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[RP] Banquet du mariage

titan34
titan reussit a s'approcher du couple de mariés, il s'approcha de son amie umiko et lui fit un baise main respectueux.
puis se tournant vers l'heureux epoux, il lui serra chaleureusement les mains.


c'est un grand plaisir pour moi de voir le bonheur irradier vos visages ainsi.
permettez moi de vous feliciter de votre décision de vous unir et de vous souhaiter tout mes voeux de bonheur, de joie et d'amour.
je vous souhaite longue vie amoureuse et qu'aristote vous accompagne toujours de sa mansuetude.
nous aurions aimés rester plus longtemps, helas un coursier viens de nous informer qu'une affaire de la plus haute importance nous appelait dans notre duché ceants.
cependant avant de partir, permettez moi messire phelipe de vous remettre ce modeste présent.




ayant remis a l'heureux epoux son présent, titan se reculà pour laisser approcher son épouse qui avait le cadeau à remettre à umiko.
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Ad majorem Dei gloriam.Spiritus promptus est, Caro autem infirma
kalopsite
Elle arriva dans la salle au bras de son époux, sourit et salua les convives qu’ils croisèrent, ils arrivèrent enfin devant les jeunes mariés. Elle laissa parler son époux puis prit la parole.

Toutes mes félicitations pour se jour béni, je vous souhaites tout le bonheur que puisse espérer un jeune couple

Baronne, Voici quelques présents que j’ai trouvé chez un artisan de chez nous passionné par son art, il fait des merveilles, j’avoue être moi-même conquise par sa dextérité et son savoir faire








Comme mon époux vous l’a annoncé nous devons malheureusement vous quitter rapidement, mais j’espère avoir l’occasion de vous revoir.
Umiko
-"Messire Titan, dame Kalopsite, je vous remercie de tout cœur d'être venus à notre mariage à messire Phelipe et moi-même ainsi que pour vos magnifiques présents. Avant de partir, je vous en prie, laissez à mes gens le temps de préparer pour vous quelque nourriture bien lyonnais-dauphinoise, que vous puissiez un peu en profiter, à défaut de pouvoir assister au banquet."

Elle fit alors un petit signe de tête à une servante qui faisait partie de celles qui devaient commencer à s'impatienter de pouvoir disposer le premier mets.
Vanyel
Elle regardait les gens arriver, reconnaît quelques personnes.
Les convives ne semblent guère se préoccuper du banquet pour l instant et devisaient.
Il y avait toujours quelqu un devant les nouveaux mariés. Pour les féliciter ou leur apporter quelques présents, les deux plutôt en fait.
Elle avait observer Zagelle avec un sourire, avait franchement eu du mal à garder son sérieux quand la mère de Phelipe avait tenté de subtiliser les volatiles nuptiaux et retenu une grimace à l’idée de devoir surveiller ses petits monstres sur pattes à cause de « non on touche pas au zoiziaux de marraine c est défendu ».

La tête lui tournait un peu, non, elle n avait rien bu pourtant, et d ailleurs si ça avait été le cas elle aurait dormi au lieu de voir le monde tanguer. Elle commença à secouer doucement … mauvaise idée. Rester immobile, bien mieux comme ça, enfin, la notion de bien est toute relative, mais mieux quand même.

Encore à rêvasser quand une pensée saugrenue la frappe.. misère. Mais tous ces gens là, ils félicitent oui oui jusque là ça va, mais ils ont aussi pensé à un cadeau. Et elle ? Rien du tout. Pourtant elle le savait que le mariage avait lieu aujourd hui. Que le banquet c était à Voiron après la cathédrale. Même le menu hein, pour avoir aidé à choisir les plats. Non vraiment, rien n aurait pu lui faire oublier l organisation du mariage. Seulement voilà, à l organiser avec Umiko, elle avait complètement oublié que c est bien d avoir un présent pour les marier, pour les consoler de devoir se supporter ensuite jusqu à ce que la mort les sépare. Mais non, pas une seconde son esprit n y avait pensé, et il avait bien fallu plus d une personne arrivant en souriant devant le nouveau couple pour que cela traverse enfin les brumes épaisses de sa cervelle.

