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[RP] La plage

Husseau
Sieur Husseau revint a la plage . La veille, cela lui avait fait le plus grand bien .
Le calme de l'endroit, les odeurs marines, le vent tout était réuni pour contribuer a une saine réfléxion .
La marée était basse, des enfants jouaient avec les algues échouées . Il s'arreta pour les regarder et se remémora sa jeunesse.
Dieu que Chauvigny et ses ruelles était loin !
Ici, point de porcs qui mangeaient les détritus sur le pavé, points de soudards avinés qui bousculaient les braves gens . Bien sur ici comme ailleurs, ce n'était pas le paradis , il n'était point dupe mais au moins, dans cette cité, la plage pouvait se révéler un havre de paix.

Des femmes, un peu plus loin, se penchaient sur le sable mouillé, puis se relevaient et mettaient quelque chose dans un grand panier d'osier . Intrigué, Husseau alla s'enquérir auprès d'elles. Elles lui expliquèrent qu'il s'agissait de coques et que cela se mangeait . Curieux, il en pris une et essaya de l'ouvrir . Les femmes se moquèrent un peu de lui et l'une d'entre elles, armée de son couteau entreprit d'ouvrir le coquillage, puis le donna a Husseau . Il approcha sa bouche du bivalve et le grugea. Il fut surpris de la texture mais le gout était fort plaisant meme si le sable crissait un peu.
Non sans avoir remercié les dames, husseau continua sa ballade...

La roulotte de bohémien était toujous la, ces gens la l'intriguait, ne disait-on pas en ville qu'ils étaient capables de dire l'avenir ? Il se tatat pour aller leur demander tant il est vrai que les questions de la veille le hantait toujours . Il prenait donc la direction du charriot quand son regard fut attiré par une silhouette au loin .

La nature avait pourvu Husseau de très bons yeux, ainsi, il crut reconnaitre Dame Takira. Son coeur s'emballa soudainement et il eu toutes les peines du monde a se calmer. Il se forca a ne pas accélérer l'allure mais se dirigea néanmoins dans sa direction. Certe, il appréciait fortement cette personne mais il ne savait pas trop si c'était réciproque. ...
Cedric_
Apres une longue nuit de marche,Cedric decida de se rendre a la plage...
Il y appercus quelques gens au loin...Il decida donc de s'isoler un peu plus loin..
Le sable fin...la mer d'huile...quel beau paysage...
Il marchat un peu au loin..Puis appercu un tronc d'arbre echoué sur le large...Il decida donc de s'y assoir un moment dessus..Regardant tout se decore...Plongé dans ses pensées....
Louvea
Louvea s'avança lentement vers le sable. Cela faisait si longtemps.
Elle enleva ses bottes pour apprécier la sensation et marcha vers l'eau.
Hésitante, elle regardait les vaguelettes avancer vers elle.
Sans réflechir, elle suivit les marques des vagues sur le sable, tête baissée, pensant à son avenir si incertain.
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Takira
Takira se sentait maintenant très bien.
Le bruit des vagues qui déferlaient sur le sable avait eu raison de sa mélancolie.
Elle se leva, il était temps de rentrer, le vent soufflant commençait à la refroidir.

Soudain, alors qu'elle se dirigea vers le chemin, elle eût une étrange vision. Avec surprise, elle reconnût Sir Husseau.
Que devait-elle faire? Se rencontrer à la taverne, c'est une chose, se retrouver seule avec un homme qui ne l'indifférait pas, c'en était une autre!

Elle était heureuse de le revoir et cette idée la fit rougir.

Elle accéléra le pas et lui tendit les mains en guise de salut.
« Messire Husseau, bien le bonjour ! Quelle surprise de vous retrouver ici ! Vous aviez raison, cette plage est fantastique ! On peut tout y faire ?

Pour appuyer ces dires, elle prit une poignée de sable qu’elle dispersa sur la chemise de Husseau. Elle prit plaisir à le taquiner et se mît à courir pour ne point qu’il l’attrape. Elle s’arrêta et attendit. Peut-être êtes-vous trop fatigué pour me suivre ! s’écrie-t-elle en riant.
Raouldarc
alors qu il lui avait sauvé la vie en utilisant toute sa science , la corvinus elle ne pensait qu a bouffer . elle apprenait vite la bougresse .un merci du bout des lèvres et hop on passe a autre chose .

justement cet autre chose se pointa vite sous la forme d une bonne femme qui réclamait leur aide . notre aide???? et puis quoi encore , pas le temps de la remballer voila que la corvinus partait a sa suite

pffffff et crotte .

que faire se casser ou suivre la corvinus ? il la regarda partir dans ces petites braie toute mouiller qui lui collait sacrément le séant . le tout dans un déhanchement a réveiller un mort . le raoul d un seul coup ne compris pas ce qu il lui arrivait ,il découvrais une nouvelle émotion que certain appelle désir .

ben défection qu est ce qu il m arrive? je ...; reprend toi raclure manquerai plus qu elle te fasse tourner la tete cette cruche

il secoua la tete ,encore bouleversé par cette decouverte et suivi les deux femme jusqu a la pauvre victime .enfin pauvre pfffffffff .

c est du chiqué moi je dis , il est a peine egratigner ,ce deplacer pour ca c est une honte ...ben voila qu est ce que je disais regardez moi ce pingouin il ouvre deja les yeux .


