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[RP]Tape la muraille, tu pues et marche a l'ombre.

--Boucletteblonde
*nuit du 21*

l'avait dit la rouqine on y va, c'est un parcours de santé. on va dégager ces vils sorciers, on va les bruler..;pff tu parles...tout simple tout simple..

ben ils ont ete quand meme, ils ont memes pris la tete du boulet 2 pour faire belier, la tete a pas cassé mais la porte non plus. deja ils sont arrivés en confiance croyant qu ils y aurait personne, que nenni.
l'avez plein de mechant gardes, tout plein...

merdouille c'est quoi ca? les boulets "fou ta cagoule" csrait capable de nous reconnaitre et de donner not nom ces fous, ils ont le malin en eux.. meme si ils connaissent pas ils trouvent quand meme le nom.

mince t'as vu le boulet le comte c'est celui qui est pas tout blanc, il y a un temps ou il refusait pas un ti coup de main sale. tu trapelles? il a fait appelle a certain quand il etait maire de narbonne. c'est que une armée ca coute cher... comme quoi un trone peut avoir n'importe quelles fesses. meme les notres..
ben on y va quand meme, hein on va rigoler meme si on va avoir mal aux dents...

un pas en avant trois pas en arriere, ben voui c'estpas ltout mais la bande est courageuse mais pas téméraire.. faut pas non plus pousser...

vas y boulet mets toi devant nous avec tes copains tu vas nous les faire fuir..
mince marche pas ce truc tu leur fait meme pas peur, et si on prend ta tete et qu on s'en sert comme belier?

regardes autour d'eux, essaye de defoncer la porte, mais c'est qu'ils sont nombreux quand meme..

heu... les boulet, on remet ca demain c'est plus sur... allez on va staper une chopine et puis s'amuser sur le marché c'est plus rigolo
Delhie
[Narbonne même histoire.]

Nuit du 21 mai et journée langoureuse qui s’en suit

Quand on a étudié pendant des mois dans une sombre cellule au font d’une sombre abbaye, a s’esquinter les yeux sur de sombres parchemins traitant de la religion, on a beau se laisser porter par le torrent de la vie et prendre un virage serré à 180°, on a beau ne plus fréquenté que des coquins plus allumés les uns que les autres, on a beau se mettre a jurer avec le sourire juste pour l’rire, il nous restera pas moins forcement des traces de piété incrustées au plus profond de notre chaire. Alors quand vous dites a une ex future diaconesse licenciée en aristologisme, « Tu veux aller chasser le malin, l’sorcier et sauver de pauvres âmes innocentes du sans nom qui rode dans la région ? » elle vous répondra : « Vingt dieux et comment ! »
Pas de château pour elle, du moins gros et tant mieux. Direction Narbonne se taper une mairie. C’est pas mal ça les mairies aussi, si c’est bien fait. Tout dans la discrétion pas besoin de sortir d’épée, par une goute de sang, que tu propre.

Ils étaient plus d’une 15ene a se recouper, tous prés à aller pilier.
Une 15ene d’ombres et de visages connus ou inconnus.
15 c’est tout?
On ne lui avait pas parlé d’une grosse vingtaine ?
Mais pas le temps de se préoccuper des retardataires, elle, elle était là. Prête a débarrasser les coffres de leurs écus ou ce qu‘il en resterait, surement pas grand-chose. Laissant le soin de monter la garde et d’assommer les éventuels défenses a d’autres. Dans son cas l’épée est juste là pour faire beau, tant qu’elle pourra l’éviter elle y touchera pas, foie de Delhie.

Le groupe arrive doucement sans bruit derrière la mairie, chacun sont poste et que la fête commence. Les ongles s’agrippent aux briques de la bâtisse et les plus agiles escaladent les murs. Trouver une fenêtre, la fracturer, se faufiler et aller ouvrir de l’intérieur. Evitons les coups de hache dans la porte comme la dernière fois, c’est plus discret.
Tout est calme trop calme, pourquoi trop calme? Appelons cela l’intuition féminine, les yeux la brune se glissent vers une autre fenêtre. Se plissent. Quelque chose y a bougé ou est-ce son imagination trop fertile qui la rend parano? Non quelques chose y a bien bougé, une ombre et … là, soudainement éclairé par un rayon de lune, le scintillement d’une arme dégainée.


