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[RP] Yuna contre les ours en peluche : un rêve !

Yawasshi
yawa gardait ses distances. Elle les avait envoyés à l'assaut mais ne voulait pas être découverte.
Tapie dans les fourrés, elle surveillait de loin les opérations, se régalant en voyant les nounours s'emparer progressivement de la victoire.

Tokugawa Kadokawa son maître d'armes ! Yawa souriait en le voyant se faire terrasser par de simples ours en peluche ! Elle se retint de rire lorsqu'il appela Yuna à l'aide ! Yuna une fillette de 8 ans ! Lui le bushi expérimenté qu'il se disait être !

La petite arriva et du haut de son jeune âge, ni une ni deux ! Elle se lança dans la bataille afin de faire fuir la horde de nounours enragés ! Mais ils tenaient bons ses amis ! Ils ne lâchaient rien !Même lorsque l'un d'eux perdit une oreille ! Nounoursako sauta alors sur la fillette et Yawa se dit qu'elle allait enfin s'avouer vaincue mais non ! Elle était tenace tandis que le bushi tentait tant bien que mal de se débarrasser des peluches encombrantes! Mais les bestioles continuaient !Elles se battaient bec et ongles ... euh non ! pattes et bisous pour ne pas perdre de terrain !

Hein ???? Bisous ???? Rohhh encore ce zentilNounours ! Pas moyen de le rendre méchant et hargneux !
Elle vit alors que Nounoursako était en mauvaise posture ! Il l'appelait à l'aide !

Que faire ? Se découvrir ? Les laisser encore un peu se débrouiller seuls ?

Yawa hésita longuement mais elle entendit les menaces de la gamine au loin et se dit qu'il lui fallait intervenir !

Elle sortit brusquement de sa cachette, comptant sur l'effet de surprise et se posta devant Yuna, un sourire carnassier sur les lèvres et le regard menaçant :


" laisses mes amis tranquilles !"

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Yuna.
La peluche étirée entre ses mains, Yuna toisait l'attroupement tout autour d'elle, risquant des petits coups d’œil vers Kadokawa-san afin de voir s'il s'en sortait. Mais plus rien ne bougeait. Elle avait obtenue toute l'attention des monstruosités, c’était déjà ça. Se forçant a garder son calme, elle cherchait un moyen de se sortir de ce très mauvais pas.

Distraite par ses plans d’évasion, elle ne vit pas venir l’étrange petit ours, et avant qu'elle n'ait pu esquisser le moindre geste la bestiole grimpait déjà sur elle, droit sur son visage. Il va s'en prendre a mes yeux, se dit la petite, paniquée. Instinctivement, elle ferme ses yeux et se prépara mentalement a sentir la douleur. Mais rien ne vint, et au contraire, elle sentit une douce caresse sur sa joue. Rouvrant lentement les paupières, elle découvrit que l'ourson n'avait pas l'intention de lui faire du mal. C’était même l'inverse, car il frottait son petit museau contre son visage, ce qui ressemblait a des bisous.

Interloquée, la fillette détendit ses bras et relâcha un peu la pression sur son prisonnier. Elle se surprit même a sourire, attendrie. Mais un bruit dans les fourrés tout proche la fit sursauter, oubliant la boule de poil câline et tirant a nouveau sur les membres de son otage. En découvrant la source des bruits, la fillette sentit d’abord son cœur bondir de joie dans sa poitrine. Yawa-san! Du renfort, ils étaient sauvés! Mais sa joie fut de courte durée

Si la chose en face d'elle avait bien les formes, le visage, les cheveux et même la voix de Yawa, ce n'était pourtant pas elle. La jeune shomin était pour Yuna une bonne personne, douce et gentille et ça se voyait dans ses yeux. Dans l'esprit de la gamine, Yawa avait un regard doux qui mettait immédiatement en confiance. La créature qui se tenait devant elle avait un regard mauvais, chargé de haine et de méchanceté, un regard cruel. Qui pouvait bien être cet être? La réponse s'imposa a elle. Fixant celle qui lui faisait face, Yuna la regarda droit dans les yeux:

Yawa est quelqu'un de gentille et de bon. Elle me donne a manger quand j'ai faim, elle veille sur moi, elle me raconte des histoires et m'apprend des choses. Tu n'es pas Yawa-san! Mais je sais qui tu es vraiment! Inspirant a fond, Yuna reprit plus fort, a la fois terrifiée et déterminée, Tu es Akumu , tu es le démon que seuls les enfants peuvent voir! C'est toi qui te cache derrière les fenêtres ou dans les placards dans l'ombre, qui fait de drôles de bruits la nuit pour nous faire peur. C'est toi qui nous souffle nos cauchemars a l'oreille quand nous dormons. Tu n'es pas Yawa-san, tu a prit son apparence ou peut être son esprit. Mais tu n'es pas elle!

La fillette luttait de toutes ses forces contre la vague de terreur qui montait en elle face a ce redoutable ennemi. Elle ne devait pas céder a la peur, sinon elle était perdue.