Bon, ne rien laisser paraître. Après tout elle vit ici, peut-être qu elle leur présentera quelque chose plus tard, peut être que les autres ne s en apercevront pas, peut être qu elle arrivera un jour à reboucher les trous de la passoire qui lui sert de tête. Enfin s est mal barré avec les escaliers partout là…

Un sourire vers les mariés, et vite penser à autre chose tandis que les premiers plats sont servis…
Freyelda
Freyelda s'était replongée dans ses pensées après avoir répondu comme il se devait au salut du Seigneur des Lances d'Embrun et s'être enquérie de sa santé. C'est une voix familière qui la tira de ses songes.

Le bonsoir Madame la Vicomtesse.

Elle tourna la tête, leva les yeux et sourit en reconnaissant son ami le baron de Salérans.

Demons, cher ami. Voilà bien longtemps que l'on ne s'était vus. Depuis... Elle fouilla quelques instants dans sa mémoire puis se rappelant que leur dernière rencontre était la cérémonie de l'Ordre de Mérite Dauphinois dont elle avait gâché l'ambiance par un de ses interventions "pieds-dans-le-plat" dont elle avait le secret, elle évita gracieusement le sujet. Depuis bien trop longtemps, voilà.

Elle n'eut pas le temps de demander à son confrère mais néanmoins ami s'il se portait bien qu'elle aperçut Carnil venir à leur rencontre. Elle lui adressa un franc et chaleureux sourire : elle savait que la pitié était la dernière chose dont il avait besoin. De plus, le voir ce soir lui faisait sincèrement plaisir.

Charles... Je suis si contente de te voir là ce soir. Tu as bien fait. Vraiment bien fait.

Mais voyant que les domestiques intensifiaient peu à peu leur ballet, elle l'entraîna par le bras tout en faisant signe à Demons de les suivre.

Messieurs... Je suggère que nous prenions place à la table. Nous y serons plus à notre aise pour discuter. J'ai grand hâte que vous me donniez tous les deux de vos nouvelles mais je n'aimerais pas que nous ayons à nous faire rappeler à l'ordre par la... belle(?)-mère d'Umiko... Aussi prenons place... prestement...

Puis tout en se dirigeant vers la table, elle glissa quelques mots à l'oreille du duc d'Hostun, dont nul autre que lui n'eut jamais connaissance.
Cristòl
Un homme portant une longue cape hospitalière entra dans la salle. Il semblait hésiter, que faire ?
Il était pressé, il fallait le dire. Venu saluer les époux, par respect, manger un peu sans doute, mais un voyage l'attendait. Vers la Bourgogne.

Il se présenta vers Phelipe, qu'il connaissait plus - mais si peu - que la mariée, s'inclina devant le désormais Vicomte et murmura :


-« Vous voilà avec un bien beau parti... Je me fais fors de vous égaler ! Mes félicitations, et que l'union vous soit douce, car le Très Haut nous regarde tous. Mieux vaut trouver le bonheur chez soi qu'aller le chercher où Il le réprouve. Je suis venu les mains vides, mais les caves de Vinassan - qui comme le nom tend à le prouver sont réputées - vous seront ouvertes dès que vous le souhaiterez. Je vous y réserve quelques fûts. »
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Phelipe
Mais quelle était donc cette manie de toujours vouloir le faire boire ! Il s’était arrêté ! Pourtant déjà sa femme lui servait de la Chartreuse, dame Zagelle était venue avec des tonneaux, dame Marguerite l’avait entretenu brièvement de quelques affaires de cépages, messire Cristol lui offrait les clefs de sa cave. Le Plus Haut le mettait-il à l’épreuve ? Peut importe, l’action était louable, aussi le remercia-t-il.

