le Duc de Souvigny.
Un très grand sourire sur le visage, elle s'approcha d'eux.



Mesdames, Messire, le bonjour.


Et se tournant vers celle qui était ... sa vassale

Nanny, bon retour chez toi. Et à tes Dames, soyez les bienvenues, et soyez remerciées de ... ben ... d'être là, d'être venue ...


De la douceur pouvait se lire dans ses prunelles qui pouvaient changer d'expression de manière radicale si elle sentait le moindre danger. Mais pour l'heure la quiétude régnait. Et puis ses yeux se portant sur les visages un à un ...

Dame Azelie ? Mais ? Vous êtes venues vous aussi accueillir les Dames ?

Elle avait comme un léger doute en tête ... quant au vol, elle l'avait déjà oublié
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Lulue
[Dans un bain de foule… Et d’sentir qu’on n’était pas au bout de nos surprises… c’est un fait d’armes Nanny ?]

Fin sourire amusé à cette pensée de fait d’armes.
Ce qui était une blessure autrefois était devenu un sujet d’amusement qui resterait probablement longtemps dans les annales d’une relation entre une Dame des Dames et une Scribounette.
Mais revenons au sujet qui nous intéresse…

Ce n’était plus la douce musique enivrante des ménestrels que la Muse entendait alors qu’elle attendait une réaction de l’Aspirante, tout en ayant avancé de quelques pas.
Non, là c’était plutôt quelque chose comme un palmarès d’insultes qui venait pourrir son environnement sonore.
Soudainement, mouvement d’un sourcil vers le haut.
Si on veut son portrait ? Mouarf, en voilà une question originale… mais non merci, ça n’irait pas avec la déco intérieure de la maisonnette familiale.

Elle scrutait distraitement l’homme, son visage lui disant vaguement quelque chose.
Lucie avait la mémoire des trombines plus que des noms, pourtant elle lui faisait visiblement défaut en cet instant.
Léger haussement d’épaules, l’Auvergnate devait se faire des idées.

Toute à ses réflexions, elle ne faillit pas entendre la réponse d’Abby…


J’te laisse les rejoindre, faut que je m’occupe d’une affaire personnelle. J’passerai en taverne pour ramener les repas pour toutes les blanches. A toute.

Mais c’était sans compter sur ses oreilles de Brune bien affutées, tout comme sa vue lui permettant ainsi de savoir bien des choses que les Blanches pensaient être passées totalement inaperçues.
Lui courir après ?
Non… Elle la suivit juste de ses yeux noirs, pour confirmer ce à quoi elle pensait.
Mouais, ce n’était vraiment pas le moment d’aller faire le joli cœur devant le Duc le plus proche !
Manquement de la future Blanche qui ne resterait pas sans conséquences pour autant.
Même si au final, un fin sourire fendit le visage de l’Esquire devant la fougue de la Limousine, lui rappelant vaguement une jeune fille aux cheveux bleus, qui avait disparu il y a bien longtemps.
Toutefois, il n’en était pas moins qu’elles n’étaient pas là pour régler des affaires personnelles.
Intransigeante la Scribe ?
Sans doute… on la disait souvent inaccessible et aussi froide qu’une brise hivernale au premier abord à cause de cela, entre autre.
Mais c’était un côté de sa personnalité qui lui avait permis de garder la vie tandis que certains de ses frères et sœurs d’armes étaient tombés.
Secouer imperceptiblement la tête… allons bon, pas le moment de s’évader dans ses souvenirs.
Pour se redonner un brin de concentration, Lucie leva les yeux et pu voir un point noir à plusieurs mètre au dessus de sa tête.
Enfin un point noir… pas tout à fait… ce n’était autre que son binôme à plumes, dont elle ne se séparait qu’en de très rares occasions.
Petit sourire de constater une fois de plus que rien n’échappait au busard pâle, tout faisant un nouveau demi-tour contrôlé pour rejoindre cette fois-ci le reste des Blanches.

Le groupe s’était quelque peu engrossé durant son absence.
Ah ben là, les visages lui parlaient même si celui du Duc lui rappelait les funérailles de Lap, qu’il avait officié.
Laisser un soupir filer entre ses lèvres à cette sombre pensée avant de remettre une fois de plus le masque.
Ayant un doute soudain sur le rang de noblesse de la Dame, Lucie se demanda si elle devait donner du « votre Grace » à Lanfeust.
Mouais on va opter pour la simplicité…


Dame, Messire… le bon jour. Je suis Lucie


Poser ses pupilles sur Nanny.

Abby ne devrait plus tarder, alors le point sur la situation, c’est quand tu le souhaites.

Petit sourire complice, se doutant qu’elle voudrait probablement échanger un mot ou deux moins formels avec ses amis au préalable…

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Wonderanny
[Prendre ou pas racine au milieu de la place ? En mai, fait ce qu’il te plait !]

A peine à elle finit de saluer le Duc Lanf, dicte le multi tâche, qu’un autre visage connu se rapproche. Instinctivement elle rentre un peu la tête s’attendant aux fortes paroles bien connues de sa suzeraine.

Nanny, bon retour chez toi. Et à tes Dames, soyez les bienvenues, et soyez remerciées de ... ben ... d'être là, d'être venue ...
Dame Azelie ? Mais ? Vous êtes venues vous aussi accueillir les Dames ?


Les yeux se font plus grands sous la surprise de l’échange si… doux ?! Pas de cris ? Pas un mot plus fort que l’autre ? La suzeraine serait elle souffrante ?
Elle dévisage son visage un peu interloquée de l’accueil donné avant que de sourire à son tour, rassurée de déceler de la joie et de la douceur dans le regard du Prévôt.


