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[RP] Banquet du mariage

Phelipe
Fallait-il être suspicieux ? Ou juste heureux de recevoir un présent de la part de sa mère ? De la curiosité ou du plaisir, les deux ne laissaient le choix au non. Phelipe acquiesça d’un furtif signe de tête au regard interrogateur de son épouse puis se tourna vers Jehanne.

-« Avec joie mère, mais promettez moi de ne pas faire languir nos invités. D’aucun ne saurait boire avant moi, tel est la tradition, et je crains que beaucoup n’aient déjà soif. »

Ils se levèrent tout deux et emboitèrent le pas à l’attraction de foire.

-« Maurin, veillez à rassurer les invités quand à notre absence, nous seront bref. Où nous menez-vous mère ? »
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Jehanne de Cassagnes
-« Là où il faut, Phelipe, allons ! Ne traînons pas, que l'affaire soit faite vite, si vous voulez revenir ! »

Et elle tira par le bras Phelipe, comptant bien sur lui pour entraîner sa jeune épouse dans son sillage. Et c'est ainsi que Phelipe, Umiko et Jehanne quittèrent, pour un moment, la salle du banquet.
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Véridique : une Jeanne de Cassagne fut Dame de Vergèze à la fin du XV° =)
thierrylafrance
Thierrylafrance écoutait cette jeune femme noble hautaine lui parler d'un ton méprisant. Cela lui rappela pourquoi il n'allait que très peu aux cérémonies officielles... Pour ne pas tomber sur ce genre de personne qui à chaque parole manquai de vous faire attraper un mal de tête. Thierry n'avait peut être pas reçu la meilleur éducation qui soit mais il n'en était pas pour autant dépourvu et il ne l'a devait pas qu'à son épée même s'il était bien doté

Mon nom que j'ai peut vous déplaire par rapport à ce que vous avez vécu mais qu'y puis-je faire à moi il me sied et je suis prêt à défendre mon pays contre tout envahisseur.

Certes, j'aurai du faire attention dans mon empressement d'aller voir les époux, quand je vous ai vu malheureusement il était trop tard pour m'arrêter et vu l'allure où vous filiez si vous ne vous étiez pas arrêté sur moi cela aurai été sur une autre personne et la chute aurai pu être plus violente. Je trouve avoir montré ma galanterie en vous rattrapant. Pour ce qui est de votre enfant, votre ample robe le cache très bien.


Entendant son nom, il lui fit une révérence et lui présenta ses hommages.
Mais il s'arrêta en comprenant ses remarques désobligeantes sur sa possible éducation


Quelles leçons avez-vous à me donner sur mon éducation, je suis bien doté par mon épée, c'est certain mais ce n'est point en elle que je doit mon éducation. Je ne suis peut être pas si haut perché que vous mais aussi haut que l'on soit assis, ce n'est jamais que sur son derrière.
Vous n'avez pas un nom plus aisé à utiliser que l'énumération de tout vos titres ?
car ce ne doit pas être très pratique pour vous faire mander


Puis revoyant à la robe blanche tâchée, Thierry retrouva son calme
Ma future compagne est tisserande et est experte, elle a toujours quelques robes d'avance et pourra vous l'ajuster en un tour demain mais pour cela il me faudrait vos mesures.
Quand au lieu, Nos hôtes doivent bien avoir quelques pièces de libres dans cet immense chateau
Marguerite
Il se trompait, ô, il se trompait bien ! Mais comment aurait-il pu en être autrement ? Qui savait le problème de Marguerite avec le rouge, son problème avec la France ? Et le sachant, qui l'aurait compris ? Elle-même n'en savait rien... Elle ne comprenait pas ce rouge qui la hantait, ce besoin impérieux de le trouver, et comment elle pouvait être toujours à fleur de peau, et sensible au moindre accroc jusqu'à lui donner de folles mesures 1.

