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[RP] Mariage ou Quand le Canard s'allie au Rouge ?

ulrich
[Et quand j'parle d'amour*...]

Bon, c'était clair, elle l'avait vu... la hooooonte! Mais il y avait pire, on y viendra, pour l'heure, puisqu'elle s'était présentée, il devait présenter à son tour le chef de famille, et son épouse... Mais... mais craignant d'oublier un titre, il préféra rester simple...

Je... j'ai connu la dame de Volvent à Sémur, en Bourgogne, sa compagnie est très agréable... quand elle ne dit pas de sottises...
Regard noir en direction de la future duduche... Il avait chuchoté, ne sachant pas trop à qui il s'adressait: en fait, tout le monde, et personne à la fois...

Je vous présente grand-père Ursin, et grand-mère Marie Antoinette...

Pour se faire pardonner de ne pas mentionner les titres, il jugea nécessaire de compléter:


Outre le fait qu'ils sont très bons avec moi, ce sont des gens importants, vous savez?

Bon, maintenant, traiter le pire: elle l'imaginait curé! Elle devait s'imaginer qu'elle ne pourrait rien obtenir de lui -il est bon à ce stade de préciser qu'Ulrich ignorait tout de l'idylle, presque digne d'un amour Nivernais, qui existait entre le ducaillon et la dame de Volvent- vite, il fallait la détromper, pour qu'elle ne soit pas déçue d'avoir fait tout ce voyage pour rien... Rougissement un peu trop... rouge pour être honnête...

Je...vous...hum...rhooooo! heu... Je... heu... je n'ai pas prononcé de voeux, et je ne compte pas le faire, j'aime bien trop les femmes pour cela...

Regard brillant, et quelques clignements de paupières pour dissimuler la lueur lubrique qui se cache au fond de ses émeraudes... Puis, comme si c'était chose naturelle, il ajouta:

Vous estes venue seule?



*Boris Vian, "j'suis snob", évidemment

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Della
[Voulez-vous danser grand-mère ? Voulez-vous valser grand-père ?]

La belle inclina le buste, avec toujours un sourire angélique lorsque Ulrich présenta ses grands-parents, avec tellement de tendresse dans la voix, que cela en était touchant, émouvant même.
Oh ! Grand-mère et Grand-père Ulrich ! C'est un plaisir de vous rencontrer...votre petit-fils est tellement...adorable ! Si vous saviez...

Et le regard se leva vers Ulrich, sur les derniers mots...
Oh oui, si vous saviez...
Sourire qui s'élargit vers le bâtard, regard dans lequel on peut revivre une certaine nuit, il n'y a pas encore si longtemps, dans l'antre des Dragons... Et là, froncement de sourcils parce qu'il disait bien la messe, juste avant. Et hop, on remet une couche. Ulrich, je ne me trompe pas, je vous ai bien entendu dire un sermon de mariage ? Comme lorsqu'on termine un séminaire...vraiment, vous sembliez tellement dans votre élément, allez, dites-nous tout...je suis certaine que vous aimeriez ça. Petit geste vague...Votre amour pour les femmes, vous pourriez le porter sur le Très Haut...enfin non, vaut peut-être mieux pas, après tout...La Blonde s'inclina vers Ulrich et, à son oreille : Puis, un cureton dans un couvent, ça ne doit pas être si déplaisant...Une main élégamment gantée vint cacher un sourire accompagné d'une pointe de rose aux joues avant de revenir aux "vieux". Pardonnez-moi, j'accapare votre petit-fils.
Regard bleuté qui se pose sur le petit-fils avant de lui répondre. Seule ? Hmmm...non, ma cousine et son époux vont me rejoindre. Vous les connaissez, je pense. Oderay et Kiss...Et ma foi, je suppose que le Duc fera une apparition également.
La main gantée s'approche de l'épaule du bâtard, y ôte un cheveux.
Voilà, c'est mieux comme cela. Et époussette légèrement le col pour compléter le geste.
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Nith
[Un Chevalier Errant - Sur les routes du Domaine Royal]

Quatre mois... Quatre long mois qu'il n'avait pas foulé les terres de Normandie, ses terres natales, sa patrie. A se dévouer à la protection de la Couronne et du Domaine Royal, il ne revoyait que rarement ses propres domaines, et ce seulement pour des courtes périodes, histoires de se ressourcer avant de repartir en campagne. Il était peut être temps, désormais, de trouver un lieu pour se reposer... Mais pour l'heure, il n'en était pas encore question. Alors que les armées royales s'embourbaient en Provence, le Domaine Royal était assailli de toute part : Champagne, Orléans, et puis le Maine... Mais c'est le Maine qui a le plus souffert de la baisse des effectifs du Domaine Royal, voir le château du Comté tomber, en plein cœur des terres du Roy, était quelque chose de plus inquiétant, montrant la faiblesse militaire du Domaine Royal en ses temps troublés.

