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[RP] La plage

Takira
Takira avait emmené son ami Silurius sur la plage pour lui faire découvrir cet endroit vivifiant.

Voilà, notre plage et notre océan !


TAkira prît une profonde inspiration.


QUe c'est bon de se sentir chez soi!
QUe c'est bon de retrouver de l'air marin!

Allez, mon ami, venez, et allons chercher des coquillage pour votre amie!

TAkira sourit et emmena Silurius tout au bord de l'eau, là où l'océan embrasse le sable.
Aude


Il neigeait abondamment sur le Poitou depuis hier soir, elle qui ne connaissait pas la neige, venant d'une ile au large de la Bretagne, elle était plutôt gâtée. Même ici, en bord de mer, le sable dorée avait fait place à un manteau scintillant et froid. Aude descendit les ruelles enneigées de LR pour se rendre sur la plage. Le spectacle était à couper le souffle... vers l'immensité d'ordinaire d'une bleu profond, tout n'était que blanc, autant le ciel que la mer, qui se fondait l'un dans l'autre, si bien qu'on ne savait plus où était l'horizon.

Resserrant sa cape bleu marine, dont elle avait rabattu la capuche sur la tresse auburn, elle foula la plage où son pied s'enfonça dans quelques centimètres de neige. Elle frissonna, ses pauvres chausses n'étaient qu'un maigre rempart contre l'amas de flocons devenu tapis épais et craquant.

Debout face à l'océan, elle se délectait du paysage, les roches brunes avaient disparu sous une couverture d'un blanc étincelant, l'écume était neige, ou était-ce l'inverse ? Les flocons tombaient encore, dansant, dans un silence presque irréel. la lumière se reflétait sur le tapis neigeux, ce qui donnait une impression de clarté.

Que faisait -elle ici ? la question tournait dans sa tête comme une balle ricoche contre un mur inlassablement. Elle qui avait eu tant de mal à sortir de LT, elle avait fait son premier voyage, pas trop loin. Puis un second, et encore un... celui là qui, semblerait-il, allait changer sa vie... ou pas.

Une rencontre, un instant rapide, fort... avait -elle accepté pour oublier ? sûrement. Malgré les sentiments qu'elle éprouvait pour Cyra, il était une chose dont elle ne se défaisait pas, un souvenir de LT qui était accroché en son coeur comme le bourgeon à une branche une veille de printemps.

Il était venu pour elle jusque LT, elle avait accepté sans réfléchir de l'accompagner jusque chez lui, dans sa ville, son environnement, au milieu de ses amis. Elle était soulagée d'avoir rencontré Takira, d'une gentillesse et d'une générosité que la trémouilloise n'avait pas rencontré jusqu'alors.

Un soupir fit s'échapper d'entre ses lèvres entrouvertes un nuage blanc qui tourbillonna et disparu aussi vite. Un frisson la parcourut toute entière; elle aurait dû rentrer à l'auberge, mais non, le besoin de respirer l'air vivifiant l'en empêchait. Elle avisa une roche en bordure de plage, s'en approcha et d'un geste large, en dégagea l'épaisse couche de neige. Elle prit place, plaçant la cape sous elle.

Ainsi assise, elle remonta les genoux sous son menton, et enserra les jambes de ses bras. Un doux sourire éclaira son visage, un sourire de bien être, à cet instant précis.

Elle ne savait pas de quoi serait fait son lendemain... mais elle apprenait à profiter des instants de bonheur qui lui étaient offerts.

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Leodagan
L'Océan...
Plus d'un an qu'il attendait ce moment...
Sa Puce dormait encore mais lui n'avait pas pu résister à la tentation d'admirer enfin ce spectacle.
Quand il la retrouverait, il lui ferait la mouette avec une stature spéciale (contrepeterie )

Debout, en haut d'une dune, la bouche bêtement entrouverte, son regard passait alternativement de l'horizon au bord de plage, foulé des pas d'une multitude de mouettes.

Incroyable, toutes ces mouettes qui foulent ()... pensa-t-il tout haut.