-« Vu l'allure où je filais... Vous vous moquez, je crois ? Nauséeuse, enceinte, vous avez vraiment souvenir de m'avoir vue courir ? Je marchais, lentement, mon seul défaut était alors de regarder le sol.
Il est bien heureux encore que vous m'ayez rattrapé ! Il n'aurait plus manqué à vos mauvaises manières que de me laisser tomber tout à fait... »


Elle le vit s'incliner, retrouvant son rang et quelque manière, et crut que le différend s'arrêterait là, mais il repartit ensuite sur ce qu'elle avait dit plus tôt concernant l'éducation et la noblesse que son grade à l'armée seul lui valait. Et parla de fessier et de noms...

-« Vous êtes insolent, Sènher ! Et vous vous dites galant ! Je n'ai jamais tiré de ma noblesse plus qu'elle ne m'en offrait, et j'ai de l'amitié pour bien des gens qui en ont moins que vous... Quand ils ont la politesse et le respect des rangs ! On semble ne vous avoir même pas appris, à l'occasion de votre anoblissement, qu'un noble se présente par tous ses titres, et qu'il convient ensuite de l'appeler Votre Grâce si c'est un Duc, Votre Grandeur si c'est un Comte, Monseigneur pour les Vicomtes, Messire, pour les Barons et Seigneurs... Entre nobles, vous auriez pu, aussi, si vous l'aviez appris, m'appeler "Vicomtesse", ou en étant galant, "Dame Vicomtesse"... Mais vous en savez moins qu'un sot et faites goguenard étalage de votre ignorance.
Brisons là, maintenant, ces conversations me déplaisent... »


Comme il lui parlait désormais de sa requête, et évoquait sa compagne tisserande, la Fleur d'Oc se retint de lui donner une leçon de noblesse supplémentaire, sur l'ignominie qu'est le travail manuel pour un noble, tout comme l'interdiction pour un noble d'épouser une roturière, pour conclure :

-« Si vous gagez de la qualité de l'ouvrage et si cela ne prendra point trop de temps, je vous prie, Sènher, de faire venir votre... compagne. Elle ajustera bien la robe sur moi, j'ignore mes propres mesures, qui changent vite, dans ma situation. »

Et elle garda toujours la tête et le regard bien haut, pour ne pas risquer de revoir ce qui l'avait mise dans tous ses états, ces quelques taches pourpres.

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1 :
Spoiler:
 
thierrylafrance
Thierrylafrance se rendit compte un peut tard que ses mots avaient été bien au delà de ses pensées.
Mais il trouvait cette dame étrange, ses réactions lui semblait disproportionnées... Il se dit que ce devait être ça qu'être de la haute noblesse et se promit de ne jamais en faire partie


Pour ce qui est de l'allure, j'avoue que j'ai du exagérer, je n'ai pas du me rendre compte avec ma vitesse et le breuvage a du troubler quelque peut mes sens.

J'avoue m'être très peu intéressé au respect des rangs étant donné que mon fief ne m'a été donné seulement pour le temps de ma direction de la garnison d'Embrun. Mais je vous remercie pour cette 1ère leçon de respect des rangs, j'en ferai bon usage à l'avenir.


Il commença immédiatement à utiliser le vocabulaire approprié

Dame Vicomtesse, je m'en vais la faire quérir et croyez-bien que ce mauvais souvenir sera bien vite oublié.

Je vais envoyer un garde la chercher, elle arrivera avec votre robe sous peu et en deux temps trois mouvement elle exécutera des merveilles sur vous.


Il partit sur l'instant envoyer un de ses gardes aller chercher sa douce Zoyas avec une lettre de sa part pour qu'avec elle, elle fasse porter ses outils et une robe blanche du même acabit que celle de la Vicomtesse le plus rapidement possible
Jehanne de Cassagnes
Jehanne revint bientôt au banquet et s'approcha de Maurin :

-« Le Vicomte et la Vicomtesse sont occupés, il ne reviendront pas avant un petit moment... Commence à servir les plats, je vais donner le signal du début du banquet. »

Elle tapa bien fort de son couteau sur un gobelet en métal.