Alors c'est donc vrai que vous nous reconnaissez à l'odeur! Je croyais que c'était juste toi... ou moi vu que je me lave pas très souvent...

ben oui a ton avis ,pourquoi je te pisse sur les chausses tout les soirs?

pas la peine de s attarder plus longtemps sur cette plage .il tardais au raoul de quiter ce lieu et quand la corvinus proposa d aller manger des huitres .c était comme une délivrance même si il trouvais cette idée ridicule . helas la corvinus voulais amener avec elle les deux perdreaux et demanda de l aide au raoul .

que je le preine par les pieds? qu il se dédéfection ouai ,je le connais pas moi je vois pas pourquoi en plus de lui sauver la vie je devrais l aider. temps que t y es? tu veux pas leur payer la bouffe aussi?

le raoul pris les devant ,il accelera le pas ne regardant pas derriere lui. tres vite il arriva devant une petite auberge ,il regarda le menu .il y avait des huitres ,on etait sauvé . il apostropha l aubergiste

bon on est deux ou peu etre quatre ,file nous des huitres et n essaye pas de m impressionner avec de la garniture hein .c est pas par qu on met trois tomates et de l herbe que c est meilleur ,on me la fait pas a moi . d ailleur j attend rien de ton auberge ,je repartirai forcement déçu
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Husseau
Husseau continuait d'avancer dans la direction de Dame Takira . Le sable crissait sous ses pieds. Il se sentait curieusement las dans ses membres. Ses jambes le portait a peine . Il se ressaisi afin de faire bonne figure devant la charmante dame .
Plus il se rapprochait d'elle, plus il se disait qu'elle avait du charme et que c'était peut-etre la cause de son émoi .
Il arriva près d'elle et la salua gauchement, trahissant par la-meme son émoi .
Après un échange de civilité d'usage entre connaissances de fraiche date, ils devisèrent
en marchant .
Elle avait toujours ce rire qui le mettait en joie. Pour le taquiner, elle mis du sable sur sa chemise puis détala comme un lapin ! Manifestement, elle le provoquait a la course !
Bien se dit' il , elle va voir si je la rattrape ! Il déplia ses grandes jambes et couru après elle . Han, han, décidement, rapide la fille ! Il soufflait, a la limite de la suffocation et la talonnais de près .
Finalement, dans un effort surhumain et a la limite de ses forces, il put agripper un de ses pieds et patatras, ils tombèrent tout les deux sur le sable en roulant .
Husseau lorsqu'il parvenait a reprendre son souffle riait de leur jeu .
Ils se retrouvèrent étendus l'un près de l'autre, leurs respirations étaient fortes, il se demandait si c'était seulement le résultat de leurs course .
Ils regardèrent longuement le ciel, le soir tombait lentement ...
Takira
Takira avait adoré cette course!
Aussi, alongée sur le sable près de Husseau, elle se retourna vers lui et lui dit : "Vous avez triché sir Husseau! Je gagnais!
Elle se sentait bien avec lui.

Aussi, voyant le ciel qui s'assombrissait, elle se leva et lui tendit les mains et aida Sir Husseau à se relever.
Peut-être devrions-nous rentrer? je commence à avoir un peu froid. dit-elle en laissant sa main dans la sienne.

Takira n'avait d'yeux que pour son Sieur Husseau. Il était gai, gentil, attentionné et surtout, elle voyait dans son regard qu'elle pouvait entièrement lui faire confiance.
Elle l'aimait, et cela comptait plus que tout au monde!

Ils repartirent ensemble rejoindre le sentier du village.
Husseau
Husseau était fier de marcher a coté de sa belle, il avait envie de le crier au monde entier . Il se mit a courir en faisant de petits sauts de cabris qui en d'autres circonstances, eurent un effet du plus haut comique !

Il revint vers Takira, lui donna la main et lui souffla :
" Nous pourrions passer voir Zeze a sa roulotte , qu'en penses-tu ? "

Sachant qu'elle frissonnait de froid , a moins que ca ne soit d'émotion, il enleva sa chemise pour lui en couvrir les épaules .

Il pensa en son fort interieur que la vie était belle et que depuis son arrivée a Lr, il n'avait vécu que de bonnes choses . La meilleure d'entre elle était bien sa rencontre avec takira. Un viel homme a chauvigny, lui avait dit : "tu verras, peut-etre un jour auras-tu un coup de foudre " A l'époque, il n'avait pas compris le sens de cette phrase !

