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L'Editorial le Volte-Face

Laceter
Dimanche 29 Novembre de l'An 1457 à la Saint Destin

Proverbe: à la Saint Destin, n'écoute que ton Coeur et fais attention aux intentions d'autrui qui t'éloignent de ton chemin...

QUAND LA JUSTICE PORTE BIEN SON NOM ET SAIT ETRE RECONNAISSANTE DANS SON VERDICT...

Tandis que les commentaires afflués sur la Chartre de Fougéres et ses décrets et qu'on voulait bien nous faire croire que le décret de Messire Pipich49 n'était valable pour pouvoir placer et mettre en place celui de Messire Xoff, la Cour de Justice souleva tous les points dominants de cette affaire qui ne s'arrétait pas qu'au simple fait de la validation d'un décret mais aussi qui a mit à mal les élections municipales et l'esprit de certains électeurs sans compter ceux et celles qui n'étaient absolument pas au courant des dessous de cette histoire:

Gardons donc l'esprit froid et impartial et prenons donc connaissance du verdict de la Cour de Justice, dans cette affaire:


Citation:
Qu'on écoute, qu'on lise, qu'on s'informe nom d'un kiki
Qu'on sache, qu'on apprenne et qu'on retienne tout cela
Pour qu'à l'avenir telle chose ne se reproduise pas
Et que jamais personne cette décision n'oublie.

Dirak Doue hag an dud;
Au regard de la Constitution et de la charte de Fougères :

Da gentan, en ce qui concerne la validité du décret de Pipich49 en date du 1er juin 1457 :

Eu égard au fait que la modification apportée par le décret à la charte de Fougères a été librement consentie par le duché et par le maire,
Eu égard au silence de la Constitution sur l'acte juridique susceptible de pouvoir modifier la charte d'une ville,
Eu égard à la nature règlementaire et donc équivalente des deux actes, rendant possible la modification d'une charte par décret,

La modification par décret de la charte, et par conséquent de la réduction de la durée minimale de résidence dans la ville pour pouvoir se présenter aux élections municipales est conforme au droit.

D'an eil, en ce qui concerne la validité du décret du Xoff, en date du 14 novembre 1457 :

Eu égard au fait que pour annuler le décret de Pipich49 et revenir à l'ancienne obligation de résidence, modifiant par là même la charte de Fougères, le maire aurait du obtenir l'accord du duché,
Eu égard au fait que le maire de Fougères n'a pas obtenu ledit accord,
Eu égard au fait qu'il n'est pas prévu dans la charte de Fougères d'un quelconque pouvoir de modification unilatérale,

Le décret pris par Messire Xoff est inconstitutionnel.

D'an trede, en ce qui concerne la possibilité pour le sieur Audomare à se présenter aux élections municipales :

Eu égard au fait que lors du dernier recensement, effectué le 21 octobre 1457, la résidence du sieur Audomare a été certifiée,
Eu égard au fait que la condition de résidence de 15 jours est manifestement remplie,

Le premier moyen est donc bien fondé.

La Cour de Justice déclare :

- l'annulation du décret de messire Xoff en date du 14 novembre 1457.

- la reconnaissance de la validité du décret de messire Pipich49 en date du 1er juin 1457.

- le droit du sieur Audomare à se présenter en toute légalité aux élections municipales.

Ar varn a zo roet,
E Naoned,
d'ar Gwener 27 a viz Du 1457.



QUAND CES MESSIRES NE VEULENT QUE DES HISTOIRES SANS LENDEMAIN, UNE VOGUE EN VOIE D'APPARITION...

Et bien oui, c'est un nouveau mouvement et concept qui vient d'arriver en notre bonne ville de Fougéres!

Le principe en est simple: toute l'honnéteté des hommes de vous faire part de leur simple envie de passer du bon temps sans se soucier des sentiments d'autrui...

Un regain de ce comportement vient donc d'être remarqué et cela ne s'arréte pas là. Non, ces messires ont aussi une autre fonction tout aussi lucrative qu'ils semblent prendre trés au sérieux et réitirer autant de fois qu'ils le peuvent en toute impunité!

Alors Mesdames, si la tristesse vous étreint le Coeur et si la vie vous parait morose, faites donc bien attention qui veut vous aider, vous protéger ou bien faire miroiter de beaux lendemains.

Ne laissez donc pas ces Messires vous enlever tous vos pétales avec des je t'aime, un peu, beaucoup, passionnément,à la folie...Oui à la folie quand ils ont obtenus ce qu'ils voulaient et pis du jour au lendemain, ne voyant plus aucun pétale, ils en effeuillent une autre ou bien s'en retourne avec celle qui leur est destinée depuis toujours!

Car dans la jungle des pulsions de ces Messires, tous les coups sont permis et là où s'y attend le moins, se trouve la trahison, l'infidélité, la jalousie et la rancune.

Sur ce l'éditorial s'en remet à vous Mesdames pour faire un peu de ménage et bien sûr, remettre à leur place ces Messires qui comptent fleurette sans se soucier du mal qu'ils font et ne font que penser à leur plaisir.



Laceter de Bellefort
Directeur et Rédacteur en Chef
_________________
Laceter
Lundi 30 Novembre de l'An 1457 à la Saint André

Proverbe: à la Saint André, les dés sont jetés!


FOUGERES ET SES FOUS QUI GERENT....

Fougéres, ville emblématique, synonyme de vie, de fête et de joie en ce mois de Novembre a été prit sous le feu des élections ce mois-ci...Petite présentation générale de celle-ci.

ADMINISTRATION

Le bureau de la Mairie a donc subit une onde de choc et un séisme lors de la prise de poste de la nouvelle mairesse Dame Mann3. Suite à sa victoire, en effet, elle aurait été aperçut en train de danser et de rire avant de prendre en main tous les dossiers et l'avenir du village.

Le bureau des Tribuns est toujours dirigée par Dame Nanou fidéle à son poste depuis plusieurs mandat et apprend les vertues du chouchen aux nouveaux venus et les encadre promptement vers la voie d'Aristote par le biais du baptéme leur proposant d'ëtre guider par un parrain et une marraine.

Un bureau de présentation de bienvenue est tenu pour accueillir tous les nouveaux arrivants en la ville.

Un bureau est aussi mis en place pour tous les événementset informations éménant du Conseil Ducal.

