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Info:
Nouvelle Taverne des Villandry, à Loches

[RP] La Taverne Ni Vue Ni Connue

Tayabrina.reudi
Refermant ses dossiers qu'elle avait fais porter par les gens de la municipalité au premier étage de l'auberge quelle tenait, Des rires dans la bâtisse...? Comme c'est étrange, surtout à Loches !

Elle s'apprête à aller assouvir sa curiosité... travailler à la mairie était simplement insupportable, l'odeur de charcutier du coin n'arranger pas son état. A chaque fois qu'elle respirait elle courait vomir tripe et boyaux dans un coin de la municipale. Après avoir dévider une bouteille d'un robe bordeaux, la seule chose qui pouvait tenir sur son estomac...elle avait filé chez elle. Là où les odeurs n'allaient plus titiller ses narines.

Elle descendit en entendant les éclats des voix qui résonnaient dans la taverne. Une rousse et une brune…rien d’étonnant, sauf que la rousse lui donna l'envie de converser. Etrange, elle qui se renferme de plus en plus, ne parlant qu’avec son époux évitant comme pas possible la civilisation. Elle s’installa avec elles, les regarda et les écoute parler souriant des temps en temps…

Et pourtant, le sommeil l’emporta, où elle rêva d’elle et de son époux, qu’ils étaient seuls dans un village où personnes d’autre ne vivaient, était-ce là un signe que la châtaigne était vraiment épuisée et qu’elle voulait sûrement sortir de sa vie qui lui semblait morose en dehors de sa vie de couple, car là tout allait bien, la famille allait même s’agrandir, bientôt un petit Reudi sera là…oh purée ! Elle ouvrit brutalement les yeux, sa mère, elle avait oublié de l’avertir !

Préférant attendre que son époux rentre du travail afin qu’ils se rendent ensemble portaient la bonne nouvelle a la future grand-mère, elle allait encore râler la baronne, bientôt elle devra s’occuper encore une fois d’un des enfants de la châtaigne, mais n’est-ce pas là une bonne raison d’éloigner un possible beau-père de sa mère, tout a ses pensées, elle reprend la conversation avec les deux filles Lou et Lyanne…attendons que l’époux débarque afin d’aller annoncer la BONNE nouvelle.



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Hansreudi
Une journée de travail de plus en moins. Pas trop heureux d'en avoir terminé et de filer retrouver son épouse en taverne. Un petit tour au bureau de police, quelques lettres supplémentaires à rédiger pour rappeler la législation en vigueur en Touraine et à fortiori à Loches. et c'est en courant qu'il arriva enfin à l'auberge de sa femme.

Une fois entré, un soupire de satisfaction balancé, les botte négligemment jetées dans un coin et il se vautra sur une chaise. Même pas pris soin de voir que sa Belle était en grande conversation avec deux autres femmes. Il se sentit un peu gêné d'un coup avec les chaussettes à l'air devant des dames. Encore son épouse avait l'habitude, mais des étrangères le voir ainsi, ça cassait un peu de mythe. fallait éviter de passer pour un con, et Dieu qu'il avait du mal depuis l'annonce de la nouvelle a ne pas avoir l'air du gland du village le sourire toujours aux lèvres. enfin, une belle tête de vainqueur depuis qu'il savait qu'il allait être père. Mais il s'en foutait, il était heureux et rien ne comptait plus que sa famille. Fallait vite trouver un truc.


Euhhh, bien l'bonjour. J'suis Han...enfin Henri, l'livreur d'fûts d'bières.

Dites donc M'dame Reudi, j'en fait quoi d'vos fûts là. Sont dehors dans ma chariote, c'est qu'j'ai pas qu'ça à glander moi, j'ai une femme et huit gosses qui m'attendent à la m'zon la bouche ouverte. S'cusez pour les bottes hein, mais j'm'a suis fait tomber un fut sur l'ripaton, j'voulais voir. Bon, ben j'va vous chercher ça d'suite.


