Titca
Dans le long couloir des cellules, Titca remarqua quelques pigeons qui semblaient chercher leurs destinataire, heureusement pour elle aucun ne semblait la reconnaitre ce qui soulagera sans doute son emploi du temps. Pour l'heure elle devrait ouvrir une cellule et s'assurer que tout fonctionnait parfaitement avec les Novices, en général d'ailleurs ils n'avaient pas vraiment besoin de sa présence permanente et savaient prendre leurs responsabilités ce qui était un avantage de taille. Regardant autour d'elle, la soeur repensa aux de la mère d'Ulrich à la croire qu'il n'était pas le genre de garçon calme et bien sage à attendre le mariage pour vouloir gouter aux fruits du désire.
Il ne manquerait plus que son père soit un religieux très strict et cet homme serait le portait cracher de moi à son âge.
Sachant qu'as son âge elle aurait pu faire le pire pour rendre fou son père d'adoption, Titca décida que la cellule entre celle de Monseigneur Bardieu et la sienne serait l'endroit parfait pour recevoir Ulrich pendant son séjour. Ainsi pas de femme, pas de bruit et peut-être même un peu de calme, il était toujours bon de rêver. C'est ainsi que Titca déposa des draps propres sur le lit, changea les fleurs faner et ouvrit la fenêtre pour laisser l'air frais s'engouffrer dans la pièce. Une fois chose faite, elle eu le plaisir de voir arrivée le fameux moine muet avec la réponse de son ami, après avoir parcouru quelques lignes elle ouvrit la bouche et fut choqué de cette découverte bien curieuse.
Merci mon frère de votre rapidité... Dites lui que je passerais le voir ce soir si j'ai le temps... et pas un mot ! De sa part... du moins.
Comme tout semblait en ordre, elle tira une chaise et admira la cellule, un lit pas confortable du tout, deux chaises et une table, un livre de prière, quelques parchemins de l'encre et une bougie. Par la fenêtre elle pouvait voir la neige et les vaches dans le champ, autant le dire la vie dans une abbaye était très loin de celle de château ! Mais elle s'y était faite, comme tout d'ailleurs, au départ en colère elle avait appris l'amitié Aristotélicienne et savait maintenant qu'une main était toujours tendue aux personnes qui en avaient besoin ! Le parchemin dans sa poche semblait être plus lourd qu'elle ne l'aurait voulu et elle ne savait pas comment réagir, ce n'était pas vraiment dans son caractère d'enquêter ainsi sur les gens, alors elle ne dira rien et attendra de le savoir autrement. Les minutes passèrent et la jeune soeur était toujours la les yeux poser sur les vaches, l'esprit ailleurs.
Il ne manquerait plus que son père soit un religieux très strict et cet homme serait le portait cracher de moi à son âge.
Sachant qu'as son âge elle aurait pu faire le pire pour rendre fou son père d'adoption, Titca décida que la cellule entre celle de Monseigneur Bardieu et la sienne serait l'endroit parfait pour recevoir Ulrich pendant son séjour. Ainsi pas de femme, pas de bruit et peut-être même un peu de calme, il était toujours bon de rêver. C'est ainsi que Titca déposa des draps propres sur le lit, changea les fleurs faner et ouvrit la fenêtre pour laisser l'air frais s'engouffrer dans la pièce. Une fois chose faite, elle eu le plaisir de voir arrivée le fameux moine muet avec la réponse de son ami, après avoir parcouru quelques lignes elle ouvrit la bouche et fut choqué de cette découverte bien curieuse.
Merci mon frère de votre rapidité... Dites lui que je passerais le voir ce soir si j'ai le temps... et pas un mot ! De sa part... du moins.
Comme tout semblait en ordre, elle tira une chaise et admira la cellule, un lit pas confortable du tout, deux chaises et une table, un livre de prière, quelques parchemins de l'encre et une bougie. Par la fenêtre elle pouvait voir la neige et les vaches dans le champ, autant le dire la vie dans une abbaye était très loin de celle de château ! Mais elle s'y était faite, comme tout d'ailleurs, au départ en colère elle avait appris l'amitié Aristotélicienne et savait maintenant qu'une main était toujours tendue aux personnes qui en avaient besoin ! Le parchemin dans sa poche semblait être plus lourd qu'elle ne l'aurait voulu et elle ne savait pas comment réagir, ce n'était pas vraiment dans son caractère d'enquêter ainsi sur les gens, alors elle ne dira rien et attendra de le savoir autrement. Les minutes passèrent et la jeune soeur était toujours la les yeux poser sur les vaches, l'esprit ailleurs.