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Promenade dans les replis des mondes....

--Cydalise


Des larmes coulent sur ses joues, elle est complètement démoralisée. Elle est la. Ne sachant toujours pas ou c'est la. Perdue, ne comprenant pas pourquoi. Et ses si jolies ailes, elles sont toutes abîmées maintenant à cause de l'autre géant.

Et puis y a vraiment des gens bizarre ici.
Et qu'est ce qu'ils font les autres sur le banc ?
Ils attendent quoi ?


Elle arrive à leur hauteur séchant ses larmes et s'assoit avec eux.
Elle regarde la fille l'air dépité. Comment elle peut répondre à ça alors qu'elle comprend pas elle même.


Ben si on doit venir nous chercher, ça serait bien que ça soit vite.
C'est pas très gaie ici et puis y a rien à faire.
--Lys.
Lys prend la jeune femme par la main.
Ca l'émeut de la voir pleurer.


Allons, allons !

Elle passe la main sur les ailes blanches et les lisse machinalement.
Elle essuie les larmes qui s'attardent sur ses joues.

C'est quoi votre petit nom ?

Moi, je m'appelle Lysianthe. Je suis ici de mon plein gré. Mais vous ?
Salt là (elle montre Saltarius d'un signe de tête), il est un peu bizarre mais il est pas méchant


Si tu nous racontais ce qui t'amène ici ?
Ca ferait passer le temps avant le début des festivités.
--Cydalise


La jeune femme lui prend la main et essaye de la réconforter. Cydalise est touchée et un léger sourire s'affiche sur son visage.


J'm'appelle Cydalise et j'ai pas choisis.

Elle regarde en direction de Saltarius.

Enchantée Salt.


Puis reviens sur Lys.

Oui je veux bien, le soucis c'est que je ne me souviens pas très bien ce qui s'est passé et surtout je n'ai pas compris.

Elle se met alors à raconter les visions qui lui sont revenues à son réveille.

En fait je me vois dans une chambre avec un homme plutôt bien bâtit. Il me serre, commence à me faire l'amour et la quelque chose m'effraye et me fait hurler. Puis je ressens une grande douleur dans la poitrine. Sur ce je me réveille ici et voilà.
Et vous deux vous êtes arrivés comment ?
--Teresa_d_avila


[Teresa et la technologie...
Là haut, les siècles sont comme une heure et les heures... Ben, elles font comme elles veulent...]

Teresa n'en pouvait plus.
Des semaines que ça durait !
Sa copine Bécassine pleurait toutes les larmes de son corps, elle errait comme une âme en peine dans les couloirs des mondes.
Mais louvoyait soigneusement pour ne rencontrer personne.
Un jour, elle buta contre l'âne.
Et Teresa. Qui avait conduit l'âne au devant de Bécassine.


- STOP ! Arrrrrrrrrête ! Va loui parrrrler.

Bécassine fit un pas de côté et fit mine de continuer.
Teresa sortit la flèche de son coeur - même pas mal ! Le corps glorieux souffre plus ! - ET s'en servit comme d'un fleuret :

- Stop, yé té dis...
- Fous moi la paix !
- No... madre de Dio, tou vas tomber malade aussi.
- Je peux pas, tu le sais... Il est pas mort. Si je vais le voir... il va vouloir rester.
- Il t'attend.
- Non, il sait même pas que je suis là !
- Ma....il te cherche....
- Tu sais bien qu'il va mourir s'il me voit
- Pffffffffff, il t'a déjà vu plein de fois.
- Jamais comme ça, ici, si près de la mort. Et d'ailleurs, elle est assise à côté de lui, elle attend que ça la garce de faucheuse
- Il a peut-être envie dé mourrrrrrrrir, l'a pas l'air heureux, ton homme de peine
- Je le sais, soeurette, je le sais... Mais je peux pas...Il peut pas mourir maintenant.
- Ma per qué ?
- Il est trop jeune, trop beau, et ...plein de choses à vivre. Moi j'ai l'éternité pour l'attendre


Bécassine poussa un gros soupir... suffisant pour faire voile vers le nouveau monde.
- Va lui dire que je l'aime... et explique lui.

Hue, Teresa se mit en route.
S'arrêta devant le banc.
Eut le coeur serré en voyant le jeune homme, hâve, assis sur ce banc, entouré d'âmes mortes.


