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[RP] Bordel' Hydre acte II: l'Attente.

Garance
Enfin…

De la poussière, du sang séché, pas un quidam rencontre et les dernières lieues vers Millau. Le paquet pris sur le nœud était bien agité et Garance se dit que le séjour dans les geoles du Languedoc avait du atteindre quelque peu son esprit.

Fallait se la coltiner la Sofio et son arrogance, elle lui aurait bien fichu un coup d’épée dans les gencives, tiens. Elle avait promis de la ramener saine et sauve, elle le ferait.

Personne n’est l’écuyer ou écuyère de personne à l’Hydre. Va falloir que je fasse un peu ton éducation tu sais ?

Caracolant à côté d’elle, elle rigola en pensant au comité d’accueil.

Ecoute, viens à notre campement. On te trouvera une roulotte et LaFouine te fera un repas tout de qu’il y a de plus fortifiant. Lapin « longue queue » en terrine, tu devrais aimer. Ah ! Et , Tu verras.. Bouba peut se révéler très affectueux avec les étrangers au campement.

La dernière réplique de la guerrière, parce que c'en était une. Une "vraie" la fit éclater de rire. Elle en avait bien besoin. Elle ne savait toujours pas qui était blessé.

Hum.. Le Blondinet va nous voir arriver de loin. Il est toujours perché sur une colline lui avec une main glissée sous son pourpoint . Rien ne lui échappe. Et les autres ?

Son énergie revenait au triple galop..

Attends un peu.. Oui reste derrière moi..

Avisant les premiers soldats , elle prit l’air le plus terrifiant qu’elle pouvait avoir :

BOUUUUUUUUHHHHHHHOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU !

Claquant des talons sur les flancs de Orion

Au moins, ils sauront pourquoi ils ont peur non? ca va les faire décamper tu crois?
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Pas de réponse HRP à du RP. "Rôlistes restez. On viendra à bout du "clic"! (Breiz24)
Gwennie
Les ordres etaient tombés vers minuit…Elle était montée en grade dernièrement…Youhou…Sans coucher en plus…Enooorme !!!!! Rien de bien excitant…Logisticienne ou comment rester glander en attendant que ça passe…Inventaire du stock, inventaire des soldats et patati et patata…Le ravitaillement inexistant. Jusque là.

Outch…De quoi qu’est ce ????A manger pour…. et demain à la première heure ????Vous avez vu que le soleil est couché depuis un moment ????Non ???? Je …Non …Ben non…Evidemment que ce serait fait…Vous pensez bien…

Quelques temps plus tard, la voilà devant de gros tas de maïs.

Ahem…C’est à dire que…Vu le moral des troupes, si en plus je leur balance des épis de maïs dans la tronche…ça va être vite ma fête…En même temps…ce soir c’est mon soir !!!!!!!!!!!!Pas envie de dormir de toute façon…



Elle esquissa un sourire joyeux, souvenirs d’un temps où elle était tavernière. Puis s’en alla farfouiller dans la cambuse.

Elle revint victorieuse, les bras chargés de denrées diverses et d’épices odorantes. Elle s’attela à émincer des oignons en veux tu en voilà et les balança dans une grosse marmite où elle avait mis le beurre à fondre. Elle découpa ensuite des dés d’un saucisson parfumé que la frontière espagnole avait rendu accessible aux réseaux de Lafouine. Ni une ni deux, les dés de chorizo s’en furent côtoyer les oignons qui doraient doucement.

Musique joyeuse alors qu’elle les mélangeait en fredonnant. Une volute de vapeur d’eau l’entoura alors qu’elle versait de l’eau sur le mélange, elle s’en fut alors dégager les graines de maïs de leurs épis.

Dehors les gars !!! Freedom !!!


Et zou à la baille, les minuscules carrés dorés… Elle y rajouta deux ou trois carottes émincées et un poireau rabougri en rondelle. Puis resta un moment contemplative devant le bouillonnement de la soupe, l’air soudain un peu perdu. Elle assaisonnerait plus tard.

