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[RP] Orphelinat Sainte Clothilde

Amarante.
[En cuisine]


Et bien quel rot ! C'était bien un mec tient ! Déjà petit il avait du coffre pour ce genre de choses ... Bin quoi ? C'était vrai non ! Les filles étaient plus délicate dans ce genre de choses ... Tssss

Et le voilà qui se remettait à pleurer ... A croire qu'il n'aimait pas être dans ses bras ! Elle qui l'avait vu naitre ...


OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN

Enfin, elle laissa Garrett se charger de lui puisqu'il avait l'air sous le charme ... Et Guillaume qui lui faisait des sourires ... Enfin libérer de son petit fardeau, elle put se concentrer sur la fillette blonde quand Ambre fit son apparition ...

Hé bien apparemment non... Quelqu'un doit venir la chercher, c'est ça Abigail, non ?

Elle hocha la tête et écouta la petite qui avait ... Un parler un brin caractériel et elle fronça les sourcils ...

Bonzour...
Mais ! Suis assez grande pour le dire à la dame qu'on viendra me schercher d'abord.

Oui Madame, il a raison, euh... je compte pas trop m'attarder ici ... z'ai bien l'intention qu'on vienne vite me schercher. Il me l'a promis d'abord, et une promesse c'est une promesse hein c'est vrai madame dis ! ?


Et bin ! Elle ne manquait pas de tempérament cette petite et elle savait ce qu'elle voulait ... Elle s'approcha d'elle et se baissa à sa hauteur. Toujours mieux pour parler aux enfants ...

Et bien Abigail je crois ? J'aurais bien aimé voir la personne qui vous a déposé ici. Au moins avoir son nom et savoir combien de temps il comptait vous laisser ici ... Sans cela ... Je ne puis être certaine que cette promesse puisse être tenue ... Cette personne vous la connaissiez ? Un parent peut-être ?

Elle allait ménager la petite, ne pas lui faire peur en lui disant que cette personne ne reviendrait certainement pas et qu'elle ne tiendrait pas sa promesse ... Et si Rodrielle pouvait revenir avec Elouan et Marine ça l'arrangerait bien aussi ... En attendant, elle allait laisser faire Ambre qui l'empêcherait de penser à la personne qui l'avait laissé ici, puisqu'elle l'invitait déjà à jouer ...

Bouzour ! Suis Ambre ! Tu as quel âze dit ? Tu vas rester quand même un peu avant pour zouer ?

Souriant à la deuxième blondine, elle lui passa une main tendre sur les cheveux puis se releva et regarda Garrett qui subissait le supplice du tirage de cheveux ... Posant de nouveau son regard sur les filles ...

Oui elle va rester le temps de pouvoir jouer avec toi Ambre. Si elle le veut, vous pouvez aller dehors dans le jardin ou vers les écuries, mais ne faites pas peur aux chevaux ...

Ah bin voilà que Guillaume s'endormait dans les bras du professeur ... charmant tableau ...
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--Guillaume.




Le pauvre bébé est fatigué et il préférait quand même les bras des femmes, le petit car un homme c'est bien gentil mais ça remplacera jamais la douceur d'une femme. Guillaume bailla à s'en décrocher la machoire tout en regardant le blondinet. Après sa petite sieste, il aurait tout le loisir de l'embêter. Donc le petit commença à gigoter contre l'homme pour lui montrer qu'il désirait lui montrer quelque chose mais bien évidemment, il choisit après de lui tirer une nouvelle fois une de ses mèches de cheveux afin de capter toute son attention et d'un mouvement de doigt, il lui montra Amarante.

- Ah...Ah...

Il esperait que le blondinet ne soit pas trop bête et comprenne ce qu'il veut ou que la femme comprenne aussi. Et surtout rapidement car il est fatigué et il veut faire la sieste. Donc il continue à gigoter tout en montrant Amarante du doigt en faisant une grimace à cause de la fatigue.
Abigail.
Ouh la, la cuisine était remplie d'un coup. Le braillard braillait, ou pas d'ailleurs ça dépendait. Dans les bras du professeur, il voulait tout de go rejoindre la douceur des bras de sa nourricière.

Une petite fille était arrivée aussi. Elle voulait jouer. Abigail regarda par la fenêtre.