Sifflotant, il fila enfiler ses bottes, puis ouvre la porte de la taverne
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Tayabrina.reudi
Voilà une entrée digne du balafré. Heureusement que monsieur ne se présenta pas aux filles comme son époux, mais alors là, la honte qu’il aurais mis à la mairesse de Loches qui voulait plus que tout que son image ne soit pas terni. M’enfin, elle savais que son homme n’étais pas de ceux qui marchaient fesses serrées, mais bel et bien un rustre. Un homme comme elle l’aimait bien, mais rien ne dis que publiquement son Roi devait se tenir comme le dernier de gueux, ça elle ne lui pardonnerais pas. Le regard lançais au balafré avait suffit pour qu’il se présente comme un livreur de vin, c’est qui amusa fortement la châtaigne.

Huit gosses…oh…mon…dieu…, rien que cela avais suffit a la faire courir en dehors de la taverne, devançant son époux, les fleurs de l’allées accueillit son reflux gastrique, amère comme pas possible, et un mal a l’estomac terrible. Pourquoi avais-il fallut qu’elle se laisse entraîner par son époux cette fameuse nuit… ? Ah oui, le besoin corporel, la prochaine fois elle réfléchiras mille fois avant. Encore une fois, elle vomit. Seigneur dieu, neuf mois qu’elle devra supporter de vivre ainsi. Un regard vers son époux.

Elle ne voulait plus restée là, elle ne voulait plus voir du monde, elle voulait rentrer chez elle, elle voulait que sa mère calme son mal, elle voulait être à labri dans leur chambre. Elle ne voulais surtout pas être vu dans un état si pitoyable et qui donnerais le dégoût aux passants, car l’odeur du vomit, mieux valait se boucher le nez et passer rapidement son chemin, au risque de s’enivrer, car le vin n’avais pas arranger les affaires de la châtaigne.

On rentre au domaine si tu veux bien.
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Hansreudi
Les deux mains collées à la fenêtre à regarder à l'intérieur voir si sa Belle allait se pointer pour rentrer à la maison. L'improvisation du balafré avait de quoi dérouter la plus avertie des épouses qu'elle était. Pourtant elle avait l'habitude des tours de con du Reudi. Entre ses achats sur le marché alors qu'elle lui demandait de vendre, sa proclamation du vainqueur au concours du petit piocheur invétéré alors que c'était pas le bon, la Châtaigne devait avoir de la constance pour supporter l'énergumène qu'il était. Pour sa défense il avait des circonstances atténuantes. Sa soeur, sa fille, l'annonce de la grossesse de sa Belle, ses activités professionnelles et culturelles. Le cerveau était un peu à la traine ces derniers jours. Bon pas la peine de tortiller du cul pour chier droit, il était dans un autre monde là. Fallait qu'il se ressaisisse d'autant plus qu'il y avait les élections Ducales et une autre idée était entrain de germer dans sa tête concernant les municipales qui devaient avoir lieu. Il s'était présenter une fois contre l'épouse et la soeur, pourquoi ne pas retenter l'aventure. Il ne pourrait pas faire pire que les résultats précédents. Enfin, il croisait les doigts pour que ce soit pas le cas. Puis de toutes manières il se foutait du ridicule lui sinon ça ferait belle lurette qu'il serait six pieds sous terre si cette bouffonnerie tuait vraiment.

L'épouse qui passe la porte de la taverne la mine déconfite, pâle, presque translucide. Sa grossesse lui donnait du fil à retordre et nul doute que sa vengeance se fera sentir sur le balafré. Pourtant il n'avait qu'une faible part de responsabilité dans cette affaire. Bien qu'aillant tractionné pendant plusieurs semaines pour qu'elle cède enfin à son désire d'être de nouveau père, sa contribution se résumait à quelques millilitres. Y avait tout de même pas de quoi fouetter un chat pour ça. Ces instants de bonheur corporel intime, quels instants inoubliables d'ailleurs, allaient ils se payer par des reflux gastriques justiciers?

