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[RP] La plage

Valexan
Elle vivait à la Rochelle??? misère, comment avait-il pu oublier cela? peut-être simplement parce qu'il l'ignorait? Mais, était-ce une raison suffisante? on dit bien à quelqu'un qui a commis un crime par ignorance que nul n'est sensé ignorer la loi ; Qu'en est-il de quelqu'un qui n'a pas reconnu une femme qu'il connait et l'a pratiquement insulté?

Un crabe. A quelques mètres de là, à la faveur du soleil qui se couchait, un crabe était en train de sortir de sa cachette diurne qu'il s'était fait dans une petite parcelle de sable. le voilà le trou qu'il cherchait! il n'avait qu'à attendre quelques minutes que la bestiole se soit extraite du-dit trou, et hop, à la manière d'un coucou qui profite que des oiseaux se sont éloignés de leur nid, il sauterait sur l'occasion pour y chercher refuge! Bon, le trou n'était pas bien gros, mais peut-être qu'en appuyant sa tête bien fort il réussirait malgré tout à l'enfoncer dans le sol... Le pauvre Valexan en était tout à ses réflexions quand la jeune femme lui répondit


Vous n'êtes pour rien dans tout cela... je vous en prie, vous... je... Et si nous oublions cet incident ? Ce serait beaucoup plus simple vous ne trouvez pas ?

Un immense soulagement s'empara de lui, semblable sans doute à celui qu'un pécheur peut ressentir après avoir avoué une terrible faute au curé du coin ; ou à celui d'un enfant prit sur le fait avec sa main dans un pot de confiture, et à qui on dit que ce n'est pas grave. Se laissant aller à un sourire, il relève doucement la tête en direction de Bettym, tout en cherchant discrètement de ses mains à colmater la brèche que sa chute a causé dans ses braies


Oui... je crois que le mieux pour nous deux est d'oublier tout cela, vous avez bien raison.

à peine avait-il reprit que la brune repris

D'ailleurs, comment se fait-il que vous soyez ici ? Un voyage de noce ? Votre épouse est-elle aussi avec vous ?


Bon.. le sujet qui fâche ; La question à laquelle il ne s'était pas préparé depuis le moment où il avait quitté le BA ; pourquoi l'aurait-il fait d'ailleurs? il y avait une chance sur un million qu'il rencontre quelqu'un qu'il connaisse et lui fasse pareille demande! Faisant la moue, il répond


Et bien... à vrai dire, je suis là... par hasard ; l'envie... de bouger un peu, de voir des paysages autres que ceux du BA. Quant à mon épouse... hum.. non, elle n'est pas là. En fait... comment vous dire...

Que peut-il lui dire, justement? La vérité? mentir? Et puis, à quoi bon mentir? Il n'avait aucune honte à avoir après tout! Ce qu'il avait fait, il l'avait fait parce qu'il le fallait, voilà tout! Vivre avec quelqu'un en permanence absente, qui ne répondait pas à ses lettres, l'ignorait pratiquement lorsqu'ils étaient ensemble, ce n'était pas une vie!

En fait.. nous sommes séparés. J'ai fait une demande d'annulation de mariage auprès des instances Aristotéliciennes.

Voilà, c'était dit. En un bloc. Sans reprendre sa respiration. Et, pour détourner la conversation, il surenchérit de suite

Alors, ainsi, vous habitez la Rochelle? Vous avez bien de la chance, c'est une jolie région. Mais, dites moi, qu'y faite vous? je ne vous imagine pas ne pas y avoir repris des responsabilités, surtout en matière judiciaire, que je sais être votre passion.
Bettym
Rassurée qu'il fut du même avis, elle sourit lorsqu'il lui apprit qu'il était ici par pur hasard et seul par dessus le marché. Elle aurait eu du mal à marcher en ville en essayant d'éviter une des personnes qui fut la raison de son désamour pour le Bourbonnais. Mais le souci était que le noble semblait affecter par l'absence de la femme qui aurait dû être à ses côtés pour le restant de ses jours.

Encore une fois, elle avait mis les pieds dans le plat. Grimaçant devant l'aveu d'aucun trouverait honteux, elle bredouilla un...


Je suis désolée de l'apprendre.

Elle l'aurait bien consolée en lui disant une de perdue dix de retrouver, cependant, ne le connaissant que peu, cela aurait été déplacé. Sentant un blanc se profiler à l'horizon, elle remercia le ciel que son interlocuteur change de sujet et quel sujet !


Oui en effet. J'ai bien de la chance, les yeux brillants de bonheur. Mais avant de vous en dire plus, si vous permettez... elle se départit de son étole et lui tendit. Tenez. Je sais que ce n'est pas trop dans les coutumes de notre Royaume mais je n'ai pas de fils ni d'aiguille sur moi pour repriser vos braies. Alors... à défaut, vous pourrez toujours passez cela autour de vos hanches pour masquer la déchirure.