Ce fut donc aux Ordres Royaux d'assurer la sécurité des lieux. Dames Blanches, Hospitaliers, Licorne. Tous les trois furent amenés à défendre les terres du Roy. Ce fut donc en Maine que la Licorne se mobilisa, Comté qui a toujours était la zone sensible du Domaine Royal, en proie à la Bretagne et à l'Anjou. Et la situation était proche de la catastrophe: point de fond, une armée locale quasi inexistante. Il fallait tout reconstruire, une organisation, une institution et une armée stable prête à défendre ses terres. Trois mois de mobilisation. Trois mois de défense d'un Comté. Trois mois loin de sa Normandie... Mais l'heure était maintenant venue de céder la place, de permettre à l'Ost du Maine de s'affirmer et d'assurer ce pour quoi elle est destinée. Ainsi est la voie de la Chevalerie, de la Licorne: donner sans rien attendre en retour, permettre aux autorités locales de reprendre ses droits et d'assumer sa propre sécurité, avant de repartir au loin, oublié de tous, même des institutions que l'on sert et protège, jusqu'à la prochaine crise.

Il était donc temps au Chevalier de rentrer sur ses terres de Normandie, profiter de la belle saison dans son manoir de Carentan, et goûter au nouveau Calva... C'est qu'il y avait bien des mois qu'il n'avait malheureusement pas pu goûter aux doux breuvage, à son grand dam. Mais avant de pouvoir prendre la route, il lui restait encore les formalités administratives afin de pouvoir pénétrer en Normandie. La situation était tellement préoccupante que les routes du Domaine Royal étaient devenues des champs de bataille ratissés continuellement par les milices, armées et maréchaux des différentes provinces. Il valait mieux montrer pâte blanche, tout Duc Normand qu'il était, au risque de se retrouver face à une patrouille trop zélée prête à accueillir tout inconnu à la pointe de l'épée. D'ailleurs, il en avait fait les frais, au début de cette année 1458... Un bien triste souvenir d'ailleurs... Et une certaine rancœur face à l'Alençon... Mais le pardon devait être accordé, même si pour l'heure, il avait un peu de mal à faire son chemin...

Enfin bref, comme à son habitude, au grand dam de son intendant, la Licorne d'or chevauchait seul. Rapidité et discrétion étaient les maître-mots, Et il était plus aisé de voyager en solitaire, s'arrêtait au gré de ses envies sur les routes et les terres qu'il avait contribué à protéger, ne s'inquiétait que peu du manger et du boire. Et puis, ce n'était pas comme s'il ne connaissait pas le chemin... Il rentrait donc en Normandie, tandis que Riton préparait le rapatriement de ses affaires du Mans jusqu'à son domaine de Carentan. Le voyage fut sans encombre, le Duc se conformant à la demande des douanes et des maréchaux. L'appréhension montait à mesure qu'il se rapprochait des frontières normandes et de Lisieux: cela faisait bien longtemps qu'on ne l'avait vu en Normandie, qu'il s'était présenté sur la scène publique. L'heure de l'isolement était achevée, il était temps de s'ouvrir aux autres... Son propre temps était lui aussi compté...


[Lisieux, enfin la Normandie]

C'est avec un grand soulagement qu'il pu voir à l'horizon les remparts de Lisieux, marquant la fin de son périple et la fin de sa mission en Maine. Difficile de reconnaitre du monde et de se sentir chez soi lorsque l'on a quitté le foyer depuis de nombreux mois, mais la Normandie restait malgré tout sa patrie. Un tour sur la place du village, histoire de se remettre dans le bain, et de prendre un peu des nouvelles locales. Il avait l'impression d'émerger d'un long rêve, d'une longue période de sommeil où il n'avait plus aucun lien, aucun contact avec la réalité de la vie quotidienne des Normands. Il ouvrait grand les oreilles, prêt à écouter les dernières rumeurs, guettant la mention d'un nom qu'il connaissait. Et c'est là qu'il l'entendit: le mariage d'un Pair de France et d'une Baronne en la cathédrale de Rouen. Et bien, avec toutes les rumeurs qui courraient, il était enfin temps! L'union d'un Pair de France n'était pas une mince affaire, et était l'occasion de grande festivité. Bizarre pourtant, aucune invitation ne lui avait été envoyée... Mais il est vrai qu'en se trouvant bien loin de ses propres terres, il aurait été difficile de lui apporter pareille missive. Quand bien même, il avait encore le temps! La cérémonie avait lieu ce jour, il pouvait chevaucher pour atteindre Rouen dans la journée. La halte à Lisieux fut de courte durée...