L’en restait mais en sacs…Pas beaucoup mais ce serait dommage de gâcher. Elle joua avec les grains de maïs un moment, comme avec un sable grossier, fatiguée mais cherchant l’inspiration culinaire. Sifflotant l’hymne de DTC , section Hydrique.

Sweet and spicey…

Spicey ??? Sweet ????

Diantre…

Elle fila renifler les pots d’épices qui s’empilaient ça et là. Y avait des trésors à l’Hydre…Bien cachés mais tout de même…

Hmmmmmmmmmmm….

Soudain à nouveau bien éveillée, tous ses sens à la fois reposés et aiguisés

Canelle, muscade…Hop un peu de piment, clou de girofle mais un seul…Et…OUI !!!! LAfouine vous êtes un génie !!!!!!! Gingembre…en poudre, mieux que rien. Et du miel.

Elle s’activa alors faisant ploper en riant les graines de maïs à la chaleur d’une autre marmite , dans laquelle le beurre grésillait Des gros boulets blancs boursouflés qu’elle enroba d épices et de miel. Avant d’en mettre une grosse poignée dans la bouche…


Huhu…chaud !!!


Le soleil se levait déjà. Nuit solitaire encore, aux fourneaux, étonnée du plaisir retrouvé à faire simplement la popote. Elle s’étira. Un tour dans le lac, histoire de se réveiller et elle irait faire le tour des campements associés pour distribuer la soupe et sa drôle de lichouserie de maïs.
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Charlyelle
[de fil en aiguille à une dague au fer rouge]

Le fil glisse dans la peau du sapineux. Un coup à droite, un coup à gauche.
Charlye fait ce qu’elle peut pour rapprocher la chair de la nuque. Elle grimace. Elle sait qu’elle n’y arrivera pas. Elle coupe le fil pour passer à la cuisse.
Une envie de sourire mais la force n’est plus là. Cette fois c’est plus simple.
Le fil passe de part et d’autre...Les points sont suffisamment serrés pour empêcher le sang de passer. La blessure est refermée.

Faire au plus vite.

Défaire le nœud de la corde pour retourner un Dran qui ne bronche pas.
A croire que l’alcool finalement a été plus utile qu’elle ne le pensait.
S’attaquer à la blessure de l’épaule.
Tic tac...Tic tac....accélère Charlye, ça urge.
Jeter un œil à la nuque. Fermer un instant les yeux et se mordre les lèvres jusqu'au sang.....

Tu sais ce qu’il te reste à faire.

Non...

Un « non » murmuré alors qu’elle termine de recoudre l’épaule.
Elle replace le sapineux sur le dos. Fixe son visage endormi et passe une main tremblante sur sa joue.

J’ai pas le choix...

Elle se dirige vers la cheminée pour l’allumer. Une fois les premières flammes crépitantes,Charlye revient vers le lit, refait le nœud de la corde, et enlève les fils de la nuque.
Le sang y coule encore...les fils ne servent à rien. Elle nettoie à nouveau le sang autour à l’eau claire.

Il ne reste qu’une chose à faire. Sauf qu’elle a jamais fait ça. Ni même jamais vu en fait.
Juste...qu’elle sait qu’il n’y a que ça à faire quand les fils refusent de refermer les plaies....et qu'elle irait jusqu'au plus profond des enfers pour le sauver. Elle sort sa dague et s’approche du feu. Voit la lame rougir au contact de la flamme. La fixer et penser à haute voix.

Faut vraiment que je sois tarée...c’est la dernière fois...la dernière fois que je soigne...