Elle rougit de son audace mais elle avait du mal à garder la maîtrise de la situation en le voyant ainsi se tenir les braies qui, automatiquement, attirait son regard.
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Béatrice Madeleine dite Bettym
Vice-Présidente de la Cour d'Appel par INTERIM
Juge à la Cour d'Appel


[Merci à celui ou celle qui a sauvé ma poupée. Elisabeth alias Bettym]
Valexan
Elle le sait! Elle s'en est aperçu! de cela, il n'y a aucun doute! Ses paroles en sont la preuves :

Mais avant de vous en dire plus, si vous permettez... Tenez. Je sais que ce n'est pas trop dans les coutumes de notre Royaume mais je n'ai pas de fils ni d'aiguille sur moi pour repriser vos braies. Alors... à défaut, vous pourrez toujours passez cela autour de vos hanches pour masquer la déchirure.

Un grand moment de solitude étreint Valexan ; Un petit regard vers la tanière du crabe pour vérifier qu'elle est toujours libre, au cas où... Que dire dans ces conditions? Il se doute que son visage a du virer au rouge écarlate! Comment pourrait-il en être autrement, alors que oui, Vicomte et Seigneur se retrouve devant une dame avec une partie de ses cuisses à l'air?? S'il y a bien une chose qui ne se fait pas, c'est bien cela! Il pourrait ne pas relever la proposition de la jolie jeune femme qui lui fait fasse, en lui disant que ce n'est pas nécessaire, que la fraicheur du soir à des effets bénéfiques, comme raffermir les muscles ?... Mais en même temps, ce serait mentir, il doit bien avouer que cette sensation de fraicheur sur le verso de son anatomie et pour le moins désagréable et saisissante ; C'est pourquoi il saisit l'étole et, après avoir remercié la jeune femme d'un timide

Hum.. merci.. vous êtes bien aimable...

Selon la proposition de Bettym, la passe autour de ses hanches ; La douce sensation de chaleur qui s'ensuit est des plus agréable, et il doit se retenir de pousser un soupir de soulagement.

Ainsi vêtu, il pouvait reprendre la conversation de façon plus sereine. Il avait été touché du fait que son interlocutrice soit touchée pour ce qu'il lui arrivait ; et lui était reconnaissant de ne pas approfondir la conversation à ce propos ; A vrai dire, ce n'était point là un sujet qu'il souhaitait développer ; Il vivait cette situation comme un terrible échec, lui qui pensait avoir trouvé celle qui serait la mère de ses enfants, qui serait à jamais à ses cotés, qui serait là quand il mourrait. Tout était si merveilleux avant qu'ils ne se marient... Avant... Car après cela avait tourné au cauchemar ; il n'y a pire solitude que celle que l'on ressent lorsqu'on est avec quelqu'un, pire sentiment que celui d'être ignoré, oublié par celle avec qui on s'est uni devant Aristote, pire impression que celle d'être ignoré, considéré comme une personne comme une autre par elle. Cela, il l'avait vécu, ressentit, et il n'aspirait plus qu'à une chose, oublier, oublier tout ce gâchis.

Il avait remarqué, lors de sa rapide évocation de sa vie à La Rochelle, que les yeux de Bettym s'étaient mis à briller de cet éclat particulier qu'ont les gens heureux ; Pourtant, le cri qu'elle avait poussé et qui les avait fait se retrouver ne ressemblait pas vraiment à un cri de bonheur; Ne voulant se montrer indiscret, il préféra ne pas lui en demander la raison et se contenter de parler de son bonheur de vivre à La Rochelle


Il est vrai que vous semblez resplendissante, et je doute que l'air de la mer en soit le seul responsable ! Mais, dites moi, votre enfant - un fils, si je ne me trompe? - a dû bien grandir depuis votre départ! Vous devez former une bien jolie famille avec votre époux... Et donc, comment occupez-vous vos journées? faites vous parti du conseil ducal, ou autre?
Bettym
Bien que le costume de Valexan sortait de l'ordinaire, la silhouette dans le soleil couchant n'était pas désagréable à regarder et n'avait en rien de ridicule. Elle ne saurait dire si à la lumière cela serait toujours le cas, mais pour l'heure, aussi bien lui qu'elle avaient repris le cours de leur discussion comme si de rien n'était. Commençant à marcher le long du rivage vers les feux de La Rochelle, elle fit se qu'elle promit : répondre à ses questions.

Je vous en remercie, rougissant au compliment. Et vous avez bien raison ! L'air marin a des vertus sur ma bonne humeur mais pas seulement. Le climat est beaucoup plus serein au Poitou qu'au Bourbonnais. Les gens, dans son ensemble, sont plus serviables et agréables. C'est bien loin de toutes les fourberies que j'ai pu constater dans les montagnes du Massif Central.

Pour sûr qu'elle ne regrettait nullement cet exil. L'accueil avait été des plus châleureux. Et lorsqu'elle débattait de temps à autre de politique, ce n'était ni dans les cris, ni dans la vindication. Ils s'écoutaient même si les opinions étaient différentes et rien que pour cela, elle ne voudrait pour rien au monde partir de ce coin de paradis.