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Togukawa_kadokawa
Il était étonné, comment avait-il pu se laisser déborder ainsi par ces ours en peluche ! Certes ils étaient nombreux, mais il était bien plus malin qu'eux, normalement.
Normalement, oui, mais là, apparemment, non. Il avait succombé sous le nombre. Et ces sacrés bestioles avaient même réussi à le mettre à terre en utilisant une des plus viles ruses.
Maintenant il sautaient sur son ventre, ils lui maintenaient la tête et les bras au sol, il était immobilisé et incapable de s'en sortir. S'il faisait un mouvement, réussissant à se séparer de 5 ou 6 ours, 10 venaient les remplacer, accentuant la pression.

C'est donc avec un certain soulagement qu'il vit arriver Yuna qui allait surement pouvoir l'aider à renverser la vapeur.
Mais hélas, Yuna arrivait avec son lots de peluches, qui viennent grossir le nombre d'assaillants. Ce n'était pas ce qu'il avait prévu.

Là ! Un ours s'approche, vil, il doit l'avertir !


Yuna !! Attention à .....

Saloperie d'ours qui met son bras dans sa bouche pour l'empêcher de continuer ! Du coup, pour se venger il mord du plus fort qu'il peut. Mais cela est sans effet, au contraire, il a maintenant cette désagréable sensation d'avoir la langue pleine de poil. Et impossible de s'en débarrasser !
Absorbé par sa lutte, il n'a pas remarqué ce que faisait Yuna, et c'est donc étonné qu'il voit les ours s'immobiliser. Il en profite pour se relever, appréciant l'appoint de la fillette.

Et puis, sortant des bois, son élève ! Il ne le croit pas. Elle serait à la tête de tout cela !?

Tout en écoutant la fillette, il s'en approche, histoire d'organiser un groupe de défense.

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Yawasshi
AHAHAHAHAHahahah

Un grand éclat de rire raisonna dans la forêt. Yawa resta plantée devant l'enfant et bien que l'aplomb de cette dernière la surprit une seconde, elle se reprit bien vite.
Son rire machiavélique faisant encore écho au loin ...

Ses yeux perçant fixaient la fillette, tandis qu'elle se mit à s'avancer encore ... menaçante ... terrorisante ... Un coup d'oeil sur le côté
:" toi l'infirme restes où tu es !" Le ton était sans détour ! cinglant ! claquant ! Et le regard fou se tourna à nouveau vers l'enfant.

Les peluches s'étaient immobilisées, les unes toujours perchées sur le corps enfantin, les autres accrochées au hakama du bushi. Toutes avaient leurs prunelles de verre tournés vers leur "chef". Un mot d'elle, voilà ce qu'ils attendaient, un parole ou un geste et ils redoubleraient d'ardeur dans leur assaut.


Akumu était maintenant découvert ...

Soudain ! sans que rien ne le présage, la forme disparut dans un volupte de fumée qui entoura le maître d'armes et l'enfant ... et ce rire qui raisonnait encore :


AHAHAHAHAHahahah

Et puis la fumée se concentra en une multitude de nouvelles peluches qui se mit immédiatement en marche vers les deux victimes ... Plus de trace de Yawa mais des oursons par dizaine qui vinrent prêter mains fortes aux premiers qui avaient déjà souffert de la première bataille.

Les uns grimpèrent le long du hakama du bushi tandis que les autres partirent à l'assaut de l'enfant, se hissant mutuellement .. s'agglutinant sur leurs proies ...

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--Nounoursako
Ah non, il n’était pas fier de lui, devoir appeler à la rescousse pour s’en sortir, c’était loin d’être glorieux ! A croire qu’il n’avait pas de … ah ben non, il n’en a pas d’ailleurs, tout comme Oursenpeluchiko et les autres d’ailleurs.

C’est donc avec soulagement qu’il voit arriver celle qu’ils vénèrent tous, leur grand prêtresse du cauchemar, celle qui les chérie, celle dont il rêve toute les nuits, celle qui fait qu’il se réveille en sueur, dans un état bizarre, celle avec laquelle il aimerait tant passer ces nuits entière, blotti au creux de son épaule, ou plus si affinité.
Oui, c’est vrai, Nounoursako était amoureux de Akumu. Depuis le premier jour, lorsqu’il avait croisé son regard, il avait tout de suite su qu’elle était celle qu’il lui fallait, il avait compris qu’elle serait celle qui les conduirait vers l’apothéose du mal, bref, celle qui les ferait sortir de ce carcan de douceur dans lequel les enfants s’évertuaient à les enfermer.
Mais le vrai fond des ours en peluche n’était pas celui là. Ce que les ours en peluche préféraient, c’est faire crier de peur les enfants !

Sauf, un, ben oui, il faut toujours qu’il y en ait un qui soit différent. Et d’ailleurs le voila qui arrivait, escaladant la fillette. Viendrait-il le sauver ? Ce serait pire que tout ! Se faire sauver la mise par le paria du groupe, par le Ouin Ouin des ours en peluche, par celui qui vénérait les huitres, jusqu’à en faire un totem.
Mais non, fidèle à sa conduite, le voici en train de dorloter la gamine ! Pouah, s’il avait de la salive, il lui cracherait dessus, tiens, mais là il avait la gorge trop sèche …. Et de toute façon les ours ont pas de salives, alors….