L'immensité du tableau qui lui faisait face lui tournait un peu la tête... la fatigue du voyage devait en être en partie responsable.

Léo resta là encore quelques minutes, à s'imprégner de nouveaux sons... le pleur des goélands l'hypnotisait... le ressac des vagues s'écrasant contre un coin de rochers le sortait par moment de sa torpeur.
Il aperçut d'ailleurs quelques personnes, avançant penchées à cet endroit... sans doute des fous d'étrilles à la recherche de crabes osseux ()

Il se mit en route dans cette direction avec l'intention de ramener de quoi déjeuner cet après-midi...
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C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certaines personnes paraissent brillantes avant d'avoir l'air connes...

http://www.youtube.com/watch?v=RsLW5xNYZeQ
Arzhel_guilem
Après avoir passé une bonne nuit de sommeil, le vagabond ronchon qui répondait au nom d'Arzhel, avait décidé de se promener sur la plage.
Certes, y avait du vent à lui en décoiffer les épis de cheveux matinal et ça pinçait sec !
De plus, il était peu vêtu. Et ce n'était pas les rayons de soleil qui pourraient le réchauffer. Oui, ce matin, le ciel était dégagé. Bleu azur à perte de vue haut dans le ciel.
Se posant le derrière sur le sable, il regarda tout autour de lui. Pas grand monde. Les gens ne devaient pas être des lèves tôt dans ce coin. Juste quelques barques par-ci, par-là. Le chant des mouettes, volant au dessus de lui accompagnant le tout.
C'était la première fois qu'il en voyait autant.
Le vagabond plongeait son regard continuellement sur le vol des oiseaux. Cela l'ensorcelait presque quand soudain....splaaatchhhh !!!
Une petite masse visqueuse et odorante se posa sur son visage. Oui, un excrément de mouette ! Pouahaaa !!

Se levant d'un bond, injuriant avec des noms d'oiseaux le cercle de mouettes, le poing levé au dessus de sa tête, courant après celles quie se posèrent sur le sable, le vagabond ronchonnait, comme à son habitude.
Mais il cessa vite, l'odeur d'excrément étant peu supportable et surtout, commençait à couler proche de ses lèvres.


Berkkk !!! Berkkkkkk et re Berkkkkkk ! Saleté de mouettes ! J'va vous faire rôtir si je vous choppe !

S'essuyant le visage avec une main, il se dirigea vers l'eau qui remontait sur la plage. Une fois arrivé devant, il plongea les mains dedans et s'éclaboussa le visage en grimaçant. C'est qu'c'était froid !
Une fois bien débarbouillé, il quitta la plage, non sans essayer de choper une mouette. Malheureusement, il rentra bredouille !
Neige_barrow
Neige était bien passée a Sainte mais n'avez pas eu le temps de voir cette étendue d'eau qu'on appelait ""la Mer"" aussi c'est en quittant la roulotte que ses pàs l'emmenèrent vers la plage.....

La , se qu'elle vit était un enchantement,ses yeux ne pouvaient se détacher de se spectacle.............Elle commençait a se rapprocher du bord quand elle aperçue Arzhel .... elle s'arrêta dans son élan et le regarda se débattre avec ses drôles d'oiseaux donc elle ne connaissait même pas le nom , quand soudain elle l'entendit ronchonner.......

Citation:
Berkkk !!! Berkkkkkk et re Berkkkkkk ! Saleté de mouettes ! J'va vous faire rôtir si je vous choppe !


Elle se mit la main devant la bouche pour éviter d'éclatée de rire ,une fiente sur le visage..... Il fallait bien que cela tombe sur lui, Neige le regarda se rincer le visage et partir en grommelant....


Elle se rapprocha du bord , enleva ses chausses et ses bas et mit les pieds dedans , l'eau était gelée..... elle se recula illico presto , se rechaussa puis s'assit sur le sable , serrant son lainage sentant l'humiditée la traverser.... elle contempla l'océan un long moment .....puis décida de rentrer






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Maegorn55
Le soir était tombé lorsqu'elle passe les portes de LR.
Avant de passer en taverne, la jeune femme se dirige vers la plage sans savoir si son compagnon de voyage la suit.
Elle retire ses chausses et marche vers le rivage de l'eau... glacée !