Vous ne vous trompez point, large sourire à l'évocation de son fils, sa merveille, son petit roi comme elle l'aimait à le surnommer quand ils étaient seuls. Guéric est devenu un jeune homme plein de fougue. Malheureusement, fit-elle en regardant dans le vide face à elle, je le vois rarement depuis son retour du monastère où il a fait ses études. Il n'a rien trouvé de mieux que de s'enrôler dans l'armée ! puis se campant droite dans ses chausses, elle fit face à Valexan. Vous vous rendez compte ! L'Armée ! Quelle folie ! Si son père...

"Son père" signifiait "son époux à elle". Sauf que voilà d'époux il n'y en avait pas. Et pour couronner le tout, le Vicomte évoquait l'image d'une famille idéale. Une belle famille... quel doux rêve ! Il était vrai que son départ avait coïncidé avec la venue de son fils et la date de son mariage. Mariage arrangé qui fut un fiasco et pour preuve ! L'homme qui lui avait été désigné n'avait rien trouvé de mieux que de prendre la poudre d'escampette avant la cérémonie. Certes, peu de gens le savait et quant elle était arrivée à La Rochelle, elle ne s'était jamais étendue sur le sujet préférant prétexter que l'homme était mort ou en retraite. Mais comment aurait-elle pu imaginer qu'une personne de sa connaissance puisse lui parler de cet ignoble individu ? Que pouvait-elle répondre ? La vérité et ainsi avouer qu'elle était une fille dépravée ? Ou tout simplement dire la vérité et passer pour une pauvre femme laissée à son propre sort ? Dans tous les cas de figure, aucune des solutions ne lui plaisait.

En effet, finit-elle par dire, tendue comme un arc essayant toutefois de rien montrer de son amertume face à l'échec d'une vie familiale heureuse comme chacun espérait en rêver, nous formons une belle famille mon fils et moi. préférant ainsi éluder le sujet de l'époux invisible et surtout inexistant. Elle prit une profonde respiration avant de se remettre en marche vers l'une des portes de la ville, bras croisés sur les avant-bras qu'elle frottait doucement de ses mains pour diffuser un peu de châleur que le soleil n'arrivait plus à lui distiller.

Comment j'occupe mes journées ? heureuse que le sujet déviasse vers d'autres horizons. Et bien... non je ne fais pas partie du conseil comtal ni même de quelques institutions poitevines. Non pas que cela ne m'intéresse pas mais l'occasion ne s'est pas présentée. Et puis... j'aide Sa Majesté à préserver ses terres. Je ne sais si cette fonction est compatible avec une du Poitou.

Elle resta un moment à rêvasser avant de se tourner vers son interlocuteur.

Et vous, Messsire de Montbazon ? Avez-vous travaillé au sein de votre duché ? D'ailleurs c'est peut-être une des raisons de votre passage ici ?
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Béatrice Madeleine dite Bettym
Vice-Présidente de la Cour d'Appel par INTERIM
Juge à la Cour d'Appel


[Merci à celui ou celle qui a sauvé ma poupée. Elisabeth alias Bettym]
Valexan
La luminosité du lieu s'affaiblissant au fur et à mesure que le soleil disparaissait à l'horizon, les deux anciens compatriotes s'était mis à marcher en direction de la ville, tout en continuant à converser. Bettym semblait effectivement ravie de s'être installée en cette ville, qui semblait être à ses yeux ni plus ni moins qu'un petit bout de paradis ; il est vrai que le Bourbonnais-Auvergne et ses habitants avaient tes défauts parfois fort agaçant...

Jetant de temps en temps un petit coup d'œil à la jeune femme à ses cotés, tout en vérifiant où il mettait les pieds, Valexan remarqua à nouveaux les étoiles envahir son regard à l'évocation de son fils ; Sans doute en était-il de même pour toute femme ou toute homme évoquant la chair de leur chair, leurs enfants ; Une chose à laquelle cependant il ne s'attendait pas, c'est que la jeune femme se plante soudain devant lui pour le prendre à témoin sur la décision de son fils de rejoindre l'armée, Et le Montbazon ne dû qu'à un réflexe de ne point percuter la jeune femme.

Une chose cependant le surpris : la façon dont elle sembla éluder la présence du père de l'enfant, et le fait qu'elle parla de la famille qu'elle formait avec son fils ; La rumeur qui circulait au BA aurait-elle été vraie? Celle-ci rapportait que le père de l'enfant, qui devait l'épouser en juste noce, l'avait finalement abandonné au dernier moment pour s'engager dans la marine, et que son bateau avait sombré en mer ; Il n'avait guère prêté à cette rumeur de prime abord, comme de toutes autres rumeurs, mais pourtant... Ce pouvait-il qu'il y ai malgré tout une parcelle de vérité dans celle-ci? Il avait du mal à imaginer malgré tout qu'une jeune femme, aussi bien de sa personne, belle et intelligente soit restée seule tout ce temps ; Une pensée le fit soudain sourire : elle fille mère, lui avec son mariage en cours d'annulation, toute personne qui les aurait vu passé et aurait su cela se serait sans doute dit que c'était un couple bien peu aristotélicien qui se promenait!