Par la queue touffu du Sans nom, ils nous attendent !

La tentative de discrétion est un échec, le combat s’engage, en vain. Trop peu nombreux, bien trop défendu, vont se faire matter.
Alors c’est la fuite, chacun de son coté pour pouvoir se regrouper plus tard, plus nombreux, plus fort, voir autre part.

La gasconne elle, prend la main d’son dévoué d’ancien biterrois et l’entraine avec elle dans sa fuite. j’ai toujours dit qu’elle savait courir vite la peste, un vrai cabri, nez baissé, capuche sur le crane et elle fille avant d’être repéré.
L’dévoué n’a pas eut cette chance.

Nos deux fugitifs passent le reste de la journée planqués, sous une barque renversée, cachés par les branches d’un grand chaine. Bha quoi c’est un planque comme une autre. Et puis aller savoir si c’est l’excitation du danger, la monté d’adrénaline, le trop grande proximité, mais entre ces deux là, pour la première fois, la chaleur monte sous cette barque. Ça roucoule.
C’est bien plus tard, a la couchée du jour et au sortir de la barque, qu’ils apprenent pour le procès du dévoué a la bouche en feu. Rien pour la peste, une chance. Mais qui sait ça pourrait venir, des fois que les gloussements amoureux de la donzelle n’atteignent les oreilles de la justice depuis sa barque. Quitte a donner dans la sorcellerie autant ne pas le faire qu’à moitié
--La_brindille
[La fille sauvage de la forêt Des Brumes - Toi, la révolté qui la rébellion prône ]


Rebelle jusqu’au bout des mots,
Insoumise elle l’est, à fleur de peau.
Lorsque le monde lui tourne le dos,
Narquoise, elle leur tire son chapeau.

Fier, elle se moque des interdits,
Nul ne peut la contrer a priori.
Des embûches et soucis elle fait fi,
Vivre selon ses règles elle s’est et lui a promis.


La brindille se languissait à la vue des ruelles villageoises et des tavernes puantes et sales remplies de "hahaha !" ou de "hohoho !". Elle n'avait plus qu'à errer dans les prairies, les cimetières ou encore les églises, plus lugubres que jamais.

Elle souhaita rencontrer un ennemi, pour lui trancher la gorge et lui dérober son argent, ou encore se battre, seulement pour le plaisir. En vain ! Elle continua sa marche vers un pauvre homme, lamentable il se trouvait. Elle s'approcha du vagabond et lui jeta à ses pieds, une pièce. Avec un merci joyeux, celle-ci détourna son regard vers une ombre. Encore ! La fois qu'elle avait vu une ombre, c'était le signe d'un loup, qui de surcroit l'eût attaqué ! Courageuse et curieuse surtout, ou peut-être poussée pour fuir l'ennui, La brindille s'élança à la poursuite de cette mystérieuse ombre. Pendant sa course, elle roula sur un gros caillou et tomba.

Elle poussa un infâme juron et pria pour qu'on ne l'eût pas vu. Personne aux alentours, elle soupira de soulagement, de peur d'abîmer sa dignité. Erreur ! Pendant qu'elle se leva lentement, une paire de jambes s'afficha devant elle. Pitoyable, elle relevant la tête, et vit un homme au crâne chauve, aux yeux vairons, un rouge comme un bleu, et frissonna d'horreur.

- Qu'est-ce ? demanda-t-elle d'un ton mal assuré.