" Brrr... "
Un sourire. Ses pieds s'habituent à la fraîcheur de l'eau.
La jeune encapuchonnée avance le long de la Mer.
Des silhouettes inconnues plus ou moins loin. Plus ou moins perdues.
Les hommes seraient-ils si vulnérables sous les doigts du Très-Haut ?
Sons
promenade familiale une fois le repas pris.. C'est bien sûr le contraire qui était recherché.. mais vu que le départ a bord de ""l'elra"" avait été repousser..
aucune difficulté cependant.. le tout était d'occuper les enfants pendant se temps.. direction une petite rando a la plage..les randonneurs.. sons.. dona.. et les deux bambins.. connaissant parfaitement le trajet dévalèrent le sable a bonne allure.. suivi a quelques pas par un porcin
étonnant animal a qui yseuh essayait de lancer un bâton pour qu'il le ramène.. ayant vu des villageois faire de même avec un chien..
mais peine perdu cela ne semblait guère interpeller la pauvre bête qui par ailleurs semblait plus vouloir se tenir éloigner le plus possible de l océan..
sons et dona marchaient amoureusement devant tout ce monde.. délaissant un peu les enfants a cette etendu et cette impression de liberté.. jetant seulement un oeil en arrière de temps a autre pour voir si personne n'allait manquer au retour..
althéa ramasser ça et là quelques coquillage.. ou seul yseuh venait la troublé chaque fois qu'il l'apercevait se baissant pour lui demander avec les seuls mots qu'il semblait vouloir ne prononcer de la journée..
fais voir.. fais voir.. avant de repartir aussi vite qu'il était apparu..
bientôt il allait être temps que tous rentre pour se rendre a la pêche pour se nourrir..
Maegorn55
La voyageuse continue d'avancer sur le rivage.
Des gens vont et viennent sans se préoccuper des autres.
Un sourire. La Mer va remonter.
Elle avance un peu vers les dunes sans se presser, regardant La Rochelle.
Remiette51
Remiette regarde cette belle plage et se remémore toutes ces soirées ,ou Salisse et elle en parlaient...

La brune pose sa besace...enlève ses chausses et se met à courir dans l'eau en remontant sa robe le plus possible....

Elle revient tout doucement en tapotant ses pieds dans l'eau,s'arrête de temps en temps,laissant rouler une vague vers elle.

Remiette s'assoit un peu,toutes à ses pensées..se sent un peu perdue..

Même si elle part demain...Mimi aura au moins mis les pieds dans la mer...la plage de St Brieuc est belle aussi...mais le climat est différent
Dina1821
Sur ce rivage, au gre du ressac
Insensible aux grains de sable dans ses pieds nus
Les cheveux decoiffes par le vent coquin
Arrimee a Sons, sa main ancree fermement a la sienne, Dona Dina se regalait de cette ballade
ce n etait pas la premiere fois pourtant qu elle plongeait son regard sur ce littoral, mais ca ne l empechait pas de ressentir toujours ce meme tumulte. Ce mouvement de va et vient la grisait
Etre au cotes de Sons, dans ce paysage a la beaute inclassable...
Elle se souvenait de comment il l avait abordee, et elle souriait. decidement elle debordait toujours autant d amour pour lui , elle en divaguait presque...

Elle se retournait de temps en temps pour surveiller les enfants et le porcin.

Althea, les cheveux ondulants ; dans son manteau vert, agenouillee le visage grave, petite algue sur cette plage
a la recherche de coquillages

Iseuh turbulent, et les joues rouges, courrait sur cette greve, apres le vent , s arretant pour s eponger le front et ramasser les galets roses et lisses echoues au hasard

Ici au moins, on ne pouvait craindre gros ravage avec Grasdulard :
Le porcin lourdeau flairait cet eau saumure , tout en evitant les flaques , et precautionneux, se gardait bien d approcher les rouleaux d ecume

Elle aurait aimer grimper sur ces rochers
la-bas pour pouvoir voir encore plus loin

Bientôt, ensemble, il prendraient ce bateau, et partiraient en voyage, sur cet ocean et en perceraient peut etre les mysteres...