-« Senher, je ne doute pas qu’un homme aussi aimable et aussi bien élevé comme vous l’avez été, saura trouver chausses à son pied et qu’elles conviendront aux divins ripatons du Plus Haut. Je vous remercie de votre invitation, mais de grâce, ne me poussez pas au vice ! Le minois de ma charmante épouse est bien suffisant comme cela ! »
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thierrylafrance
Thierry écoutait Kernos avec intéret
C'est sûr que les enfants ça occupe beaucoup. De mon côté aussi j'aimerai bien avoir à m'occuper des notres avec ma belle Zoyas quand on en aura...
Elle est un peu stressée avec cette campagne car tout ne se passe pas comme prévu sinon tout va bien.

Ils ont déjà bien mis l'ambiance à Embrun en effet.


Kernos lui parla de son mariage futur

Les épousailles... il faut d'abord qu'elle finisse cette campagne avant que nous puissions fixer une date.

Puis voyant les invités apporter des présents aux mariés, Thierry se dit qu'il avait oublié de donner le sien dans la précipitation

Allons donc voir les mariés

Thierry toujours le verre à la main emmena Kernos en se frayant un chemin au milieu des invités pour arriver devant les mariés qu'il distinguai à peine au milieu de tout ce monde...

C'est alors qu'il vit au dernier moment la dame de l'église juste devant lui...
Marguerite
Marguerite venait de se lever. Elle se sentait un peu mal, n'avait pas faim - l'écœurement était bien normal, à plus de trois mois de grossesse ! Ayant refusé que son époux la soutienne, arguant qu'elle serait mieux seule, dans les jardins, elle avançait tête baissée, parmi les invités qui se faisaient de plus en plus nombreux et qui, parce qu'on n'avait pas encore commencé à manger, papillonnaient autour de la table et des mariés.

Aussi, si Thierry la remarqua arriver, en face de lui, un peu trop tard parce qu'il parlait, elle-même ne comprit que son chemin était barré que lorsqu'elle se sentit heurtée de plein fouet - il faut le dire, c'était un peu de sa faute aussi.

En revanche, ce qui n'était pas de sa faute et dont elle se serait bien passée, c'était la coupe de vin que Thierry portait avec lui dans ses errements parmi les invités. Non mais quelle idée de se promener une coupe à la main ! C'est à table qu'on fait ripaille, ceux qui se promènent du vin à la main, ce sont les serviteurs, et les ivrognes !

La robe était encore blanche du deuil de la Vicomtesse mère Ayla, le vin était... rouge ? Qui connaît la Fleur d'Oc, sait qu'il ne faut lui parler ni attirer son attention sur cette gamme d'ondes visibles. Le rouge, c'était toute sa vie, parce que depuis un certain jour, elle n'arrivait plus à le voir - au fond d'elle, elle ne comprenait plus cette couleur. Cela aurait pu être le même raisonnement sur une autre... Mais c'était le rouge.

Ses mains se mirent à trembler, parce que son deuil était entaché d'un ineffable, d'un innommable, d'un ignoble... Elle leva des yeux déments vers Thierry - qui les avait fort clairs, mais elle n'eut pas l'heur de s'attacher à ce détail.


-« Vous mêlez sur moi la mort et le néant, l'absent de tout bouquet de couleurs, ces taches que je ne sais nommer... Ces taches Sans Nom... Vous êtes le Sans Nom, Sens Nom ! Demòni ! Vous me tentez, vous voulez que je pèche par colère, que je perde ma vertu de tempérance... Ô, Gabriel, Archange de la Tempérance, soutiens-moi ! Repousse l'infâme Léviathan, Prince de Colère ! Car la couleur de ce Prince est le rouge, car il est dit dans L'Eclipse, III, La Plaine, "Alors, sortant de la gigantesque mêlée, un énorme taureau avança vers moi. En dessous de ses yeux injectés de sang, des flammes sortaient de ses narines." Ô, Gabriel ! »