Jouer ? euh... je ne sais pas si j'ai le temps moi. S'il arrive et qu'il me voit pas ? faudrait pas qu'il reparte ! j'aimerais mieux attendre devant la porte moi...

Mais la femme ne le voyait pas de cet oeil, soutenant qu'elle avait le temps d'aller se dégourdir avec l'enfant prénommée Ambre.

Oui j'ai 4 ans. Ze m'appelle Abigail. C'est Euzen qui m'a déposé ici. Enfin... presque déposé, il a eu un petit souci pas loin d'ici et z'ai du venir ici. C'est lui qui me l'a dit. Mais il a dit qu'il viendrait vite me zhercher hein ! et c'est pas un menteur Euzen, c'est pas un menteur.

Abigail sentait les larmes au bord de ses yeux clairs. Elle le renifla et regarda l'autre gamine.

Bon, on y va ? z'ai dit que ze ferai pas longtemps ici alors si tu veux zouer, c'est maintenant !

Elle fit sa fière, comme on lui avait appris, comme il lui avait appris....
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Garrett
Le gamin s'agitait et lui tirait les cheveux. C'était un ange mais pas quand il était agité comme ça !!! Il gesticulait dans tous les sens mais semblait toutefois lui montrer Amarante du doigt...

Il a l'air *aiiieee* fatigué... Je te le redonne Amarante. Il est Aaadoraable *mais arrête de tirer !* mais euh quand il dort seulement...

Il fit son adorable sourire de blondinet et déposa un bisou de papa sur le front du bébé avant de le redonner à sa maman.

Oui allez jouer un peu les filles, c'est pas tous les jours qu'il ne pleut pas ici !

Il sourit et regarda la maman : elle aussi elle avait l'air crevée !

Tu as... Faim ou soif ?
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Personne ne va t'empêcher de sourire !
Abigail.
Abigail soupira. Voila que le blondinet aussi voulait qu'elles déguerpissent le plancher de la cuisine.

Bon ben oui on va aller zouer dehors. Tu viens Ambre, moi ze connais pas ici, alors ze veux bien qu'on me montre un peu ce qu'il y a à faire...

Elle se souvint qu'Amarante avait parlé de chevaux. Ca pouvait valoir le détour après tout. Ne pas les énerver ... bon d'accord ...
Nouveau soupir, regard vers les grands.


Et... ça fait quoi si on les énerve les zhevaux ? ils seront pas contents ? ça se pourrait qu'il y ait un poulain ? z'aime bien les poulains moi, c'est zoli les poulains, c'est comme les bébés.

Regard vers le bébé endormi justement.

Pi ça sera touzours plus zhouette que...


Elle retint la fin de sa phrase.


Dites y'a des autres z'enfants ici ? des plus grands ? des plus petits ? parce que moi, zuis une grande hein ! ça se voit peut être pas, mais zuis une grande et z'ai même pas peur !
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Amarante.
Oui j'ai 4 ans. Ze m'appelle Abigail. C'est Euzen qui m'a déposé ici. Enfin... presque déposé, il a eu un petit souci pas loin d'ici et z'ai du venir ici. C'est lui qui me l'a dit. Mais il a dit qu'il viendrait vite me zhercher hein ! Et c'est pas un menteur Euzen, c'est pas un menteur.

Humm, elle avait beau y avoir été avec douceur, la petite s'était vexé et même si elle retenait ses larmes qui arrivaient à grand pas, elle fit la grande ... Oui c'était sûr, cette petite avait du caractère ...

Bon, on y va ? z'ai dit que ze ferai pas longtemps ici alors si tu veux zouer, c'est maintenant !

Oui allez jouer un peu les filles, c'est pas tous les jours qu'il ne pleut pas ici !

Elle hocha la tête pour dire à Ambre qu'elles pouvaient y aller, puis tourna son visage vers Garrett qui se faisait tirer les cheveux et elle sourit, amusé. Puis Guillaume se mit à gigoter et à bailler.

Il a l'air *aiiieee* fatigué... Je te le redonne Amarante. Il est Aaadoraable *mais arrête de tirer !* mais euh quand il dort seulement...