[Parvis de la Cathédrale de Rouen]

Un homme s'approcha du parvis de la Cathédrale de Rouen, encore essoufflé par la rapide chevauchée qu'il venait de réaliser. Il portait une cape d'azur, où l'on pouvait distinguer sous la poussière de la route une Licorne cabrée d'argent. Son visage, rude de première abord, arborait une barbe naissante, blonde comme le blé, ainsi qu'une chevelure ébouriffée par le vent de la cavalcade. Chemise blanche en lin et braies marron semblaient de bonne qualités, quoiqu'usée par le temps et le soleil. Ses bottes d'ébène, couvertes de terres, étaient une preuve supplémentaire à ses aventures. Une lame pendait à son flanc, toujours prêt à s'en servir si le besoin s'en fait sentir. Et pourtant, le Perplexe se tenait calmement sur le parvis, ainsi dépareillée pour assister parmi la noblesse normande à une cérémonie de première ordre. Soit, les apparences ne font pas tout dans la vie, et cela faisait bien longtemps qu'il n'y prêtait guère attention.

Il s'avança vers la porte, se rapprochant du groupe qui s'était formé devant l'entrée, et se dirigea vers l'homme endormi qui semblait monter la garde devant la cathédrale... Aïe, s'il s'est endormi, c'est que peut être la cérémonie est achevée... Bon, autant demander...


- Et bien, mon brave, désolé de te sortir de ton sommeil, mais la cérémonie est-elle achevée?

Cela aurait été le comble de la malchance, chevaucher à bride abattu pour finalement arriver à la fin de la bataille...
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villageois, incarné par Juliette
l'homme fut secouer à coup de claques après avoir été endormi par une berceuse religieuse.

Quoi ? quoi ?

L'homme reprit son poste interloqué encore qu'on puisse le traiter aussi mal. Seulement, le temps passant, il devait manquer de sommeil car il retrouva Morphée un peu trop vite. Un autre homme s'adressa en lui. Fronçant d'abord les sourcils, il se réveilla doucement. Ouvrant doucement les yeux et découvrit un homme de fort bel allure. Il se redressa d'un bon, soigna rapidement ses vêtements et donna un peu plus d'attention à l'homme.

Achevée ? que Nenni, Sire... la Cardinale n'est toujours pas arrivée tout comme les futurs. Vous êtes ?

Il sortit son papier sur lequel une liste non exhaustive de noms s'y trouvait et pouvait s'allonger encore en tant que besoin.
Nith
Le Perplexe examina plus attentivement l'homme de faction: un homme du peuple, simple mais bien bâti. Un petit sourire se dessina sur les lèvres du Duc alors que le villageois tentait de se donner une contenance et une stature plus importante. Ah, les apparences, la préoccupation de beaucoup de personnes, souhaitant toujours paraître au mieux, donner une bonne impression de soi afin de se faire accepter, respecter ou craindre, en fonction des besoins. Mais le Perplexe ne se préoccupait plus guère de ce genre de chose, en attestait sa tenue présente, sali par la poussière de la route qui maculait présentement ses vêtements.

Bien, la cérémonie n'avait donc pas encore commencé, les principaux protagonistes n'avaient toujours pas fait leur apparition. Au moins, il aurait le temps de se placer dans la salle et de ne pas devenir le centre de l'attention lorsqu'il pénétrerait dans la cathédrale. Il commençait à détacher son baudrier, respectant les lieux saints en y entrant sans armes, et à s'avancer lorsque le villageois lui demanda son nom... Nouveau sourire, mais celui-ci ponctué d'un certain étonnement. Mais il est vrai qu'on ne l'avait guère revu en Normandie depuis bien longtemps, et que son nom et son visage était inconnu de la nouvelle génération. Mais il y a seulement quelques années de cela, personne n'aurait pris la peine de lui demander son identité... Et bien, puisqu'il fallait s'y conformer, il n'allait pas faire une scène pour si peu.