L'inconnu grogna comme un loup, (coïncidence) et craqua sa nuque de droite à gauche. La brindille agrandit ses yeux avec effroi et tourna ses talons pour courir comme un lièvre vers une maison. Elle frappa : aucune réponse. " Ordure !" Elle frappa à une autre porte, en vain. Le drôle de m'sieur la suivait. Elle vit une tour avec une porte ouverte.
Elle s'y faufila et referma la porte. Elle se cacha mais ébranla un vase, ce qui le fit tomber. Un "Hum" se fit entendre. Elle jura intérieurement et regarda autour d'elle pour trouver une issue. Que Nenni !
Ah si ! Une armoire. Elle l'ouvrit et s'enferma dedans ...

Un homme aux manières bourrues s'amena devant la porte de son entrée, à moins qu'il ne soit qu'un garde. Il sortit et s'enferma dehors, sans doute pour monter la garde. Ouf ! Elle ne s'était pas fait voir. En outre, elle était saine et sauve. Elle ouvrit la porte grinçante de l'armoire et en sortit. Elle se retrouvait dans une tour géante et vraiment altière. Elle n'était même pas épaisse ! Heureusement qu'elle ne vivait pas en concubinage, ce qui lui aurait causé un autre souci, celui de s'expliquer sur son absence.
Elle adorait agir dans l'ombre. Et si le propriétaire des lieux se trouvait riche, alors pourquoi ne pas lui voler une partie de son bien et de les donner à son prochain, pauvre....
Non ! Peut-être qu'il avait travaillé dur pour s'enrichir. Et s'il possédait de beaux rubis, ces grosses pierres rouges d'une valeur inestimable ! Ses yeux se mirent à briller et elle esquissa un sourire diabolique.

Simplement, elle se rappela qu'en faisant partit de Guildes proprement nobles et droites, elle se devait d'être une femme juste ! Maudit soit le jour d'être bonne ! Et oui, avec ses misérables mendiants et ses enfants qui courraient les rues, elle leur avait donné quelques pièces de sa lourde bourse. Mais, plus tu donnais, moins tu possédais et de plus, moins tu recevais.
Elle se traita d'imbécile. Ah oui, pour ça, elle l'était. Elle progressa dans la tour et monta les escaliers en colimaçon. Une par une, elle pensa qu'elle aurait dû combattre pour le Christ, porter la croix. Avec ça, elle aurait pu être dotée de merveilleux joyaux offerts par les Templiers...

Elle ouvrit une chambre, sans savoir où elle allait et tomba nez à nez avec un couple en pleine passion. «Hum… Beurk ! »
Cela avait beau être naturel, elle referma vivement la porte avec un air répugnant. Elle continua sa marche vers le haut, n'osant ouvrir les portes ci et là.

Enfin ! Un homme assit sur un grand siège attendait quelque chose. Elle allait enfin parlait et dire pourquoi elle se trouvait là. Espérons qu'il soit clément. Elle allait aussi parler de l'horrible personnage qui errait dans la rue droite.
Elle ouvrit la parole mais elle fut coupé par la voix de l'homme :... !

Qui êtes-vous !! Que faites-vous ici ! Enfermez là dans un cachot !
Mais, mais…

Elle fut saisi par deux grandes gardes en armure et pleines de cicatrices. Mon dieu, où est-ce qu'elle était tombée ...



[Montpelier]

Gaffe à ton gros cul la Brindille !


Minois qui se secoue de droite et de gauche, Mouarf elle cauch’marde… ? Non elle rêve de c’comte dont on lui vante les multiples charme et qualités… En son for intérieur, La brindille souriait de la situation. Dommage que l’Extase l'eut sauvée, elle aurait tourné la situation dans sa risibilité absolue... a rêver une entrevue avec le comte... on en espère qu’il nous rend une visite particulière ensuite en geôle. Réplique fuse.

Diantre ! Tu m’prends pour une blonde… ?
L’mien est pas visible a 5 lieux a la ronde c’pas un appel au peuple !
J’suis fille de la forêt d’abord donc discrète !


