Gwennie
Millau, lattente.
Hormones
Gwen ronchonnait encore plus que de raison, ronchonnements qui allaient crescendo, ronchonnements qui semblait-il faisait trop de bruits au campement. Certes. Au moins ronchonnait-elle à haute voix.
A cause des hormones Ouh tudieu Ben bien sur que cétait les hormones faible femme quelle était. Une évidence Elle allait leur en foutre des hormones !!!!!
PAN dans la gueule de lépouvantail de fortune quelle attaquait avec Percecouille comme une enragée.
Personne navait semble t il fréquenté de bretonne pur jus. Personne donc pour comprendre que son humeur assombrie navait quune seule et même cause. La dépendance. Une sorte de dépendance allait plusieurs en même temps ça dérapait donc. Plus que de raison et rien à voir avec les hormones. Encore que
PAN, deux coups dans les flancs avec un cri de guerre ridicule dans les aigus. On fait ce quon peut
Juste que chez la Kermaëdic ainée, y avait un gène de niqué à la base. Point. Et fallait quelle fasse avec, ce quelle ny arrivait plus.
Dépendance. Elle tapait et retapait violemment contre le machin qui ne ressemblait déjà plus à rien, déchiqueté sous la rage qui lanime.
Dépendre pour sa bouffe, dépendre de discussions qui ne la regardaient pas, dépendre du temps quil fera DEPENDRE , dépendre, dépendre , dépendre . non dune pipe en bois elle détestait ça. Elle ne supportait pas ça.
Rajoutez à ça le printemps qui lui joue des tours de cochon . Saleté de printemps
PAN à deux mains, élan en prime.
Fin de lentrainement à lépée. Le machin est à terre, elle le bourra de coups de pieds rageurs.
Enfoiré !!
Elle resta un moment lépée pendante le long de son corps haletant.Celle là elle ne lattendait pas. Perplexe. Phase deux de lentraînement. Elle glissa lépée dans son fourreau, attacha son barda sur son dos. Et partit courir le long du lac, jusquà ce quépuisement sen suive.
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Hormones
Gwen ronchonnait encore plus que de raison, ronchonnements qui allaient crescendo, ronchonnements qui semblait-il faisait trop de bruits au campement. Certes. Au moins ronchonnait-elle à haute voix.
A cause des hormones Ouh tudieu Ben bien sur que cétait les hormones faible femme quelle était. Une évidence Elle allait leur en foutre des hormones !!!!!
PAN dans la gueule de lépouvantail de fortune quelle attaquait avec Percecouille comme une enragée.
Personne navait semble t il fréquenté de bretonne pur jus. Personne donc pour comprendre que son humeur assombrie navait quune seule et même cause. La dépendance. Une sorte de dépendance allait plusieurs en même temps ça dérapait donc. Plus que de raison et rien à voir avec les hormones. Encore que
PAN, deux coups dans les flancs avec un cri de guerre ridicule dans les aigus. On fait ce quon peut
Juste que chez la Kermaëdic ainée, y avait un gène de niqué à la base. Point. Et fallait quelle fasse avec, ce quelle ny arrivait plus.
Dépendance. Elle tapait et retapait violemment contre le machin qui ne ressemblait déjà plus à rien, déchiqueté sous la rage qui lanime.
Dépendre pour sa bouffe, dépendre de discussions qui ne la regardaient pas, dépendre du temps quil fera DEPENDRE , dépendre, dépendre , dépendre . non dune pipe en bois elle détestait ça. Elle ne supportait pas ça.
Rajoutez à ça le printemps qui lui joue des tours de cochon . Saleté de printemps
PAN à deux mains, élan en prime.
Fin de lentrainement à lépée. Le machin est à terre, elle le bourra de coups de pieds rageurs.
Enfoiré !!
Elle resta un moment lépée pendante le long de son corps haletant.Celle là elle ne lattendait pas. Perplexe. Phase deux de lentraînement. Elle glissa lépée dans son fourreau, attacha son barda sur son dos. Et partit courir le long du lac, jusquà ce quépuisement sen suive.
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