- Nith de Cassan, dict le Perplexe, Duc de Cany, Vicomte de Vernon, Bolbec et Carentan, Seigneur de Massy, Grand Maistre de l'Ordre Royal des Chevaliers de la Licorne. Pour vous servir.

Il ne manquerait plus qu'il ne fasse pas partie de la liste... Il est vrai qu'il n'avait pas reçu personnellement d'invitation à ces célébrations, mais pour pareil événement au sein de la Normandie, la noblesse locale était invitée, non? Et on tapote du pied, patientant pendant que le garde vérifie son parchemin...
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ulrich
[A la pêche des coeurs je ne veux plus aller...*]

Blablabla, voilà qu'elle remettait le couvert... Quand au curé dans le couvent, il fallait qu'il la détrompe, 'fallait jamais qu'elle fasse la même erreur que lui... Non, il ne le souhaitait à personne...Le couvent est un endroit affreux, et les sœurs sont exactement comme vous pouvez vous l'imaginer, mais en plus laides encore...


Kiss, Ode, encore des fantômes que le bâtard aurait bien voulu chasser, surtout le premier, qu'il avait saoulé en taverne, puis battu avec son frère, avant de fuir en direction du Berry, le laissant pour mort... Mais autre chose l'interpela: à la question de savoir si elle était accompagnée, elle avait répondu que le duc ferait une apparition... Elle était donc mise avec un duc? Surement un bourguignon maniéré, et parvenu, il était curieux de voir cela... Même si le comique de la scène à venir n'empêchait pas le bâtard de sentir un pincement au coeur... Elle n'était pas venue pour lui... Bon, fallait papoter un peu, et dissimuler le malaise...

Grand-père, je ne vous ai pas dit, comme moi, Della étudie à la faculté de droit, et elle est si brillante que si j'avais un jour un problème avec nostre bonne justice, je jure que je l'engagerais sans hésiter... Enfin... si elle m'acceptait comme client...


Regard en biais, en direction de l'intéressée, sa question indirecte n'étant pas forcément que badinerie... Ça pouvait servir un jour... Toujours bien plus proche que ce que l'on croit...

*Encore Vian, titre éponyme de mémoire

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Della
Les "vieux" semblaient tombés en profonde méditation. Sans doute l'effet de la Cathédrale sur leur foi exacerbée.
Même l'arrivée d'un Licorneux, en grande discussion avec un pauvre hère à moitié endormi, ne sembla pas les dérider.
Della ne se se souvenait que fort peu de ses grands parents, un vague souvenir d'une odeur particulière qu'elle avait associée à la vieillesse, une vision de main toute ridée qui se posait sur ses cheveux d'or...mais à part cela...rien. Aussi ne savait-elle pas trop comment on manipulait les ancêtres et elle fut très heureuse de la diversion offerte par le bâtard.

Oh, merci, vous me flattez, cher ami...surtout quand on sait ce que l'on sait, n'est-ce pas ? Ajouta-t-elle à voix basse. Ne vous tracassez pas, mon ami, je vous défendrais corps et âme s'il le fallait...
Regard circulaire autour d'eux...Cathédrale vide ou presque...Au fait, on ne se serait pas trompé de jour ? Pas le moindre mouvement, même pas un enfant de choeur apprêtant les ustensiles de cuisine aristotélicienne. Bizarre.
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ulrich
Je vous remercie... Peut-être, un jour, nous associerons nous? Cabinet Lasteyrie*, ça sonne bien non? Si on arrive à recruter les autres étudiants qui font autre chose que de gober béatement ce qu'on leur a mis dans la bouche... Ca peut être intéressant, non? J'ai bien sûr nommé la vigoureuse Bryn, le jeune Lotx et... Regard inquiet vers son grand père... Le bâtard chuchote à l'oreille de la belle le nom de l'hydre... et la ténébreuse Garance... Soixante cinq pour cent des honno... arf, c'est vrai que c'est interdit... pour l'instant... Toussotement... hum... des honneurs reviendraient à l'associé fondateur... Riche idée, non?

Oui, c'était bizarre cette affaire d'attente tout de même...