Mais…mais…. Ça marche ! L’étreinte se fait moins forte. Les coutures se relâchent, sans doute gardera-t-il ses membres, du moins pour l’instant. Parce que, ce qui serait top, c’est qu’elle le lâche tout simplement. Mais la fillette le gardait dans ses mains, et il avait beau se tordre dans tous les sens, elle semblait s’être attaché à lui.


Mais lâche moi petite saucisse ! Lache moi !!!!! Mais….. euuuuuh….. lâche moi je te dis !!

Purée, elle est sourde ou quoi ? Ou elle comprend pas le nounours ?! Et puis y’a le grand escogriffe qui se rapproche, et lui ce qu’il tient dans ses mains, ça coupe… brrrr… et si y’a bien une chose qu’il déteste autant qu’il aime Akumu, c’était les trucs qui coupent !

Keuf… Keuf…. Zut, c’est quoi toute cette fumée ! Rhaaaaa, elle est chiante Akumu avec ces effets à la noix ! Elle pouvait pas s’empêcher de faire la maline avec sa fumée, et tout et tout. Lui ça lui irritait les bronches et le faisait tousser !
Bah, c’est une femme, elle peut pas avoir que des qualités non plus ! Donc il lui pardonnait ces écarts, ces effets à la « regardez comme je me la pète ».
Et puis surtout, elle avait laissé la place à quelques dizaines de copains !! Alors là, les humains, ils allaient avoir chaud au derche !


Pssst… Psst.. Zentinounours !!? Purée, il est aussi sourd que gentil lui ou quoi ? Pssssssiiiiiiiitteeeeeeuuu… A, quand même ! Chatouille là la gamine, pour qu’elle me lâche !! Parce que tu voudrais pas qu’elle me fasse du mal, hein !? Mouais, pas convaincant sans doute. Fais le et je te jure que je te laisse faire des calins avec une des gamines du village ! Ca, ça devrait marcher, parce que Zentilnounours, il aimait bien les petites filles, il aimait bien passer du temps avec elles, on l’a même soupçonné pendant un temps de faire les sorties des écoles avec des bonbons dans les poches ! Tout ça pour pouvoir se blottir contre elle et leur faire avoir de beaux rêves !!

Togukawa_kadokawa
Il n’en revient pas ! Tout ce qui se passe autour de lui lui semble irréel, il croit rêver. Est-ce possible qu’il soit là, au milieu des bois, à essayer de se défendre contre une armée d’ours en peluche, ayant à leur tête son élève à la tête de linotte, et mettant son salut dans les mains d’une fillette ?
Non mais s’il en avait le temps, il se pincerait pour en être sûr, qu’il rêve pas ! Oui mais voila, à peine a-t-il eu le temps de reprendre ses esprits que le nombre de nounours explose alors que la femme, ou l’esprit, va-t-on savoir, disparaît.
Là, ils sont quand même mal ! Parce qu’il y en a une tripotée de nounours !
Apeuré, affolé par le nombre, il hésite. Par où commencer ? Il faudrait trouver le leader. Mais comment le reconnaître parmi toutes ces peluches ?! Ils étaient tous pareils, ils n’avaient aucun signe de distinction. Comment trouver le chef ?
Ou alors, oui, ça devait être celui là, là bas, celui qui ne ressemblait pas aux autres, l’ours écarlate ! C’est lui qu’il fallait décapiter pour voir la troupe s’arrêter !


Yuna… là bas… je crois que c’est le chef … si on le coupe en deux, les autres seront désorientés et battrons retraite.

C’est ainsi qu’il avait triomphé autrefois contre certains. Mais là, encore fallait-il arriver jusqu’à ce nounours ! Kadokawa réfléchit. Ses sourcils se froncent sous l’effort, son esprit s’échauffe, pour peu de la fumée sortirait de ses oreilles.
Pour aller là bas, il faudrait passer par-dessus les autres ! Que ne donnerait-il pas pour avoir des ailes, pour pouvoir se projeter dans les airs comme une flèche de Yami !

Mais oui, voila la solution ! Le yami !


Occupe-les encore un instant, je crois que j’ai trouvé une idée, j’ai juste besoin d’un peu de temps !

Il extirpe une corde de sa ceinture et entreprend d’en attacher une extrémité à un jeune arbre dont il éprouve la souplesse rapidement. La même chose pour l’autre côté et le voila prêt.
Il attrape Yuna, la place devant la corde et recule le tout. Son Yami improvisé est prêt à partir !


Allez Yuna, bonne chance ! Et ne perd pas le but du regard !

La corde est tendue, les arbres grincent, Yuna est en passe de battre le record de saut en longueur et en hauteur en simultané.
Kadokawa serre les fesses et croise les doigts. Pourvu que ça marche !