Un bureau du Cadastre dirigé par Dame Mann3 qui vous remet les clé d'une éventuelle maison où vous pouvez faire la connaissance de vos voisins et inviter vos amis des soirées.


ARMEE

Le campement de l'Ost de Retz depuis quelque mois nous dévoile la vie quotidienne de leur rôle, de leur devoir et de leur action à protéger cette ville.

Depuis peu, ils ont laissé leur campement pour poursuivre leur travail en caserne.


RELIGION

L'église Saint-Sulpice prit en main depuis peu par le Pére Arzhel a vu donc le baptéme de Dame Mimikinette et le mariage de Dame Callista et Messire Slicer59.

LES FEUILLES DE CHOUX

Une gazette populaire, le Vide-Grenier, dont les plumes de Messire Josiver, Dame Zabou et Dame Gaya25 viennent donc avec humour et dérision vous faire part de la vie du village en toute simplicité, amitié.

Un éditorial, le Volte-Face, laisse les plumes de Messire Laceter de Bellefort, Dame Petite-Fleure et Messire Cebri venir relater l'ensemble des informations du village et du Duché sur tous les domaines.


SANTE ET MEDECINE

Depuis quelques mois, deux activités axées sur le bien-être et le soin des personnes a été mis en service.

Le dispensaire de l'âme de Dame Ambroisine qui traite tous les maux psychologiques par une écoute attentive et une aide journaliére dans les gestes d'autrui pour qu'il retrouve un peu de dignité et leur place dans la vie sociale.

L'Herboristerie de Dame Precio qui offre des soins à base de plantes et de médication. Les blessures corporelles, superficielles ou graves sont tout de suite prises en charge.


POLITIQUE

Une salle de débat vient d'être lancée,par Messire Laceter de Bellefort pour les villageois qui souhaitent débattre d'un théme.

Théme du mois: le décret de Messire Xoff et ses conséquences sur les élections...Et un point du programme de Messire Audomare sur le rôle du Conseil des anciens.


LIEUX CULTES

Le Lac de Fougéres lieu privilégié depuis toujours offre toute la simplicité, la beauté et le recueillement devant un spectacle d'une aussi rare sérénité.

La Pointe de Bliche,prés du lac, découverte depuis peu par Messire Oban semble être le lieu privilégié de certains adeptes du druidisme.


UNE PLACE DE CHOIX POUR LES POETES

La plume ne sert point qu'à informer mais aussi à nous bercer par des mots lancés en prose pour mieux charmer, attiser, s'ouvrir, se livrer...Et partager notre vie quotidienne au rythme de nos émotions.

Poete amateur ou exercé, c'est ainsi que Dame Rhadia vous ouvre les portes de son Salon des Poétes, que Messire Laceter de Bellefort vous invite à l'Hymne à l'Amour et que Dame Feyrak vous initie au petit coin de Cheminée pour réver...


JEUX

Le Jeu sans Fin comme il l'indique poursuit donc son petit bout de chemin sans lasser personne et bien au contraire inciter bien grand nombre à se surpasser en trouvant des synonymes et en développant leur vocabulaire...Merci à Dame Sorka5...

Le Jeu en taverne de Messire Neveu, qui existe depuis un bout de temps semble prendre de l'ampleur. Pas encore intitulé, cependant, nous pourrions le qualifier de Questions pour des Bretons...


ANIMATIONS

Dame Maelfea lance une cueillette de champignons à travers les mystéres de la fôret au contact avec Dame Nature et de ses animaux.

Messire Laceter de Bellefort met à disposition une Galerie d'Art et d'Exposition pour tous les artistes et toutes les formes d'Art. Chaque semaine, un théme est proposé.

Messire Cebri vous conte avec beaucoup de réalisme le patrimoine de la ville .

Messire Laceter de Bellefort tente tant bien que mal de comprendre l'une des tâches rudes ménagéres de ces Dames en s'exerçant sur la place du Lavoir...

Dame Precio vous propose de venir vous reposer et vous restaurer à son Auberge des Souvenirs, cadre agréable et calme.

Messire Laceter de Bellefort initie à la vie en taverne dans l'Antre de la Passion**


INSOLITE ET MAGNIFIQUE

Messire Angegard vient de lancer un lieu dans le but de regrouper des objets insolite dans un Cabinet des Curiosités. Chaque objet déposé aura une information ou bien une hsitoire à dévoiler.

Magnifique Histoire d'Eau, le début d'un vague à l'Ame d'une Moule parmi les sirénes...Petite Moule originale tombée amoureuse d'une huitre fermée par son passée...Dame Andreys nous fait partager ses émois...


EVENEMENTS RECENTS TROUBLANTS

Les élections

Messire Xoff qui laisse sa place de Maire sans se réprésenter laisse derriére lui un décret du 14 Novembre 1457 qui pénalise tous les candidats en course sauf Dame Mann3. Messire Audomare saisit donc la Cour de Justice pour justifier de son éligibilité aux élections municipales. Malgré le soutien en force de la liste ducale Bomb pour scander un soutien à celui-ci et l'accord de la Cour de Justice pour accepter sa candidature, Dame Mann3 devient la mairesse de Fougéres!

Le Campement de l'Ost de Retz

Suite à une recrudescense de blessés au campement, Dame Precio fait appel aux civils pour venir porter leur aide et la soulager dans sa tâche.

Messire Laceter de Bellefort et Dame Petite_Fleure se présentent pour apporter réconfort, soigner et aider.

Au bout de deux jours, leur présence sur les lieux sans autorisation pose probléme et bientôt ce qui fut un simple geste d'entraide devint une affaire administrative avec des sanctions à l'appui.

Malgré une lettre de soutien de la part du couple pour ne pas prendre de sanction vis à vis des sentinelles, leur action reste vaine et en suspend.



Laceter de Bellefort
Directeur et Rédacteur en Chef
_________________
Petite_fleure
Mardi 1 décembre 1457

Titre de l'Éditorial

- Les Lavandières de la nuit
- Kouign Amann

Bonne lecture a vous !!!!!

