Ulrich
[le soir précédant la nuit suivante]
Mhhh... C'était agréable de se jeter sur son lit, même si c'était seul... Le bâtard se déshabilla, et balança ses vêtements à travers la cellule, il n'avait toujours pas intégré que personne ne les lui ramasserait et les plierait pour lui... A moins qu'il n'espère un miracle?
Il se glissa dans ses draps blancs... Ça, il y faisait attention, il en avait un bon stock, piqués dans des cellules abandonnées de novices... Ça évitait la frustration de l'attente du changement mensuel...
Il ferma les yeux, et ne tarda pas à s'endormir...
C'était agréable, la doyenne avait tout prévu, et même des sorbets qu'elle était parvenue à conserver Ulrich ne savait comment...
Ils avaient chevauché toute l'après-midi, lui chevauchant avec une grâce incroyable, avait mis en déroute une vingtaine de brigands hyper baraqués, sans une égratignure, à mains nues, contre leurs arbalètes, et fléaux d'armes...
Décor bucolique, Ulrich aurait pu chevaucher encore toute la soirée...
Hou la la, mais quel homme, quel courage! La doyenne de l'université des dragons était impressionnée par l'imposante musculature du fier cavalier... Quel charme en plus! Et quelle conversation! Elle avait compris qu'elle devait s'offrir à lui, ce don du ciel...
J'ai si chaud, Maître! Et je suis fatiguée de chevaucher, je n'ai pas votre talent dans ce domaine!
Pourrions-nous nous nous allonger quelques heures sous ce poirier?
A vostre convenance, Damoiselle!
Le gentleman la descendit de cheval, comme si ç'avait été une plume, et l'allongea sur l'herbe...
Puis il éteignit son auréole, la sainteté, c'est bien, mais pas la peine que tout le monde sache non plus...
Il se laissa mordiller les lèvres par Elisabeth...
Vous savez que...
Ho oui, jamais je ne vous embêterai avec des engagements stupides qui vous contraindraient, je n'oserai priver d'autres de l'honneur que vous daigneriez leur faire... Ce ne sera qu'une fois, et après, je n'essaierai pas de vous recontacter!
Il la laissa porter sa bouche à ses braies, visiblement, elle essayait de les ôter de cette manière, mhhh... amusant... Cela le faisait transpirer, il sentait la sueur qui collait ses jambes à ses braies... beaucoup de sueur, c'était l'inondation...
Inondation? Mhh... pas normal ça...
[deux heures du matin]
Le bâtard se réveilla en sursaut, le souffle coupé... Il porta sa main à ses draps...
Norf de norf!
Vite, il tira ses draps vers lui, vieille habitude, il avait compris qu'il était retombé en enfance, et qu'il fallait agir vite avant que maman ne découvre le "pot aux roses"...
Il les roula donc en boule, et se leva précipitamment.
Bing, le pied renverse le bol d'eau...
B**del, c'est quoi ça?
Probablement sa flasque d'armagnac, qu'il avait dû picoler hier soir?
Bon, pas de temps à perdre, direction le couloir, avec son paquetage...
Mhhh... C'était agréable de se jeter sur son lit, même si c'était seul... Le bâtard se déshabilla, et balança ses vêtements à travers la cellule, il n'avait toujours pas intégré que personne ne les lui ramasserait et les plierait pour lui... A moins qu'il n'espère un miracle?
Il se glissa dans ses draps blancs... Ça, il y faisait attention, il en avait un bon stock, piqués dans des cellules abandonnées de novices... Ça évitait la frustration de l'attente du changement mensuel...
Il ferma les yeux, et ne tarda pas à s'endormir...
C'était agréable, la doyenne avait tout prévu, et même des sorbets qu'elle était parvenue à conserver Ulrich ne savait comment...
Ils avaient chevauché toute l'après-midi, lui chevauchant avec une grâce incroyable, avait mis en déroute une vingtaine de brigands hyper baraqués, sans une égratignure, à mains nues, contre leurs arbalètes, et fléaux d'armes...
Décor bucolique, Ulrich aurait pu chevaucher encore toute la soirée...
Hou la la, mais quel homme, quel courage! La doyenne de l'université des dragons était impressionnée par l'imposante musculature du fier cavalier... Quel charme en plus! Et quelle conversation! Elle avait compris qu'elle devait s'offrir à lui, ce don du ciel...
J'ai si chaud, Maître! Et je suis fatiguée de chevaucher, je n'ai pas votre talent dans ce domaine!
Pourrions-nous nous nous allonger quelques heures sous ce poirier?
A vostre convenance, Damoiselle!
Le gentleman la descendit de cheval, comme si ç'avait été une plume, et l'allongea sur l'herbe...
Puis il éteignit son auréole, la sainteté, c'est bien, mais pas la peine que tout le monde sache non plus...
Il se laissa mordiller les lèvres par Elisabeth...
Vous savez que...
Ho oui, jamais je ne vous embêterai avec des engagements stupides qui vous contraindraient, je n'oserai priver d'autres de l'honneur que vous daigneriez leur faire... Ce ne sera qu'une fois, et après, je n'essaierai pas de vous recontacter!
Il la laissa porter sa bouche à ses braies, visiblement, elle essayait de les ôter de cette manière, mhhh... amusant... Cela le faisait transpirer, il sentait la sueur qui collait ses jambes à ses braies... beaucoup de sueur, c'était l'inondation...
Inondation? Mhh... pas normal ça...
[deux heures du matin]
Le bâtard se réveilla en sursaut, le souffle coupé... Il porta sa main à ses draps...
Norf de norf!
Vite, il tira ses draps vers lui, vieille habitude, il avait compris qu'il était retombé en enfance, et qu'il fallait agir vite avant que maman ne découvre le "pot aux roses"...
Il les roula donc en boule, et se leva précipitamment.
Bing, le pied renverse le bol d'eau...
B**del, c'est quoi ça?
Probablement sa flasque d'armagnac, qu'il avait dû picoler hier soir?
Bon, pas de temps à perdre, direction le couloir, avec son paquetage...