Il sourit et pressa plus fortement la main de son aimée ... Il se pencha et l'embrassa ...
Zeze5
Du monde sur la plage, mais personne pour venir voir les bohémiens à leur carriole ... comme souvent. Le départ approchait; il fallait tout ranger pour le futur voyage qui serait une découverte pour eux.
Les objets reprenaient leurs places dans la malle, mais en voulant ranger le plat de pattes, Zézé le fait tomber sur le sol de la carriole et c'est des dizaines de pattes qui courent de toute part.
La gitane se précipite pour fermer la porte, ne voulant perdre aucunes des pattes qui étaient une des raretés qu'ils avaient à échanger ... enfin quand les gens prenaient la peine de passer les voir ... et surtout ne voulait pas créer la panique en ville.
Saut à droite ... et d'une ... saut à gauche ... et de trois ... la carriole tanguait au rythme des bonds de la gitane ... de l'extérieur on devait se demander ce qui pouvait bien se passer dans cette roulotte qui avait été si tranquille depuis son arrivée.
Une par deux ou trois, Zézé enfermait les pattes dans la malle, qui se révoltaient après avoir eut un espoir de liberté.
C'est les cheveux en bataille, la jupe froissée que la gitane sort enfin de la carriole, aider Sandino qui arrivait avec les mules pour les atteler à la carriole.

Tout était ranger, les mules attelées, il ne restait qu'à prendre la route du port ... on pouvait encore entendre les pattes cogner de rage dans la malle.

Une petit signe de la main en passant à coté des nouveaux amoureux et la carriole se dirige vers la zone portuaire.
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Takira
Takira se sentait bien marchant sur la plage, serrée contre son Sieur Husseau.
Aussi, avec surprise, elle vît la roulotte se mettre en route!
Elle se retourna vers son tendre amour et lui dit
:

Ne vouliez vous pas aller voir Zézé?
Alors, dépêchons nous! Il faut la rattraper!

Takira le prit par la main et s'élança à la poursuite de la roulotte. Ses cheveux s'envolaient dans le vent.
Elle se retourna et s'écria à Husseau :
j'ai des regrets de vous savoir frigorifié à cause de moi! Alors, je vais remédier au problème: Courons!!

Et la course pour rattraper la roulotte commença.
Flavien_43
Revenu a La Rochelle le jour meme je me dirigeai vers la plage cette fois accompagné. A mes cotes cindy qui sautillait, heureuse a l'idée de voire la mer.

Tu va enfin voir se pourquoi nous avons fait ses 3 jours de marche.

Nous arrivions devant l'océan, Le soleil était couché depuis deja bien longtemp, La lune éclairair l'eau avec les etoiles. L'ecu blanche semblait briller de mille feux. Je l'avais vu de jour, mais pas de nuit, se spetacle me rendis sans voix. Le fait que cindy était avec moi me remplissait de joie

Je la regardais, ses yeux brillait comme des etoiles a la vue de se merveilleux paysage

Heureuse d'etre venu?
Husseau
Takira l'entraina dans une folle course a la poursuite de la roulotte .
Il aimait bien les initiatives de son aimée, ses idées spontanées et parfois folles .
Essayant de garder le rythme car elle courait plus vite que lui, il la voyait cheveux aux vents, ces cheveux qu'il aimait tant caresser....
Mais l'heure n'était pas a la reverie, le charriot eut bientot trop d'avance et les distanca sans peine.
Essouflé, Husseau retint sa douce par la main et lui dit:
" il est trop tard, zeze est maintenant partie vers son destin lointain "
Il l'embrassa dans le cou et lui souffla d'une voix a peine audible
" J'aime ton odeur fraiche et pure , tu es ma raison de vivre "
Ils prirent le chemin de la ville
" tu sais, j'ai trouvé un logement rue st léonard, si tu veux bien, je vais y chercher une chemise car je commence a avoir un peu froid "
Cela dit, il embrassa sa belle tendrement ...
Cindy
Cindy arriva enfin sur la plage donnant la main à Flavien et fermant ses yeux stoppa devant une superbe vue," L'OCEAN" qu'elle attendait de voir depuis si longtemps elle s'écria en ouvrant les yeux :

Ouahhhhh que c'est beau!!! La lune qui reflète sur la mer c'est vraiment magnifique! Je te remercie de tout coeur Flavien car tu as exaucer mon voeux ! Viens Flavien on court dans l'eau le long de la plage ! Ouaisss !!!Elle l'attrapa par la main et se mirent à courir sautillant dans les vagues, criant de joie, levant les bras au ciel et riant aux éclats

Ouiiiii Flavien je suis très très heureuse d'être là avec toi!
Sa joie fut si forte qu'elle fredonna tout en continuant à tournoyer sur elle même au bord de l'eau
sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés lalalalalalallalalaalaala
Takira
Takira était ivre de bonheur.
Leur course sur la plage les avait tous deux ébourifés.
Husseau lui retint la main.
Zézé était partie.


ma foie, oui,je crois que tu vas prendre froid! Allons chercher ta chemise.

Takira, se retourna une dernière fois, ce soir, vers la mer. Décidément, la nuit est magnifique.
Puis, elle se blottit dans les bras de son aimé. Tous deux quittèrent la plage et partirent vers la rue St Léonard.
Maegorn55
Maegorn venait des routes. La poussière la recouvrait.
Elle ne prit pas le temps de poser ses affaires, les portes de la ville passée, elle marche vers la plage, vers la Mer.
La jeune femme retire ses chausses et marche le long du rivage, les pieds dans l'eau, le sourire aux lèvres.
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