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[Concernant la neurasthénie chromatique de Margot, sa piété exacerbée et toutes les folies que cela peut lui faire faire, je décline toute responsabilité.]
thierrylafrance
Thierrylafrance n'eu pas le temps de ralentir que le choc c'était déjà produit et que son verre qu'il tenait tout de même bien en main déversa son contenu sur la robe blanche de la dame. Heureusement, bon vivant qu'il était, il en avait bu la plupart. Il se jeta en avant pour rattraper la femme. Quand il entendit la femme lui parler des tâches qu'il lui avait occasionné de façon étrange... Il resta bête une seconde puis réagit
Comme vous y allez gente dame, moi Demòni ? vous me donnez beaucoup d'importance pour pas grand chose. Toutes ces palabres juste une petite tâche...

Voyant que ça réponse n'était pas au gout de la dame, il se reprit en essayant d'apaiser les esprits car les invités commençaient à se rassembler pour voir l'incident
Je me présente Thierrylafrance, seigneur des lances de la garnison d'Embrun. Vous êtes ?
Je vous prit de bien vouloir excuser ma maladresse mais j'étais tellement heureux à l'idée d'aller voir les deux époux avec mon compagnon d'arme Kernos que je ne vous ai pas vue arriver. Mais apparemment vous non plus. Il est vrai que j'aurai du finir mon verre avant de tenter un passage dans cette foule...
Enfin, comment vous faire oublier ce malheureux incident ?
Marguerite
Juste une petite tâche ? Se rendait-il seulement compte ? Non, c'était un fait. Et qui ne connaissait pas dans ses plus intimes tourments Marguerite n'aurait pu comprendre. C'était cette couleur ! Cette bâtarde, cette inachevée, finie, bornée, multiple... Il n'en fallait qu'une pour tout enserrer. Les cinq-cent rouges des tapissiers... Comment les faire un ?

Marguerite voulait se débattre, quitter ces bras qui l'aidaient à retrouver son équilibre, ces bras salvateurs qu'elle croyait être ceux d'un démon. Elle ferma les yeux, le temps d'oublier la vision d'horreur qu'elle avait eue, et le regard ensuite bien haut levé vers le grand homme, elle si petite, et pour ne rien voir de l'étoffe maculée, elle siffla avec mauvaise humeur :


-« Je n'accorde pas la moindre importance à un démon... Qui porte le nom, je l'entends bien, de ce pays qui fait ma perte...

Même si je ne prenais pas garde à mon chemin, c'est bien aux nobles hommes d'être galants, et céder le passage, respectueux de la gent qui porte leurs enfants et en endure les douleurs. Mais peut-être n'avez-vous aucune noblesse dans votre éducation, puisque c'est pas votre épée que vous semblez la devoir tout entière...

Démon, je suis Marguerite Charlotte Victorine Corteis de Volpilhat, Vicomtesse de Cauvisson, Dame d'Hermeline et de Vaux-le-Vicomte, épouse de Louis-Raphaël d'Appérault, frère de la Reyne Catherine-Victoire. Sa Grandeur mon père est Infant d'Aragon et Comte d'Urgel, et monsieur mon frère sait punir ceux qui ont le malheur de me blesser.

Alors, si vous voulez réparer le mal - si cela se peut - que vous avez fait, arrangez-vous avec dieu sais-je qui pour me trouver une autre robe blanche, ajustée à ma taille, et un lieu pour la passer. »
Umiko
Se présenta alors devant eux le jeune seigneur Cristòl qu’elle n’avait pas revu depuis un certain mariage auquel elle avait assisté en Languedoc. Ce même mariage pendant lequel elle avait rencontré son époux, sa mère… et une perruche. Messire Cristòl s’était montré fort prévenant alors qu’elle venait de se faire pincer par la dite perruche et messire Phelipe… fort enjôleur. Si on lui avait dit alors qu’elle épouserait un des ces deux jeunes hommes, rien n’était moins sûr qu’elle donne le nom de Phelipe. Mais c’était sans compter une promenade nocturne à Mende, un voyage en Lyonnais-Dauphiné, une certaine promenade en montagne, une complicité naissante…

