Labaronne
Après avoir été agressée, au détour d'un coude. Après avoir ordonné à l'agresseur d'arrêter tout de suite de faire l'andouille de cette manière, Lab poursuivait sa route tranquillement.
Non mais ces gens ne savaient donc pas vivre ? On se jetait sur elle, comme ça, pour lui piquer sa menue monnaie. Jamais un hydre ne se laisserait piquer la moindre piécette. Lab avait joué de la pelle, et réussi à toucher son adversaire qui s'enfuit comme ... elle l'avait fait peu de temps avant. Mais cela l'avait ragaillardie. Elle partie donc à toute vitesse à la recherche d'un nouvel adversaire ; un pas trop fort, car elle ne pourrait lutter longtemps à cause de sa blessure, et pas trop faible parce que c'était pas marrant.
Elle trouva son homme, enfin son homme non, mais son homme ... enfin elle se comprit. En un rien de temps elle jaillie et envoya un grand coup de pelle à sa victime :
Savez vous ... raaaaaah ! .... planter des chouuuuux ! .... raaaaaaaah ! .... à la pelleuh ... raaaaaah ! ...raaaah la pelleuuuuuuh ! ....
Elle chantait pour rythmer ses mouvements. Et oui ! elle avait été enfant d'choeur dans son jeune temps, elle livrait le vin à l'antrapouic à Uzès, c'est là qu'elle avait appris le chant. Elle connaissait tous les saints ! Saint Maclou, Saint Indalmatien, Saint Glinglin ... Mais revenons z'à nos gnons ...
On les .... raaaaaah ! plante.... raaaaaaah .... entre les dents ..... raaaaah !
Bon ! z'avez pas fini de bouger oui ? Comment voulez vous que j'm'en sorte si vous vous agitez ainsi ?
C'est à ce moment que le fourbe, lui envoya un coup de pied dans les tibias.
Raaaaaah manant !!!! gna fait maaaaaaleuh !!!
Le manant en question en avait profité pour dégainer son épée, et menaçait Lab, qui dégaina son pouce.
Stop ! temps mort !!
Elle regarda son peut être assassin. Elle posa alors sa main sur sa bourse, et décida qu'il n'était pas l'heure de mourir. Elle décida alors de sortir le grand jeu. Elle se redressa, toisa l'homme.
Z'êtes un homme mort si jamais vous osez me toucher de votre épée, ou de toute autre partie de je ne sais où.
Vous êtes encerclé.
L'homme se retourna alors. Et Lab, comme elle en avait l'habitude depuis le début du tournoi, pris ses jambes à son cou.
C'est là qu'elle trouva Fernand. Enfin, c'est là qu'elle percuta Demerzel et Mahaud qui tabassaient de bon coeur un Fernand inanimé.
Ah ben ça y est !! vous l'avez trouvé !!!
Elle vit qu'il avait adopté de magnifiques bracelets. Un homme délicat ce Fernand, toujours à la pointe de la mode.
Y s'rait pas un peu boulet sur les bords Fernand ?
Non mais ces gens ne savaient donc pas vivre ? On se jetait sur elle, comme ça, pour lui piquer sa menue monnaie. Jamais un hydre ne se laisserait piquer la moindre piécette. Lab avait joué de la pelle, et réussi à toucher son adversaire qui s'enfuit comme ... elle l'avait fait peu de temps avant. Mais cela l'avait ragaillardie. Elle partie donc à toute vitesse à la recherche d'un nouvel adversaire ; un pas trop fort, car elle ne pourrait lutter longtemps à cause de sa blessure, et pas trop faible parce que c'était pas marrant.
Elle trouva son homme, enfin son homme non, mais son homme ... enfin elle se comprit. En un rien de temps elle jaillie et envoya un grand coup de pelle à sa victime :
Savez vous ... raaaaaah ! .... planter des chouuuuux ! .... raaaaaaaah ! .... à la pelleuh ... raaaaaah ! ...raaaah la pelleuuuuuuh ! ....
Elle chantait pour rythmer ses mouvements. Et oui ! elle avait été enfant d'choeur dans son jeune temps, elle livrait le vin à l'antrapouic à Uzès, c'est là qu'elle avait appris le chant. Elle connaissait tous les saints ! Saint Maclou, Saint Indalmatien, Saint Glinglin ... Mais revenons z'à nos gnons ...
On les .... raaaaaah ! plante.... raaaaaaah .... entre les dents ..... raaaaah !
Bon ! z'avez pas fini de bouger oui ? Comment voulez vous que j'm'en sorte si vous vous agitez ainsi ?
C'est à ce moment que le fourbe, lui envoya un coup de pied dans les tibias.
Raaaaaah manant !!!! gna fait maaaaaaleuh !!!
Le manant en question en avait profité pour dégainer son épée, et menaçait Lab, qui dégaina son pouce.
Stop ! temps mort !!
Elle regarda son peut être assassin. Elle posa alors sa main sur sa bourse, et décida qu'il n'était pas l'heure de mourir. Elle décida alors de sortir le grand jeu. Elle se redressa, toisa l'homme.
Z'êtes un homme mort si jamais vous osez me toucher de votre épée, ou de toute autre partie de je ne sais où.
Vous êtes encerclé.
L'homme se retourna alors. Et Lab, comme elle en avait l'habitude depuis le début du tournoi, pris ses jambes à son cou.
C'est là qu'elle trouva Fernand. Enfin, c'est là qu'elle percuta Demerzel et Mahaud qui tabassaient de bon coeur un Fernand inanimé.
Ah ben ça y est !! vous l'avez trouvé !!!
Elle vit qu'il avait adopté de magnifiques bracelets. Un homme délicat ce Fernand, toujours à la pointe de la mode.
Y s'rait pas un peu boulet sur les bords Fernand ?