Lentement elle recule sa main du feu, se tourne vers le lit et s’en approche. Comme hypnotisée, elle regarde Dran se battre pour ne pas sombrer.
Et elle, elle va faire quoi ? L’achever ?
Ouai...et après faudra que je passe l'restant de mes jours avec ça sur la conscience...si j'fais rien il est foutu...Si j'me rate il est foutu aussi....Et si j'réussis c'est moi qui suis foutue parce qu'il va me tuer pour l'avoir torturé dans un moment pareil...Elle s’accroupit sur le lit, prêt de lui.
Rapproche les bords de la blessure et souffle un bon coup...

Pardonne-moi Dran...

Une larme coule le long de sa joue, alors qu’elle plaque la lame rougie contre la nuque du sapineux...

La lame incandescente qui reste quelques secondes sur la nuque de Dran,suffisamment pour lui arracher un hurlement de douleur.
Le genre de cri qu’on oublie pas de si tôt. Le genre à vous glacer le sang. Accroupie près de lui Charlye s’est redressé, elle l’observe, le souffle court.
L’odeur de chair brûlée a envahie la pièce, alors que les yeux de Dran s’ouvrent enfin.

Mon Dran...

Un nom murmuré, un léger sourire sur le visage de l'écossaise. Elle a réussi, pour le moment en tout cas. Elle se penche vers lui et murmure.

Repose toi pour l'instant...bientôt tu pourras te venger sur moi et me dire à quel point je t'ai fait souffrir, mais il faut te reposer pour le moment...

Elle se redresse péniblement, soulagée de le voir revenir doucement.
La couverture est tirée sur lui et elle pose ses lèvres sur son front brûlant.

Elle essuie la lame de sa dague en espérant que la prochaine fois elle serve à transpercer plutôt qu’à soigner... ou à d'autres jeux qui sait...

Pose le gris de son regard sur lui.


Comment faire autrement...tant de temps...tant de temps à se battre pour être libre, contre ceux qui veulent tout contrôler sans prendre en compte l’avis de ceux qui les font vivre...tant de temps que les faucheuses agissent dans l’ombre, sans avertissement...il est temps qu'elle fasse ce qu'elle à a faire.

Elle laisse couler les larmes sur ses joues. La colère, l’envie de vengeance...
Tout est tellement encore présent alors qu'elle a vu arriver Dran, grièvement blessé.
Le remord qui vous ronge et la culpabilité qui ralentit les battements du cœur... Doucement elle va se renfermer, se blinder contre l’extérieur.
Drôle d’impression qui traverse le cœur...Comme si elle avait enfin retrouvé ce pour quoi elle se battait. Jusqu’au bout quoi qu’il arrive.
Le collectif avant soi.

Une silhouette qui se profile à l'entrée de la roulotte.

Garance, j'arrive...

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Ecossaise en mon coeur à jamais...âme qui vient de se trouver...
Sisley
La nuit est tombée depuis un bon moment déjà, l'atmosphère se fait lourde, il n'y a pas de vent, pas d'étoiles, pas de lune. Rien. Juste une nuit noire, noire et profonde, abyssale même.
Belle nuit pour aller se battre, songe-t-elle, pour foutre une bonne raclée à... Elle secoue la tête. Son désir de vengeance se fait plus grand d'heure en heure, à mesure qu'elle entend Dran hurler de douleur non loin de là et qu'elle voit les blessures de ses compagnons. Poings serrés, elle tente de ne pas céder à la colère. Pas tout de suite, respire, garde donc tes forces pour le moment venu.
Perchée sur le toit de sa roulotte, elle observe le campement s'affairer, presque sans un bruit.
Un large sourire apparaît alors sur son visage, Ils sont sa motivation, ce pourquoi elle se battrait et ce, jusqu'au bout... Peu importe l'issue du combat.

Un nouveau hurlement déchire le silence.
Sursaut, haut le coeur et ventre qui se noue. Tous semblent avoir eu la même réaction.
Elle fourre son poing dans sa bouche pour ne pas crier à son tour, laissant quelques larmes rouler le long de son visage qui semble se durcir à mesure que la colère monte.
Ça ne peut plus durer. Bâton en main, elle se relève d'un air convaincu.
Un saut. Elle se retrouve sur la terre ferme, le visage fermé, dénué de toute expression.