Comme deux sale gosse, comme a l'accoutumé depuis toutes ses années, elles font des siennes dans tout le Royaume , l’échange verbale fuse, L'Extase et La Brindille s’adorent…comme pour l’interrompre le cri de l’assaut est donné. La brindille et l’Extase se lance a l’assaut du château… Soudainement, elle repensa à cet homme aux yeux vairons, à son crâne chauve et à sa longe barbe noir comme les corbeaux. "Il était ignoble" Elle souhaita que celui-ci ne refasse pas surface. Rien que d'y songer, elle ressentit le long de son échine de douloureux frissons lui donnant d’autant l’énergie pour charger. La situation la grisait ! Oh combien elle rêvait d'action ! Et cette dame entraperçue en taverne en fin d’après midi, mystérieuse soit ! Mais très mielleuse. Elle doutait de sa véritable personne. Mais elle fut tout de même très impressionnée par ses ressources. Elle connaissait la tour, les ruelles. Pourvu qu'elle ne se dirige pas vers sur elle.

Une horde de garde les attendent sur les remparts et devant la bâtisse. Mouarf trahit. Tant pis ils sont là, ils iront a la charge chaque soir… les écus ne sont pas leur but… château, Mairie…Mairie, Château… partant au crépuscule et revenant a l’aube… essayant de dormir un peu la journée…journée entrecoupé pour certains d’en eux de convocation au tribunal, de ralage en salle du comte…mais la brindille n’ira pas dans cette salle là, dés fois que l’homme aux yeux verrons s’y trouve…

Dans un endroit glauque…dans les caves et autre passages sous terrain… avait été installée une similitude de taverne …. "Vade Retro Lavaboum" L’autochtone osait s’y rendre parfois au milieu de tous ces joyeux boute en train qu’étaient les envahisseurs pour eux . certains se faisait bien au surnom que chacun donnait a son voisin alors que d’autre essayait de lire un simili tatouage qu’il pouvait y avoir sur le front…pas tous heureusement et finalement c’est l’animation qui l’emportait sur le reste….chaises, tables, chopes dans de comptoir et joute verbale s’enchainaient.

Après son passage dans la taverne, elle arrivait les muscles endoloris mais le gosier bien remplis déambulant a travers les ruelles avant de trouver un repère pour s’y loger la journée… un grange de préférence pour La Brindille…dans sa rue du Hasard bien souvent. Elle était si hasardeuse qu'on ne pouvait imaginer ce qu'il en sortirait ce soir. Des malfrats, rien de plus… que finalement l’autochtone se plaisait à voir pour l’animation qu’ils apportaient dans leur ville…dans leur comté…



--Indomita
Les catacombes où se dissimule l’antre "Vade Retro Lavaboum"
Plume au Vent, elle aussi est là, Danse Demoiselle ...



La chaleur l’habillait comme du velours
Et perlait sur son corps, en mille gouttelettes.
Chante dans le matin, les mots de toujours
Aux parfums des dimanches de fêtes !

Au son de l’accordéon, elle tourbillonne
Dégrafant son corsage trop serré
Sur sa poitrine vibrante à son cœur qui carillonne
Au rythme d’un tambour au son projeté !

Et danse la Demoiselle, détachant ses cheveux
Sur ses épaules légèrement humides
D’une chaleur égale à un bon feu,
Les soirs sur la plage où elle danse, timide.

Doucement tombe la jupe au sol
Et laisse entrevoir un corps de satin
Sur ses jambes qui tournent, farandole,
Balançant ses mains sur un air coquin.

Et danse, danse demoiselle
Ton reflet s’égare dans l’eau.
Il la devine de son regard étincelle
Nue à porter de ses mains d’ado

Balance sa poitrine comme deux poires
Fruit sucré comme son doux nombril
Juste là, au-dessus d’une forêt d’un soir
Et tourne Demoiselle, l’ombre de tes fesses se profile !

Et le reflet s’efface d’un coup !
Des ronds dans l’eau, tout est fini
Le ricochet jaillit avec les cailloux
La belle Demoiselle s’en est partie !


Petit rappel au joueur Konrad_slayerstone, et aux autres aussi par la même occasion : la taille maximale des images est limitée, merci de lire les règles d'or.
ModoBreiz



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