Ben oui. Le balafré qui soutient l'épouse tordue de douleurs, s'arrêtant sur le chemin du retour pour expulser ce qui ne veut pas rester dans l'estomac. Un vrai petit-poucet. On pouvait les suivre à la trace. Tantôt balancé au milieu d'un parterre de fleurs, tantôt sur les pavés de la rue tantôt sur les braies et bottes du balafré. Il l'avait voulu son gosse, il allait devoir assumer à présent. Mais c'était bien rien à côté de ce que vivait la Belle à cet instant et surtout à ce qu'elle allait vivre les mois suivants. Époux est un métier à plein temps, pas de doute la dessus et il était bien heureux de pouvoir assumer ce rôle, envers et contre tout, même si elle allait le maudire.

Ils allaient clopin-clopan, avec quelques haltes de temps en temps pour finir de vider de bol stomacal. arrivèrent péniblement jusqu'à la maison. Mais comment avait elle fait pour se remplir l'estomac de la sorte. faut dire qu'elle mangeait la châtaigne en ce moment. Mais comme elle ne gardait rien, sa taille de guêpe était toujours intacte. Et lui par solidarité d'époux qu'il était mangeait au même rythme qu'elle, seulement comme il n'avait pas d'ascendance Romaine avec un passé d''orgie où ses ancêtres se faisaient vomir, le Hans allait enfler comme un ballon de baudruche. A force de vouloir pousser le mimétisme du physique de la future maman à son paroxysme, son uniforme de sergent de police allait péter dans le dos ou c'est la boucle de ceinture qui allait partir au travers de la tronche d'un passant après un éternuement trop intense. Il allait faire une grossesse nerveuse lui à ce rythme.

Enfin, toujours est-il qu'il s'enfila en arrivant à la maison, une tranche de pâté de campagne suivi de quelques rondelles de saucissons le tout arrosé d'un verre de Chinon. Il servit sa Belle d'un demi-verre, elle n'avait pas droit à plus. Et même si c'était la seule chose qui semblait être accepté par son organisme en ce moment, hors question de lever trop le coude avec le locataire qui avait investi son ventre. Elle allait avoir un enfant et non pas accoucher d'une bouteille de Pineau des Charentes.

Entre deux bouchées, la bouche pleine il balança un énigmatique.......


Chérie....ch'me préchente à la niarie de Noches.
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Tayabrina.reudi
Une cave bien triste. Mais remplie. Jambons, panier de fruits du pain, des fromages. Du lait et quelque légumes. La châtaigne avait fait tout les nécessaires afin que son époux ne manque de rien en son absence.

Elle était en larme, mais ne souhaitait en aucun cazs que son époux la voit aussi triste de partir loin de lui. La calva était là et elle savais que son époux s'en servirait à coeur joie et qu'il fera de la calvacade sa compagne.

Elle quitta en silence la taverne, laissant amis, famille derrière elle...

sur le comptoir un petit mot


Citation:
Mi amor, un jour nous sépare mais mon coeur t'es donné et t'appartiens a jamais prend soin de toi et attend moi je te reviendrais très vite.

Ton épouse

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Hansreudi
14 juillet 1459. Une bien funeste journée qui s'annonçait. Une bien triste semaine en perspective. Des moments bien pourris en somme. Il l'avait laissé partir, que pouvait-il faire d'autre d'ailleurs.

Il avait passé la nuit seul. La dernière fois que ça lui était arrivé c'est quand ils s'étaient engueulés. Mais là rien à voir. Elle était au campement de la Semper Fi, et était sur le point de quitté Loches au petit matin à la tête de son armée pour faire son devoir et défendre la Touraine. Chinon, c'était sa première destination. Et lui qui devait patienter comme un rat enfermé dans son bureau de maire. Bordel une semaine à attendre, avant de pouvoir prendre la route. Une semaine, autant dire un fleuve en crue qui le séparait de son épouse. Il l'avait accompagnait jusqu'à la dernière minute. Jusqu'au dernier moment pouvoir profiter d'elle. Il avait fait une dernier petit caca nerveux, ses dernières recommandations, de mise en garde et de prudences. De laisser passer les autres devant, qu'elle pouvait très bien commander depuis l'arrière...etc....Enfin, le Hans habituel, qui se fait du souci pour ceux qu'il aime.