Un bref regard autour d'elle, pas besoin d'aller chercher plus loin : il est Temps.
L'excitation fait alors place à la colère, son coeur bat de plus en plus vite et ses yeux brillent d'une étrange lueur.
Un sourire diabolique aux lèvres, elle regarde les autres et lance à la première personne à portée de voix :


C'est parti ?
Bowie
(J'attend que la dame en dessous retire le siens pour effacer le miens)
Charlyelle
Nuit rouge sang s’était déroulée à quelques lieux d’ici sans que personne n’y prête attention.
La charrette arriva en fin de matinée devant Le Campement.Une chance qu’ils ne l’aient pas fait brûler cette fois.
A l’avant, Charlye, le regard dans le vide guide les chevaux dans un automatisme parfait. Ceux qu’elle croise, s’ils tournent la tête dans sa direction, croiront voir un mort vivant,
Et pour cause...
A l’arrière, ses amis, sa famille, blessés, meurtris...
Les blessures ont été pansées rapidement pour éviter tous saignement,
Mais certains n’ont toujours pas repris connaissance.
Ne pas oser regarder, ne pas oser vérifier si tout le monde respire,
Avancer ,les mettre à l’abri et les soigner. Un médecin, cette fois il faudrait un vrai médecin. C'est une première pour l'écossaise, la p'tiote vient de faire son baptême et quel baptême!!!! pas une égratignure, rien et toutes ses armes sont là. L'archère n'a pas lésiné sur les jets non plus, faut dire que de ce côté là elle a de la pratique.

Un regard de biais tout de même.
Avachis contre le sol même de la charrette… Ils sont blessés, voir morts… L’odeur du sang emplit ses narines et pas que le sien… Le visage est compressé contre le bois dur de l’ambulance de fortune… … Les plaies sont à peines recouvertes de tissus qui sont rapidement poisseux de sang… Ils sont tous pour la plupart dans un piteux état…Et de s'inquiéter pour son sapineux; qui git au campement...Elle est pressée d'arriver et de le voir... Terres brûmeuses, des sols les nuages d'humidité glissent et nimbent l'horizon d'une pâle et épaisse couverture glaciale..
Mine de rien, elle était un brin sensible. Ne l'aura que peu montré, le plus souvent caché afin que jamais sa tour ne puisse être trop affaiblie.
Lucidité à la dérive...
Elle aurait dû s'endurcir, monter des murs de pierre autour d'son temple et avec écraser tous ces nuisibles qui lui cavalent sous les tifs.
Ce monde qui est là, n'est plus le sien, elle le sait.
Et si le temps s'arrêtait là, maint'nant ?
Et si ce même temps cessait de faire que des mains inconnues martèlent des tambours à lui faire péter l'chev'lu ?
Ce rythme, c'boucan perpétuel, qui n'cessait de lui sucer son énergie et qui ne s'arrêtera jamais plus.
Nuit de lune descend donc, vient à moi que je te prenne à la gorge, et fasse que cela cesse,...
L'écossaise n'avait rien lâchée. Les faucheuses...encore et toujours... armes des faibles incapables d'affronter un combat loyal, face à face, préférant assassiner tous ceux qui croisent leur route, voyageurs naïfs, pélerins tête en l'air ou citoyens au verbe trop haut, sans distinction, sans réflexion ... des abrutis de la pire espèce qui renvoyaient la civilisation dans les ténèbres des débuts de l'humanité et s'enorgueillissaient d'un honneur de combattants auquel ils ne comprenaient rien. Elle a vu tomber sa mère poule...elle la suivait ...de loin... Et d'autres aussi..ceux de devant quoi ...Etrangement calme l'écossaise pour son baptême du feu...Mauvais signe ça...très mauvais ...