LES LAVANDIÈRES DE LA NUIT

Les Lavandières de la nuit…Ces âmes errantes hantent de nombreuses cultures. La Bretagne, Terre de Légendes, se l’est tout naturellement appropriée. La naissance de cette légende est ancrée dans les lavoirs et fontaines ; près de son voisin l’Ankou, dans le Yeun Ellez (Monts d’Arrée).
On raconte que ces lavandières ont été punies jusqu’au jugement dernier. Ces laveuses de vêtements, dans leur avarice, ont voulu économiser leur savon. Ainsi pour laver les vêtements des pauvres, elles préféraient user de cailloux, abîmant ainsi fortement leurs vêtements. Ceci leur valu, lors de leur mort, d’être condamnées à laver indéfiniment des vêtements, lors de nuits sans lune et sans étoiles, dans ces mêmes lavoirs où elles avaient jadis travaillé.

Pour se venger, elles interpellent les passants, les entraînant à les aider à essorer et étendre le linge. La seule façon de ne pas finir les membres brisés et étouffés dans les linceuls est de tourner toujours les suaires dans le même sens. Ainsi, la lavandière, voyant que son travail n’en finit pas, se lasse et laisse sa victime libre.
On retrouve dans les différentes cultures quelques divergences : elles seraient les lavandières préposées à laver les défunts et leurs vêtements, ne trouvant pas le repos éternel ; ou encore de mauvaises mères condamnées à laver les langes de bébés morts sans avoir été baptisés.

En réalité, deux théories ont été « élaborées » : les bruits perçus la nuit seraient dus à des grenouilles très bruyantes. L’autre théorie relève du fait que certaines femmes ne trouvaient autre moment dans la journée pour faire leur lessive et s’y attelaient dès la nuit tombée.

Je vous défie tout de même de vous aventurer au lavoir communal si vous y entendez quelques battements de bois lors d’une nuit sombre…
D’ailleurs, ce récit recueilli d’un ancien devrait freiner votre témérité…C’est l’histoire de Job Postic…

Il y a bien longtemps, Job Postic, la veille du jour des morts, était aller (trop !) boire ; la nuit venue, il se met en chemin ; il rencontre l’Ankou, reçoit plusieurs avertissements, mais continue sa route et croise les lavandières.
Dès qu'elles aperçurent le joyeux compagnon, toutes accoururent avec de grands cris en lui présentant leurs suaires et lui criant de les tordre pour en faire sortir l'eau ;
" Un petit service ne se refuse pas entre amis, dit il gaiement, mais chacune son tour mes belles lavandières, un homme n'a que deux mains, pour tordre comme pour embrasser ".

Il déposa son bâton de marche à terre et pris le bout du drap que lui présentait l'une des mortes, en ayant soin de tordre du même côté qu'elle car il avait appris des anciens que c'était le seul moyen de ne pas être brisé.
Mais pendant que le linceul tournait ainsi, d'autres lavandières entourèrent Job, qui reconnut là sa tante et ses soeurs, sa mère et sa femme. Toutes criaient : " Mille malheurs à qui laissent brûler les siens dans l'enfer ! Mille malheurs !"
Et elles secouaient leurs cheveux épars, levant leurs battoirs blancs, et criant " Mille malheurs!"

Job sentit ses cheveux se dresser sur sa tête ; dans son trouble, il oublia la précaution prise jusqu'à lors et se mit à tordre de l'autre côté. A l'instant même, le linceul serra ses mains comme un étau, et il tomba broyé par les bras de fer de la lavandière...



KOUIGN AMANN

Ahhh ! Le kouignn amann...... Un gâteau unique et sans imitation possible tant son goût est remarquable. Je ne vous en parlerai pas plus longtemps mais sachez que si vous passez un jour par chez nous, n’oubliez pas d’y goûter… Une fois suffit, c’est presque transcendantal ! Par contre, même si je vous en donne la recette, je vous mets bien au défi de le réussir du premier coup. J'ai essayé, rien ne vaut les kouign amann de boulangerie: toujours parfaits ! Enfin, si vous le faites vous même, mangez le tiède, c'est encore meilleur !

Ingrédients :

- 300 g de farine
- 2 sachets de levure de boulanger
- 2 dl d'eau
- 250 grammes de sucre
- 250 gramme de beurre
- 1 jaune d'oeuf

Préparation :

1 Délayer la levure avec un verre d'eau tiède et une cuillère à café de sucre..Laisser reposer pendant 5 mn.

2 Mettre dans une jatte la farine et y ajouter le contenu du verre petit à petit. Travailler la pâte. Elle doit être tout juste collante aux doigts.

3 Mettez le four à préchauffer. Laisser reposer 30 mn.

4 Étaler la pâte comme une grande crêpe en rajoutant de la farine si le rouleau colle, la recouvrir de lamelles de beurre, saupoudrer largement de sucre et plier en quatre.

5 Étaler la pâte à nouveau et plier une deuxième fois en quatre pour obtenir une pâte feuilletée. L'aplatir pour lui donner la forme du plat qui va être utilisé.

6 Badigeonner le dessus au jaune d'oeuf et faire cuire au four 25 minutes.

Hummm appétissante cette recette .....Miam-Miam !!!! et belle légende mais attention a vous en allant au lavoir au centre de fougère ....On ne sait jamais si des fois elles était encore présente les Lavandières.....

Je vous souhaite une bonne journée a tous ....!!!

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«¨`•.¤ FLEURE ¤.•´¨»
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Moi j'ai besoin de ta tendresse, de tes baisers, de tes caresses.....
Laceter
Mercredi 2 Décembre de l'An 1457 à la Saint Viviane

Proverbe: à la Sainte Viviane, tout le monde planque la tisane!

RESPECT QUAND TU NOUS TIENT...

Le mot respect vient donc tous les jours aux oreilles et tout le monde le remet sur le devant de la scéne selon leur goût, leur sauce et leur envie.

Le respect est une attitude d'acceptation, de consentement et de considération, le plus souvent tacite, envers une personne, une chose ou une idée.

Issu du latin "respicere" signifiant "regarder en arrière", le respect évoque l'aptitude à considérer ce qui a été énoncé et admis dans le passé, et d'en tirer les conséquences dans le présent. On peut ainsi parler du respect d'une promesse, du respect d'un contrat ou du respect des règles d'un jeu.

Le respect appliqué à une personne prend un sens plus proche de l'estime, et s'appuie sur l'aptitude à se remémorer les actes accompli par une personne dans le passé, lorsque ceux-ci sont dignes d'êtres reconnus.

Le respect ne doit pas être confondu avec la tolérance, car celle-ci n'a pas les mêmes motifs, et contrairement au respect, elle n'est pas incompatible avec le mépris.

