Jehanne_elissa
[ RP ouvert à tous ceux qui défendent le pouvoir... Au-delà d'avoir la pétoche, une invasion de vilains brigands permet de faire du RP! ]
Voilà deux jours maintenant quune nouvelle troupe de Languedociens était venue à Montpellier pour défendre la capitale et surtout, le pouvoir en place, des vilains brigands. Et quelle troupe ! Le Vicomte et la Vicomtesse de Tournel, la jeune Vicomtesse de Cauvisson et la tout autant jeune future Vicomtesse dAvize. Des noms à en faire pâlir certains, vomir dautres, sourire dautres encore mais des noms nobles. Et cette noblesse venait, sans gêne aucune, sans prétention, se mêler aux autres languedociens venus défendre le Comté. Lidée que le Languedoc était un eldorado des brigands ou autres êtres vilains en tout genre semblait de plus en plus vogue, ne serait-ce que ces deux derniers mois le plus grand Comté du Sud avait du faire reculer deux offensives. Il est vrai que les dix villes et les dissensions faisant rage au cur de la province sont un appel, une mélodie du bonheur, un cri langoureux, la promesse décus sonnants et trébuchants pour toute personne voulant se remplir les poches et commettre, au passage, des méfaits divers et variés. Mais au lieu de plonger dans une étude sociologique des brigands, leurs motivations et freins à vandaliser, concentrons-nous sur les protagonistes au sang bleu électrique cités plus haut.
Ce matin là, la jeune Goupil sétait levée un peu plus tard que la plupart des défenseurs. Paresse ? Privilèges ? Allons, juste une enfant. Une enfant qui a besoin de ses heures et sommeil et qui met un peu plus de temps que les autres à se remettre des efforts, les seuls quelle était habituée à faire étant courir après les lapins ou les papillons. Sétirer comme un chaton, sortir du lit, enfiler ses braies, bavasser avec Eilinn autour de lait et de tartines de miel puis chausser les bottes et sortir. La veille, leur participation à la défense avait eu lieu : elles sétaient auto-défendues. Entendez par là quelles sétaient soigneusement enfermées dans les chambres dune auberge leur étant désignée après avoir marché un peu en ville. Mais aujourdhui ça nallait pas être la même histoire : les deux jeunes filles hautes comme trois pommes et à la musculature de Polly Pocket avaient envie de se battre.
Et oui, tout arrive ! Donc elles prennent la route, marchant sous le soleil vers la salle darmes de la mairie de la capitale. Identité déclinée, oui elles sont bien languedociennes, elles sont même avec le Vicomte de Tournel, oui oui il est revenu, oh oui ça fait plaisir, hein ça fait râler dans les chaumières, allons allons le languedociens a toujours un prétexte pour râler On peut entrer ? Merci ! Et aux deux petites nobles de pénétrer dans la caverne dAli Baba des chevaliers, dans lantre paradisiaque des gros bras, salle a lodeur de testostérone, virile et musclée : la salle darmes ! Le regard vert de la Goupil embrasse le sol, les murs, le plafond et oooh Toutes ces armes ! Elle commence même a sautiller, à sapprocher de la lame tranchante dune épée ou elle se rend compte, en voyant son reflet, quil lui reste un peu de miel séché au coin de la bouche. Et hop on se fait une petite toilette et la narcisse en devenir quitte la jolie épée-option-miroir pour continuer à regarder autour delle Et là ! Là ! Une drôle de lame contre le mur ! Légèrement arquée, un manche très ouvragé
- « Eilinn regarde comme elle est jolie ! Tu pense que cest un Comment on apelle ça déjà ? Tu sais, les épées des maures Oh comme elle est soignée ! Cest dune beauté On serait originales avec une telle arme tu ne pense pas ? Ca irait très bien avec le zinzolin Mince, comment ça sappelle déjà ? »
Un sabre, jeune fille. Et ce nest pas un accessoire de mode
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Voilà deux jours maintenant quune nouvelle troupe de Languedociens était venue à Montpellier pour défendre la capitale et surtout, le pouvoir en place, des vilains brigands. Et quelle troupe ! Le Vicomte et la Vicomtesse de Tournel, la jeune Vicomtesse de Cauvisson et la tout autant jeune future Vicomtesse dAvize. Des noms à en faire pâlir certains, vomir dautres, sourire dautres encore mais des noms nobles. Et cette noblesse venait, sans gêne aucune, sans prétention, se mêler aux autres languedociens venus défendre le Comté. Lidée que le Languedoc était un eldorado des brigands ou autres êtres vilains en tout genre semblait de plus en plus vogue, ne serait-ce que ces deux derniers mois le plus grand Comté du Sud avait du faire reculer deux offensives. Il est vrai que les dix villes et les dissensions faisant rage au cur de la province sont un appel, une mélodie du bonheur, un cri langoureux, la promesse décus sonnants et trébuchants pour toute personne voulant se remplir les poches et commettre, au passage, des méfaits divers et variés. Mais au lieu de plonger dans une étude sociologique des brigands, leurs motivations et freins à vandaliser, concentrons-nous sur les protagonistes au sang bleu électrique cités plus haut.
Ce matin là, la jeune Goupil sétait levée un peu plus tard que la plupart des défenseurs. Paresse ? Privilèges ? Allons, juste une enfant. Une enfant qui a besoin de ses heures et sommeil et qui met un peu plus de temps que les autres à se remettre des efforts, les seuls quelle était habituée à faire étant courir après les lapins ou les papillons. Sétirer comme un chaton, sortir du lit, enfiler ses braies, bavasser avec Eilinn autour de lait et de tartines de miel puis chausser les bottes et sortir. La veille, leur participation à la défense avait eu lieu : elles sétaient auto-défendues. Entendez par là quelles sétaient soigneusement enfermées dans les chambres dune auberge leur étant désignée après avoir marché un peu en ville. Mais aujourdhui ça nallait pas être la même histoire : les deux jeunes filles hautes comme trois pommes et à la musculature de Polly Pocket avaient envie de se battre.
Et oui, tout arrive ! Donc elles prennent la route, marchant sous le soleil vers la salle darmes de la mairie de la capitale. Identité déclinée, oui elles sont bien languedociennes, elles sont même avec le Vicomte de Tournel, oui oui il est revenu, oh oui ça fait plaisir, hein ça fait râler dans les chaumières, allons allons le languedociens a toujours un prétexte pour râler On peut entrer ? Merci ! Et aux deux petites nobles de pénétrer dans la caverne dAli Baba des chevaliers, dans lantre paradisiaque des gros bras, salle a lodeur de testostérone, virile et musclée : la salle darmes ! Le regard vert de la Goupil embrasse le sol, les murs, le plafond et oooh Toutes ces armes ! Elle commence même a sautiller, à sapprocher de la lame tranchante dune épée ou elle se rend compte, en voyant son reflet, quil lui reste un peu de miel séché au coin de la bouche. Et hop on se fait une petite toilette et la narcisse en devenir quitte la jolie épée-option-miroir pour continuer à regarder autour delle Et là ! Là ! Une drôle de lame contre le mur ! Légèrement arquée, un manche très ouvragé
- « Eilinn regarde comme elle est jolie ! Tu pense que cest un Comment on apelle ça déjà ? Tu sais, les épées des maures Oh comme elle est soignée ! Cest dune beauté On serait originales avec une telle arme tu ne pense pas ? Ca irait très bien avec le zinzolin Mince, comment ça sappelle déjà ? »
Un sabre, jeune fille. Et ce nest pas un accessoire de mode
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