- Caramba, mais qu'est-cé qué c'est que tout ce monde-là ? Vous attendes quoi vous autres ? Vous n'avez encore rencontré personne pour vous accueillir ? Et vous conduire au paradis. Mais qu'est-ce qu'il mé fout le tôlier ?
Salut Saltarius... je viens aux nouvelles.


Elle eut le coeur encore plus serré quand elle vit son sourire en tire lire éclore en la voyant...
- Teresa ... Enfin quelqu'un que je connais !

Elle le vit se lever
Teresa descendit de sa monture et le pressa contre son coeur percé.

- Et Bécassine ?

Teresa soupira et le regarda.
- Faut que yé t'expliqué, mais avant ça, ye'va sonner les cloches à Petrous.

Elle sortit son portable, composa un numéro
cloches
- Hola ! Ma quê ! Petrrroush, tou fais quoi là ? T'as des clientes, nô... on t'attends, nome di dio....Ya pas d'excouses, nan mé ho, tou rappliqué en vitesse fissa, yé quelque chose à dire à saltarious, mais il est pas morto... les autres bien.
--Petrus_le_portier


[ Mieux qu'en Orléans ! Pas possible .... Mais si ! ( Sauf qu'on est dans l'éternité et pas en l'an de grâce 1458) ...]

Arrive un petit barbu affairé :

- voilà, voilà... T'es bien pressée Teresa....
Bonjour Ms'ieur Dames....
Désolé de vous avoir fait attendre, j'ai un taf pas possible. J'viens d'encoder une épidémie de peste en Hongrie, j'vous dis pas l'boulot...

Le Petrus porte-clef arrive, sort sa table pliante et son portable.

-Bon, alors j'ouvre mon Gougueul, mes favoris....
Entrées sorties en France DR... Voiiiiiiiiiiilà !

Dame Cydalise, c'est vous là ?
.... hum ... merveille de la technologie, j'ai piqué ça au 21 ème siècle, c'est génial et hyper rapide.

Eh Teresa, toi aussi, t'es branché TIC, tu viens voir comment ça marche ? Tu pourrais reprendre le job quand je prendrai mes congés payés !
Non ?... On est pas aidés... Toujours les mêmes qui se tapent le sale boulot, les autres pensent qu'à s'amuser.

Bon revenons à nos moutons....
Cydalise... Ouais, vous fûtes fille de joie à Gien... oui ?


Chausse ses lunettes et regarde au dessus de l'écran, intéressé soudain.
Il lui décoche son plus beau sourire, celui qui fait briller sa canine droite...

- Bienvenue au Paradis, mademoiselle...

Mmmm, je vois que vous achetâtes plusieurs miches de pain, de la viande et du poisson, à Orléans, le 25 mai 1458 à 14h28 malgré les arrêtés d'Henri de Navarre...
ouais, pas grave cela ne nous con-cer-ne pas !
Nan, je vois rien de rédhibitoire...

Voilà, vous avez droit au séjour éternel classe premium ,all-inclusive. Si vous voulez bien attendre, je vous montrerai le chemin....
Je vais déjà imprimer votre ticket d'entrée....
Voilà, ne le perdez pas....


Il lui tend une feuille imprimée avec l'imprimante laser, Xquick plus plus 3000000 pixels? 58000 couleurs, refait son sourire de shark.
- Une chouette recrue la p'tite dame pense-t-il si fort qu'il le dit tout haut
Bon au suivant ...
C'est qui le suivant ... ou la suivante ?
--Lys.
Lys s'approcha timidement.
Elle était pourtant là avant ! Bon, on va pas chipoter ! Elle est pas si pressée !

Lysianthe, domiciliée à Dijon, propriétaire d'une petite maison et d'un champ de maïs, droite et travailleuse, soldat de l'Ost Bourguignon, à vos ordres mon...

On venait enfin de se rendre compte de sa mort, là-bas en bas.
Ils y avaient mis le temps. Son corps commençait sérieusement à se décomposer dans le champ de maïs qui avait été le sien.

Elle attendit qu'on lui pose des questions. Où, quand, pourquoi, comment ?