*DING* *DING* *DING* *DING* *DING*


Bienvenue à tous et à toutes, et merci d'être là, si nombreux, pour fêter la noce de mon fils et de cette chère Vicomtesse de Voiron. Les jeunes mariés se sont éclipsés, je vous promets qu'ils reviendront, mais ils m'ont prié de lancer les festivités sans eux ! Alors, bon appétit à vous tous !

Et si vous avez des cadeaux pour les mariés je réceptionne aussi, surtout si ce sont des oiseaux ou de beaux bijous... »

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Véridique : une Jeanne de Cassagne fut Dame de Vergèze à la fin du XV° =)
thierrylafrance
Le garde revint seul avec un paquet sous le bras et un message pour thierrylafrance

Thierry lu le message qui lui était destiné, il venait de sa chère et tendre disant qu'elle ne pourrai passer mais qu'elle avait fourni une robe blanche qui selon la description donnée au garde par thierry correspondrai à la corpulence de la jeune femme.

Il remercia le garde et lui demanda de l'attendre à l'entrée avec les serviteurs

Il apporta le paquet à la "dame vicomtesse"

Il l'a retrouva sans peine, elle était de dos en train de rêvasser sans doute, pour qu'elle lui prête attention, il lui effleura l'épaule...
Elle sursauta...
Marguerite
-« Ah ! »

Elle soupira. A cause de cet événement, elle n'avait pu sortir dans les jardins, s'aérer, elle que des vertiges prenaient.
Elle s'efforça de sourire, et dit :


-« Bien... Maintenant, Sènher, aidez-moi donc à gagner un lieu paisible où je saurais me faire aider d'une camériste de Voiron pour m'habiller... Je suis trop faible pour le faire seule. »
thierrylafrance
Thierry voyant son sourire l'invita à le suivre

j'ai fait le tour du château en attendant la robe et j'ai vu une pièce qui semblerai parfaite, elle est à l'écart et personne ne viendra vous y déranger, il y a juste un couloir à traverser.

Elle le suivit
Ida
Voilà quelques temps déjà que la Vicomtesse et le Vicomte avaient quitté la table pour aller elle ne savait où. Mais leur absence, alors que le premier mets avait été desservi et que les convives entamaient désormais brouets d’anguilles et de cailles, cretonne de pois cassés et porée blanche, la rendait maintenant perplexe. Elle ne savait pas encore à quoi s’en tenir, en tant que domestique, pour messire Phelipe, mais elle était depuis assez longtemps au service de dame Umiko pour savoir que faire attendre ses invités n’étaient pas dans ses habitudes.

Dame Jehanne était revenue seule, assurant que la Vicomtesse et le Vicomte reviendraient…

Mais ils n’étaient pas revenus, contrairement à ce que dame Jehanne avait assuré, il devait y avoir eu un imprévu ou quoi que ce soit d’autre qui requerrait leur attention. Dame Jehanne était la mère de messire Phelipe après tout et la dernière personne à les avoir vus, si elle ne s’inquiétait pas encore de leur absence, c’est que tout devait aller pour le mieux. Et puisqu’elle, Ida, n’avait pas été mandée, c’est que la Vicomtesse et le Vicomte n’avaient pas besoin, pour l’heure de ses services.

Elle repassa alors en mémoire la succession des plats à venir, essaya d’estimer combien de temps allait durer le banquet, combien de temps elle pourrait dormir avant de devoir se lever pour être prête au moment d’apporter le petit-déjeuner à dame Umiko et à messire Phelipe. Tant de préoccupations qui lui occuperaient l’esprit jusqu’à ce qu’il soit temps de desservir la table et de servir le troisième mets.
Vanyel
Les brouhaha ambiant la.. berçait !
Les voix se mêlaient et se fondaient en une masse qui traversait sans s’attarder outre mesure sous son crâne et s’évaporait plus vite qu’un bouteille de vin à une assemblée nobiliaire languedocienne… s’était tout dire de l’état d intense concentration qu’il lui fallu pour se rendre compte que la mère de Phelipe avait pris en charge les jeunes mariés et était partie Aristote sait où pour revenir et hurler que les festivités devaient être lancées en leurs noms et qu’ils étaient occupés.