Il ne fut pas surpris de savoir qu'elle travaillait au service de la Reyne, il était normal que celle-ci s'entoure de personnes de qualités. Passant devant les premières maisons isolées du village, il répondit de bonne grâce à sa question


Oh non, il n'y a nulle raison particulière à ma présence ici, je vous l'ai dit, hormis l'envie de changer d'air ; Et je dois avouer que c'est par le plus grand des hasard que je suis arrivé ici et que j'y ai fait étape ; Vous savez, je n'ai pas de réelle destination ; je serais poète, je dirais que je vais là où le vent me pousse, mais ne l'étant pas, et bien je dirais simplement que... Je vais là où la route semble la moins cahoteuse. Certes, fut un temps ou j'aurais pu me rendre ici dans le cadre d'un voyage diplomatique - J'ai été ambassadeur pour l'Auvergne durant quelques années - mais j'ai abandonné ce rôle voilà quelques temps déjà, pour des raisons.. disons.. personnelles.

Raisons liées encore une fois à son couple, mais cela il n'avait pas besoin de le préciser

Sinon, je suis actuellement douanier et Maréchal dans la ville d'Aurillac ; enfin, j'étais, ayant vendu champs et échoppe je me suis mis en réserve en attendant de savoir dans qu'elle ville je vais me fixer ; De toute façon, vous me direz, étant parti en voyage, j'aurais dû de toute façon m'y mettre.

Remarquant la façon avec laquelle Bettym se frottait doucement les bras, Valexan se mordit soudain la lèvre ; quel idiot il pouvait être! si lui même ressentait la fraicheur du soir à travers l'ouverture dans ses braies avant que la jeune femme ne lui prête son étole, nul doute que c'est la jeune femme qui devait à présent ressentir cette même fraicheur! retirant à la hâte l'étole de sa taille, il la posa délicatement sur les épaule de la Rocheloise en lui disant

Je n'en ai plus trop besoin à présent, la pénombre masque ce qui ne doit pas être vu..
Bettym
Le trajet de la plage jusqu'à La Rochelle lui avait paru beaucoup plus court en sa compagnie. Peut-etre le fait qu'ils avaient discouru tout le long ou alors le froid qui leur faisait presser le pas ? Toujours est-il qu'ils étaient presque arrivés devant sa demeure lorsque celui-ci lui parla de ses fonctions passées et actuelles au sein du Duché du Bourbonnais.

Que de nobles tâches ! Celles par où j'ai commencé d'ailleurs. Enfin... presque.

Elle lui sourit ne perdant pas une miette de ce qu'il venait de lui dire. Il avait vendu terres et échoppe et se retrouvait maintenant comme un sans domicile. Il errait deci delà cherchant... Mais que pouvait-il chercher au juste ? Elle lui aurait bien posé la question, cependant, la bienséance le lui interdisait. Un tel intérêt pourrait être tellement mal interprêté et elle ne le connaissait qu'à peine pour oser une telle intimité.

Bien... fit-elle s'arrêter devant le seuil de son appartement... je crois que... enfin je suis sûre que je suis arrivée. rougit-elle, devant cette incertitude. Elle aurait aimé que cette discussion continue mais l'aurait-il voulu lui ? Elle ne voulait s'imposer et il lui semblait le plus approprié de devoir ce quitter ici, devant sa porte. L'avait-il ressenti ainsi ? Elle ne saurait le dire. Toutefois, il dénoua l'étole qui lui remit sur les épaules. Merci... lui gratifia-t-elle d'un souffle court.

La châleur qui l'envahit à cet instant était indescriptible et bienvenu. Sans savoir pourquoi, elle plongea ses prunelles noisettes dans celles de son vis-à-vis et...


Que faites-vous demain ? puis s'avisant de sa question si directe... euh... je voulais savoir si vous restiez encore quelques jours à La Rochelle. Mais ne vous sentez pas obligé de me répondre. Enfin... Je ne voudrais pas que vous vous sentiez prisonnier de cette ville si votre destin est de voyager.

Heureusement qu'elle était en pleine pénombre car elle passa du blanc au rouge en un quart de secondes, des bouffées de châleur l'iradiait, si elle avait pu trouver un trou de souris, elle y serait entrée immédiatement.
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Béatrice Madeleine dite Bettym
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Juge à la Cour d'Appel


[Merci à celui ou celle qui a sauvé ma poupée. Elisabeth alias Bettym]
Valexan
Voyant que la jeune femme s'était immobilisé juste après qu'il lui ai remit son étole sur les épaules, il la regarda un instant, inquiet, se demandant s'il avait par son geste commit un impair ; Si les paroles de la jeune femme le rassurèrent à ce propos, elles eurent également pour effet de l'attrister

Bien... je crois que... enfin je suis sûre que je suis arrivée.