Ils s'étaient retrouvés le matin à la taverne. Quelques derniers instants où il la serra dans ses bras. Aucun mot ne fut échangé sur le départ à al guerre. Des instants qui ne changeaient rien aux habitudes, peut-être comme pour ne pas y penser. Puis ils se quittèrent de la même manière que s'ils allaient se retrouver le soir.

Plus tard dans la matinée....

Il entra dans la taverne de sa Belle. Les effluves de son parfum flottait encore dans l'atmosphère. Un sourire en pensant à elle, aux directives qu'elle devait être entrain de donner à cet instant, à l'installation de son campement.

Un petit mot rédigé à la hâte, posé sur le comptoir. Elle avait pris le temps de lui laisser ces quelques lignes, pleines d'affection et d'espoir.

La gorge qui commence à se serrer. Alors dans ce genre de situation le balafré a une technique très sûre pour restreindre l'étreinte dans la gorge....picoler. Et personne pour le voir ce matin, le calva serait un précieux ami et allié pour supporter cette journée. La bouteille déflorée, une rasade salvatrice dans le cornet, puis une seconde. Il s'assit à une table avec sa "maitresse" tenue par le goulot. Le yeux qui ne quittaient pas ces deux lignes couchées sur le vélin. Une nouvelle gorgée, un filé d'alcool qui coule le long de ses lèvres et de sa joue.

La bouteille tient du passé...mais la biture elle, est bien présente....

Il n'allait pas en faire lourd à la mairie aujourd'hui. Pourtant il fallait bien qu'il en fasse un minimum. Les habitants, à juste titre d'ailleurs, n'en avaient rien à secouer que sa femme soit partie guerroyer sur Chinon. Alors, le pas trainant jusqu'à la sortie de la taverne, une nouvelle "amante" alcoolisée dans la main, il fila essayer de faire de son mieux. Il serait aidé dans sa tâche par les délicates essences de jus de cidre distillé......Plein comme un foudre des caves du domaine de Villandry, il se traina jusqu'à son bureau de maire. Déjà qu'en temps habituel, il ne fallait pas trop venir le faire chier, mais alors aujourd'hui, autant dire qu'il allait être d'une humeur passablement fielleuse.

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--Carpenter



Voilà des jours et des jours qu’il s’était attaqué au toit et avait finit par avoir le dessus. Le toit était enfin comme neuf, mais Carpenter s’est acharné a son travail de garder le toit dans un style rustique et avait fait en sorte de ne pas polir les bois et de les grattés par quelques endroits afin que le toit s’accorde au nom de la bâtisse. Une vieille bâtisse avec un toit ciré n’aurait aucun rapport.

Pendant qu’il finissait les travaux sur le toit, l’intérieur aussi s’est vu transformer. Nouveau parquet et nouveaux meubles. Il en était ravi.

Après avoir fait son tour de la bâtisse pour contempler son travail il revint à l’intérieur prenant sa paie et s’envoya une bonne rasade de bière avant de s’en aller.

Le portail grincher toujours, il est certain que quelqu'un viendra à coup sûr le réparer. Il regarda une derrière fois la bâtisse .Souriant de l’état du lieu il sans alla dans une chanson campagnard.


Mayet
Mayet arrivait au virage de la route quand elle aperçut sire Carpenter qui sortait de la bâtisse. Elle cria son nom et fit de grands gestes, mais sûrement qu'il ne l'entendait pas, elle était encore bien loin.
Alors elle décida d'employer les grands moyens et, soulevant sa jupe, courut après lui en criant à tue-tête :

Messire Carpenter....messire Carpenter....attendezzzzzzz !!!!!!

