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[RP] La plage

Aurea.du.perray
Arrivée à la Rochelle, la jeune Auréa décida d'aller voir le port et surtout la mer ou l'océan, enfin bref la géographie c'est pas son truc...

Elle marcha le long de la ville, passant devant les échoppes bruyantes et pleines de vie, la douane, le bureau de la maréchaussée. elle passa par la grande place, devant l'église où elle se promit de se rendre pour prier.
La mairie, les maisons de quelques nobles et enfin la mer, le quais et les bateaux.

C'était la première fois que Auréa voyait ça, elle fut surprise devant l'immensité des bateaux, elle aimerait bien monter dans l'un d'eux, voir même y voyager ...

C'est magnifique! s'exclama-t-elle à voix haute.

Puis voyant qu'elle avait attiré des regards curieux vers elle, la nobliote rougit et se faufila dans une petite rue, maintenant direction la plage ...
Alida
Alida connaissait peu la Rochelle, juste un séjour rapide à son arrivée en Poitou, un mois auparavant..Et ces jours là, il avait plu...Elle s'était donc terrée au creux d'une taverne, au coin du feu à bavarder..pas mal non plus, mais elle avait regretté de ne pas se promener au bord de l'eau, pour voir de ses yeux si l'océan d'ici ressemblait à la mer du Nord qu'elle connaissait bien, à Calais ou Bertincourt...

Deuxième séjour, à l'orée du printemps, et le temps était clément, plein de parfums promettant du beau temps..La rouquine quitta donc la taverne pour une promenade sur la plage ou sur le port....

Par le dédale des rues, et passés les remparts, elle aboutit à une étendue de sable bordant l'immensité de l'ocean... Un vent léger portait des odeurs de grand large et de goémon.. Alida ferma les yeux pour humer l'odeur délicieusement marine.
UN bruit derrière elle la fit se retourner: Elle vit un homme arriver vers elle, et d'abord interdite, sourit en reconnaissant un noctambule croisé le matin même en taverne, et avec qui elle avait échangé quelques propos agréables, avant qu'il n'aille dormir.. Sans doute venait il achever de se réveiller dans la fraicheur vivifiante....
Sur une impulsion, et comme il la regardait, la rouquine proposa:
Cela vous dirait il , Messire, que nous marchions ensemble, puisqu'il semble que nous allons dans la même direction?
Deskil
Desk avait passé la nuit de la Rochelle, premiere nuit depuis un bon moment ou il se pose enfin dans une ville au lieux de prendre les chemin.
Une nuit fort agité car il n avait pas fermé l oeuil, une nuit entiere a ne savoir que faire, impossible de dormir meme avec quelque verre de calva.
A l'aube sa bouteille etait fini, il décida donc d aller boire un dernier pti verre en tav.
En arrivant il rencontra un jeune dame trés matinal, leurs discution c etait trés bien passé, mais il ne put rester trop longtemps de peur de s endormir sur la table bave a la bouche...
Il retourna donc se coucher a l hotel comme un bébé a qui ont aurait remplit son biberon de calva.
En se reveillant en début d apres midi un mal de tete térrible le frappé.
Il se rendit sur la plage, car il adorait regardé la mer et surement que son mal de tete passerait.
Sur la plage la jeune dame du matin etait la, Desk allait a sa rencontre et aussi tot elle lui proposa de balader avec elle.

Citation:
Cela vous dirait il , Messire, que nous marchions ensemble, puisqu'il semble que nous allons dans la même direction


Avec grand plaisir dame Alida.

Il lui tendit son bras puis ils marcherent le long de la mer...
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Alida
Citation:

Avec grand plaisir dame Alida.


Bras dessus bras dessous les voilà partis le long de la plage..Une légère odeur de calva se mêlait désormais aux senteurs marines..La rouquine avait l'impression aussi à voir la grimace qui déformait par moments le visage de Deskil que la soirée de la veille avait laissé des séquelles...
Elle sourit:
Un bon plongeon dans l'eau fraiche, messire, pour vous remettre les idées en place????

Puis ils sedirigèrent vers le port...
Elendillefin
Le vent tirait ses boucles rousses en arrière et emplissait ses yeux de larmes. Il ressentait le martèlement des sabots d'Alonzo qui frappaient le sable mouillé de la plage, projetant des gerbes de sable loin derrière eux.

