Cecile
Ça y' est la tempête était bel et bien là, le vent s'amusait à fouetter de sable ses jambes nues se qui lui faisait faire une bien étrange danse pour échapper à la piqure désagréable des grains minuscules.
Elle avançait en lutant, son bras contre son visage pour se protéger, tel un vaisseau a la dérive sur la mer bataillant la proue en avant.
Elle se protégeait si bien qu'elle ne voyait strictement plus rien, mais elle allait toujours devant, s'arrêtant parfois penchée face au vent pour reprendre son souffle.
Un pas après l'autre elle ne pensait plus à rien, c'était déjà ça de gagné. La pluie redoublait plaquant à même sa peau ses vêtements alourdis de sable mouillé.
Sa aurait put être agréable tant l'eau était tiède, si seulement les bourrasques n'avaient pas été si glaciale...
Le froid semblait vouloir transpercer sa peau comme pour désirer y figer la vie même et transformer ses os en cristal.
Mais elle reprend sa route, buttant contre des dunes qu' improvise le vent pour la faire tomber , elle avance les yeux fermer, elle avance et soudain.. POC!... EEeeet MèèèRrrdA !!.....
Son bras heurte sans ménagement quelque chose ou quelqu'un se qui la fait jurer dans sa belle langue gasconne.
Elle lève un peu son visage protégé par cet obstacle inattendu et ouvre un oeil larmoyant.
A première vu ça semblait vivant , une espèce de grande montagne sombre se tenait devant elle et l'encerclait!
Ah non pas de ça!
La lionne se débat, déjà qu'elle devait luter pour rester debout, mais si alors un tas de muscles s' y mettait aussi!
Sa main fouilla prestement sa ceinture à la recherche de son épée qu'elle avait bien entendu laisser quand... quand soudain le vent étrangement plus serein transporta un doux parfum.
Elle referme les yeux et inspire longuement soudain rassénérée, cette odeur ne lui est pas étrangère, loin de la, c'est celle de son Lion.
Il est là, droit dans ses bottes tel le rempart inébranlable à la fureur du temps, tout comme à celle de son âme.
Cécile se blottit se sentant soudain si frêle, si fragile.
Entre ses bras elle défaille et perd tous ses moyens, il lui faut son amour, sa source de vie, son espoir pour un autre lendemain.
Il lui faut voire encore une fois le soleil se lever à ses cotés, entendre à l'envie son coeur battre contre sa poitrine.
Il lui faut sentir son souffle chaud caresser son visage, jour après jour, comme à cet instant unique où ils sont seuls sur la terre au milieu des éléments déchaînés.
Ses bras dans un geste plein de douceur viennent enlacer son cou alors que sur sa peau elle souffle des mots d'amour, oubliant tout, oubliant...
Je vous aime mon Lion Je vous aime je vous aime......
Sa voix se perd et s'éteind dans un sanglot.
Il n' y a que lui pour entendre, que lui pour comprendre, que lui tandis que son corps tremblant se plaque au sien.
Tout autour d'eux tout n'est plus que fureur et bruits... Q 'importe... Ils sont de nouveau Un...
Elle avançait en lutant, son bras contre son visage pour se protéger, tel un vaisseau a la dérive sur la mer bataillant la proue en avant.
Elle se protégeait si bien qu'elle ne voyait strictement plus rien, mais elle allait toujours devant, s'arrêtant parfois penchée face au vent pour reprendre son souffle.
Un pas après l'autre elle ne pensait plus à rien, c'était déjà ça de gagné. La pluie redoublait plaquant à même sa peau ses vêtements alourdis de sable mouillé.
Sa aurait put être agréable tant l'eau était tiède, si seulement les bourrasques n'avaient pas été si glaciale...
Le froid semblait vouloir transpercer sa peau comme pour désirer y figer la vie même et transformer ses os en cristal.
Mais elle reprend sa route, buttant contre des dunes qu' improvise le vent pour la faire tomber , elle avance les yeux fermer, elle avance et soudain.. POC!... EEeeet MèèèRrrdA !!.....
Son bras heurte sans ménagement quelque chose ou quelqu'un se qui la fait jurer dans sa belle langue gasconne.
Elle lève un peu son visage protégé par cet obstacle inattendu et ouvre un oeil larmoyant.
A première vu ça semblait vivant , une espèce de grande montagne sombre se tenait devant elle et l'encerclait!
Ah non pas de ça!
La lionne se débat, déjà qu'elle devait luter pour rester debout, mais si alors un tas de muscles s' y mettait aussi!
Sa main fouilla prestement sa ceinture à la recherche de son épée qu'elle avait bien entendu laisser quand... quand soudain le vent étrangement plus serein transporta un doux parfum.
Elle referme les yeux et inspire longuement soudain rassénérée, cette odeur ne lui est pas étrangère, loin de la, c'est celle de son Lion.
Il est là, droit dans ses bottes tel le rempart inébranlable à la fureur du temps, tout comme à celle de son âme.
Cécile se blottit se sentant soudain si frêle, si fragile.
Entre ses bras elle défaille et perd tous ses moyens, il lui faut son amour, sa source de vie, son espoir pour un autre lendemain.
Il lui faut voire encore une fois le soleil se lever à ses cotés, entendre à l'envie son coeur battre contre sa poitrine.
Il lui faut sentir son souffle chaud caresser son visage, jour après jour, comme à cet instant unique où ils sont seuls sur la terre au milieu des éléments déchaînés.
Ses bras dans un geste plein de douceur viennent enlacer son cou alors que sur sa peau elle souffle des mots d'amour, oubliant tout, oubliant...
Je vous aime mon Lion Je vous aime je vous aime......
Sa voix se perd et s'éteind dans un sanglot.
Il n' y a que lui pour entendre, que lui pour comprendre, que lui tandis que son corps tremblant se plaque au sien.
Tout autour d'eux tout n'est plus que fureur et bruits... Q 'importe... Ils sont de nouveau Un...