Appelle les enfants, Sons, Il est temps, je crois de regagner la terre ferme
Nadjka
Au bord de la mer...
Un couple avec enfants et porcin aperçus au loin, une silhouette encapuchonnée qu'elle reconnu...

Vague à l'âme
Inondée
La poitrine amère
Les yeux secs
Elle laisse le vent se lever
Elle est au bord
Elle est au bout
Et du quai
Et de tout.

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Arzhel_guilem
Son départ pour passer une journée à Niort avait été repoussé par le fait que des brigands rodaient dans la région. Arzhel avait même entendu dire qu'ils auraient prit le château du comté !
Cela l'avait bien fait rire en lui même. Fût un temps, lointain, il aurait sûrement participé avec eux. Mais il s'était rangé du bon côté. Cela ne l'empêchait pas de ne pas croire en certain nobles de basse cours qui pavoisaient comme le coq parmi ses poules. Se montrer sous ses atours, mentir à ses prochains...tout cela pour continuer à vivre dans leur petits souliers.

Fixant l'océan en étant assit sur la plage, le regard un peu absent, pensif, il se demandait combien de temps les pillards resteraient dans le château.
Arzhel se plaisait bien ici, mais parfois, les fourmis qu'il sentait dans ses guiboles lui incitaient à se remettre en route. Pour le moment, ce n'était pas pour demain. Souriant, un rayon de soleil lui chauffant le visage, il s'allongea sur le sable, fermant les yeux et s'assoupissant un peu. Il fit quelques rêves bien à lui, que personne ne saurait jamais.
Le réveil fût plus glaciale que ses rêves.
Des gouttes d'eau tombèrent du ciel, doucement puis de plus en plus vite !
L'ondée arrivait. Le déluge même !


Fichtre...de...boudiou...de bordel....de raclure de pissure ! J'suis trempé maintenant ! M'apprendra à m'endormir sur le sable !


Se levant en ronchonnant comme à son habitude, courant aussi vite qu'il le put dans le sable mouillé, il atteignit un sol plus ferme et partit se mettre à l'abri dans la petite maison qu'il avait eu le temps de son séjour à La Rochelle.
Lili..
Lili regarda de loin l'eau , elle en avait une peur bleu.

Elle ne pouvait s'expliquée cette phobie , mais , en même tant , elle s'avait au fond d'elle même qu'elle ne s'avait pas partir de la rochelle.

Elle regarda au loin , elle aimerait tant arrivée a avancée plus près , mais , cela lui était impossible, cette peut était plus forte que tout.

Elle resta la un moment pensive.
Cydalise
Le rivage doré sous le timide soleil de janvier s'enfonce dans la mer palpitante, grésillante quand elle vient échouer ses longs rouleaux d'écume sur les galets polis.
Le vent disperse des senteurs d'algue et les rires moqueurs des mouettes couverts du bruissement des vagues, vient briser sur la grève sa plainte mélancolique.
Noyée dans cet harmonieux concert de sensations, Cydalise, debout sur le sable et les pieds nus, plonge son regard dans la mer sans limites. Où terminent les flots, où le ciel commence, il est bien difficile de le dire tant la pâleur des uns reflète la blancheur incertaine de l'autre.
Cet océan immense se prosterne à ses pieds et la force au silence. Car devant tant de beauté, il n'y a rien à dire.

Il fait juste un peu froid, ses cheveux tourbillonnent au-dessus de ses yeux indolents et quelques grains de sable viennent lui piquer les jambes. Mais comme elle se sent bien ! Ses joues, d'habitude si blêmes, se teintent d'écarlate sous l'assaut répété de la brise marine et ses prunelles grises boivent avidement la mer frémissante, voguent déjà très loin, au-delà des brumes qui se dispersent à l'horizon.
Quels voyages, quelles aventures pour deux yeux qui, rêveurs, s'égarent dans l'inconnu ?