Parfois, ils traversaient une vague venue s'échouer sous les pieds de l'animal. des embruns se projetaient alors en grandes gerbes dans lequel le soleil levant formait des petits arc-en-ciel tout autour d'eux.

Accrochée à lui et collée dans son dos, Esquimote riait aux éclats. Et Len ne pouvait s'empêcher de rire avec elle.

Le vent de la course, le soleil brillant, le balancement du cheval qui les emmenait au grand galop, l'eau verte, le ciel bleu, sa douce serrée contre lui ... Etait-ce cela le paradis?

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RITM - Respect - Intégrité - Tolérance - Maine
Esquimote
Alonzo galopait sur le bord de la plage faisant jaillir des gerbes d’eau.

Collée contre lui, les yeux fermés, le vent fouettait son visage, ses cheveux s'emmêlaient.

Après une belle chevauchée, ils s’étaient laissé tomber sur le sable, riant aux éclats, à la vie qui leur était bien douce.

Les vagues s'écrasaient sur les récifs. L'écume laissait un drap blanc sur le sable.

Une brindille sèche en main, elle se mit à tracer des lignes sur le sable. Se levant, se reculant pour apprécier son dessin, elle se rabaissait, peaufiner un très par ci, un autre par là.

Une fois terminée, elle s’approcha de len et lui montra son esquisse sur le sable

.................................................

Il marquera notre bref passage, tant que la mer ne l’emmènera dans son immensité bleue ..

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By esquimote at 2009-11-26
Merisse


Des jours et des nuits qu'elle n'avait plus de nouvelles, à croire qu'elle était venue ici pour rien, tout ce voyage pour finalement se retrouver seule dans un village qu'elle ne connaissait pas.

Cette nuit, la lune haute dans le ciel présageait d'une future belle journée pour le lendemain. Ajustant sa cape sur ses épaules, elle avait prit la direction de la plage. La lune reflétait dans l'eau, et les étoiles passagères de ce grand vol, inondaient de leur lumière les galets bleutés et gris.

S'installant au bord de l'eau, seul le va et vient et quelques cris de mouettes infatigables perturbaient cette douce plénitude.

- Merisse de la Belletière Belleville ..je me demande bien ce que tu es venue faire ici..
Nora.


C'est ici que Nora décida de venir panser ses blessures...
Non rien à voir avec le physique qui allait bien... C'est à l'intérieur que ça n'allait pas...
Elle regarda sa bague qui devait être sa bague de fiançaille mais aujourd'hui quelle signification avait elle ?
Elle ne le savait pas elle même et c'est avec douleur qu'elle l'enleva pour la regarder...
Où était il aujourd'hui ? Que faisait il ? Pensait il à elle ? L'aimait il toujours ? Avait elle fait quelque chose de mal ?

Nora laissa couler ses larmes hésitante entre jeter cette bague de la promesse d'une vie heureuse plein de bonheur et la garder à son doigts en signe d'espoir...
Elle l'aimait mais l'amour suffisait il ? Et surtout est-ce que lui l'aimait toujours ?...

Sans se deshabiller elle alla s'asseoir là où les vagues achèvent leur route et resta assise là regardant l'horizon laissant le vent et le bruit de son océan la consoler de cette souffrance à l'intérieur qui faisait saigner son coeur...

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Hadelize
Hadelize avait prolongé son séjour à La Rochelle plus que prévu et aimait se promener sur la plage.



Elle y trouvait détente, respirait l’air iodé avec un plaisir indéniable.
Elle marchait des heures, regardant le large où quelques voiliers évoluaient.
Elle les suivait des yeux, admirative de la façon dont ils évoluaient.
Elle rêvait qu’elle était à la barre, qu’elle était capitaine.
Sa promenade solitaire lui faisait du bien, elle oubliait les tracas de son voyage.
Souvent, elle s’asseyait sur le sable, le dos appuyé à un rocher, les yeux à l’horizon, là où le ciel et l’eau ne font plus qu’un et imaginait ce qu’il y avait derrière cette ligne bleue.

Quand elle avait bien respiré, bien rêvé, elle retournait en taverne où elle aimait discuter, boire quelques bières.
Elle y rencontrait souvent le maire avec qui elle aimait échangé quelques propos devant un verre.

D’ailleurs, secouant le sable qui collait à ses braies, elle partit d’un pas lent vers la taverne de la ville.