Voilà les pensées qui traversaient l’esprit d’Umiko alors que Cristòl murmurait à son époux quelques mots qu’elle ne réussit pas à saisir. Mais la réponse de Phelipe l’informa un peu sur leur contenu. L’invitation du seigneur de Marmorières ne portait certainement pas sur des femmes, aussi devait-ce être du vin. Un plaisir que Phelipe avait choisi d’abandonner depuis qu’ils s’étaient fiancés. Un geste qu’Umiko appréciait, même si elle doutait toujours de le faire à sa juste valeur. Car si l’on restait à ce qui pouvait se dire sur son époux, avant qu’elle ne fasse sa connaissance, on pouvait aisément ne retenir que le fait qu’il aimait, au-delà de ce qu’il est raisonnable, les plaisirs de la chair ainsi que le bon vin. Cette description ne correspondait aucunement à l’homme qu’elle avait appris à connaître pendant les mois précédents, sauf peut-être pour le penchant pour le bon vin, mais pas en excès, pas devant elle en tout cas. Une page de tournée dans la vie de son époux? Umiko le pensait sincèrement.

Le seigneur de Marmorières s’étant éloigné, elle se tourna alors vers ses gens qui attendaient pour amener les premiers mets et leur fit signe qu’ils pouvaient commencer leur ballet qui durerait plusieurs heures à n’en pas douter.
Jehanne de Cassagnes
Mais en fait de présents, ce fut la mère Castelmaure, prise d'une soudaine inspiration, qui se leva pour pouvoir parler à sa bru et son fils tout d'un coup :

-« Mes chers enfants, j'ai fait mettre votre cadeau au frais, mais je crains qu'il ne se gâte si nous le laissons trop attendre... Je vous en prie, venez donc avec moi en prendre connaissance, nous n'en aurons pas pour longtemps ! »


Et elle s'inclina avec son grand sourire édenté, qu'elle voulait bienveillant.
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Véridique : une Jeanne de Cassagne fut Dame de Vergèze à la fin du XV° =)
Umiko
Quel cadeau avait donc bien pu préparer sa belle-mère pour que cela se gâte si on le laissait attendre? Pas une perruche dévoreuse de main en tout cas, fort heureusement. Les serviteurs disposaient le premier mets, il était un peu incongru de partir maintenant... enfin, si cela n'était pas long... Umiko jeta un regard interrogateur vers Phelipe, après tout, d'eux deux, il était celui qui connaissait le mieux dame Jehanne et sa notion de "pas pour longtemps".
Demons
Oui cela faisait longtemps qu'il n'avait pas croisé Freyelda, la dernière fois où il aurait pu la voir c'était le jour de son accouchement mais il avait préféré rassurer ses amis et disparaitre discrètement, depuis il n'avait pas prit le temps de lui écrire pour la félicite, et il s'en mordait les doigts. Mais il n'eut pas le temps de lui répondre qu'arriva Carnil, l'air quelque peu fatigué, à lui aussi il n'avait pas parlé depuis la disparition de Myst et Sakamps. Souriant à son arrivé Demons lui dit:
Le bonsoir Carnil, cela me fait plaisir de te voir!

C'est alors que Freyelda lui indiqua tout en emmenant Carnil d'aller prendre une place à table, en effet le repas allait tout juste être servi, il était temps de s'assoir. Suivant ses amis, renouant son catogan puis dégager son visage, il dit:

Eh bien prenons place, je me demande bien ce que nous allons déguster, en tout cas l'odeur nous donne déjà un avant goût attirant.

Soudain croyant entendre son nom, il se retourna pour voir qui donc l'appelait, mais vraisemblablement personne autour de lui était en train de lui parler, entendait il des voix? Non c'était vraiment stupide...
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