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Yuna.
Toujours avec son prisonnier dans les mains et son pot de colle contre son visage, Yuna regarda ahurie, la fausse Yawa disparaitre et se transformer en une multitude d'autres peluches."La, on est mal", se dit elle. Tandis qu'elle contemplait la masse grouillante devant elle, cherchant un échappatoire, elle sentit un fourmillement désagréable le long de ses cotes, et commença a se tortiller en riant a demi. Baissant les yeux, elle constata que l'ourson câlin était en train de la chatouiller. Oh! Le sale petit traitre! Jouer les gentils pour mieux la duper! Ni une ni deux, la petite lâcha les pattes arrières de son prisonnier et arracha sans ménagement le gêneur avant de le balancer de toutes ses forces au milieu de ses semblables.

C'est le moment que choisit Kadokawa pour lui demander d'occuper encore les nounours. " Il en a de bonne lui... Je les occupes comment moi!! Je leur chantes un berceuse?" L'idée de la berceuse étant sans doute très mauvaise, elle se contenta de shooter dans tous les intrus qui avaient la mauvaise idée de s'approcher d'un peu trop prés, Nounoursako bien calé au creux de son coude afin de l’empêcher de s'enfuir. En cas de besoin, il pourrait toujours resservir d'otage celui la.

Occupée a empêcher les montres d'avancer, elle ne prit pas garde a ce que faisait Kadokawa, quand elle sentit qu'on la saisissait par la taille et qu'on la déplaçait. Court moment d’incrédulité, une corde dans son dos, deux arbres étrangement pliés de chaque coté d'elle, les paroles de Kadokawa.... Et soudain, elle comprend tout! " Il a perdu la boule le vieux Kado!!! " Un gémissement de peur s’échappa de ses lèvres, et les yeux agrandis par l'effroi fixés sur le magnifique ours rouge, elle s'adresse a Kado d'une petite voix mal-assurée:

Kadokawa-san, je le sens pas du tout ce coup la, je vous assure. Ça va jamais marcher! Vous feriez peut être mieux de vous y coller vous! Ben oui, Yuna est une fillette courageuse, mais quand même, de la à se faire catapulter par un lance pierre géant... Son étreinte se resserre autour de l'ours qu'elle tiens toujours aux creux de ses bras. Si voler elle dois, ça ne sera pas seule en tout cas.

Campée sur ses petites jambes, elle sent la corde tendue dans son dos et fait son possible pour lui résister. Et au moment ou le maitre d'arme choisit de lâcher, le doute envahit son cœur et elle tente de se retourner pour l’arrêter.
Trop tard! La voila propulsée dans les airs, de dos, sans pouvoir voir ou elle va atterrir. Elle a l'impression de flotter dans les airs pendant une éternité, voyant le vieux fou qui l'a entrainée dans cette galère rapetisser et s’éloigner a une vitesse vertigineuse. Puis elle sent qu'elle retombe, la gravité faisant son œuvre... Le sol se rapproche, elle le voit, ferme les yeux et se prépare a l'impact. Et...

...Le choc est mon violent que ce qu'elle aurai cru! Ses fesses touchent les premières, mais contrairement a ce qu'elle avait pensé, le sol n'est pas si dur voir même moelleux, puis elle s’étala sur le dos, et resta quelques seconde a contempler les étoiles avant de se redresser. Sonnée, endolorie mais entière et sans blessures! Un vrai miracle, les Kamis étaient avec elle! Seul bémol a cette envolée fantastique, c'est que dans la chute, elle a laissé tomber son otage. Et l'ours rouge? Ou est-il passé? Elle ne le voit nul part! Aurai-t-il fuit en la voyant voler a se rencontre?

Scrutant les alentours a la recherche de l’écarlate peluche, elle sentit tout a coup que ça remuait sous son derrière. Fronçant les sourcils, elle entreprit de dégager la bestiole qui gigotait ainsi. Et stupéfaite, elle extirpa de sous elle ... l'ours rouge tant convoité!! Sautant prestement sur ses jambes, elle brandit la peluche dans la direction du maitre d'arme, un sourire triomphant collé sur le visage, et lui cria la voix pleine de fierté:

Kadokawa saaaaaaaaaaaaaan!! J'ai reussiiiiiiiiiii!! Je l'aiiii!!

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--Nounoursako
Super, ça à l'air de marcher ! Voila que la gamine lui lâche les jambes ! Cool, plus que les bras et il pourra prendre ses jambes à son coup pour se mettre en un endroit stratégique.... mais surtout à un endroit sûr pour pas se refaire chopper !

Helas, sa bras ne se libèrent pas, et au lieu de ça, il sent tout à coup une drôle d'odeur lui envahir les narines. Mais qu'est-ce qui se passe ? Est-ce une réplique des humains à l'arme chimique !? Rhoooo... les fourbes, utiliser des armes interdites par la convention de Genève, ils ont pas honte !! Euh..... comment ça la convention de Genève n'a pas encore été signée ? Ah ben zut alors....

Il tourne la tête et là, il comprend mieux la provenance de son malaise. Il est à 2 doigts des aisselles de son agresseuse ! ou de son agressée, au bout d'un moment, il sait plus trop en fait. Il porte ses 2 mains à son nez. Pouah ! Et bien, elle refoule la gamine ! Ca promet.