Après avoir réussi à chasser la voix (trop) pénétrante de la marâtre de son cerveau (ça l'avait au moins "réveillée"), étrange, pourtant le reste n’arrivait pas à attirer plus de quelques fractions de seconde son attention, elle regarda bêtement les places vides à ses côtés. Bon ça lui laissait l illusion qu en attendant elle pouvait trouver quelque idée de présent pour les noces.
Peut-être des roses blanches, disposer dans la chambre nuptiale. Sa marraine les aimait, peut-être que cela rendrait la pièce plus agréable à ses yeux, quoiqu’elle ne s’y intéresserait sans doute pas vraiment… Et un neurone de fonctionner et de crier « c est l hiver, oublie les roses ».. autant pour cette idée.

Elle joua distraitement avec sa cuiller, remuant le brouet qu’on lui présentait. Non, pas d’appétit, mais ça ne datait pas d’aujourd’hui et tant qu’elle n’y serait pas retournée pour.. pour quoi ? c’était bien là le fond du problème. Pourquoi y aller ? pourquoi ne pas y aller ? aucune des deux perspectives ne l attirait, le seconde prévalait pour l’instant sur la première, cette même première demandant plus d’énergie qu’elle n’en avait pour le moment.

Elle arrêta de faire semblant de s’intéresser à la nourriture. Il faudra bien pourtant, la tête lui tournait, encore. Elle se leva doucement, et partie discrètement de la grand salle, faire un tour, aller prendre l’air, et essayer de trouver une fichue idée pour sa marraine, et tant qu’à faire si ça pouvait plaire à son époux.. mais bon, il faudra que ce soit autre chose que du vin, ses clefs étaient déjà gardées par Russo. Et elle se mit à déambuler songeusement dans les couloirs, se dirigeant vers les jardins endormis par le froid, le tissu fin et décousu de ses pensées dérivant vers une cuisine et des escaliers… maudits escaliers.
Stela2
Dans le brouhaha animé des convives, Stela assistait au banquet de noce. Les premiers mets avaient été succulents. Stela manquait cependant un peu d'appétit, regretant sans doute l'absence de son bien-aimé à ses côtés. Des serviteurs moult nombreux servaient à présent un brouet d'anguilles et de cailles accompagné d'une cretonne de pois cassé et porée blanche.

Les deux époux s'étaient absentés et semblaient tarder à revenir. Stela sourit lorsqu'elle vit dame Vanyel se lever à son tour. Elle jeta un oeil sur le cadeau qu'elle souhaitait offrir au non de son bien-aimé et d'elle même aux mariés dès qu'ils reviendraient. Il était toujours là.


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Stela2 (Embrun, Duché du Lyonnais-Dauphiné)
Phelipe
Mère, mère, où êtes vous donc ? Vous me le paierai cher, Maman. Je vous savez folle mais pas inconsciente, n’éprouvez-vous donc pas le moindre respect pour votre fils ou votre belle-fille ? N’y a-t-il rien depuis Feu père qui sache vous contrôler vos pulsions délirantes ?

Une séance de remise en coiffe rapide et un brin de dépoussiérage des habits plus loin, ils revinrent enfin dans une discrétion nulle face aux invités. La totalité des visages étaient tournés vers eux, cherchant avec une politesse fort mal simulée la raison de cette longue absence. De seul son frère osa, parce qu’il ne fût rien qu’il n’osait, s’approcher de Phelipe et lui demander de percer le mystère.