Je crois que le portier se joue de nous... Vous croyez que si je le soufflette ici pour qu'il nous dise la vérité, le tout puissant m'en tiendra rigueur?


Après tout, maintenant, il avait un (futur) avocat, il fallait le rentabiliser...


*Toute ressemblance avec un cabinet existant serait évidemment absolument fortuite

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Oderay
Ayé le voyage a Rouen c'était finalement finit sans encombre! J'esperais que pour le retour , ma fougueuse cousine m'attendrais afin que je puisse la défendre...Raalaalala..Un regard sur mon blondinet en piteuse état lui aussi et sur Gabriel qui lui courait partout en agitant sa peau de lapin( premier trophée de chasse!), ça allait pas être triste de le garder sage le temps de la cérémonie, j'en étais convaincue.Après avoir habillé un gab tout ce qu'il y a de plus surexcité : a ville mama! a ville! agade!!!

Oui, oui Gab, mais doucement, papa est un peu fatigué, tu vois? Ne cries pas ainsi et viens là que je te coiffe!

Un coup de peigne au fiston et quelques dizaines de minutes plus tard au blondinet aussi, je me préparais également. Robe noire et rouge, cintrée à la taille qui m'est en valeur la poitrine et mes hanches et des manches larges bordées d'un fin trait rouge. Laissant mon épée et mon bouclier, je ne gardais que ma dague dans ma botte. Je ne pouvais pas me balader sans arme, je me sentais nue sinon! Enfin, je mis le collier offert par mon frère, cette fine croix argentée, qu'il embrassait fréquemment. Il était ainsi avec moi, ou que je sois. Enfin pour les cheveux , une simple tresse que je posais sur mon épaule.

Regardant la petite famille fin prête, nous primes la route pour rejoindre Della.

(Arrivée de la familia où quand Gab découvre une église....et c'est pas triste!)

Damned! Qu'elle était belle cette cathédrale! Les sculpteurs avaient vraiment fait un travail d'orfèvre! restant un instant sur le parvis, je montrais du doigt les entrelacs de pierre et les statues dressées fièrement vers le ciel.

Mon fils regarda...un instant avant de trouver sans doute plus amusant de courir vers les deux autres personnes présente sur le parvis.

A leur habits, je devinais que l'un était noble et l'autre beaucoup moins.
Évidement, c'est le noble que pris pour cible mon fiston en se collant a ses basques et tira sur les braies du messire en lui montrant sa peau de lapin
:

Agade! a moi a fais! agade!

Levant les yeux au ciel et soupirant rapidement, j'activais le pas afin de rattraper mon jeune chasseur en culotte courte et présenter mes excuses au dit messire.

Petite révérence, attrapage de Gab, dans les bras et je regardais l'homme dans les yeux :


Pardonnez le, Messire, mon fils est quelque peu prompte ... a s'attirer des ennuis, pensais je a aller saluer les personnes .
Mais je me présente, Oderay de Volvent, enchantée, en espérant qu'il ne vous ait point trop déranger.


Je me tournais ensuite vers le garde :


Nous sommes invité, mon conjoint et moi même au mariage de la Baronne Juliette, pouvons nous entrer?
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Della
Petite moue songeuse au nom du cabinet...
Hmmm...Cabinet Lasteyrie...tout court ? Et les autres alors ?! Cabinet Lasteyrie and Co me semble sonner pas mal...j'aime bien ce "and Co", je suis certaine que ce fera un tabac. Quand aux soixante cinq pour cent, je dirais plutôt à parts égales entre tous. Grand sourire appuyé, faisant comprendre qu'elle a bien compris que les honneurs seraient sonnants et trébuchants. Sinon, l'idée est très intéressante...cela pourrait me plaire, faut voir.

Et là, on retrouvait le Ulrich dans toute sa splendeur, lorsqu'il parla d'aller souffleter le portier.
La Blonde ne put s'empêcher de rire tout en lançant un regard en biais aux grands priants.

Le Tout Puissant pardonne...Allait-il y aller ?

Une voix venant du fond de la Cathédrale, attira son attention.
Plissant les yeux pour mieux distinguer les silhouettes - doit être un peu myope - elle reconnut ses cousins.