Merci Beths ! Comme je suis heureuse de te revoir. Mais tu es seule ? Marty n’est pas à Clermont ? Il y a si longtemps que je ne vous avais pas vu tous les deux ! Comment te portes-tu ?

Dame, Messire… le bon jour. Je suis Lucie
Abby ne devrait plus tarder, alors le point sur la situation, c’est quand tu le souhaites.


Et une de retour. Si Abby restait seule c’est donc que la situation était maitrisée. Elles avaient du trouver mains fortes auprès des membres de la défense civile.
Incliner la tête en entendant les paroles de la Scribe. Dans un fin sourire, échanges de prunelles apaisantes signifiant : j’dis d’abord bonjour et dans deux minutes, tu pourras me raconter ton fait d’armes.

En attendant Abby et dans l’intention de leurs proposer de partager un repas dans une des tavernes de la cité en attendant de prendre leur garde elle se lance à nouveau dans les présentations.


Beths, Lanf, je vous présente Lucie, Esquire et Scribe de l’Ordre. Pherea apprentie, son assistante et deux de nos femmes d’armes Azelie et… Atalante ? Mais… Ou est donc encore passée Atalante ?!

Atalante déjà mais aussi les chevaux et les effets divers ? C’est qu’elle commence à bien connaître la jeune femme et sa débrouillardise. Sa connaissance également de la cité mais cela n’empêche pas la pointe d’inquiétude s’immiscer dans le cœur de la Grande connaissant également son courage souvent, bien trop souvent inconscient. Pis… Il y a tant de monde en ce jour… et pas que du beau monde…
Une certaine pâleur vint grignoter les joues de la Dame des Dames. Roulement de prunelles sur la place bien trop encombrée à son goût.

Se tourner vers Beths avec une idée… Et si la suzeraine donnait de la voix ? Non, non… finalement mauvaise idée. Au vu de la foule en place, bien que Beths ait un organe particulièrement efficace pour se faire entendre, nul doute que l’appel ne serait pas entendu. Enfin… quoi que ?!

Dévisager d’un regard inquiet les Blanches présentes avant que de relancer l'interrogation d'un ton plus fort :


Mais ou est elle ?
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Jacouillet
Jacouillet propose son bras valide à son épouse.

Oui bien sûr, il m'en reste encore. T'en as de la chance, ils ne m'ont pas tout pris.

Il sourit de toutes ses dents et guida son épouse au travers de la foule, qui était bien compacte. A chaque fois que l'on frôlait son bras blessé, il grimaçait le plus discrètement possible, ne voulant pas inquiéter Tit. Après tout ce n'était qu'un bobo, mais vachement douloureux quand même.

Ses pas s'arrêtèrent tout d'un coup, lorsqu'il crut reconnaître une dame, parmis tout un tas de nobliaux. Jacouillet posa un regard interrogateur sur Tit et lui posa une question, tout en pointant du doigt en direction de Wonderanny .


Huuum...dis, tu ne reconnaîtras pas cette dame ? A moi elle me dit quelque chose....et je n'arrive pas à savoir pourquoi.

Il espérait vraiment recevoir une aide providentielle de son épouse, car ça le turlupinait de ne pas pouvoir mettre de nom sur une tête qui lui semblait connue.
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Titca
Soye regarda son époux et grimaça, il avait mal et elle n'avait absolument rien fait pour l'aider, espérons que le Créature ne lui tienne pas rigueur de ce manque cruel de courage. Comme pour ce faire pardonner de ne pas avoir reçu ce coup d'épée blessant, elle passa une main dans le dos de son époux et le caressa légèrement de haut en bas cherchant à repousser les hommes et les femmes qui s'approchaient trop prêt d'eux. Le papa ours avait assez d'écus pour offrir deux bonnes bières, de quoi soulager leurs gosier sec avec un peu de chance demain Hector aura ramener assez d'écus de Soye et ils pourront continuer à vivre noblement.

Une femme ? Typhanie ce pencha un peu en avant et observa la dit Dame, brune, belle, élégante et très imposante... Mais c'était ... Wonderanny...

Elle sourit et regarda son blond, comment avait-il pu oublier cette femme là ? Les hommes, une mémoire de courte durée c'était certain.

Elle a l'air bien occupée, nous ne devrions peut-être pas la déranger, mais je suis heureuse de voir, qu'elle semble en forme.
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Héraldique
Jacouillet
Aaaaaaaah Wonderanny....je savais bien qu'elle me disait quelque chose

Il regarda le groupe de gens amassé autour de cette femme.

Oui, elle m'a l'air bien populaire en tout cas...pauvre d'elle, la célébrité ça ne doit pas être facile tous les jours.

Le blond sourit et enfourna un cure dent au coin de la bouche, afin de mordre très fort dans quelque chose de dur. Son bras avait vraiment besoin de repos et lui même avait besoin des doux effets anesthésiants de l'alcool.

Il était étonné que Tit ne veuille pas sauter au cou de cette femme, mais d'un côté il en était soulagé. Il se doutait bien que parmis toute cette petite cour improvisée, il y aurait bien au moins un ou deux qui prendrait l'élan d'amitié de son épouse pour une agression envers la dame blanche, comme la dernière fois. Sa mauvaise forme physique actuelle lui empêcherait à coup sûr de s'interposer efficacement pour éviter le drame.


D'accord, allons-y alors.

Le couple s'approcha tranquillement vers la taverne, l'un contre l'autre. Une fois arrivé devant, le blond ouvrit la porte et guida Tit à l'intérieur. Il y avait déjà pas mal de monde à l'intérieur, à croire que la chaleur de l'extérieur assoifait tout le monde.

Salut la compagnie. Tavernier, deux chopes bien fraîches s'il vous plait.
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