Il eut toutes les peines du monde à retenir un "déjà" de dépit qui aurait été pour le moins déplacé ; Cette rencontre impromptue avait débouché sur un moment, une discutions des plus agréables, comme il en avait connu peu depuis plusieurs mois. Pendant tout ce temps, passée avec cette jeune femme, il avait oublié, tout oublié, ses doutes, l'annulation de son mariage, ses interrogations quant à son avenir incertain; en quelque sorte, il avait eut le sentiment de vivre, comme il n'avait pas vécu depuis bien longtemps. Et avec la fin annoncée de ce moment, il savait qu'il s'ensuivrait le retour au quotidien qui était le sien. Combien aurait-il donné pour que ce moment ce prolonge... Mais comment aurait-il pu lui dire sans quelle considère ce comportement comme déplacé? comme dis l'adage, toutes les bonnes choses ont une fin, et c'est en se résignant qu'il allait souhaiter la bonne soirée à Bettym lorsque celle-ci reprit la parole

Que faites-vous demain ? euh... je voulais savoir si vous restiez encore quelques jours à La Rochelle. Mais ne vous sentez pas obligé de me répondre. Enfin... Je ne voudrais pas que vous vous sentiez prisonnier de cette ville si votre destin est de voyager.

Comment aurait-il pu retenir le sourire qui naquit sur ses lèvres à ces paroles? Se mordant la lèvre pour calmer l'euphorie qui s'emparait de lui, il garda le silence quelques instant, cherchant la réponse la plus appropriée, puis dit

Et bien... Vous savez, je n'ai pas encore rassemblé assez de vivres pour pouvoir reprendre la route... et puis, mon destin, vous savez, bien malin serait celui qui pourrait dire ce qu'il est ; Je n'ai désormais nul personne qui m'attende, nulle obligations à tenir ; Comme quoi, toute situation à ses avantages.

Nouveau silence, le temps d'avaler sa salive et de reprendre, sans vraiment savoir s'il fait bien ou non


Demain... et bien, je vais chercher un emploi, comme chaque jours, histoire de gagner un peu d'argent; après...

Il baisse la tête, incapable de la regarder en face


Serait-il... déplacé... de vous demander si vous accepteriez... de me faire visiter la ville et sa région?...

Il s'empresse d'ajouter


Oh! je sais que vous êtes sans doutes très occupée de par vos charges, et je comprendrai aisément que vous ne puissiez pas ; ou même que vous ne vouliez simplement pas ; le hasard de la rencontre ne préfigure en rien l'envie de la rencontre... Surtout, vous ne devez vous sentir obligée d'accepter!!!

S'en voulant instantanément de l'audace de sa demande, il tourne son visage vers la demeure de la jeune femme et dit, dans un soucis - assurément ridicule - de détourner la conversation

Votre demeure semble magnifique... elle a été construite dans le style de la région?..
Bettym
Elle écouta attentivement sa réponse s'attendant à un refus, ce qui aurait été bien normal. Comment pouvait-elle penser qu'un noble aurait un temps soit peu un intérêt pour une gueuse comme elle ? Certes, elle avait eu la possibilité d'offrir ses services pour des personnes importantes mais elle connaissait les règles. A moins que... Et puis qu'importait, la présence de cet homme était ni plus ni moins qu'une aubaine. Sa galanterie, sa bienséance, son respect valaient bien plus à ses yeux que toutes les idées qu'elle pourrait se faire.

Déplacé ? haussant un sourcil interrogatif. Pourquoi le serait-il ? Je me ferai un plaisir de vous les faire visiter. finit-elle dans un petit sourire. Nous pourrrions...

Il lui fallait trouver un lieu de rendez-vous. Elle aurait pu lui dire de revenir ici mais, s'il se perdait ? Non... un lieu plus propice et surtout plus facile à trouver ? Mais lequel ? Quand...

nous retrouver à l'Eglise.

Baissant la tête, elle se maudissait intérieurement. Mais pourquoi avait-elle donné ce lieu quand il avait parlé d'obligations ? Pourvu qu'il ne suppose rien ! Vite. Il lui fallait trouver une excuse plausible pour ne pas qu'il s'imagine tout un tas de choses. Avait-il ressenti le même désarroi ? Se sentait-il aussi embarrassée qu'elle sur le lieu de rendez-vous ? Elle le supposa quand elle entendit...

Votre demeure semble magnifique... elle a été construite dans le style de la région?..

Ma demeure ? fronçant les sourcils d'étonnement, elle se tourna vers la porte d'entrée et l'observa comme si elle la voyait pour la première fois. Euh... je suppose. En tout cas, elle était ainsi quand je l'ai acheté. conclut-elle avant de se tourner de nouveau vers l'Auvergnat.

Pourvu qu'il ne lui demande pas de la visiter ! se disait-elle. Il aurait été impoli qu'elle refuse vu son statut mais tout aussi déplacé qu'elle accepte. Aussi s'empressa-t-elle de changer de sujet pour revenir à celui qui les préoccupait en premier lieu.