Les voilà ! Voilà Ode et Kiss, avec Gabriel...Venez Ulrich, venez avec moi, pour les saluer ! En aparté : Vos aïeux prient, ne les dérangeons pas plus...Et gaillardement, elle glissa son bras sous celui de son bientôt confrère et se dirigea vers sa famille.
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Kisscool974
Kiss marchait,enfin suivait,enfin il boitillais,ces cotes mettait plus de temps qu'il ne pensait a se remettre en place,et donc,il avait toujours cette fichue canne avec lui.Le voyage jusqu'à Rouen a eu tellement de tribulation,tout cela pour se rendre a un Mariage ou il avait franchement pas l'envi d'aller,mais ce que qu'Ode veut..
C'est donc avec ces habits les plus correct,et les cheveux en bataille,cheveux que sa douce avait essayé de coiffé sans réel succès,qu'il entrait dans l'église. Celle ci était bien différente de celle de Semur,plus grande,plus majestueuse,plus de mal a cou a resté la tête en l'air pour admiré les cultures.
Arrivé au même niveau qu'un certain homme,que tout portait a croire qu'il était noble,kiss ne pu s'empêcher de sourire en voyant Gabriel faire,mais en bon père il voulait le réprimander mais son épouse s'en chargea avant lui,il fit un sourire qui se voulait désolé au messire et lâcha un "pardon,Kiss de Semur" a peine audible. Souvenait vous (bon c'est vrai vous le savait pas vous) Kiss n'aime pas vraiment la noblesse,la seul noblesse qu'il apprécié etait les De Volvent,et encore pas en totalité,il faisait donc des sourires qui dépanne au gens qu'il croisait,sans vraiment de conviction. Arrivait près du garde,il fit de loin Della qui venait dans leur direction


Regarde mon amour,c'est ta cousine de tes rêves qui vient vers nous,et si je voit bien,elle est pas toute seul
Jglth
[Campement du 5ème corps, aux portes de Rouen]

Pas la moindre excuse cette fois pour arriver en retard au mariage de Juliette et du Duc d'Evreux.

En tant que Capitaine du 5ème corps qui protégeait la capitale normande, Julien avait vu défiler tous les invités au mariage qui se rendaient à la Cathédrale de Rouen.

Il s'était organisé avec son aide de camp afin que celui ci le remplace durant la cérémonie. Peut être aurait il même le temps de participer aux festivités.
Seul point noir de la journée, Dame Justine qui devait l'accompagner au mariage était restée en Orléans après avoir pris un mauvais coup de froid lui imposant de tenir le lit.

Après sa nuit de garde aux côtés des soldats et des conseillers ducaux volontaires pour protéger la capitale, Julien regagna sa tente afin de s'apprêter. D'un geste fatigué, il passa sa main sur son visage et sourit en sentant la barbe de plus en plus épaisse qui le recouvrait. Après des nuits sans dormir durant ses mandats de Duc de Normandie et des nuits de garde dans la foulée, il n'avait trouvé que cette solution pour masquer un tant soit peu la fatigue qui marquait ses traits.
Heureusement qu'il n'avait pas eu le temps de rentrer chez lui depuis qu'il avait rejoint la capitale pour ses mandats ducaux car il n'aurait pas été certain d'avoir pensé à emporter de quoi se vêtir correctement. En effet, on ne va pas diriger une armée comme on va à un mariage... D'autant plus qu'il était quand même plus à l'aise en armes qu'en tenue de cérémonie.

Une fois qu'il eut l'impression d'être à peu près présentable, il sortit de sa tente. Il se tâta un moment, hésitant à se rendre à pied jusqu'à la cathédrale ou à s'y rendre à cheval. Finalement, lorsque son regard se posa sur son destrier, Julien eut l'impression que celui ci avait décidé pour lui et qu'il avait envie de se dégourdir un peu les jambes. Dans un sourire, il flatta l'encolure de l'animal et, une fois bien en selle, parti avec lui dans un trot dynamique. Bientôt la cathédrale serait en vue.

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Morkar
[En route... Longue route]

Estienne n'arrivait plus à parler. Son compagnon de voyage, Benoit, hésitait à briser ce silence, tant qu'il comprenait le moment nécessaire de solitude dans lequel le Duc se plongeait. Malheureusement pour lui, le voyage n'allait pas être suffisamment long pour lui permettre une réflexion intérieure complète.

L'entrée dans Rouen se fit rapidement. Les deux cavaliers croisèrent les gardes de la cité ainsi que le le corps de l'armée détaché à la sécurité de la capitale normande. Le futur marié marchait au trot en direction de la cathédrale, soucieux de ne pas paraitre plus tendu qu'il ne l'était. Il sentait que son visage blafard ferait étrange, mais si le bonheur l'habitait, il ne pouvait oublier la crainte qui lui nouait le ventre depuis quelques heures.