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Ecossaise en mon coeur à jamais...âme qui vient de se trouver...
Sofio
Ou qu'elle est.....

Un petit poisson frétillant, sorti du lac, elle a même failli avoir pitié, il semblait la regarder avec ses gros yeux tout vitreux, il semblait tenir a la vie tant il s'est débattu, hésitante de le relâcher dans l'eau, le tenant entre ses mains, détentrice de la vie la mort....

Mort! un bon coup sur la tête ca calme que les poissons de nos jours, il suffira pour ce jour, même plus de pêche miraculeuse, même cela disparaît, puis toute façon un jour aura plus de poissons dans les lacs seront tous avec un numéro dans le dos, emballés dans des godets, en petite poudre oui aussi...

Ramer jusqu'à la berge fortifie les muscles, surtout quand on a voulu faire la maligne et aller si loin, car fut un temps on le pouvait, le plus loin du lac, la ou l'eau devient noire, c'est la soi disant que tu peut attraper le plus de poisson, ben même ca,même pas vrai, et pourtant de l'expérience de la pêche elle en manque pas, mais les muscles ont fondu, sous le soleil languedocien.

Alors il faut bien essayer de se remplumer, un petit tour au bois, armée de la hache toute neuve sorti tout droit de sa besace cadenassée, et de cogner, cogner contre le petit arbre, parce que cette fois elle a choisit l'arbre vert clair consciente de sa force amoindrie, quelques coups et cela devrait suffire... et paf.....


P'tin de hache

Peut être qu'elle était d'occasion mais personne, lui a jamais rien dit non plus, quand elle a acheté, elle avait pas encore sorti de son emballage, tout se perd, l'es temps de rentrer au campement, avant qu'un douanier zélé lui demande son nom.

Passage devant la mairie, la porte est placardée de parchemins, elle s'approche et lit.


Han!!!a les sent bon devants


pleins de noms affichés,et devant tous les premiers a marqué parfumés, les autres ca descend jusqu'au pied de la porte,elle plains le dernier de la liste, car si cela va dans le sens de l'odeur.

Alors elle file en gargotte, s'acquérir des dernières nouvelles et potins tous frais, se colle devant la dernière affiche posée, frontière fermée, ben au moins les chiens du Languedoc essayeront pas de passer avec ca bien..bien.. se marre d'un coup quitter le Rouergue aux étrangers, sur, tiens ils vont transporter les mourants et blessés sur leurs dos, ben suffira de les cacher, personne le saura jamais,qu'ils sont la, lances et groupes armes interdites, conneries tout ca.

Retour au campement, sur la route, un gros joufflu, bedonnant, évidemment fallait pas compter se balader sans y avoir droit


Stop quel est ton nom, ton village, combien a tu d' écus, ton niveau de vie et d'où viens tu


Il a pas l'air commode, comme tous ceux qui sont enclavés dans son métier on ne rigole pas tous les jours, va falloir lui déballer sa vie, encore lui raconter encore et encore.

Je suis sans famille
Et je m'appelle Sofio
Et je me balade dans la vie

Je suis sans famille
Et je m'appelle Sofio
Et je me balade
Avec tous mes amis
Ma famille à moi c'est celle que j'ai choisie
Car on a besoin d'affection dans la vie

Venez avec nous
Dans nos aventures
Plus on est de fous
Et moins la vie est dure
Dans les grandes villes ou les petits villages
Devant nous défilent de jolis paysages


Vu la tête qu'il tire, va falloir aussi déballer le reste avant qu'il ne se mette a hurler.


ok sofio de saint pierre de Feric, dame du Mercurol, Rodez Duché du Rouergue---30 écus---- niveaux trois----pr 255, surement fiché oui m'ssieur

Elle le connait bien son texte a force de le voir partout elle lui affiche un sourire radieux, lui a mâché son travail, lui n'a qu'a recopier maintenant


Détruisez votre lance ou procés

han!! quelle lance, c'est ou ca elle se retourne a personne derrière elle

je marche seule, toute seule et anonyme

Arrive au campement contente enfin de revoir le bon vieil étendard rose de DTC, histoire de se ressourcer, les étoiles pleins les yeux, et de se sentir en harmonie avec la nature douceâtre de la faune sauvage, cherche...cherche....cherche.