Qu'en pensez-vous alors ? marquant une pause avant de reprendre... Nous disons demain après nos tâches ? A l'Eglise ? finit-elle d'une petite voix ou un tout autre lieu. Dites et je viendrai. avant d'incliner la tête telle une servante à son maître.
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Béatrice Madeleine dite Bettym
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[Merci à celui ou celle qui a sauvé ma poupée. Elisabeth alias Bettym]
Valexan
L'acceptation de la jeune femme à lui faire visiter la ville aurait sans doute due le rendre tout à sa joie ; néanmoins, quelque chose dans le petit geste qu'elle avait joint à ses dernières paroles l'attristait ; Ce geste était semblable à celui que pouvait lui faire les servantes de son domaine après qu'il leur eut demandé quelque chose... Un doute s'empara immédiatement de lui : acceptait-elle cette promenade par envie de partager sa compagnie, ou se sentait-elle obligée de le faire, eut égard à son rang? Il savait que certains nobles étaient forts attachés à l'étiquette et au respect de celle-ci, mais lui ne l'était point ; Jamais il n'avait usé de la préséance due à sa noblesse, et ce jour encore moins qu'un autre. Faisant une petite moue, il dit

Bettym... Vous savez, ce n'est pas parce que je possède un titre et vous non que vous devez vous abaisser de quelque façon que ce soit devant moi... Ce sont les actes qui définissent bien plus la noblesse qu'un simple titre sur un parchemin, et par vos actes votre noblesse est assurément bien plus grande que la mienne ; aussi, je vous serais reconnaissant de ne point voir en moi un noble mais... disons juste un homme comme les autres qui souhaite profiter de votre compagnie demain, si vous même le voulez...


Ces paroles ayant pour effet d'instaurer un petit silence entre eux, il reprit


Et bien, entendu pour demain donc, A l'église. Je ne devrais point avoir de mal à me repérer à l'aide du cloché

Il sourit doucement quand tout à coup une question lui traversa l'esprit ; Pourquoi voulait-elle qu'ils se retrouvent à l'église, et de quels tâches parlait-elle??? Il n'avait pas révé, elle avait bien dit :


Nous disons demain après nos tâches, à l'Église ?

Autrement dit, elle voulait qu'il vienne à l'église pour accomplir certaines tâches en sa compagnie puis, une fois celles-ci finies, ils partiront visiter la ville... Il avait comme un doute à présent ; Si elle œuvrait à l'église, peut-être cela signifiait-il qu'elle était diaconesse, voir même entrée dans les ordres! Peut-être manquait-il de politesse depuis leur rencontre en l'appelant par son prénom au lieu de lui dire "ma sœur" ou "ma mère"???

Ne sachant que penser, il réfléchit rapidement à un moyen d'éclaircir la situation... Se disant que le mieux était sans doute d'évoquer directement son interrogation, il dit


Mais... excusez moi Bettym, d'être indiscret, mais... j'ignorais que vous œuvriez à l'église... Seriez-vous devenue diaconesse?... Ou bien, entrée dans les ordres?...

Il la regarda, un peu gêné par sa question, espérant qu'elle ne s'offusquerait pas de sa curiosité...
Bettym
Lorsqu'il lui fit remontrance sur les titres de noblesse, elle se pinça les lèvres telle une petite fille prise en faute. Elle rougissait de plus en plus et se demandait s'il ne valait mieux pas qu'elle le voit comme un noble plus que l'homme fort charmant qu'il était. Au moins avait-elle l'excuse de son statut mais s'il l'autorisait à le voir autrement que Messire de Montbazon, que risquait-il de lui arriver ?

Soeur Rita la mettait souvent en garde et aujourd'hui, elle ne savait pour quelle raison, elle ne cessait d'entendre la voix de sa bienfaitrice lui souffler de se méfier encore plus des hommes. Le coeur battant la chamade, elle releva la tête et lui fit face, cherchant dans le regard feutré par le crépuscule, s'il n'essayait pas de l'amadouer.


Ne m'en veuillez pas. fit-elle au bout d'un petit moment, convaincue de sa sincérité. Je ne cherchais point à vous blesser juste à vous respecter. Je vous prie d'excuser mon indélicatesse et ferai en sorte de me souvenir que vous êtes... elle marqua une pause pour terminer par sa statut... un homme.

Elle baissa les yeux, sentant de nouveau ses joues en feu. Pour sûr qu'elle le savait, c'était surtout cela qui lui faisait peur. Il aurait été un diacre, marié et amoureux, avec attache ou n'importe quelle autre excuse, cela n'aurait eu point le même effet. Elle n'aurait pas été aussi gourde. Mais voilà... c'était un homme !

L'affaire convenue, ils allaient se séparer quand avant de prendre congés, Valexan lui posa une question. Et quelle question !


Pardon ? fit-elle étonnée et manquant de s'étouffer. Un large sourire se dessina sur les lèvres amusée par une telle imagination. Je serai curieuse de savoir ce qui vous a amené à cette supposition. Elle se mit à rire d'un petit gloussement cristallin avant de poursuivre. Non... rassurez-vous. Je ne suis ni diaconesse ni même abbesse même si l'idée m'a traversée l'esprit il y a quelques années de cela. Rassuré ?