On dit du respect qu'il se mérite ou se gagne

Comme l'indique l'étymologie, le respect est absolument nécessaire à toute organisation sociale car il donne de la valeur aux règles et aux lois édictées dans le passé. Par son aptitude à se figurer soi-même au moment où il s'est engagé à suivre ces règles, chaque membre de la communauté s'engage à s'y conformer, à les respecter.

Sans le respect des lois et du vote démocratique, les forces de l'ordre ne peuvent exercer d'autorité naturelle, et ne peuvent avoir recours qu'à la coercition. Sans un minimum de respect des institutions de la part du peuple, une démocratie perd donc son sens et tend soit à se rapprocher d'une dictature, soit à sombrer dans l'anarchie.

Dans les sociétés à forte structure familiale et hiérarchique, le respect s'impose aussi à l'égard des anciens. Ce respect, a priori basé sur l'idée que les anciens sont parvenu dans le passé à surmonter les difficultés et à élever les générations suivantes, est un lien indispensable à l'entraide entre générations et à la transmission des savoirs.

La valeur respect émerge aujourd'hui comme une exigence première dans les relations interpersonnelles. Le respect mutuel est considéré comme le fondement de la paix sociale. Être respecté est un signe de citoyenneté.

La valeur respect peut se définir comme une forme de politesse débarrassée des hypocrisies et des visées ségrégationnistes de la politesse classique.



Laceter de Bellefort
Directeur et Rédacteur en Chef
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Laceter
Jeudi 3 Décembre de l'An 1457 à la Saint Xavier

Proverbe: à la saint Xavier, certains postérieurs auraient bien besoin d'un coup de pied!

L'éditorial va donc vous venir vous parler d'une affaire qui pourrait, si le voulez, remettre aux goûts du jour, la soi-disante idée de créer un mouvement d'auto-justice pour remettre à leur place ses bandits et brigands qui se permettent de sévir sans scrupule.

Même si ce sentiment est louable quoique périlleux, ne l'oublions pas. Et bien force de constater qu'il ne vaut pas mieux que l'armée normande qui fauche à tour de bras, que les bandits et les brigands eux-mêmes.

Encore une fois là où l'aide, le geste et le vouloir prone une bonne action, celle-ci ne donne que des résultats accablants.

A défaut de ne point rire de cette affaire et de ses circontances, il serait bon aussi de rappeler que certaines conversations ne sont pas à mettre entre les oreilles de tout le monde et malheureusement, ce qui en font les frais ne sont ceux ou celles qui lance l'idée mais ceux et celles qui la mette en pratique.

Petit détail à rappeler ici qui n'est pas des moindres, c'est que l'acte de dépouiller les passants est un acte automatique qui est aléatoire et impossible de savoir à l'avance les personnes qui en seront victimes.

A moins que sur ce point, l'éditorial se trompe, il aimerait bien avoir des informations sur le sujet, merci!

Alors c'est bien beau de vouloir faire justice soi-même mais on ne combat pas un acte ignoble par un autre acte ignoble.

C'est ainsi que l'on engendre la violence, l'anarchie et ke fanatisme!

A se demander finalement si ce n'est pas ce que vous souhaitez à la fin.

Voici donc l'affaire ou les affaires en cours pour relater cette aide soudaine d'auto-justice pour chasser les brigands et les bandits de nos terres et les consequences de l'arroseur arrosé...


QUAND MESSIRE KAYENN SE FAIT JUSTICE LUI-MEME...

Messire Kayenn se retrouve ainsi devant le Tribunal accusé de trouble à l'ordre public pour avoir dépouillé Messire Fredobzh...

Pour justifier son acte, Mssire Kayenn explique avoir été lui-même quelques jours plus tôt dépouillé de tout ses biens et de son labeur d'une toute une vie par un pilleur du nom de Bouchebée.

Criant à la vengeance, il décide donc de rebrousser chemin et d'aller récupérer ses biens et rendre de la monnaie de sa piéce à ce brigand.

Comble de l'histoire, au lieu de s'en prendre à Messire Bouchebée, il fait acte de brigandage sur Messire Fredobzh qui ne demande rien.

Messire Kayenn a renouvelé ses excuses à la victime mais celle-ci semble bien vouloir que justice soit faite malgré la situation quelque peu cocasse et inhabituelle de cette affaire!


On pourra dire que Messire Kayenn a bien gagner sa journée entre avoir tout perdu, dépouillé un innocent et se retrouver devant le tribunal.

Cela donnera peut-être à réfléchir...


A réfléchir que les lois sont pour tout le monde pareil et qu'un acte est un acte, et une parole est une parole. Même si certains points peuvent êtres des circonstances atténuantes, il est quand même bien grave de compter sur ça pour justifier ses gestes tout honoreux ou courageux qu'ils puissent être!

L'éditorial vous donnera l'affaire compléte dans un article à venir dans l'attente du jugement définitif.


Laceter de Bellefort
Directeur et Rédacteur en Chef
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Laceter
Dimanche 6 Décembre de l'An 1457 à la saint Nicolas

Proverbe: à la Saint Nicolas, on ne baisse pas les bras!

REGAIN DE MOUVEMENT SUR LA HALLE DE NOTRE VILLAGE...

Tandis que le conseil municipal n'a guére changé et que l'attente d'animations nouvelles se font rares et latentes, on se croisant les doigts, ce type de comportement permet ainsi de valoriser la fonction de certaines personnes alors qu'elles ne les ont absolument pas remplies.

Que de neuf pour notre vie sociale ?

Et bien malgré les attaques diverses sur les routes des alentours de Fougéres, de brigands qui sévissent, ceux-ci n'ont aucune honte et arborent fiérement leur volonté de pursuivre leurs méfaits et sévices sordides...

Grande surprise et grande curiosité pittoresque de Fougéres qui vient d'être découverte, un dolmen. Mais oui, mais oui...Quand à la suite de cette découverte, nous vous laissons le soin d'en prendre connaissance!

Deuxiéme culte druidique sur la pointe Bliche, au Lac de Fougéres. On se demande encore d'ailleurs combien de nom on lui donnera à ce lac. Parier qu'aprés la Pointe nous aurons le Pic. C'est donc à cet endroit précis que réguliérement un adepte du druidisme s'adonne à des bains de nuit dans un rituel des plus consciencieux. entre fumée d'encens, dialecte cantique et le risque d'une bonne angine de poitrine. Et pour poursuivre dans cet élan de vie proche de la nature, on peut aussi voir la construction d'une batisse qui prend forme petit à petit...