Et puis il se passe un truc qu'il comprend pas bien, des échanges verbaux entre la fillette et le vieux et soudain, il sent son corps devenir léger, tout léger, alors que ses amis ours deviennent tout petit. Mais ... mais.... il vole ou alors c'est l'odeur qui l'a tué ?

Lorsque sa tête heurte le sol, il comprend qu'il est encore vivant, et libre de surcroit ! Il entame alors une petite danse accompagnée d'une chanson de victoire : "Je m'appelle Funny Bear, je m'appelle Funny bear, ....

Entre 2 pas de danse, il aperçoit la gamine brandissant un truc tout rouge et tout plat. Qu'est-ce que c'est. Il éclate de rire en comprenant ! Bien fait pour lui, l'autre prétentieux d'ours rouge qui se la pétait ! Maintenant qu'il est plat comme une limande, il va sans doute moins la ramener !
Ca lui apprendra en plus à pas être comme les autres ! S'il avait été marron, noir ou blanc comme tous les autres nounours, sans doute serait-il encore ballonné ! Mais non, l'autre coquet !

"regardez moi, comme je suis beau avec mes belles couleurs, vous, vous êtes tout tristes et ternes " qu'il disait. Ben là, il était surtout plat.

Nounoursako n'en pouvait plus et il éclate de rire !


--Redisdedako


Hé hé, il avait de la prestance, non ? Avec sa superbe couleur rouge ! Pas de risque qu'on le prenne pour un vulgaire ours en peluche ! Non, lui il était le plus beau, celui dont tous les enfants rêvaient, celui qui jetait un voile terne sur tous les autres de la bande.

Et oui, Redisdedako, c'était pas un berlot ! Lui, il avait la classe que les autres n'avaient pas, lui il avait cette superbe capacité d'être beau, tout simplement, sans effort, alors que les autres, il pouvaient toujours essayer, ils ne lui arriveraient jamais à la cheville.

Donc, cette superbe faculté à être le plus beau, il n'allait pas la gâcher tout bêtement en se battant comme le plus pouilleux des nounours ? Ah ça non, aussi dès qu'il pu se mettre à l'abri, il sauta sur l'occasion. Et hop, une butte d'où il pouvait tout voir et d'où il pouvait aider ses camarades, par la voix !


Allez nounoursako, vas-y, mors-y-l'oeil !

Allez teddyberu, ne te laisse pas faire, tire lui les cheveux , on va lui faire voir à cette gamine qui sont les nounours !


Avec l'apparition de Yawa - Akumu, il jubilait ! La victoire ne faisait plus de doute, c'en était la fin de l'hégémonie des humains, les ours allaient enfin pouvoir prendre le pouvoir !

Mais... mais... pourquoi le ciel s'obscurcit-il ? Voila qu'il ne distinguait plus la lueur de la lune ? Que....


PAF - Ouiiiiiiiiiiillllllllleeeeee.... mmmppppppffffff

Qu'est-ce que c'était qeu ce poids qui lui écrasait tout le corps ? Mais ça pesait des tonnes ce truc là ?

A enfin, le poids disparaît mais voila qu'il s'envole, voila que son corps semble ne plus lui répondre.

Puis il éclate en sanglot ! Son corps si beau, si parfait, le voila tout plat ! Il venait de passer du rang de superbe nounours, à descente de lit moelleuse !

La vie est trop injuste ! Pourquoi veut-elle toujours détruire ce qui est beau ?
Yuna.
Elle avait finalement réussit a s'emparer du nounours écarlate et elle le contemplait, le tournant et le retournant dans tous les sens. Il était certes un peu raplapla, mais ça pouvait s'arranger. Yuna se mit alors a étirer la peluche en tout sens, a la tapoter, afin de lui rendre un aspect plus en relief. Ses yeux furent attirés par un mouvement devant elle. Son précèdent otage se tenait a quelques pas d'elle. La chute ne l'avait visiblement pas trop amoché et il semblait même en pleine forme. Plissant les yeux, elle observa la petite boule de poils et son étrange comportement. Mais au bout de quelques secondes, elle comprit. Son attitude était clair, il se moquait d'elle.

Le sang de la fillette ne fit qu'un tour et elle entra dans une colère noire. Faut la comprendre, elle était en train de faire sa garde hebdomadaire, quand elle était tombée sur une armée d'ours en peluche prêt a attaquer leur beau village. Puis Kadokawa était arrivé, ils avaient tous deux été attaqué par les vilaines bestioles. Et la dessus, Akumu, le démon des cauchemars était apparut sous les traits de son amie Yawa avant de disparaitre et de revenir en une multitude de nouveaux assaillants poilus. Et pour finir le vieux Kado l'avait carrément catapulté dans les airs comme une vulgaire flèche! Pas étonnant que ses nerfs finissent par lâcher après tant d’émotion!

Donc, la petite Yuna prit très mal le fait que Nounoursako se moque d'elle. Pour lui apprendre la vie, elle trouva une solution radicale! Deux pas vers sa cible et elle lui envoya un coup de pied magistrale, un shoot mémorable, qui expédia la peluche plusieurs mètres plus loin, aux pieds du vieux maitre d'armes.