Trop tard... encore une fois elle ne cessait de dire bêtises sur bêtises. Rassuré ? Quelle drôle de question ? Et pourquoi serait-il rassuré ? Aurait-il refusé sa compagnie si cela avait été le cas ? Elle jaugea le jeune homme et se dit que s'il avait été un homme tout simple peut-être mais lui était bien plus que cela malgré tout ce qu'il essayait de lui faire croire. C'était un Vicomte, un homme cultivé et bien élevé. Elle en était certaine. Une femme se trompe rarement à ce sujet.

Encore merci pour cette promenade, fit-elle avant qu'ils prennent congés devant le pas de porte. Et à demain !

Elle lui sourit, ne sachant plus si elle devait lui faire un signe de la main ou alors la révérence. Par dépit, elle opta pour un compromis, une inclinaison de tête et un dernier sourire avant d'ouvrir sa porte et de pénétrer dans ses appartements. Elle se pencha dans l'entrebaillement de la porte pour le saluer une dernière fois et le regarder partir vers une des auberges du centre ville.

Lorsqu'il ne lui fut plus visible, elle ferma la porte et s'y adossa le coeur battant à vive allure, les yeux clos et un sourire flottant sur son visage...

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Béatrice Madeleine dite Bettym
Vice-Présidente de la Cour d'Appel par INTERIM
Juge à la Cour d'Appel


[Merci à celui ou celle qui a sauvé ma poupée. Elisabeth alias Bettym]
Valexan
La jeune femme s'apprêtant à ouvrir la porte de sa demeure, Valexan répondit à ses salutations par un

C'est moi qui doit vous remercier pour cette promenade, Dame Bettym, à demain ; Je vous souhaite une bonne nuit.

avant, en souriant, de la saluer d'un geste de la main alors qu'elle s'engouffrait par la porte entrebâillée et de s'éloigner d'un pas guilleret, non sans avoir pu s'empêcher de se retourner deux fois en direction de la-dites porte avant que celle-ci ne disparaisse à sa vue. Cheminant vers l'auberge dans laquelle il avait élu domicile le temps de son séjour, il ne pu s'empêcher de repenser aux dernières paroles de l'ancienne Auvergnate.

Il n'était pas certain du fait de l'avoir convaincu qu'elle ne devait point le voir comme un noble... Oh, il ne lui en voulait point vraiment; comment en vouloir à quelqu'un chez qui le respect, la bienséance et la politesse était quelque chose de si important? C'était si rare de nos jours... Il savait qu'elle se forcerait sans doute le lendemain pour ne voir en lui qu'un "homme", comme elle avait dit - remarque à laquelle il avait eut du mal de ne pas lui répondre qu'il remerciait Aristote de ne point porter ni cheveux longs ni kilt écossais, sans quoi la tâche de la jeune femme n'en aurait été que plus compliquée - mais peut-être parviendrait-il, s'il avait l'occasion de converser à d'autres occasions avec elle, à lui faire oublier ses titres?

Une chose été certaine en tout cas : En lui demandant si elle était diaconesse ou entrée dans les ordres, au vu de la réaction de la jolie brune, il s'était couvert de ridicule! heureusement pour lui que la pénombre avait masqué le rouge qui avait envahit ses joues, car nul doute que le rire de la jeune femme aurait redoublé! En tout cas, oui, comme elle l'avait deviné, cette réponse l'avait rassuré ; Non pas que cela eut pu avoir la moindre importance sur l'envie qu'il avait de la revoir le lendemain ; Sans qu'il ne s'explique vraiment pourquoi, il se sentait bien après ce moment passé en sa compagnie, et la perspective de la revoir le lendemain prolongeait ce sentiment de bien être. Mais il aurait eut toutes les peines du monde assurément à l'appeler "ma sœur", "ma mère" !!! surtout "ma mère" en fait, ne serait-ce que par son age.

Arrivé à destination, il poussa la porte de l'auberge prestement, saluant au passage l'aubergiste, affairé à servir les clients du soir, et gagna directement sa chambre; un débarbouillage rapide de son visage et de ses mains plus tard, il s'allongeait sur sa couche et se laissait gagner par un sommeil qui, pour la première fois depuis bien longtemps, le préserva de mauvais rêves et autres cauchemars...
Nora.


Nora marchait lentement sur le sable longeant la plage..
Ses pensées étaient ailleurs, bien ailleurs pour entendre le jolie son que faisaient les vagues quand elle s'échouaient sur la plage...
Elle avait décidé de s'installer ici avec lui... d'y construire une maison, une nouvelle vie...
Mais depuis qu'ils avaient décidé de se mettre ensemble, Nora n'était plus sure de rien..
Elle pensa à ces derniers jours où il n'était que peu présent et quand il l'était, il dormait en taverne ou s'enfuyait comme ça sans jamais revenir...
Elle l'attendait... attendait sans ne voir aucune ombre qui lui ressemble..