Alors qu'une magnifique histoire d'amour venait de prendre forme dans les fonds marins et dépeinte avec beaucoup d'originalité, celle-ci vient d'être complétement dénaturée par l'apparition soudain d'un délire d'un damoiseau totalement décalé et dont ses aventures fientiques laissent bien débutatif...

Quand à la fôret lointaine dont le but était une cueillette de champignons, il semblerait que ce soit la cueillette d'un ourson qui soit préféré!

Voilà le tour est fait....Merci pour ses nouveautés!



Laceter de Bellefort
Directeur et Rédacteur en Chef
_________________
Laceter
Mardi 8 Décembre de l'An 1457 à la Saint Parlement

Proverbe: à la Saint Parlement, quand on débat dans le vent...

Le rêve de nombreux bretons et bretonnes est donc de prouver son attachement à la Bretagne et de passer sa vie à faire preuve par des solutions différentes de son engagement sans borne.

On lui conte une bien belle histoire que pour être actif au sein de l'histoire et participer à son essor, le passage de la citoyenneté pourrait l'aider, voir le former à la vie sociale et politique de la Bretagne.

Il peut aussi de par sa voix de vote avoir et apporter du poids à ses idées et même contribuer à réécrire les lois de la Constitution.

Et tandis qu'on continue allégrement à nous faire croire que notre parole est entendue et reconnue, nous retrouvons cependant le même concept que sur les débats en place public, c'est-à-dire, les éternelles rixes verbales.

Et malgré tout le respect que ce lieu est censé nous rappeler ainsi que la Liberté et la Démocratie, nous pouvons cependant constater que rien n'est respecter.

Et tandis que La nouvelle Présidente du Parlement Dame Pumae vient à peine d'être élue et commence à peine à faire ses épreuves, certains et certaines, pensent déjà regretter leur vote en sa personne et le dire verbalement à haute voix.

Certes la démocratie peut bien nous laisser le choix de dire ce qu'on veut ou ce qu'on pense mais il est bon de ne pas mélanger ses pensées personnelles de conviction et de principe à celles instaurées pour les débats au Parlement.

Petit rappel donc des régles à suivre:


Citation:
De récentes et beaucoup trop fréquentes dérives, nous conduisent malheureusement à devoir durcir la discipline de notre Parlement.

Il n'est plus tolérable et il ne sera plus toléré, que de nouveaux ou plus discrets parlementaire n'osent prendre la parole, de peur de se voir rabroué ou pris à partie par d'autres.

D'autre part, le Parlement n'est pas un champ de foire où l'on s'interpelle sans tenue, où l'on parle de la pluie, du beau temps ou des derniers potins de tavernes.

Ceux qui ne peuvent comprendre celà n'ont rien à faire au Parlement de Bretagne.

Nous sommes ici pour élaborer les lois de notre pays, je vous le rappelle solennellement, pas pour faire campagne, pas pour règler des comptes, pas pour faire le bouffon, pas pour se liver à des attaques personnelles.

De ce fait, dès à présent, un avertissement sera adressé à toute personne qui ne respecte pas ces règles simples et évidentes.

Ensuite un second avertissement si elle récidive.

Enfin une exclusion des débats pendant une journée si elle recommence.

S'il y a poursuite de cette attitude, les exclusions seront évidemment de plus en plus longues.

Un registre des avertissements sera tenu ici même à la vue de tous.

Les prises de paroles hors sujet, grossières, agressives seront systématiquement rayées des minutes et leurs auteurs avertis.

De même les manifestations bruyantes, sans objet ou chorégraphiques n'ont rien à faire au Parlement et feront l'objet d'avertissements.

Il faut que chacun comprenne que le Parlement doit être un lieu agréable, où l'on débat dans le calme et l'éfficacité, où tout citoyen doit pouvoir prendre la parole sans aucune crainte mais avec plaisir au contraire.

Kante de Melgven


Alors voici un exemple typique de phrase autorisée au Parlement et dont on ne risque rien de les prononcer:

Citation:
En tout cas, comme j'aime bien remuer la m*rde quand elle est fraiche...


Nous remercions Messire St Pol, et comme on ne lui répétera jamais assez: ce langage n'est-il pas anti-constitutionnel ?

RUBRIQUE LEGENDE ET RECETTE DE CUISINE

Fleure, rédactrice de ses deux thémes, vous donne rendez-vous demain exceptionnellement pour mieux vous tenir en haleine, vous mettre l'eau à la bouche avec une nouvelle recette et laisser le suspense et le mystére d'une nouvelle légende vous faire frémir d'impatience!


Laceter de Bellefort
Directeur et Rédacteur en Chef
_________________
Petite_fleure
Mercredi 9 décembre 1457

Titres de l'édition :

- La foret de Broceliande (partie 1)
- Les Merveilles

Bonne lecture a vous !!!!

LA FORET DE BROCELIANDE



Désireux d'avoir sur terre un représentant dévoué à ses intérêts, qui l'aidât à tromper les hommes en acquérant sur eux une grande autorité, parce qu'à même de connaître le passé et de prédire l'avenir, Satan, certain jour, délégua l'un de ses incubes avec mission d'engendrer d'une vierge l'enfant utile à ses projets.

Merlin naquit de cette union. Sa mère était chrétienne et très pieuse. Elle le fit baptiser dès sa naissance. Le diable perdit du même coup tout pouvoir sur l'enfant, qui conserva cependant la plupart des dons qu'il tenait de son père. Il se métamorphosait à son gré ; il expliquait avec les plus grandes facilités les songes et les événements qui paraissaient de prime abord inexplicables ; il enchantait, au sens nécromancien, ceux qu'il désirait voir agir selon sa volonté. Il donnait les avis les plus sages et les conseils les plus précieux et, à l'exemple des chevaliers, il soutenait les bons contre les méchants, les opprimés contre les oppresseurs.

Les filles-mères, à cette époque, étaient brûlées vives. Elles pouvaient cependant prolonger leur vie du temps que durait l'allaitement de leur enfant. Ainsi le voulaient encore les coutumes. qui, alors, faisaient loi.