Un beau jour... une belle nuit plutôt... marre de tout...
Leanore


Une fois à l'extérieur Léanore respira à pleins poumons l'air frais. Une légère brise apportait une petite fraîcheur à cette matinée qui promettait une chaude journée.
Pendant tout le temps des soins elle avait tenté d'occulter l'air vicié de la cabane. Le sang, la crasse, la décomposition des quelques ordures qui souillaient ça et là le sol. A croire que ce moine ne connaissait pas le chemin de la rivière vu le temps qu'il avait mis à apporter l'eau tout à l'heure. Tiens lorsqu'on pense au loup le voici qui revient allégrement. QUe pouvait bien inciter à ce vieux grincheux de revenir aussi rapidement qu'il avait fui.
Léanore était une personne douce et bienveillante. Bon nombre de ses pairs trouvaient grâce à ses yeux malgré les défauts qu'ils pouvaient véhiculer. Après tout personne n'est parfait et elle même cachait bien quelques tares. Léanore se forçait donc à ne jamais juger les personnes sur leur mines ni sur leur paraître. Cependant à cet instant un soupçon d'agacement l'effleura surtout lorsqu'elle sentit les yeux du vieux frère s'égarer sur son corsage et lorsqu'il prononça de sa voix éraillée


Alors, ça y est ? Vous l'avez achevé ? J'peux rentrer chez moi ?


-Frère si vous teniez tant que ça qu’il meurt pourquoi ne pas l’avoir laissé là où vous l’avez trouvé. Et vous vous seriez épargné une promenade inutile en venant me chercher.


Elle se radoucit et soupira


-Il vit toujours et j’ai fait ce que j’ai pu. Il faut attendre maintenant…...Vous savez tout comme moi que la bonté d’Aristote qui nous habite nous oblige à aider notre prochain quelqu’il soit et quoiqu’il ait fait. Et pour qu’il guérisse il doit être dans un environnement moins ……. Comment dire……. Un peu plus adéquate pour un malade en convalescence. Avec votre permission, nous allons faire un brin de ménage ou si cela vous ennuie trop, nous allons chercher un autre endroit. D’autant plus que je ne sais combien de temps prendra sa guérison, nous ne voudrions pas abuser de votre hospitalité. Dit elle ironiquement. Dites-nous et nous ferions à votre convenance.


Elle avait hâte qu'il parte
Griottinnes
Gri regardait autour d'elle et ... beuuuuurrrrkkkk

Nettoyer ça??? Non mais vous étes folle ou quoi?


Elle pouffa de rire mais, c'était nerveux parce que là, fallait pas être cruche tout de même, c'était impossible.

C'est infaisable !

Regardez, y a des ordures qui sont presque incrusté dans le sol et les murs, y a une couche de crasse grosse comme mon doigt...
Et là !!! Regardez tout ces cancrelat ! Tien ! Il est plus jolie que les autres celui-là.


Et d'un coup, presque en sautant, elle écrasât le cancrelat le plus près d'elle, dans un crak gluant.

Faut qu'on le déplace à tout prix !
S'il reste ici, c'est la mort par pourriture assurée et le mauvais sera vite revenu.


Regardant la paillasse sur laquelle Salt était installé, elle sourit.

Cette paillasse a un cadre en bois.

Je vais appeler Dalano pour qu'il fabrique une système pour qu'on puisse la transporter et j'irais vite emprunter une chariote.
On va l'amener à l'auberge la plus proche. Ils auront surement pitié et ... on ne risque rien d'essayer.


Aussi tôt cela dit, elle sortit en courant, criant pour appeler Dalano.
Dalano
Dalano pestait contre les branchages qui l'empêchaient de progresser.

Il avait trouvé des âmes de bonne volonté qui lui avaient cédé du bois et de la toile pour construire un brancard. Salt était grand, de ce fait, l'objet était encombrant. Les montants se prenaient régulièrement dans les ronces qui proliféraient le long du chemin menant à la masure.

Griottinnes avait suggéré d'utiliser le cadre en bois de la paillasse de l'ermite mais Dal sentait que le propriétaire des lieux n'en serait pas ravi. L'homme était de plus en plus bougon et il était difficile de déterminer à quoi était due sa mauvaise humeur : à la présence féminine qui exacerbait ses sens, au changement dans ses habitudes, à l'occupation de son local par un étranger ou encore à la peur que son matériel puisse être détérioré... ou à tout cela à la fois.

En tous cas, Griottines avait refusé tout net de nettoyer comme l'avait proposé la médicastre.


Gri, t'es là ?

Elle passait sa vie dans cette cabane désormais au point qu'en tenant compte de ses propres occupations, ils n'avaient guère plus le temps de se voir.

Elle lui manquait la souris.


Griiiiiii......
--Petrus_le_portier


[Petrus a pêché...]
Citation:
Un beau jour... une belle nuit plutôt... marre de tout...
avait répondu la jeune soldate....