Elle laissa échapper un petit rire avant de venir reprendre Guillaume et de le caler tout contre elle au creux de son bras ... Elle s'installa ensuite dans le fauteuil pour être plus à l'aise. Le berceau se trouvait à l'infirmerie et elle n'avait pas spécialement envie d'aller déranger les deux malades pour aller mettre le petit dans le couffin...

Tu as... Faim ou soif ?

Elle mit le temps de comprendre que Garrett s'adressait à elle et le regarda un peu surprise ...

Heu ... Oui je veux bien boire si vous avez quelque chose de frais ... J'ai chaud et ma grossesse n'arrange rien ...

Elle laissa Garrett aller voir s'il trouvait quelque chose et en attendant, elle donnait ses doigts à Guillaume pour qu'il ait quelque chose à tenir hors cheveux puis elle écouta Abigail parler des chevaux ...

Et... ça fait quoi si on les énerve les zhevaux ? Ils seront pas contents ? Ça se pourrait qu'il y ait un poulain ? z'aime bien les poulains moi, c'est zoli les poulains, c'est comme les bébés.

Petite grimace avant de répondre ...

Et bien disons que vous faites peur aux chevaux, ils risquent de vous faire mal, très mal ... En ce qui concerne les poulains, je ne sais pas ... Ambre doit mieux savoir que moi ...

Berçant doucement Guillaume, elle continuait d'écouter la petite ...

Dites y'a des autres z'enfants ici ? Des plus grands ? Des plus petits ? Parce que moi, zuis une grande hein ! Ça se voit peut-être pas, mais zuis une grande et z'ai même pas peur !

Oui il y a d'autres enfants, un peu plus grand, mais là ils sont de « sortie » avec Rodrielle ... C'est la directrice de cet orphelinat ...
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Abigail.
Abigail avait attentivement écouté Amarante. Elle était gentille avec elle, alors que la puce n'était guère aimable...

Rodrielle... c'est le nom qu'Euzen lui avait dit de demander.


Bah, la directrice la, c'est elle qu'Euzen il m'a dit d'aller voir. Mais elle est pas la c'est ça ? Je vais attendre alors. D'abord, suis habituée j'attends toujours moi...

Soupir...
Un regard vers Ambre.


Tu viens, on va dehors, on va aller voir les zhevaux.


Elle se mit à courir vers la porte et s'arrêta brusquement.

Euh si Euzen il vient, surtout çui pas loin hein ! faudrait pas qu'il croit que je suis pas la hein !!!

Elle repartit avec Ambre à sa suite... direction les écuries.
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Garrett
Le petit farceur tireur de cheveux blonds était loin de lui et trop fatigué pour récidiver, le blondinet en était ravi ! Il le trouvait adorable ce bébé mais un peu... Actif ! Ou réactif ? Quoi qu'il en soit c'était un futur petit champion dans l'art de mettre de la joie dans votre vie.
Garrett sourit, attendri par le tableau que composaient Amarante avec le petit Guillaume dans ses bras. Ils étaient chou tous les deux !

Quelque chose de frais... Voyons voir... Euh il y a de l'eau, de l'eau et... du lait.

Fouillant dans les placards, il ne trouva rien d'autre que de l'eau et du lait. Bon en même temps c'était un orphelinat mais parfois l'alcool donnait un peu de goût aux gâteaux.
Il servit donc un verre de lait à Amarante.

Il est si mignon ! Quand il dort... Quand il est réveillé aussi mais... Moins quand il me tire les cheveux à vrai dire...
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Personne ne va t'empêcher de sourire !
Elouan.
[Dans la ruelle - Confidence, pour confidence, et si on retournait sur notre nuage ?]

Ça alors ! Elle tenait à lui ? Elle avait fait tout ca pour lui ? Juste pour lui ? Elle avait risqué sa vie pour le retrouver ?
Cette fois le terrible Elouan, la Teigne qui n’avait peur de rien et de personne, le vaurien sans cœur avait juste l’impression de s’être pris une claque, une châtaigne en plein poire et cent fois douloureuse que les poings du borgne qui l’avait cogné tant et tant de fois déjà.
Surpris, le gamin lâcha doucement la main de sa princesse pour la regarder, les yeux ronds comme des billes, s’effondrer contre le mur.