Quand, au bout de neuf mois, Merlin eut l'âge d'être sevré, sa mère fut appelée chez le juge chargé de prononcer contre elle l'inexorable sentence. Elle se présenta avec son enfant sur les bras. Le juge la pressa de questions sur les conditions dans lesquelles elle était devenue mère. Elle ne savait que répondre, puisqu'elle avait été prise, durant son sommeil, par quelqu'un qu'elle n'avait pas vu. Comme le juge doutait de sa parole et allait la condamner, Merlin, à la stupéfaction des personnes présentes dans le prétoire, éleva la voix pour expliquer son origine. Il s'exprima si bien que le magistrat fut convaincu de l'innocence de l'inculpée et la relaxa, ce qui lui permit de se retirer dans un monastère, où elle finit ses jours, expiant, au sein de la retraite et par la prière, la faute qu'elle n'avait, en définitive, pas commise.

Il y avait alors, en Bretagne, un roi qui se nommait Constant. Il mourut en laissant deux enfants en bas âge, appelés Moine et Uter Pendragon. Le sénéchal du royaume était ambitieux et félon ; il donna l'ordre a ses soudoyés d'assassiner les deux enfants. Uter Pendragon fut soustrait à sa cruelle traîtrise. Des partisans l'emmenèrent dans une ville étrangère, pour l'élever.

Voltiger, ainsi se nommait le sénéchal, se croyant sûr de l'impunité, monta sur le trône de Constant. On lui apprit alors qu'Uter Pendragon avait échappé à la mort. Il vécut dès cet instant dans l'inquiétude et, pour se défendre en cas d'un retour qu'il redoutait, il décida de construire, aux portes de la ville, une tour haute et crénelée. La tour s'écroula le jour de son achèvement. Voltiger donna immédiatement l'ordre de la réédifier. Elle s'écroula de nouveau.

Supposant, à juste raison, que ces écroulements successifs résultaient d'un maléfice, l'usurpateur consulta ses astronomes. Ceux-ci discutèrent longuement et décrétèrent qu'il en serait chaque fois ainsi tant que les maçons ne joindraient pas à leur mortier le sang d'un enfant de sept ans, né sans père.

Les soldats de Voltiger se mirent en campagne pour rechercher l'holocauste réclamé par les astronomes. Ils rencontrèrent Merlin qui, précisément, venait d'atteindre sa septième année et qui leur dit ;

- Je suis celui que vous cherchez. Si vous me jurez que vous ne me ferez aucun mal, je vous apprendrai pourquoi les tours se sont écroulées.

On l'amena devant le roi. Il montra tellement d'autorité dans ses paroles, que celui-ci n'osa donner l'ordre de le mettre à mort avant de l'avoir entendu. Et Merlin expliqua

- Sous les fondations de la tour habitent deux dragons. L'un est rouge et l'autre blanc. Quand le poids de la tour devient trop pesant pour eux, ils éprouvent le besoin de se tourner. C'est alors que les murs s'écroulent.

Voltiger ordonna de creuser le sol. Dès que les ouvriers atteignirent la base des fondations, ils trouvèrent deux énormes dalles qu'ils soulevèrent. Les dragons sortirent aussitôt de leur antre et se jetèrent sauvagement l'un sur l'autre. Le dragon rouge prit d'abord le dessus, mais le blanc, plus agile,. parce que paraissant plus jeune, finit par triompher.

- Maintenant, conclut Merlin, en s'adressa Voltiger, tu peux faire construire ta tour.

- Je voudrais, répartit le roi, savoir ce que signifient les deux dragons.

- Je te l'expliquerai si tu me promets encore de ne me point malmener pour t'avoir dit la vérité.

- C'est juré !

- Rien n'est plus simple. Le dragon rouge, c'est toi, Voltiger. Le dragon blanc, c'est Uter Pendragon. Dans trois jours vous entrerez en lutte : toi pour garder, lui pour reconquérir son royaume usurpé. Le dragon blanc sera vainqueur du dragon rouge.

Et les événements confirmèrent pleinement vaticinations de Merlin.

Uter Pendragon, redevenu roi, eut connaissance des révélations de Merlin. Il voulut le connaître et le fit rechercher. Au cours de leurs pérégrinations, les enquêteurs rencontrèrent un bûcheron qu'ils questionnèrent.

- Merlin, déclara le bûcheron, m'a recommandé de vous dire qu'il se rendra au palais si le roi en personne le vient quérir.

En apprenant la chose, le roi répondit

- Je pars au-devant de Merlin.

Il se trouva tout à coup en présence d'un berger qui gardait un troupeau de moutons à l'orée d'une forêt.

- Connais-tu Merlin? lui demanda Uter Pendragon.

- Je suis Merlin, répliqua le berger.

Les compagnons du roi s'esclaffèrent. Ils s'arrêtèrent très vite de rire quand ils constatèrent que le berger n'était plus là et qu'à sa place se tenait l'enfant qui avait révélé à Voltiger les causes mystérieuses de l'instabilité de ses tours...

C'est de cette façon qu'on apprit pour la première fois en Bretagne que Merlin possédait le pouvoir de prendre telle " semblance " qu'il voulait.

Le roi, pour reconnaître ce qu'il avait fait, proposa aussitôt à Merlin de l'emmener à sa cour, où, assura-t-il, il jouirait de tous les avantages dus à son mérite.

Merlin était sage. Il savait que les seigneurs prendraient dépit de sa présence. Il remercia le roi de son obligeance, mais refusa son offre. En revanche, il promit à Uter Pendragon de veiller sur lui et de l'aider dans tout ce qu'il entreprendrait. Très peu de temps après cette rencontre, le nouveau roi de Bretagne, grâce à Merlin, remporta plusieurs grandes victoires sur les Saines, qui étaient des païens fort méchants.

Uter Pendragon, devenu ainsi fort puissant, décida de rassembler sa cour dans son château de Carduel, au pays de Galles. Les seigneurs se rendirent à son invitation et y amenèrent leurs dames et demoiselles. Le roi, parmi celles-ci, remarqua la belle Ygerne, qui était l'épouse du duc Hoel de Tintagel. Il en devint amoureux fou. Ygerne était fidèle et vertueuse. Elle sembla accueillir avec autant d'indifférence que de respect les déclarations de son suzerain. Uter Pendragon éprouva de son attitude un profond chagrin et, pendant une longue année, il souffrit profondément du mal d'aimer. Il en serait mort, assure-t-on, si Merlin n'était venu à son secours.