En enfonçant une main frileuse dans sa poche mouillée par l'eau de mer, Cydalise y retrouve tous les trésors de pacotille qu'elle a ramassés au bord de l'eau, tout à l'heure, lorsqu'elle a marché un peu en écoutant le vent et en respirant l'iode qui jaillit de la crête des vagues déferlantes. Quelques galets, des coquillages fêlés s'entassent et pèsent lourdement, menacent à tout instant le tissu de crever. Mais il y a surtout un caillou plat, grand comme la paume, sur lequel elle a dessiné plus tôt avec une craie tendre ramassée sur la plage un visage naïf.

Puis les heures ont passé, sans ennui, à tressaillir, excitée, les mollets trempés dans l'eau froide et laiteuse, à collectionner les ormaux scintillants sur le sable opalin et à accompagner, en caressant le luth avec des doigts agiles, la mer dans son incroyable symphonie — promesse solennelle faite à Caitlinn. Les phalanges légères ont couru sur les cordes qui ont jeté dans l'air leurs notes fraîches, parfois maladroites, souvent toniques, répondant faiblement et avec nostalgie au chuchotement bavard du flux et du reflux des vagues, à leur bruit continu, gonflé et dégonflé, frappant sans relâche les oreilles. Les sons de l'instrument s'en sont allés mourir au large, domptés et scandés par le ressac qui lance continuellement son doux crépitement lorsqu'il vient achever l'usure des galets. Et ceux-ci roulent, et roulent, énième musicien de cet hymne marin sans cesse inachevé. Dans ce délicieux vacarme, quelques rires éclatants ont disputé les railleries des mouettes et les pleurs des goélands, tour à tour cantatrices folles et barytons ténorisés. Jusqu'à ce que le vent froid du bord de mer décide de mettre fin à la récréation et invite fortement à se protéger à l'intérieur des terres…

Alors, face à l'océan qui moutonne à l'infini, tandis que le ciel se fait plus menaçant, la jeune Cydalise tâche désormais de graver une dernière fois cette immensité grandiose dans le marbre de sa mémoire. Le regard toujours rivé sur la surface mouvante semblant cacher un cœur sous une poitrine d'eau, elle s'éloigne enfin, aux lèvres une chansonnette étouffée par le bruit des lames qui se brisent sur le sable et les clameurs fracassantes des oiseaux qui s'affolent.
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« Quand on est jeune, on a des matins triomphants »
Lyseron
N'arrivant plus à dormir et le froid ambiant de sa masure n'aidait pas à un doux repos. Aussi Lyseron se dirigea vers l'océan.

A l'Est le soleil ne se montrait point, de gros nuages obscursissaient sa face.
A quand l'astre pourrait il donner toute sa splendeur?

Les chausses de la jeune fille foulaient un sable humide et froid, sable qui s'infiltra dans le pied gauche. Avisant un bois flotté échoué là, elle s'y installa et enleva les fines particules indésirables.

Resserrant autour de ses épaules la peau de mouton qui la protégeait tant bien que mal du froid, Lyseron laissa vaquer son regard ainsi que son esprit...


-Hummm je m'ennuie! Té! Cela fait une semaine que je suis là et j'ne connais encore personne....Pourtant c'est pas faute d'aller en taverne...MAIS Y A JAMAIS PERSONNE!

Un coup de pied rageur fit voler le sable. La jeune fille ne s'était même pas aperçue qu'elle avait presque crié la fin de la phrase...

-P't'être bien que j'y vais pas aux bonnes heures...Et pis l'bourgmestre qui m'dit d'y venir pour m'donner du pain! Pffff! Si j'dois attendre sur lui c'est d'faim que j'mourrai plus vite que d'froid tééé!

Une mouette matinale vint interrompre ce triste monologue.
Lyseron leva les yeux et l'aperçut dans le jour qui se levait lentement.

- Té! Toi ma belle tu peux aller où bon te semble...Comme j'aimerai pouvoir faire comme toi...

Un gros soupir ponctua ces paroles...
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