Légèrement calmée, Yuna se reconcentra sur l'ours rouge. Le couper en deux, c'est que qu'avait dit Kadokawa-san. Mais comment!! Elle n'avait rien sur elle qui puisse lui servir a ça! Et le déchirer a la seule force de ses petits bras risquait d’être un peu difficile... Il fallait qu'elle rejoigne son compagnon d'infortune, de l'autre coté de la marée de nounours, car lui seul possédait un tachi. Et il fallait faire vite!

Pas le temps d’élaborer un plan stratégique très poussée, Yuna choisit plutôt de foncer dans le tas. L'ours rouge bien calé contre sa frêle poitrine, les bras croisés autour de lui pour bien le maintenir en place et l'empêcher de s'enfuir, elle inspira a fond et se mit a courir droit devant elle, légèrement courbée en deux et en poussant un cri de rage qui, elle l’espérait, ferait peur aux monstruosités qui lui barraient le chemin. Elle espérait que ça allait marcher, il le fallait!

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--Nounoursako
Ah il était beau l'autre précieux, celui qui essayait de toujours être propre, celui qui les prenait de haut avec ces airs de "oui, moi je suis pas comme vous autre ; oui, moi je suis destiné à un grand avenir..."

Ben là, son avenir, c'était plutôt carpette ou alors descente de lit. Il imaginait déjà les pieds crasseux se posant sur la tête de Redisdedako ! Quelle odeur pestilentielle s'introduirait alors dans ses narines. Parce que tout le monde chez les nounours le savait ça, que les humains puent des pieds ! Tous ?! Oui, tous sans exception, et c'est d'ailleurs pour ça que les humains étaient si grands : pour que leur nez soit le plus loin possible de leurs pieds puants. Les nounours, eux, avaient moins de chance : ils étaient petits et prenaient de plein fouet l'odeur de rat crevé qui se dégageait de ces appendices pédestre.

-------- Quoi ? qu'est-ce que j'ai dit ? Pédestre.... hé ! Ho ! J'ai dit pédestre, pas autre chose, hein ! allez pas me mettre des trucs dans mes propos. J'ai dit pédestre... ça à voir avec les pieds.... pas avec les hommes qui... euh... enfin, vous voyez quoi ! Je vais pas vous faire un dessin, hein !? -------

Bon, euh... où j'en étais du coup. Ah oui, alors le nounoursako il se marrait bien quand tout à coup il se sentit de nouveau des ailes.


Ah non, ça va pas recommencer ! Y'en a marre à la fin !!

Et de nouveau il voit ses camarades devenir tout petit, puis grossir peu à peu alors qu'il redescendait.

Bon, et bien, la suite... ça va faire mal encore ! Ca me gonfle ça !

Il ramasse la tête dans ses épaules, comme si cela pouvait avoir une influence sur la douleur qui allait lui vriller le postérieur dans quelques instants

----- non, ça n'a toujours rien à voir avec ça, monsieur.... arrêtez donc vos insinuations ! j'ai dit pédéstre, et pas autre chose... et là vous voyez, du coup, aucun lien entre les pieds et le postérieur.... sauf peut être que si vous insistez, le mien, de pied, va avoir un effet sur le votre, de postérieur, donc fichez moi la paix avec vos blagues douteuses, non mais !!! ------

Et paf, la rencontre entre un nounours et le sol, et bien, on le croirait pas comme ça, mais ça fait vachement mal !

Nounoursako se relève tant bien que mal, en se frottant le postérieur endolori, une grimace de douleur lui déformant le visage, quand tout à coup une odeur infecte le saisit, il est à 2 doigts de vomir.


Mais qu'est-ce que c'est que cette odeur infâme !?

Il tourne la tête et là, comprend tout ! Il vient d'atterrir aux pieds de l'adulte. Et comble de malchance, celui-ci porte des zoris, ce qui laisse libre court aux effluves malodorantes et pédestres.

---- ah non, là ça commence à être lourd ! jamais je n'ai voulu insinuer que ces gens là étaient malodorants ! j'ai dit pédestre : P-E-D-E-S-T-R-E ! c'est que vous êtes lourd à la fin !! puisque c'est ainsi, j'arrête là ! Vous êtes bien avancé ! na !----


Togukawa_kadokawa
Kadokawa était plutôt fier de lui, son plan avait marché et il avait fait mouche du premier coup. Sans entraînement, avec un engin de fortune, cela relevait de l’exploit, mais n’était-il pas maître d’armes après tout, un homme fort et intelligent !?

En tout cas, il était heureux, Yuna brandissait maintenant l’ours rouge, tout plat certes, mais tout rouge. Hé hé, il était fini le temps des combats, une fois le chef hors de combat, il n’y aurait plus de combat.