Un jour, après qu'il lui eût confié sa peine, l'Enchanteur fit le roi se frotter la figure avec une herbe qu'il était allé cueillir à son intention au bord du ruisseau, ce qui, aussitôt, lui donna les traits et la taille du due Hoel, si bien qu'Ygerne, trompée par les apparences, accueillit cette nuit-là Uter, en croyant recevoir son époux.

Hélas ! la semaine n'était pas terminée qu'Ygerne apprenait que son mari avait été tué au cours d'un combat malheureux, la nuit même où elle l'avait cru de retour. Elle éprouva grande douleur de cette mort, d'autant qu'elle ne pouvait lui demander pardon désormais de l'avoir trompé.

Uter Pendragon, qui aimait toujours davantage Ygerne, sollicita sa main. Elle n'osait accepter. Merlin la décida. Comme elle était honnête, elle voulut que le roi connût ce qui lui était advenu. Elle lui avoua qu'elle serait bientôt mère.

- Belle amie, lui répondit-il en souriant, n'en dites rien à personne. Quand votre enfant naîtra, nous le confierons discrètement à quelqu'un qui l'élèvera.

Merlin emporta effectivement le nouveau-né, chargea le cavalier Antor de le faire baptiser, de l'élever et de l'éduquer en même temps que son fils Keu, qui était venu au inonde quelques jours plus tôt.

Le chevalier Antor remplit fidèlement sa mission et le fils d'Ygerne reçut le nom d'Arthur ou Artus.

Seize années passèrent. Uter Pendragon mourut de sa belle mort. Arthur fut proclamé roi de Bretagne. Il choisit Ken, son frère de lait pour sénéchal.

Onze seigneurs parmi les plus puissants refusèrent tout d'abord de reconnaître pour suzerain un bâtard. Ils se liguèrent et vinrent mettre le siège devant le château d'Arthur. Merlin, du haut des tours, jeta sur le camp des insurgés de tels enchantements que toutes leurs tentes prirent feu. Profitant du désarroi causé par l'incendie, Arthur et les seigneurs qui lui étaient demeurés fidèles firent une sortie. Il y eut un combat violent qui dura plusieurs heures. Il ne prit fin qu'au moment où le nouveau roi tira de son fourreau son épée : Escalibor, et tailla en pièces l'armée de son agresseur qui, avec tous ses chefs. prit la fuite.

Dès que la paix du royaume fut assurée, sur les conseils de Merlin, avec quarante preux, parmi lesquels se trouvaient le roi Ban de Benoie et son frère Bohor, Arthur alla se mettre au service du roi de Carmélide, Léodagan, afin de le débarrasser des ennemis qui l'accablaient. La seule condition imposée était que le roi secouru ne chercherait pas à savoir le nom de ses alliés.

Léodagan fit à Arthur et à ses compagnons un accueil empressé. Sa fille, Guenièvre, la plus belle femme qu'il y eut alors en Bretagne, leur présenta de l'eau fraîche dans un bassin d'argent et, de ses mains, leur lava le visage et le cou qu'ils avaient eu couverts de poussière, au cours d'un dernier combat.

Arthur et Guenièvre se regardèrent avec tendreté. L'amour le plus fervent fit simultanément battre leurs deux coeurs.

Ayant mis ainsi Arthur en présence de celle qui devait être aimée de lui et qui l'aimerait également, Merlin se rendit en Armorique.

Il y avait alors, au coeur de la péninsule, une forêt immense qui couvrait tout le pays compris aujourd'hui entre Fougères et Quintin pour le septentrion, Corlay et Camors pour le couchant ; le Faouêt et Redon pour le midi. Elle mesurait près de trente lieues de longueur et plus de vingt lieues pour la largeur. Le maître de ce vaste domaine sylvestre était un affreux géant tout noir, qui n'avait qu'un pied et qu'un oeil. Les animaux, aussi bien que les végétaux et les éléments, lui obéissaient. A sa volonté, sur un appel de sa voix, un geste de sa main, une profonde obscurité emplissait les clairières ; les arbres apparaissaient tout en feu ; d'affreux hurlements s'élevaient de toutes parts, que les échos, en se les renvoyant, rendaient encore plus effrayants ; des monstres surgissaient des cavernes insondables ; des serpents hideux enlaçaient de leurs replis les troncs enflammés.

Quiconque s'aventurait au sein de la mystérieuse immensité voyait les arbres se mettre en mouvement, se rapprocher les uns des autres derrière lui, pour lui fermer le passage et le maintenir éternellement captif dans l'enceinte du Val sans Retour.

Il y avait encore, dans cette forêt, de nombreux étangs. Leurs eaux stagnantes et sombres reflétaient la voûte de verdure épaisse qui les ombrageait. D'autres étaient recouverts d'herbes aquatiques et de mousses, destinées à tromper les pas de ceux qui auraient cru marcher sur la terre ferme.

Une source, appelée Fontaine de Baranton, coulait près d'un rocher. Les korrigans et les fées venaient s'y mirer et s'y baigner. Il suffisait de verser quelques gouttes de son eau sur sa margelle, pour que d'épouvantables orages se déchaînassent immédiatement.

Cette forêt, qui avait nom Brocéliande, de par les bardes et les trouvères qui l'ont célébrée, a servi de cadre aux plus fameux romans de la chevalerie et du cycle breton.

C'est en Brocéliande que s'en fut Merlin. Comme, sous la " semblance " d'un joyeux jouvenceau, il s'avançait par maints sentiers perfides, fermés d'épines et de branches vertes, devant la fontaine de Baranton, il rencontra une jouvencelle dont il admira fort la beauté. Il la salua sans cependant lui adresser mot, car il redoutait, s'il lui parlait, de perdre toute liberté d'esprit et de coeur.

Il savait en effet qu'elle se nommait Viviane, qu'elle était la fille d'un vassal, filleul de la déesse Diane, qu'il était désigné pour l'aimer et être aimé d'elle et qu'il lui serait soumis entièrement et en toutes choses, dès qu'il l'aurait vue et se serait entretenu avec elle.

Ce fut elle qui lui parla la première. Elle lui demanda qui il était, d'où il venait, où il allait.

Merlin répondit à Viviane que, si elle voulait lui promettre son amour sans rien de plus, il lui montrerait quelques-uns des jeux auxquels il avait coutume de se livrer.