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Lyseron
Fallait qu'elle se débarrasse des miasmes de la mine, et quoi de mieux que de s'en aller dégourdir les jambes en marchant le long de l'océan? Rien...
D'ailleurs il n'y avait rien dans sa vie...Des rencontres? Que nenni...
La brune avançait, laissant les embruns qu'un petit vent laissait tomber en une fine bruine sur son visage...

Et ce messire Xyno? Ils ne s'étaient toujours pas croisés...Il avait à lui rapporter des renseignements sur cette femme qu'ils connaissaient en commun et qui vivaient en Gascogne. Etait il toujours là? Lyseron avait parcouru toutes les tavernes de La Rochelle dans l'espoir de l'y voir, mais sans aucun résultat. Entre le travail à la mine et son champs de légumes, la jeune fille avait peu de temps libre et pourtant comme elle aurait aimé faire connaissance avec cet homme.

Un soupir chassa les pensées qui l'assaillaient. Faut dire que la brunette prenait la vie à pleines mains et qu'elle savourait tous les moments...D'ailleurs hier soir...Un doux sourire fleurit sur ses lèvres...
Peut être qu'une idylle naissait? Ou peut être non!

Le regard perdu vers l'horizon que quelques nuages obstruaient, Lyseron poursuivit sa promenade tout en croquant dans une pomme...
L'était pas belle la vie?
Alea...
6 avril 1459. La Rochelle.

Retour dans le comté du Poitou pour une blondinette partie depuis quelques semaines déjà.

Aux alentours de Saintes, la jolie blonde avait pu s’enfuir, s’ échappant ainsi des griffes de ce foutu blond qui s’était mis en tête de la vendre à celui qui offrirait la plus grosse somme d’argent. Quel abruti…

Donc, Aléa la fugitive s’était mise en route pour La Rochelle, n’empruntant pas les chemins habituellement fréquentés par les voyageurs.
Au début, elle ne s’arrêta même pas en ville. Elle trouva un fermier au sud de LR et se vit offrir le gîte et le couvert. Elle repartit en direction de Niort le soir même. Et allez savoir comment, mais entre les deux villes, un ange tomba du ciel, la ramenant à LR dans un état lamentable. Ce beau brun ténébreux eut soin d’elle, la remettant vite sur pied.

Et parce qu’elle ne voulait abuser de la bonté de cet homme, Aléa disparut le lendemain presque remise du petit malaise de la veille. Yago était très certainement à Niort, loin d’elle, ne s’attendant pas à ce qu’elle fasse demi-tour. ‘Fin, elle devait toujours être prudente la blondinette, histoire de pas se faire choper et se faire vendre… ou tuer ! Ca dépendrait de l’humeur du blond si jamais il mettait la main sur la blonde.

Bref. Tout ça pour dire qu’il fallait faire preuve de prudence.

Et donc, de nouveau livrée à elle-même, Aléa reprit ses vieilles habitudes : les tavernes ! Elle rencontra quelques personnes, dont une plus curieuse que les autres. De fil en aiguille, Aléa lui raconta la façon dont elle était arrivée à LR… mmh… et ça veut être prudente après, hein ? Bah c’était pas gagné !
Sûre et certaine qu’elle serait en sécurité quelques jours (le temps que l’aut’ abruti se rende compte qu’en fait, elle a fait demi-tour), elle accepta l’invitation d’une sympathique donzelle pour crécher sur la plage, dans un petit abri.


Au matin, lorsqu’Aléa sortit de son abri, elle fut subjuguée par la vue. Jamais elle n’avait eu l’occasion de voir l’Océan.
Un vent frais et maritime lui caressait le visage. L’odeur de l’Océan lui chatouillait les narines. Et le sable, sous ses pieds nus, quelle agréable sensation.
La blondinette s’approcha de l’eau. De petites vagues venaient s’éclater sur la plage. La marée était encore basse. Elle ne tarderait pas à monter pour laisser place à d’énormes vagues.
Ah ! L’Océan ! Si beau mais tellement dangereux.

Blondie numéro cinq se posa au bord de l’eau, laissant l’eau venir jusqu’à elle. Ce matin là, elle ne se sentait pas bien. Elle avait terriblement chaud. Elle était plus que bouillante, prise de vertiges et toute courbaturée. Les forces lui manquaient et elle ne pourrait reprendre la route dans cet état. Si Yago s’apercevait qu’elle avait fait demi-tour, qu’elle était revenue à La Rochelle, elle se ferait prendre, à coup sûr. Peut-être même qu’elle crèverait. Cet homme était devenu cruel, impitoyable. Il tuait sans même ressentir une once de culpabilité.