Toutefois, une chose intriguait Kadokawa : la capture de leur chef ne semblait avoir aucun effet sur le moral des nounours. On pouvait même dire que les nounours semblaient ne rien avoir à fiche de la capture de l’ours rouge. Ils continuaient à se ruer sur lui, tombant du ciel comme si un essaim de nounours se vidait des arbres au-dessus de lui. Et là, son Tashi était inutile car bien trop encombrant. Comment aurait-il pu se défaire des ours accrochés à ses bras avec son Tashi ?
Du coup la lame sifflait dans les airs, vainement, inutilement. Les sifflements de la lame semblaient des plaintes, comme si celle-ce réclamait quelque consistance à se mettre sous le fer. Hélas les nounours étaient aussi malins que mignons. Ils évitaient bien le tranchant de l’acier se contentant d’alourdir les gestes du maître d’armes qui se débattait comme il le pouvait. En gros, Kadokawa agitait les bras dans tous les sens : cela permettait de projeter en l’air quelques oursons à chaque mouvement, malheureusement aussitôt remplacés ! L’avantage c’est que leur nombre était stable ; mais ainsi, il n’y avait pas d’issu et lorsque l’homme se fatiguerait, l’équilibre serait rompu et alors….

Cette pensée mit Kadokawa en rage et il se mit à crier pour exprimer sa colère.


Rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! Mais lachez moi sales morpions !

Là, devant lui, un nounours qui semble un peu perdu. Ok, c’est un peu lâche mais quand on est dans une situation périlleuse, parfois on prend ce qu’on peut !
Et Chlack ! D’un geste empli de colère, Kadokawa pose son pied sur l’our, le bloquant ainsi face contre terre.


Celui-là, il bougera pas ! nom d’un Kami à cornes !!!

Pourquoi un kami à corne ? Kadokawa n’en savait rien, cela lui était venu comme ça. En tout cas, sa victime était là, sous ses pieds, et lui ne voyait que les membres qui s’agitaient dans tous les sens. Allez savoir pourquoi, cette vue déclencha un rire bruyant chez le maître d’armes.
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--Noursenpeluchito


Noursenpeluchito n'y comprend plus rien. Pourquoi cette sale gamine aux cheveux filasses s'en prends t elle a Redisdedako? La seule chose que ce casse noix a de bien, c'est bien sa couleur, mais on l'entend se plaindre en permanence. A la moindre éclaboussure de boue, il geint, geint, geint pendant des heures, des minutes, des journées entières. Noursenpeluchito ne trouve généralement rien de mieux à faire à ces moments là que de s'éloigner ou alors se boucher les oreilles. Mais bon avec ses rêves de grand H... euh de grand Nounours, il a une voix aiguë. Nul doute qu'il avait rien entre les pattes, celui la, tellement sa voix est cristalline.
Pour en revenir à nos moutons, euh, à notre affaire de peluches, Noursenpeluchito est sceptique à 10000 contre 1. Mais bon, il se rend bien compte que Nounoursako est en mauvaise posture. Il réfléchit, puis hurle de douleur, douleur au cœur quand il voit que l'espèce de géant infâme écrase son idole. Réfléchissons, réfléchissons. Pas facile avec deux neurones en lins... Il regarde les pieds écrasant son chef, quand tout à coup. Bling. Oui bling, d'abord, car quand un nounours a enfin une idée, ça fait un 'ti bruit métallique, résultant de deux tuyaux qui se sont imbriqués. Donc, bling! Noursenpeluchito a une idée, et de la fumée qui s'évapore de la tête, par la même occasion.

j'ai besoin d'une quinzaine d'ours ici!

une vingtaine d'ours, oui une vingtaine! qui a dit que les ours doivent savoir compter? Noméoh. Donc une vingtaine d'ours se rapproche de noursenpeluchito.

A vous, la, oui je vous demanderais de tenir les pieds du voisin et le premier doit s'accrocher au bras du méchant homme vilain. Vous devez, absolument, l'empêcher d'agir.
Vous autres là, formez une ronde autour de lui.

Et vous 5 la, allez soulever son pied, pendant que j'essaie de sauver Nounoursako.

J'ai besoin de vous autres la bas. Oui vous, allez entourer la gamine et resserrer la ronde, pour la faire tomber.



Les ours font exactement ce qu'il demande. Les uns déséquilibrent le vilain, d'autres bloquent la fillette, quand les quelques autres soulèvent le pied du bushi, il se rue sur son idole et commence un massage cardiaque, et du.... pouah, bouche cousue à bouche cousue, priant pour que ce dernier ouvre les yeux.

Allez chef, réveille toi!

Yuna.
Fonçant droit dans la marrée de nounours, Yuna comprit vite que cela ne servait a rien de tenter un passage en force et s’arrêta après quelques pas. Les peluches étaient trop nombreuses et lui barraient le chemin. Pourtant, elle n'était plus très loin du maitre d'armes, quand soudain, une dizaine de bestioles poilues firent une ronde autours d'elle, se rapprochant peu a peu.

Visiblement, ils n'en avaient rien a faire de l'ours écarlate qu'elle avait fait prisonnier. Ce pouvait il que Kadokawa-san, son héros, se soit trompé? Se pouvait il qu'il ait eu tort? Visiblement, même son idole pouvait faire des erreurs... Cette effarante constatation détourna l'attention de la fillette quelques secondes, mais quelques secondes de trop qui suffirent aux nounours pour lui grimper le long des jambes et la déséquilibrer. Battant l'air de ses petits bras pour retrouver un semblant d’équilibre, la peluche rouge toujours fermement maintenue malgré tout mais secouée dans tous les sens, elle réussit a faire encore quelques enjambées avant de s’écraser lourdement a terre, libérant de ce fait son inutile otage.