Petrus lève les yeux de son écran, son goût immodéré pour les technologies du futur ne l'empêchait pas - pas encore - de s'intéresser au genre humain non virtuel.
De la jeune femme émane une profonde mélancolie....

Citation:
droite et travailleuse
semblait bien la définir.
Il n'a pas besoin de son ordi super sophistiqué pour le voir, après tout l'avait été pêcheur d'hommes, l'homme.


- Quel dommage ... la vie n'est tout de même pas si mal, là bas... j'ai le souvenir de quelques petites parties de pêche et de poissons grillés arrosés du petit vin blanc phénicien qu'on faisait venir de chez mon cousin ....

Il devient rêveur... lui revient aussi les quelques belles parties de jambes en l'air avec Madame Petrus quand la belle-mère tournait le dos....
il toussotte

- Bon, que pourrais-je faire pour vous ?... Vous savez, le patron, il aime pas trop qu'on s'absente trop vite de la vie d'en-bas... Tudieu, on a sa part du boulot à faire là... sur terre...

Il la regarde... puis regarde Saltarius, tout décati, tout perdu. Il fait des signes à Teresa qui le regarde sans comprendre...

- Regardez l'homme, là, il a déjà bien vécu malgré son âge... Va falloir que je le renvoie d'où il vient....Il hésite trop... Va falloir le pousser... Teresa faudra m'aider.

Elle acquiesca gravement.

- Bien, écoutez, vous allez venir avec nous au paradis Solaire...
Mais avant d'y prendre un apart all-inclusive, je vous invite à une petite rigolo thérapie dans notre département entertainment...
Vous verrez Saint Woody est extraordinaire , il a un humour de désespéré, cela devrait vous dérider.
On est d'accord comme ça ?
--Lys.
Lysianthe regarde le portier.
Il a l'air toute chose d'un coup. Un brin rêveur, nostalgique.


Bon, que pourrais-je faire pour vous ?... Vous savez, le patron, il aime pas trop qu'on s'absente trop vite de la vie d'en-bas... Tudieu, on a sa part du boulot à faire là... sur terre...

Lysianthe lève les yeux.
Qu'est-ce qu'il veut dire le portier ? Qu'est-ce qu'il veut faire ? Il va pas la renvoyer quand même ! Sa part de boulot, sa part de boulot...
D'abord, son corps elle l'a vu en bas, il est plus bien joli. Heureusement qu'elle a emporté sa copie avec elle.


Il parle de renvoyer Salt. Lys est déçue. Elle se voyait déjà entrer au paradis à son bras. Ca la ferait presque changer d'avis.

Mais voilà qu'on lui parle de paradis Solaire, de rigolade, de thérapie, d'entertainment...
On l'invite à une petite sauterie visiblement.

Lysianthe dédie son plus joli sourire.
Elle arrange un peu sa tenue, lisse ses cheveux


Mais avec Plaisir ! Je vous suis ?
Et vous me présenterez votre Woody.
--Cydalise


Une petite bonne femme avec un âne débarque, elle semble être une amie de Salt et fait venir la personne qui doit les guider. Cydalise regarde le drôle de petit bonhomme avec tout ces étranges instruments. Elle s'approche près de lui quand il prononce son nom.

Oui c'est moi Cydalise.

Il cherche sur sa drôle de boîte lui demande si elle était bien fille de joie à Gien avant de lui adresser un grand sourire.

Oui c'est bien ça.

Son visage s'illumine alors. Elle vient enfin d'avoir son entrée au paradis et va pouvoir quitter cette endroit lugubre.

Oh merci beaucoup.

Elle serre le ticket alors fort contre elle pour ne pas le perdre, pensant qu'elle ne l'a pas laissé indifférent et se met en retrait attendant qu'il finisse avec Lys et Salt.
La suivante elle aussi va rejoindre le paradis mais Salt lui apparemment ne les suivra pas. C'est bien dommage. Un homme avec elles, aurait été de bonne compagnie, même si il a l'air un peu bizarre.
Hecat
Apparemment l'autre jeune femme n'avait pas l'intention de nettoyer la cabane et c'était compréhensible.

Je suis d'accords avec vous. Même si on faisait le ménage, ça nous prendrait des jours pour rendre cet endroit convenable. Il vaut mieux le transporter dans une auberge. N'ayez crainte pour le coût de la chambre. Je paierais son séjour la bas.