Seule et sans défense, Aléa sentait sa fin proche. Il allait réussir à lui mettre la main dessus, le blond. Elle se prendrait un carreau entre les deux yeux, se ferait enterrer et on entendrait plus jamais parler d'elle.
Mais comme un ange tombé du ciel, un beau brun, un cavalier au drôle d'accent lui apparut et lui vint en aide. Alors forcément, elle accepta et s'éclipsa avec lui...
Valexan
Enfin! après plusieurs semaine cloitré dans son auberge par ordre de la maréchaussée locale, laquelle tenait à ce que l'Auvergnat ne fuit pas le procès qui avait été intenté contre lui, Valexan avait reçu l'autorisation de Xedar de quitter sa prison dorée pour se promener dans les Rues de La Rochelle et ses environs. C'est qu'il commençait à en avoir marre le Montbazon de naviguer de sa chambre à la grande salle de l'auberge, régulièrement il avait des fourmis dans les jambes et il craignait qu'à force d'être assis des escarres n'apparaissent sur son fondement!

A peine autorisation obtenue, l'Aurillacois avait convenu avec sa petite cousine, Meileen, d'une promenade, plus particulièrement au bord de la mer : la jeune enfant n'avait visiblement jamais eut l'occasion de contempler la grande étendue d'eau! De fil en aiguille, au fur et à mesure de la conversation, le projet de promenade s'était transformé en projet de pique-nique, et décision avait été prise de convier à cette sortie Bettym, jeune femme chez qui résidait Meileen et qui, loin s'en faut, ne laissait pas Valexan indiffèrent.

En ce matin ensoleillé, c'est donc le sourire aux lèvre que le Vicomte quittait son auberge pour prendre la direction de la demeure de la Rochelaise. Celle-ci, avec la jeune Fortunat, devait s'être occupée de se rendre au marché pour préparer le repas qu'ils emmèneraient, et c'est donc avec les mains vide que le jeune homme marchait dans les rues de la vile portuaire.

Tout en cheminant, une foule de questionnement noyait son esprit : Meileen aurait-elle pensée à prendre un chapeau et de bonnes chausses, comme il lui avait recommandé? Pour s'être déjà rendu sur les bords de mer, le Montbazon savait combien les chemins étaient parfois escarpés ; Sa jeune cousine irait-elle mieux que lors de leur dernière rencontre? celle-ci avait accusé le coup en devinant les sentiments qui les liaient, lui et Bettym, et avait émis la crainte d'être abandonnée par son cousin. Valexan avait veillé à la rassurer sur ce point, jurant que cela n'arriverait jamais ; Il savait néanmoins combien la jeune enfant était fragile, et il tenait à tout faire pour lui montrer, non pas seulement par les paroles, mais également par les fait, que ces craintes étaient infondées ; et il espérait bien que ce pique-nique serait une première occasion de la rassurer.

La demeure de la jolie brune n'étant plus qu'à quelques pas, l'Auvergnat rajusta ses vêtements à la hâte, avant de s'approcher de la porte de la maison et d'y frapper trois coup sonore. Les bruits de pas qu'il percevait ne laissait que peu de doute qu'il était attendu avec impatience...
Bettym
Toute pimpante, elle s'affairait à préparer le panier de provisions pour l'occasion... Un pique-nique en compagnie d'une charmante jeune fille espiègle qui ne cessait de poser questions embarrassantes sur questions gênantes et d'un homme tout aussi séduisant qui se servait très souvent de sa petite cousine pour faire passer ses idées ou ses interrogations.

Malgré ces aléas, Bettym se réjouissait de partir en promenade avec les deux Montbazon au bord de mer, lieu des retrouvailles des deux adultes avant la mésaventure du Bourbonnais.

En entendant frapper à la porte et voyant Adélaïde se précipiter vers l'entrée, Bettym refaisait l'inventaire du pique-nique.


Alors... nous avons du pain, du fromage, de l'eau... grimaçante, elle regarda Meileen d'un air désolé... je crois que j'oublie quelque chose. Vous n'auriez pas une idée par hasard sur ce qu'il manque ?

Le menton dans entre le pouce et l'index, elle réfléchissait tout en faisant un tour d'horizon de la pièce et tomba sur...