Endolorie, la petite fille tenta néanmoins de se remettre debout. Relevant la tête de la poussière, elle tomba alors nez a nez avec un spectacle qui la laissa perplexe. La, juste devant elle, deux ours en peluche, l'un allongé par terre, et l'autre au dessus de lui en train de ... d'embrasser le premier. Cette scène la laissa bouche bée. Les nounours pouvaient tomber amoureux?! Alors, ça voulait surement dire que la bestiole a terre, qu'elle identifia comme étant son premier otage, celui qu'elle avait shooté par la suite, cet ours était peut être une fille. Et celui qui l’embrassait, surement son amoureux!

Un vague sentiment de culpabilité saisit le cœur de l'enfant. Si jamais on venait a faire du mal a son amoureux, elle aussi serait en colère et deviendrait peut être méchante. Il fallait qu'elle répare son erreur, et peut être que les ours redeviendraient gentils, si elle se montrait elle aussi gentille.

Se relevant tant bien que mal, elle s'approcha doucement du couple de peluches et ramassa celui qui était allongé, chassant l'autre du revers de la main. Examinant la petite bestiole, elle constata qu'il portait sur lui une empreinte distincte de Zori sur le dos. La prenant doucement sous les pattes, elle se mit a la secouer doucement pour tenter de la réveiller:

Aller ma jolie, réveilles toi! Y a ton amoureux qui se fait du souci pour toi! Se tournant vers l'ours noir et blanc, elle lui dit d'une voix douce, T'en fais pas, je vais pas lui faire de mal a ta chérie. J'essaye juste de la ramener parmi nous.

Puis elle se reconcentra sur " sa patiente" continuant de la secouer doucement, nettoyant du mieux qu'elle le pouvait la trace de pas sur son dos et espérant que son aide suffirait a calmer les petits monstres en furie

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--Nounoursako
Est-ce l'odeur pédestre de l'humain ou est-ce pour une autre raison ? En tout cas, tout à coup, tout devient noir, il sent une lourdeur au niveau de la poitrine, une difficulté à respirer et puis, plus rien, il sombre...

Et là dans le noir, il s'évade de son enveloppe terrestre, il voit une nouvelle vie, une vie dans laquelle il est bel homme, une vie dans laquelle Yawa s'accroche à lui, les yeux emplis d'amour, une vie où ils sont tous les deux, heureux, passant leurs journées à s'aimer, à s'embrasser , à se caliner, à échanger des fluides corporels.

Et puis cette vision s'obscurcit, la yawa qu'il serre dans ses bras semble grossir, grandir, il se retrouve dans ses bras, telle une petite chose, un visage d'enfant penché sur lui.


Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!! Mais qu'est-ce que c'est que ça ???

Le réveil est douloureux, il est pris au piège, dans les mains de la gamine qui s'évertue à faire ce que nounoursako déteste : un calin. Elle semble prendre un malin plaisir à le torturer en lui prodiguant de la douceur.

Oui, je sais, il y a quelques instants, ça le gênait pas de faire ça avec Yawa. Oui, mais Yawa, c'est Yawa, la jolie, la formidable, l'unique, la plus intelligente, l'inénarrable, l'envoutante*.
Là c'est une gamine qui ne pense qu'à faire des calins, rien de plus, pas d'avenir dans cette relation qui finira un jour par d'éteindre.


Citation:
Aller ma jolie, réveilles toi! Y a ton amoureux qui se fait du souci pour toi!


Mais qu'est-ce qu'elle raconte ? Elle est tombée sur la tête ? L'un d'entre vous l'a-t-elle frappé trop fort ?

Instant de panique ! Elle est devenue folle, et dieu sait combien de nounours trépassèrent sous les mains d'un enfant devenu fou !?

Du coup il commence à se débattre, se tordant dans tous les sens, espérant qu'elle lâchera prise et lui permettra de retrouver le sol qu'il se met à adorer alors, autant que Yawa.

A cet instant, il voudrait être un ver de terre. Combien de fois il avait été ébahi par la faculté de ce minable animal de se soustraire à la prise en main !? S'il était dégoutant et glissant comme un ver, sûr que la gamine le lâcherait.

Des rires ? Comment ça des rires ? Il regarde autour de lui, et il voit que les autres nounours rient comme des tordus ! Mais... mais... ils se moquent de moi !!? Ah les vaches, ils vont me le payer !


Arrêter de vous marrer, bande de ploucs ! C'est pas drôle, venez plutôt m'aider.
Arrêter de rire où vous allez finir par mourir de rire !


Il se tourne vers la gamine et se met à crier, sans prendre conscience qu'elle ne l'entend sans doute pas.

Lâche moi, harpie ! Lâche moi créature malfaisante !

Puis encore une fois, il cède à la panique et ne peut s'empêcher de s'écrier :

Cheeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeffff.... au secours !!!!!!


*attention, cela s'adresse au perso, pas à la joueuse faut pas prendre la grosse tête, hein !


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