Rodrielle le lui avait dit pourtant, Marine aussi… On tenait à lui, on l’aimait… Un sentiment qu’il ne connaissait pas, ou qu’il ne connaissait plus mais surtout auquel il ne croyait plus du tout. Elle lui avait dit qu’elle avait des parents, et ça avait suffit à lui faire peur, mais la…. Et en plus elle venait de se confier à lui, de lui dire pourquoi et comment elle était arrivé ce jour dans son coin a lui, toute seule et couverte de bleue…

Se sentant tout bête, et surtout coupable de ce qu’il s’était passé et de sa réaction, Elouan s’approcha et se mit a genoux devant sa princesse. Et après quelque instant de silence, il ouvrit la bouche, doucement.


-Oui j’te comprends t’sais…. Moi aussi y m’battait mon père, mais moi j’le méritais.

Nouveau silence de la part du gamin qui d’un coup se perdit dans ses souvenirs. Le moment des confidences étaient venus, il fallait qu’il parle lui aussi, qu’elle comprenne et qu’elle prenne des décisions. Peut être qu’après ça elle partirait d’elle même ? Peut être qu’elle déciderait de ne plus jamais lui parler… Mais tant pis. Il devait parler lui aussi.

-J’suis pas c’lui qu’tu crois t’sais… J’ai fait que’que chose de très grave, que’que chose qu’on pourra jamais m’pardonner… C’pour ça qu’mon père il a préféré m’laisser… M’ptet qu’il aurait du m’tuer ça aurait été mieux…

Non… Il n’y arrivait pas. Non… Ca ne sortait pas. Peut être une autre fois.

-J’veux rester avec toi aussi, mais j’crois qu’notre place c’est a l’orphelinat, avec Rodrielle, t’crois pas ? Elle a plein d’chose à nous apprendre et puis… Et puis là-bas au moins, on risque pas d’nous retrouver et surtout pas d’nous battre. T’es pas d’accord ?

Le gamin passa doucement le dos de sa main sur son front légèrement ruisselant. Il avait chaud, il avait froid, il avait l’impression d’étouffer, il était peut être temps pour lui de rentrer. L’escapade avait assez duré et Rodrielle devait surement s’inquiéter… Surtout si elle avait vu la petite scène de Marine.


-T’viens ? On va r’trouver Rodrielle, pi on va rentrer chez nous. J’sais pas quel heure c’est mais on a sur’ment raté l’gouter.
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Rodrielle
[Derrière le mur, sous le nuage]


Silencieuse, la Tatouée écoutait. Elle écoutait les deux jeunes enfants avoir leur petite dispute, se réconcilier et, enfin, ouvrir leur coeur. La confiance qui régnait entre eux était belle ; naïve, légère... Dans leur monde il n'y avait ni mensonge, ni colère. Le monde de l'enfance à l'état pur... Le monde qu'ils devraient malheureusement quitter un jour, eux aussi. Mais ces confidences allèrent tout droit au coeur de l'italienne ; elle ne savait pas que Marine avait toujours ses parents, et fut inquiète d'un possible retour du père biologique... Non. Elle les empêcherait de prendre cette petite qui était heureuse à présent ! Et Elouan, son petit Elouan... Il semblait cacher, lui, un lourd secret. Lequel ? Un vol ? Un meurtre ? Un passé douloureux qui une fois de plus le rapprochait, non ! Le raccrochait à Rodrielle...

Mais trêve de rêverie. La Tatouée soupira, puis fit mine d'être la plus inquiète possible avant de prendre de l'élan et de courir vers l'endroit où ils étaient postés.

Mio Dio ! Mais où étiez-vous passé ?!

Le premier acte était fait. Se mettant face à eux, accroupie, elle posa une main sur l'épaule de chacun et les regarda d'un air affolé avant de les serrer contre elle.

Ne me refaites jamais ça ! Tous les deux ! Vous m'avez fait l'une de ces peurs encore une fois ! J'espère que vous vous rendez compte de la gravité ? Même toi, Marine ; j'ai cru que tu étais prise de folie !

Elle relâcha lentement son étreinte et les regarda avec un léger sourire avant de se redresser et de leur tendre les mains.

Je ne veux rien savoir. On rentre à la maison maintenant ?