Elle était dans la descente et avait peur de tomber mais elle continua de courir pour ne pas qu'il prenne trop d'avance. Elle ne pouvait plus crier tellement elle était essoufflée et dévala la pente de plus en plus vite. D'ailleurs, il lui était devenu impossible de s'arrêter.

Bah me voilà bien, se dit'elle

Elle vit qu'il se retournait ENFIN, en l'entendant arriver, si gracieusement. Elle lui fit signe de se pousser, mais il ne devait pas comprendre. Il attendait et la regardait bizarrement. Arrivée à sa hauteur, elle crut qu'il allait l'arrêter, mais il n'en fit rien et elle s'applatit comme une crêpe, juste à ses pieds, la jupe relevée sur sa tête.
Elle l'entendit alors rire et elle hésita avant de se relever, toute essoufflée et honteuse qu'elle était. Quand elle retrouva un peu de dignité, elle se mit debout et réajusta ses vêtements.

Bien ma veine ça, pensa t'elle.
Puis en s'adressant à Carpenter avec un beau sourire :

Vous avez fait un excellent travail et je vous en remercie. Taya va être satisfaite je n'en doute pas. On vous préviendra si on a encore besoin de vos services. Bonne chance à vous et merci encore.
--Taomi


J’arrive enfin à loches, je suis si fatiguée que mes pieds refusent de me porter. Des semaines de marche sans fin, pour fuir mon village. On m’avait dit du bien de Loches, me voilà à sa porte. Je regarde l’immense bâtiment juste avant d’arriver dans le village. On dirait une ruine. Malgré l’air lugubre de la place, je m’avance sans crainte posant mes bagages au portail pour pouvoir pousser la lourde masse de fer.

Le grincement me fit sursauter. La porte ouverte je pris mes bagages et je rentre à l’intérieur dans la petite cour et je m’avance à pas lourd vers la grande maisonnée. Je ne sais lire. Je ne sais donc pas dans quoi je m’avance.

Les joues en feux. Les jambes qui ne veulent plus aller plus loin. Je frappe trois petits coups à la porte. Aurais-je la chance de d’avoir une âme charitable qui m’hébergera pour la nuit. Je grandement besoin de me reposer.

J’attendis que la porte vienne s’ouvrir en invoquant Aristote que la maison est habitée. Je regarde derrière moi pour être sûr que personne ne m’a suivi. Si jamais mon mari me retrouve ce sera la fin pour moi. Je frappe encore trois coups, si personne ne m’ouvre je vais me cacher derrière l’immense maison. Je porte mes mains frêles à mon épée pour la mettre en arrière. Je ne voudrais pas que les habitants de la bâtisse prennent peur.


Taomi, Japonaise en fuite. Elle te regarderas mourir sans broncher. Elle restera de glace quand tu vas hurler à mort. Tu la cherches et tu repartiras les pieds devant.
Mayet
Clopin, clopan et clopinant, Mayet s'en retourna à la taverne, sans se retourner. Elle revoyait le sourire et les yeux moqueurs de Carpenter. La honte lui fit presser le pas.
Arrivée à la bâtisse, elle entendit un bruit. Quelqu'un frappait à la porte sans doute. D'habitude, les gens du village ne frappent pas.
Elle se cacha donc derrière le poteau du portail et aperçut......une dame.
Celle-ci était bizzarement vêtue et tenait son épée cachée derrière son dos.
"Oups"...se dit Mayet.
La dame avait de longs cheveux très noirs et une peau très blanche. Ses yeux avaient l'air foncés également et d'une forme qu'elle n'avait jamais vu auparavant. Elle portait une longue robe rouge qui mettait sa frèle silhouette en valeur. Mayet la trouva très belle.
Elle sortit enfin de sa cachette et se dirigea vers l'étrange dame.

Bonjour, je suis Mayet, vous désirez quelque chose ?