Nora s'arrêta et leva les yeux en se mettant face à l'océan... Les larmes aux yeux elle ne savait quoi faire...
Elle laissa les vagues lui lécher les pieds puis s'assit au bord de l'eau, l'océan mouillant ses vêtements au niveau du popotin..
Elle s'adressa a son océan toujours là pour l'écouter sans l'interrompre ne continuant que sa douce mélodie des vagues

"Que dois je faire mon océan ?
Ecouter mon coeur.. ou ma raison ?.."


Elle laissa les larmes couler en silence rélféchissant encore et encore sans vraiment trouver de réponse

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Niark


Tout juste débarqué du Gouelanig Penn, après seulement deux jours passé en mer ce qui était tout à fait acceptable. Enfin heureusement, plus et peut être que sa blonde aurait fini par ce vider de son déjeuné dans ses bras...

Fraîchement débarqué, il alla avant tout trouver une auberge pour y passer la nuit avec sa belle.
Puis voulant prendre un peu l'air, reprendre un peu gout à la solitude qu'il aime tant, mais qu'il aime qu'on chamboule tout autant, il prit la direction de la plage.
Une plage de sable voyez vous ça... Diantre il n'en avait pas vu de telle depuis bien des années, seule la plage de la mer du sud avait un tel sable.
Il gambada donc dans les ruelles de la Rochelle, suivant les mouettes et l'odeur d'écume.
Et la au détour d'une ruelle, le grand large, cette mer sans fin, que pouvait il exister au delà de cette gigantesque flaque d'eau salé ?! Il aimait la contempler, il aimait naviguer sur celle si, il avait passé sa vie prêt de la mer et il ne pouvait vivre sans.

Un peu foufou de retrouver du sable il retira ses bottes et tout en les prenant à la main, s'aventura sur ce doux grain qui glissait entre ses orteils, le soleil tapant fort, haut dans le ciel.
Il ce balada lentement, prenant son bain de soleil, son épée bringbalant au rythme de ses pas.

Au loin il vit une jeune femme de dos, il s'approcha sans faire trop de bruit, pas tellement qu'il voulait aller la voir, mais plutôt qu'elle ce trouvait sur son chemin.
Et il l'entendit parler à l'océan d'une voix douce et triste.
Diantre fallait il être fou ou folle pour demander quelque chose à l'océan, lui qui prend tout mais ne donne rien !!
M'enfin au moins comme cela elle aurait parfaitement sa place au carnaval.

Et c'est un petit sourire amusé aux lèvres qu'il s'avança à pas de loup et dit doucement dans son dos.


- Et l'océan répondit : " le coeur à ses raisons que la raison ignore jeune femme !!"

Qui d'autre que l'océan pour sortir une phrase bateau ??

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Nora.


"Et l'océan répondit : " le coeur à ses raisons que la raison ignore jeune femme !!"

Nora prise dans ses pensées sursauta de peur...
Main sur son coeur, elle essaya de controler sa respiration, elle se décida à regarder qui l'avait interrompu elle qui d'habitude arrivait a rester des heures seule ici..
Elle vit un homme blond au visage rieur et au sourire légèrement moqueru
L'avait il entendu parler à l'océan ? Elle rougit légèrement

"Vous... vous m'avez fait peur ! Evitez d'arriver comme ça derrière mon dos sinon vous risquez d'avoir ma mort sur la conscience hin !"

Nora le regarda puis rit légèrement... Le coeur revenu a la normal, elle observa l'homme un peu plus attentivement...
Elle ne lui semblait le connaitre... Nouveau dans le coin ?...

"Excusez moi mais... on s'est déjà vu ou...?"

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Niark


Le rat ne pu retenir un léguée sourire moqueur et un petit rire en la voyant sursauter de la sorte.
Il ce savait effrayant avec son museau, ses petites moustache et son air fourbasse mais à ce point...
L'océan est toujours surprenant, il ce conforta dans cette idée pour ne pas être vexé.

La jeune femme ce tourna, et il vit un jolie brin de blonde.
Bizarre depuis qu'il avait remit les pieds sur le continent il ne tombait que sur des blondes ou des roux... Diantre en quelques mois les choses avaient bien changées.
De petite pommette rose puis rouge apparurent sur les joues de la dame, brillant de plus belle au soleil.


Citation:
"Vous... vous m'avez fait peur ! Evitez d'arriver comme ça derrière mon dos sinon vous risquez d'avoir ma mort sur la conscience hin !"


Il lui fit une petite révérence pour s'excuser, c'est qu'il était poli malgré tout le rat...

- Milles excuse dame pour vous avoir fait peur, mais vous savez les voix de l'océan sont impénétrable... Alors que sais je, peut être suis je un messager de l'océan ce délectant du décé des jeunes femmes pour nourrir ses poissons...

Un petit sourire en coin !! Il ce demandait ou il allait trouvé toutes ces absurdités, le soleil surement, l'air de la mer, le voyage en bateau ? M'enfin cela le fessait bien rire intérieurement.

- Nous ne nous sommes point rencontré non, je suis Niark, Niark de Ratspoutine enchanté dame !! Je viens tout juste de débarqué donc je ne pense pas vous avoir déjà croisée quelque par...

Lui fessant une petite révérence de nouveau !!

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