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Marineblanche
[ Dans la ruelle- De retour sur le nuage...! ]

Marine Blanche resta contre le mur, elle posa son regard vers Elouan. Bon peut-être qu'elle n'aurait pas dû lui envoyer ça à la figure mais ça, c'est la peur. La gamine le regarde, elle se doutait déjà que lui aussi, son père...Il y'a des choses qu'entre enfant qu'on peut ressentir, comprendre mais parfois, il faut que les mots sortent et c'est ce qu'il arrive aux deux enfants. Elle ne comprend pas pourquoi il dit qu'il le méritait. Est-ce ce dont on voulait lui faire croire ou alors est-ce la vérité? La gamine sentait qu'il cache un gros secret. Il aurait fais quelque chose de grave? Quoi donc? Elle ne lui pose pas la question car elle sait que ça a du mal à sortir. Un jour, il lui dirait. De lui-même, sans doute. Son père aurait dû le tuer? Il est inutile que Marine Blanche lui dise " Non ! Arrête de dire n'importe quoi !" Parce que ça ne servirait à rien et peut-être que ça énerverait Elouan.

Elle lui sourit.


- T'as raison. Notre place est à l'Orphelinat. Et il faut éviter que l'gros nous retrouve maintenant.

Elle va pour prendre sa main quand soudain, elle voit débouler Rodrielle en courant ! Mouarf ! Ils vont sans doute se faire engueuler, la gamine baisse légèrement la tête avant de se retrouver serrer contre la femme, surprise donc elle se blottit contre elle. Se rendre compte de la gravité...Il y'a qu'à écouter la directrice pour se rendre compte de la gravité, Marine Blanche ne dit rien.

- Vi, on rentre à la maison !

La petite fille tend sa main à Elouan.
--Guillaume.



Guillaume est enfin dans les bras d'Amarante, il lui sourit en tapant dans ses mains. Bon mine de rien, il est très fatigué donc il commence à bailler, sentant les yeux qui se ferment mais il résiste pour regarder un peu Amarante. Elle était là quand il avait ouvert les yeux pour la première fois avec la femme qui l'a amené ici ! Et aussi, il y'avait un homme et une brune...Qui ne bougeait plus ! Même que la femme qui l'a amené à l'Orphelinat s'est jeté sur elle, pour lui faire des trucs qu'il ne comprenait pas. Et d'abord pourquoi on l'amène ici? Trop compliqué les adultes, il touche la médaille Aristolicienne que lui avait mis la femme qui ne bouge plus, c'est drôle au toucher quand même. Il baille une nouvelle fois, il devrait peut-être penser à dormir !

Tout doucement, il laisse le sommeil l'envahir à nouveau avant de s'endormir contre Amarante.
Abigail.
Abigail attendait sur le perron... Personne pour l'accompagner voir les chevaux... Soupir ...

que c'est calme cet orphelinat
pensa t'elle....

Si seulement je savais où se trouvent ces écuries, j'irais bien y voir toute seule moi.

Elle fixait la grille... si seulement elle n'était pas la... si seulement il n'était pas la bas... Elle aurait du le suivre ... tant pis, elle se serait cachée ailleurs...
Elle soupire de nouveau et s’assoit sur les marches du perron... regarde autour d'elle...

quoi faire ... ? partir ? elle se ferait certainement gronder s'il revient la chercher et qu'elle n'est pas la.

Ze m'ennuiiiiiiieeeeeee !!!!

Hésitation, encore....
Hésitation, toujours ...

Elle s'appuie contre les marches.

Si seulement elle trouvait des compagnons de jeux en attendant. Ambre avait l'air de vouloir jouer mais elle reste à l'intérieur avec Amarante et Garett.
Abi, elle n'est pas faite pour rester "enfermée", pas comme ça en tout cas.
Regard autour d'elle, descente dans la cour de l'orphelinat. Elle marche vers la grille, se ravise, s'assoit au milieu de rien et attend...

Prise d'une subite envie de se débrouiller de nouveau seule, elle se dirige vers un batiment ressemblant à des écuries. Des box, alignés les uns à la suite des autres.


Ohhhh qu'ils sont beaux les zhevaux !!!


L'un d'eux parait un peu plus fougueux. Tout ce qu'Abi aime. Elle entre dans le box, ruade du fougueux. Un coup de sabot... l'épaule de l'enfant pour arrêter son mouvement...

Aiiiiiieeeeeee !!!