Elle lui tendit la main pour la saluer en lui souriant
--Taomi




Toujours à cette porte après une demie heure d’attente. Je crains le pire, que cette bâtisse ne possède pas d’âme. Ou simplement que allure d’étrangère leur font peur. Je suis certaine qu’ils me guettent à la fenêtre tel une proie qui peut être objet de curiosité. Si seulement ils venaient m’ouvrir je leur ferais savoir que je connais les coutumes de leurs pays. J’ai quand même vécu prés de six mois à Chinon auprès de cette famille chinonaise. Ils m’ont tellement bien traitée, je suis même une fidèle d’Aristote à présent. J’ai tant appris. Même si je parle baroque, mais je parle bien le françois.


Je commence à penser que finalement non, je ne suis pas la bienvenue en ce lieu. Un soupir s’échappe de ma bouche et je prends mes bagages. Faisant volte-face en direction de la sortie de la p’tite cour, je m’apprête à quitter le lieu sans demander mes restes.


Surprise agréable, une jeune femme vint à ma rencontre. C’est peut être une amie de la famille qui habite ce lieu.




Konnichi wa !


Je pose mes bagages à nouveau à mes pieds, je porte mes mains sur le centre de mes poitrines oubliant l’épée menaçante et je salue la femme qui ose me parler. Sa voix me rassure sur le coup.


Je suis une voyageuse arrivant de chinon. Si vous pouvez m’aider à trouver un endroit pour la nuit honorable dame. Taomi vous sera reconnaissante.


Je la regarde et je lui souris. Peut-être qu’elle voudra m’aider. Je prends mes bagages au cas ou elle ne saurait où me guider.





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Taomi, Japonaise en fuite. Elle te regardera mourir sans broncher. Elle restera de glace quand tu vas hurler à mort. Tu la cherches et tu repartiras le pieds devant.
Mayet
Mayet ne compris pas toutes les paroles de la belle dame mais de toute évidence, celle-ci avait besoin d'aide. Elle la guida jusqu'à l'entrée de la taverne qui faisait office d'auberge pour les cas d'urgence. Mayet se dit que de toute manière, il restait la chambre de Taya puisque celle ci était absente.

Entrez donc, dame Taomi, vous êtes ici dans la meilleure taverne de la ville. Vous pourrez vous reposer en toute tranquilité. Et si vous avez besoin de quoi que ce soit, surtout n'hésitez pas. Si je peux vous rendre service, ce sera avec grand plaisir. Nous accueillons tous les voyageurs, d'ou qu'ils viennent et ou qu'ils aillent.

Mayet la conduisit dans la chambre de Taya et la laissa s'installer.

Désirez vous boire quelque chose ? une tisane, une bière ? Vous voyagez seule ou attendez vous quelqu'un ?

Comme à son habitude, Mayet posait toujours des tas de questions. Ce n'était pas qu'elle était curieuse ( ), mais elle aimait bien discuter.Et puis, ce n'était pas tous les jours qu'une dame aussi étrange arrivait à Loches. Mayet avait pu la détailler plus à loisir. En fait, c'était surtout ses yeux qui la surprenaient. Ils étaient très sombre, petits, relevés et dépourvus de cils. Elle se risqua encore à une question :

D'ou venez vous dame Taomi ? si ce n'est pas indiscret

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La plus chouette, c'est Mayet
--Taomi



Je toise Mayet de la tête au pied, elle est convenablement habillée et leurs coutumes semble être le même qu’à Chinon. Parfait ! Je ne vais pas subir le dépaysement. Je suis habituée dans ce pays à présent.

Je souris à la Lochoise quand celle-ci m’invite à entrer dans la taverne. Taverne ? C’était donc une taverne cet endroit. Mais qui diable pouvait fréquenter un lieu si retirer du village. Et l’air austère de la bâtisse ne laisse aucune envie d’y entrer. D’accord, je n’avais pas le choix. Je me devais de trouver vite un lieu pour se tapir. Devrais-je dire à Mayet de ne point faire mousse de mon arrivée ici. Après c’est une taverne/ Auberge, elle doit déjà savoir qu’il ne faut en aucun cas dire ma présence dans le lieu.