La jeune femme sortit pour aller chercher son compagnon pour qu'il construise une sorte de brancard pour déplacer Saltarius. La médicastre étant sortit elle aussi, Hécat était dorénavant seule à son chevet. Elle s'assied sur le bord de la couche regardant son visage, cherchant le moindre petit mouvement. Mais rien, même ses paupières ne bougeaient pas.

Elle n'était pas très à l'aise d'être resté seule avec lui, mais elle ne risquait rien dans l'état ou il était, il ne pouvait rien lui faire.
Il faudrait quand même qu'il se réveille. Elle avait besoins de comprendre, c'était vital. Elle ne s'expliquait pas ce qu'elle ressentait. Le voir la inerte, lui donnait envie de le protéger et de s'occuper de lui alors qu'un simple geste lui permettrait de se venger.
Elle resta la continuant de le regarder, attendant que les autres reviennent.

_________________

Maire de Gien
--Le_mari_de_la_faucheuse


[... Leçon : comment emmener les autres dans nos délires paranoïaque...]

Les pas trainants du p'tit père tout gronchon l'avaient ramené au banc par habitude.

Il fut bien sur tout d'abord bien surpris de voir autant de monde dans son coin. C'est vrai quoi! D'habitude ce banc restait toujours vide et il pouvait venir y déprimer à toute heure de la journée éternelle.
Y's'passait quoi de spécial pour que tan de monde rapplique et envahisse SON coin?

Encore un coup de ce satané Saltarius ! Il en était sur !
Bha oui quoi ! c'est lui qui avait amené la première dame, celle qui devait tromper son mari, pff toutes les même...
Cela dit, heureusement qu'il était pas arrivé avec sa femme si non... (soupire)

Il était prêt à repartir avant qu'on ne le surprenne quand il vit une drôle de machine.

Encore un joujou que l'Père Pétrus avait du faire passer en fraude.
Thor n'étant plus là... il s'avança pour observer l'engin et surtout ce que l'PéPé faisait avec.

Une liste de nom défilait quand d'un coup, il put lire " Fiche de renseignement sur les activités de Dame Cydalise : .... "

Tout était classé par ordre alphabétique et en quelque coup de se truc (non définitivement, ça ne ressemble pas à une baguette) magique, zou! on voyait un résumé de tout.
Les achats et les ventes ; les bagarres ; les métiers exercés (elle a pas du s'ennuyer celle-là héhé) ; les positio.. (non ça je regarde pas... quoique? ... M** le PéPé a déjà filé sur autre chose pff) ; les déplacements et villages parcouru ; les mensonges dits ; les vols ; les éch.........

Hein quoi???? On peut voir les déplacements?, les personnes rencontrés? les posi...???

Ça pourrait peut-être m'aider ça, pour prouver que j'ai raison et que ça faucheuse m'fout des cornes pire que celles d'Amalthée.

D'un air des plus désintéressée, il demanda :


Et heu... dis moi Pép-tus ... ?
T'as des fiches sur les gents d'ici aussi dans ton bazar là????

T'en aurais une sur moi ou sur ma femme par exemple???
Griottinnes
Gris arrivait de la ville.

Tout était arrangé.
Elle avait trouvé une chambre dans l'auberge la plus proche et l'aubergiste, quoi que un peu méfiant au début, avait accepté d'être payé plus tard.
En fait, il avait accepté quand elle avait parlé de Saltariux parce qu'il avait l'air de le connaitre.

Il lui avait même prêté un tombereau, disant que ce serait plus pratique pour passer entre les broussailles parce qu'il était plus étroit que les simples chariot, en plus on pouvait enlever les parois pour le mettre dedans sont trop de choques.

Le seul soucis, c'est qu'elle était seule pour le tirer et ... même si elle était forte la Gri, c'était pas une mule non plus...
Heureusement qu'il était vide le bestiau et qu'on serait plusieurs à le tirer quand il sera plein pfff... se disait-elle en peinant sur le chemin. La douleur à la cuisse se faisant de plus en plus présente au fur et a mesure de son avancé. Et son dos...

Citation:
Griiiiiii......


C'était son Dalano qui l'appelait.

C'est vrai que, après être sortie en trombe de la cabane, elle était venue le trouver pour lui demander de faire ce qu'il pouvait avant de s'en aller en courant, laissant planter là.

Dalou !!!
Je suis là mon doux.... j'arrive!


Et elle hâta le pas, tirant dur sur ses bras.
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