Ah voilà ! C'est bien cela. Des fruits pour le dessert. Tout en posant les pommes et poires dans la bannette, elle fit non de la tête et soupira. Je suis sûre qu'il manque encore quelque chose.

Faut dire que depuis qu'elle avait vu Adélaïde disparaître, elle n'avait plus toute sa tête, son coeur battait la chamade et la petite fille semblait s'amuser de cet état de chose pour son plus grand malheur.
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Béatrice Madeleine dite Bettym
Vice-Présidente de la Cour d'Appel par INTERIM
Juge à la Cour d'Appel


[Merci à celui ou celle qui a sauvé ma poupée. Elisabeth alias Bettym]
Meileen
Quelques jours plus tôt, la petite avait regretté de n'être qu'une enfant. En observant ses deux protecteurs actuels, se regarder tendrement et se froler avec pudeur, une colère profonde l'avait envahie. Sur le moment, elle aurait tout donné pour avoir quelques années de plus et ravir le coeur de son cousin pour l'entendre dire qu'il ne la laisserait jamais.

Curieusement, il les avait prononcé ces mêmes mots, mais elle ne se sentait pas à la première place, persuadée que la charmante gueuse passerait toujours avant...

Mais elle avait compris qu'il lui fallait encore rester à sa place d'enfant, et que faire chavirer le coeur des hommes n'était pas pour demain.

Rendez-vous fut donné le lundi, et Meileen avait convenu avec Bettym de préparer le panier pour le déjeuner au bord de l'eau. Au préalable, elle avait enfilé ses bottes et posé un son chapeau bien en évidence sur la table pour ne pas l'oublier.


Je suis sûre qu'il manque encore quelque chose.

Les fraises! Il manque les fraises!

La petite brune avait laché ses mots à la cantonade, emboitant le pas à Adélaïde.

Attendez, je vais aller ouvrir!

Plus agile, elle la dépassa sans lui laisser le temps de la laisser faire et ouvrit la porte à la volée avant d'accueillir son cher cousin avec un grand sourire.
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Valexan
La porte ne tarda pas à s'ouvrir, laissant apparaitre à la vue de l'Auvergnat une Meileen tout sourire qu'il ne tarda pas à prendre dans ses bras et à embrasser sur la joue, tout content qu'il était de la revoir ; Force était de constater que chaque jours il s'attachait un peu plus à cette enfant qui avait fait irruption dans sa vie de façon impromptue ; Bien qu'il sache qu'un jour viendrait certainement ou, ses craintes apaisées, elle repartirait à La Tremouille auprès de sa grande sœur, il était incapable de refréner sa tendresse pour la jeune fille, voyant en elle cet enfant qu'il n'avait jamais eut.

Prenant la main de sa cousine, il lui dit en souriant


Alors, tu es prêtes pour aller voir la mer?

avant de pénétrer dans la demeure de Bettym, non sans avoir salué la femme qui était apparue dans l'encadrement de la porte et que Valexan s'imagina être Adélaïde, et se laissa conduire dans la cuisine de la maison. C'était la première fois qu'il pénétrait en cette demeure, et elle n'était guère différente de ce qu'il avait imaginé : une demeure simple, à la fois joliment décorée mais sans fioritures superflues.


Apercevant Bettym en train de s'affairer à préparer le pique-nique, le cœur de l'Auvergnat s'accéléra brutalement. Son regard croisant le sien, il se rapprocha d'elle, comme attiré par un aimant, avant de l'embrasser tendrement et de lui dire

Je suis ravi de vous revoir, Bettym... Je vois que le pique-nique est prêt!

et de plonger littéralement sa tête dans le panier, curieux qu'il était de voir les bonnes choses qu'elles avaient préparées ; Du pain, du fromage, divers fruit, mais... non, il ne se trompait pas, il manquait... relevant la tête, et regardant tour à tour Bettym et Meileen en faisant une grimace, il balbutia


Hum... vous n'avez point prévu de... charcutaille ?...


Voyant le regard de la jeune femme et de l'enfant se poser dans un synchronisme parfait ou, sous sa chemise, pourrait se cacher une bedaine naissance - une bien vilaine légende inventée de toute pièce, il faut le préciser!! - il se ravisa et ajouta

Bon, bon.. je n'ai rien dit... euh.. si vous êtes prêtes, et bien on peut y aller!
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