Dame, je ne sais comment vous remercier de votre hospitalité et je vous suis avec un grand plaisir.

Quand je pénètre l’intérieur je fut choquée de l’aménagement, vu de dehors on ne croirait pas que ce lieu puisse être aussi accueillant et chaleureux. Des chandelles ici- là pour éclairer la grande pièce. Je grimpe l’escalier avec une parfaite maîtrise quand Mayet me dirigea dans une chambre au rez de chaussée. je me laisse guider par Mayet. je pose mes bagages sur le lit de la chambrée qu’elle venait de m’offrir. Tout était d’une blancheur impeccable. Les draps, la nappe de table à côté du lit, les mûrs était si blancs qu’on n’oserait toucher même du doigt par peur de le salir. Les rideaux aussi étaient d’une blanche immaculée.

Quelle merveille cette chambre ! Je suis encore une fois ravie. C’est sera combien pour avoir une chambre aussi belle ? Hem, ahem…Je ne suis pas riche. Même si mon apparence laisserait penser le contraire.

Je fis connaissance du regard avec la chambre un peu plus pour découvrir que même la commode était blanche.

Ça alors ! Même le meuble pour disposer les linges est blanc !

Je commence à me demander sérieusement en quoi servait cette chambre blanche. Mes yeux deviennent encore plus petits. J’en souris de la décoration de la chambre.

D'ou venez vous dame Taomi ? Si ce n'est pas indiscret

La question me ramène très vite sur terre. Ou au paradis…Vu dans la chambrée dans laquelle je me retrouve, je me retiens de ne pas rire pour ne point froisser l’hôte.

Je vous l’ai dit honorable Mayet. Je viens de Chinon. Maintenant si vous voulez bien m’excuser, puis-je être un peu seule pour me reposer ?

Je ne voulais plus m’étendre à mon sujet, je prétexte le repos pour ne rien dire évidemment. Je souris à la Lochoise.


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Taomi, Japonaise en fuite. Elle te regardera mourir sans broncher. Elle restera de glace quand tu vas hurler à mort. Tu la cherches et tu repartiras le pieds devant.
Elophe
Elophe, après une semaine de convalescence chez les moines, revint auprès de la bâtisse. Enthousiaste d'achever ce qu'il a entreprit, le jeune homme se ramena avec un chariot, tiré par deux somptueux chevaux.
Il arrêta la charrette près de l'abreuvoir et porta des dalles de marbre dans la salle des ripailles. En chemin, Elophe croisa Mayet ainsi qu'une jolie demoiselle ayant le physique des personnes venant du "Pays du Soleil Levant".


"Bonjour mesdemoiselles"

Un peu timide, le gaillard reparti en direction de la pièce en chantier. Après avoir balayé le plancher qui fut posé auparavant, il colla avec précision les carellages marbrés avec de la résine.
Mayet
Mayet laissa donc dame Taomi se reposer et descendit retrouver sire Elophe qui venait de les saluer. Elle vint pret de lui et le regarda travailler avec tant de précision. Il était très méticuleux et faisait un excellent travail. De plus, il oeuvrait assez rapidement et à ce rythme, le chantier serait rapidement bouclé. Mayet était très heureuse qu'il fut là.

Tout est parfait sire Elophe, comme d'habitude. Toutes mes félicitations. Je suis contente de vous compter parmi nous. Il est évident que jamais je n'aurais pu accomplir ça toute seule.

Mayet lui fit son plus beau sourire.

Elle le laissa travailler en paix et partit à la rivière à la recherche d'eau fraîche. En chemin, elle se souvint que l'eau ramenée par la petite Latra n'était vraiment pas bonne. Elle se rappela alors de ce que lui avait un jour enseigné un vieux berger pour trouver une nouvelle source.
Elle partit donc dans les bois à la recherche........

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La plus chouette, c'est Mayet


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