P'tin même ca ca a diparu
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Gwennie
Elle avait la main sur le rideau qui ouvrait sur l’hôpital de campagne. Réticence à entrer dans cette ambiance qu’elle a trop connu. Odeur écœurante mélange de sang, de pleurs, d’infections en tout genre, elle soupira silencieusement avant de se composer un visage de cruche radieuse pour ses camarades blessés.


HURUUUUUU !!!!! On se réveille !!!!!



Gwen lui colla un baiser sur le front, déclenchant aussitôt les foudres du géant …ça c’etait bon…l’etait pas trop mort…Gwen l’écouta fort poliment la traiter de tous les noms en réprimant un sourire.

ça va mieux mon pépère ???


Hochement de tete fatigué alors que gwen se lèvait.

J’repasserai…Ne me remercie pas…Vraiment…C’est toujours un plaisir !!!!

Puis fila en se gondolant.

Garance…Hmpf…Qui dormait . Bon…

Gwen déposa un paquet au pied du lit, sa seule robe. Blanche. Achetée un jour sur un coup de tête. De blanche la bretonne n’en a guère plus que le nom. Et encore en breton… Elle sourit, et s'en alla sur la pointe des pieds.

Charlyelle s’affairait auprès de Dran, qui comatait encore. Elle tapota l’épaule de l’écossaise et prit brièvement la main du râleur dans la sienne.

Nénu en retraite, son lit vide lui fit l’effet d’un coup de poing dans le ventre. Mais elle continua sa tournée de l’hydres blessées, évitant de déranger le GuénérAll et sa conquête.

Puis elle s’en alla. Trop…Beaucoup trop pour garder le sourire. Vaille que vaille elle le garda jusque dehors où son visage se décomposa.

Elle expira tout l’air qu’elle avait dans les poumons avant d’avancer vers le lac , qui brillait sous le soleil.

Isnt it ironic ???

La terre continuait de tourner immuablement, ignorant les affres de l’espèce humaine avec la régularité d’une horloge suisse.

Allez hop…au campement, des fois qu’il reste à faire…

Votre Grandeur Imperiale ??????? Vous faites quoi plantée là comme un cerisier en fleurs fanées ?

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Drannoc
[D'une roulotte tiède et nauséabonde]

Il nageait dans de l'eau pourpre sous un ciel noir, au milieu d'un grand lac hors du temps, avec l'impression de flotter dans un monde calme. Je nage dans mon sang. Il goute une gorgée et c'est délicieux. Je veux manger un morceaux avec le frangin. On a une fête à organiser et des corps à sacrifier. Nénu ?? Plus loin trône un crâne sur une pierre émergée, ricane étrangement et ça ressemble à son rire. Bon là, je suis mort, non ? Quand est-ce que je peux dormir éternellement ?

Un soleil soudainement de plomb lui brûle la nuque. Il s'éveille et d'un éclair de lucidité voit son écossaise une dague à la main. Charlye. Ah bien, mourir torturé par une jolie femelle. Il a un mal de chien et la sensation glisse le long de son corps mais rien ne répond. Remparts de Montpellier je devais...détrousser...

Il n'arrive soudainement plus à nager et s'enfonce, suffoque et respire son eau métallique...haha je me casse, je meurs, bande d'emmerdeurs. Et d'une aspiration soudaine reprend vie et se redresse. Roulotte chaude, parfums de mort et putréfaction. Il entrouvre un œil et découvre.


Je préférais encore rêver.
_________________
{Cerbere}
verrouillé a la demande de l'auteur

{cerbere}

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