Elle s'écroule, parvient à glisser hors du box, reste allongée dans le passage... Elle se tortille de douleur mais son épaule la rappelle à l'ordre rapidement.

Aiiiieeeeeee !!!!!! Euzenn !!!!! z'ai mal !!!!

mais Euzen n'est pas la, évidemment. Il aurait été la, elle n'aurait pas été voir les chevaux sans se méfier... Elle va se faire gronder c'est sur. Amarante l'avait prévenu. Les chevaux n'aiment pas qu'on les embête. Elle avait dit aussi qu'elle pourrait se blesser. Elle n'en a fait qu'à sa tête et la voila allongée au milieu des écuries, incapable de se relever....

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--Annaline
Anna Line était secouée dans la voiture. La route était cahoteuse.
La môme de quatorze ans avait des traces de larmes séchées sur les joues.
Ses yeux étaient rouges, les cernes sous ses yeux vert émeraude visibles.
Des flammes dansaient encore devant ses yeux, l'incendie...

Qui avait ravagé l'hôtel particulier familial, tué ses parents.
Elle avait été sortie en vitesse de la bâtisse avec son petit chien au début de l'incendie, pour ses parents, il avait été trop tard.
Le toit de la maison s'était éffondré.

Le coche fit arrêter les chevaux, lui ouvrit la portière, elle se leva, tenant Hidalgo dans ses bras. Le petit chien noir posa sa truffe sur la joue de la fillette.
Descendant avec précautions, elle arriva sur les pavés de la rue. L'Orphelinat se dressait devant elle.

Albert, le cocher, ne parlait presque jamais, il lui fit signe de venir, tenant une mallette où se trouvaient quelques affaires retrouvées dans un coffre qui avait résisté au feu.

[Devant l'Orphelinat]
Il frappa à la grosse porte et la poussa.
Elle était lourde et Anna l'aida à l'ouvrir.
Le plafond était haut et il faisait frais à l'intérieur pour un chaud mois d'été.
Ils se dirigèrent vers ce qui semblait être le bureau de la directrice d'établissement.

Albert frappa trois coups.
Les trois coups du destin.
Passé: incendie, mort, enterrement,...
Présent:arrivée à l'orphelinat
Futur: ré-resplendissance de sa famille quand elle serait à nouveau une noble femme libre.
Trois coups, les trois coups de sa vie...

Ses doigts s'entortillèrent dans sa tresse blonde.
Elle se devait d'être forte.
Elle releva la tête, essuya ses joues, rassemblant le courage qui lui restait pour ne pas fondre en larmes et ne plus jamais s'arrêter de pleurer...
Ambre.
[Cuisine - dehors - et... Re infirmerie !]

Ambre avait écouté la conversation entre Amarante et sa nouvelle copine en se tortillant. Qui c'était ce Euzen ? Un parent à Abigaïl ? Son frère peut être ? Faudra qu'elle lui demande. Lorsque la petite lui demanda de la suivre, la blondinette salua Amarante et Garrett puis couru derrière sa nouvelle amie. Mais elle se stoppa devant la porte.

Atta ! Ze vais serser le sien pour que il zoue avec nous !

Elle n'attendit pas plus et se mit à la recherche du petit terre-neuve (quoique bien grand à présent). Elle le retrouva après de longues minutes, allongé dans une chambre sur un lit. Rodrielle n'allait pas être contente, vu tous les poils que l'animal perdait... Tant pis ! La blondinette appela le chien qui la suivit jusqu'à l'extérieur. Sauf qu'il n'y avait plus d'Abigail ! Mince ! Ambre se dirigea donc jusqu'aux écuries où sa copine souhaitait aller tout à l'heure puis la trouva...

"Aiiiieeeeeee !!!!!! Euzenn !!!!! z'ai mal !!!! "

Mince ! Ambre rejoignit vite Abi et l'attrapa pour l'aider à se relever.

Mais tu as fait quoi en fait ?! Viens vite ! Faut retrouver déza Amarante, elle va te soigner ! Vite vite ! On va !

Retour à la case départ : rentrées dans le domaine, Ambre se mit à crier.

VITE VITE ! ABIGAIL ELLE SAIT FAIT DU MAL !! VITE I FAUT AIDER ELLE !!!!
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