-« Mon cher frère, nous buvions et copulions enfermés à la cave. »

Ce qui n’eut d’autres effets que de déclencher le rire franc et fort de l’ainé qui semblait trouver l’occupation saucissonnante de drôlerie. Aux autres, il n’adressa qu’un signe de tête et un sourire mi-figue mi-raisin en guise d’excuse.

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Umiko
De retour dans la salle du banquet (enfin !), tous les visages se tournèrent vers eux. Voyant subrepticement que le deuxième mets était sur le point d’être desservi, Umiko ne put s’empêcher de se demander combien de temps ils avaient réellement été absents… Au sourire mi-figue mi-raisin de son époux et à l'éclat de rire de son beau-frère, Umiko ajouta pour les convives :

-« Je vous prie de nous excuser pour cette absence. Il nous a fallu plus de temps que prévu pour*petite hésitation le temps de choisir ses mots*apprécier toute la teneur du présent que nous a fait dame Jehanne. J’espère que vous avez apprécié les premiers mets et qu’il en sera de même pour les suivants. »

Elle fit alors un petit signe de tête vers les servantes, leur indiquant ainsi qu’elles pouvaient continuer leur travail et s’assit à sa place, espérant que sa filleule et son parrain ne lui demanderaient pas ce qui les avaient retenus si longtemps, elle et Phelipe, et évitant de regarder sa belle-mère, déjà heureuse d’avoir réussi à rester neutre dans les propos qu’elle venait de tenir.

Constatant que la place de sa filleule était vide, elle s’enquit alors auprès de dame Stela de l’absence de Vanyel.
Vanyel
Elle avait fait un tour dans les jardins, sans voir de trace d Umiko ou Phelipe. Ou diable avaient-ils bien pu aller ? Autre question : qu’est-ce qui pourrait leur convenir comme cadeau de mariage ? Franchement, ils avaient déjà tout, ou c’est ce qu’il lui semblait en tout cas. Enfin, peut-être que c’est quelque chose qu’il faudrait leur enlever plutôt. Genre.. une belle-mère. Mais leur offrir une semaine de paix en promenant la marâtre, était-ce vraiment quelque chose de réalisable ? Probablement pas, la bonne femme semblait douée pour être là quand elle n’était pas vraiment souhaitée.

Elle frissonna et rebroussa chemin vers l’intérieur. Il ne manquerait plus qu’elle attrape la mort le jour des noces d’Umiko, ça ferait un peu trop mauvais augure à son goût.
Dans les couloirs, pas de trace des mariés, juste les domestiques qui semblent avoir plus qu’assez de choses à faire en ce jour. Elle hésite à retourner un instant dans sa chambre, essayer d’être au calme, pour, hypothétiquement, avoir plus de chance de trouver une quelconque idée lumineuse... mais finalement non, il y a trop de marches, et elle se décide contre prendre ce risque. Il faudra donc qu’elle rêvasse dans la grand salle.

D’ailleurs, elle y retourne, là-bas où il y a les convives et le banquet et.. oh surprise, les mariés. Mais qu’est-ce qu’ils font là ? Sans doute qu’ils sont revenus alors qu’elle déambulait ailleurs. Ils sont le pôle d’attraction de la plupart des regards, de telle sorte qu’on ne la remarque guère arrivant à nouveau, entre pages et servantes navigant entre ici et les cuisines.

Elle sourit à sa marraine et dame Stela en reprenant sa place, hausse un sourcil. Umiko a les yeux qui brillent, le regard un peu fiévreux. Malédiction. Pourvu qu’elle ne soit pas tombée malade. Pourvu que la bête immonde nommée Murphy ne s’en mêle pas. Respirer calmement. C’est ta bosse sur ton crâne qui te fait voir des choses ma pauvre Vanyel. Tout se passe bien, arrête d’halluciner. M’enfin quand même, une petite prière pour dire au Très Haut de bien vouloir être aimable et de fiche la paix à sa marraine, avec un « s’te plaît m’sieur », peut-être que ça aidera, ou non.
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