D'après les souhaits de la Cardinal Seriella, il devait entrer par l'arrière et atteindre le choeur de la cathédrale en passant par le transept. A partir de ce moment, il allait devoir se confronter aux invités, pour la première fois depuis le début de journée. Il espérait faire une entrée discrète, ne pas être remarqué... enfin pas tout de suite...

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Villageois, incarné par Juliette
Il écoute le nom de l'homme. POUUUAAAHH ! ce n'était pas court du tout !

Nith.... Licorne. Il écrivit ce qu'il arriva à retenir de cette longue et longue présentation. Les nobliaux ne pouvaient de toute façon faire plus court ! Pouah !

Satisfait de ces deux noms, il leva les yeux. L'homme semblait attendre un mot. Surpris, il insista du regard pour savoir ce qu'attendait l'homme.


euh... v'pouvez prendre place dans la cathédrale ... il fait frais bon ... et... silencieux... c''est mieux ...

D'autres se présentèrent. Ah il fallait encore écrire. Les mariés avaient-il prévu beaucoup de monde encore ?

Oderay.... c'est noté ! et oui vous pouvez rentrer... euh... ce n'est pas interdit... Il sourit.
Joey21
[Dans la journée]

Après plusieurs semaine d'un long trajet depuis la Bourgogne, le "Fier Bourguignon" et la Demesquine parvinrent enfin à destination. Et pourtant cela n'avait pas été chose facile. Que ce soit pour traverser la Champagne, obtenir des LP pour l'Artois, la troupe bourguignone avait eu l'impression que le Très Haut ne souhaitait pas qu'ils assistent au mariage de la baronne de Mervans. Mais enfin ils etaient arrivé à bon port , et le vin par la même occasion !
Après un rapide passage au domaine d'Evreux ( afin de ravitailler en vin de Bourgogne les caves du château, et déposer ses bagages personnel et ceux d'Arambour), Joey rejoignit Arambour dans une auberge non loin de la cathédrale.
Une fois les deux Dijonnais fin prêt, ils se dirigèrent à pied vers le parvis de la Cathédrale.


[Parvis de la Cathédrale de Rouen]

Le couple approchait de la cathédrale, ils étaient bien sur habiller pour l'événement. Le Bourguignon était vêtu d'une cape de couleur blanche sur la quelle on pouvait voir blason familiale des Vellini. Pour le reste il était tout de noir et portait autour de son coup son collier d'Airain ; collier qui montrait son appartenance à l'Ordre de la Toison d'Or de Bourgogne.Et enfin il portait bien évidement la pièce de cuir sur son oeil gauche; vestige de la bataille de Brignoles !
Joey pouvait déjà y distinguer plusieurs personnes, pour la plupart des visages inconnus, bien que certaine silhouette apparaissait comme quelques peu familière au Chancelier de la Toison.
Joey tout en s'avançant vers l'entrée de l'immense cathédrale, regarda la femme qui l'accompagnait en ce jour. Une drôle de rencontre faite à son retour de la guerre de Provence, mais à vrai dire , une rencontre qui allait peut être changer sa vie ... Arambour Demésquine. Il lui lâcha un sourire et lui glissa quelques mots :


Bon nous y voilà ... à ces mots Joey poussa un soupir de soulagement puis reprit avec le sourire; Je me trouve en agréable compagnie au mariage d'une proche amie , dans un duché que je ne connais point , mais dont je connais la valeur de ses habitants; que demander de plus ! Puis il conclut avant de poursuivre en direction de l'église: J'espère que tu es prêtes car il est trop tard à présent.
Juste après ces mots le Bourguignon se rendit compte qu'il venait de tutoyer la Demesquine, chose qu'il n'avait jamais fait et il fallait l'avouer, s'était surpris à le faire de manière presque naturel ...

Ils se trouvaient maintenant à quelque pas de l'entrée et salua simplement d'un geste de la tête les personnes qu'il croisa: un homme portant une cape d'azur sur la quelle était brodé une licorne, probablement un chevalier.
Devant lui, au niveau des grandes portes deux personnes lui tournait le dos, ils étaient accompagnés d'un jeune enfant. Arambour à son bras, le Fier ralentit son allure et s'avança vers les grandes portes de la cathédrale.

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