LES MERVEILLES



* 4 oeufs
* 100 g de sucre
* 150 g de beurre fondu
* une pincée de sel
* un peu de fleur d'oranger
* une pincée de cannelle
* 500 g de farine
* un paquet de levure chimique en poudre
* un peu d'eau

1/Mélangez les oeufs, le sucre, le beurre fondu, le sel, la fleur d'oranger, la cannelle, la farine, le paquet de levure chimique en poudre et un peu d'eau.

2/ Laissez reposer quelques heures. Retravaillez un peu la pâte à la main puis étendez-la au rouleau. Découpez des losanges, plongez-les dans la friture chaude jusqu'à ce qu'ils soient dorés, saupoudrez de sucre.

J'espère que vous avez apprécier ma légende et ma recette aujourd'hui ...
Je dois partir dimanche soir avec Laceter pour quelques jours donc n'étant pas la mardi je vous mettrez la suite de la légende dimanches dans la journée

Bonne soirée ....

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«¨`•.¤ FLEURE ¤.•´¨»
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Moi j'ai besoin de ta tendresse, de tes baisers, de tes caresses.....
Laceter
Jeudi 10 Décembre de l'An 1457 à le Saint Romaric

Proverbe: à la Saint Romaric, qui s'y frotte, s'y pique...

ELECTIONS DUCALES DANS LE DEDALE DU SCANDALE...

Nous sommes donc depuis peu en pleine campagne électorale et les stands affluent avecleurs programmes. Sages décisions des bretons et bretonnes de voter selon leur âme et conscience, pour se qu'ils veulent et connaissent bien sûr. Nous savons tous et toutes pertinament, qu'il n'est nullement de choisir tel bulletin ou autre selon les personnes impliquées, les familles ou bien d'autres raisons obscures qui seraient autre que les programmes proposés et les réponses aux questions posées de la part des électeurs. Nous leur faisons confiance sur cela et nous allons donc vous remettre en intégral la liste de chaque membre qui caractérise chaque liste ducale et leur programme!

Allez, plouf plouf, on commence au hasard...


La liste ducale BRET...Bretons Reunis En Taverne!

Citation:
Bretonnes, Bretons, Oyez votre serviteur Peterpan31 second sur la liste BRET (Bretons réunis en Taverne) pour ces prochaines élections ducales. Mon discours ne sera point long, que nenni ! Mais la boisson coulera bien vite à flots comme il se doit, soyez en sûr !

Vous me connaissez peut-être ? J'ai occupé récemment les fonctions de Commisaire aux Mines de Bretagne et j'ai depuis quelques semaines pris en charge la fonction de Bailli, au service du Duché et de mes concitoyens. Et je m'engage à présent aux côtés de Sharlnak, notre tête de liste qui répondra à vos questions dès cette introduction terminée, qui a écumé bien des tavernes bretonnes ! Mais aussi de notre héraut et chef-communiquant Bioul également grain de Sel de la diplomatie bretonne, dont chacun connaît les qualités de bonne humeur et de camaraderie. Est-il besoin de présenter St_Pol ? Omniprésent en Bretagne, il oeuvre en ce moment en tant que Procureur pour le bien de la justice pour tous ! Mon ami Joeboy65, maire actuel de Saint-Pol-de-Léon, mais qui a bien des cordes à son arc, et détenteur du secret de la PrunàVampi, breuvage divin par excellence. Ne vous fiez pas à sa discrétion apparente car Missanges met un point d'honneur à être bonne diplomate et efficace dans son travail. Hezio a comme son père un sens aigu de la politique et ne demande qu'à le mettre en pratique. Même en fin de liste, ne manquent pas les personnalités de qualité, bien au contraire, ainsi l'actuelle ambassadrice en Anjou et Consule du Saint-Empire Aricie qui a fait notamment partie du bureau de la citoyenneté, Carolinius ex-mairesse de Treguier, l'évêque le plus sexy que la Bretagne ait connu Kurios, Neveu très impliqué dans sa ville de Fougères et l'ancien Duc de Bretagne Nilas dont chacun a pu apprécier à juste titre les qualités lorsqu'il a dirigé notre fière Nation.

Voici pour les présentations, à présent quelques idées de nos objectifs sur ce prochain mandat :

Notre objectif général est d'aboutir par notre action politique à un compromis permettant que la Bretagne soit davantage qu'aujourd'hui un Duché où il fait bon vivre, où chacun s'y sente à sa place et valorisé comme il se doit, selon ses compétences et son statut. Nobles ou roturiers, hauts fonctionnaires ou artisans, paysans ou vagabonds, soldats ou civils, chacun a un rôle à jouer pour l'avenir de notre Nation. Et doit en prendre conscience.

Dans cet ordre d'idée, en dépit de ceux qui voudraient nous associer à tel ou tel clan par notre appartenance personnelle, nous affirmons haut et fort dépasser le clanisme de base par cette liste composée de personnes d'horizons multiples et qui ont pour seule ambition la prospérité de la Bretagne et son Peuple.

Communication et Culture

Ces deux aspects sont indissociables et nous voulons promouvoir la mémoire de ceux qui ont fait la Bretagne afin que les générations futures soient conscientes de ce que cela implique que d'être Breton.
Un conseiller spécial à la culture sera ainsi nommé dans le Conseil Ducal, à charge pour ce qui le concerne de mettre en place des actions nécessaires pour que cet objectif soit rempli (réouverture d'écoles bretonnes dans les villes où elles n'existent plus, organisation de vrais cours (rp) avec l'assistance de l'Université Bretonne, concours de dissertation sur certains thèmes par exemple ... etc ...). Nous avons des institutions et des gens motivés, utilisons-les au mieux !
Un bilan de l'avancée des travaux du CD sera publié chaque quinzaine en gargotte par le porte-parole. Ce dernier, comme sous le mandat de Riwan, sera chargé d'ouvrir un cahier de doléance dans chaque ville par l'intermédiaire des communiquants ducaux.
Par ailleurs, Un Tro Breizh Ducal Alcoolique sera réalisé. Le Duc et ceux qui le voudront passeront par toutes les tavernes de Bretagne durant le Mandat.


Economie et Commerce

En dépit de quelques imprévus (mise à sac des villes de Rennes et Rohan notamment), le travail de l'aile économique sortante a permis aux caisses ducales de prendre un peu plus de consistance face aux enjeux qui s'annoncent. Les ports et le commerce qui en découlera bien entendu.
S'il est essentiel de conserver le cap de la bonne gestion budgétaire du Duché, s'il est important de ne point dilapider les écus, il conviendra néanmoins pour l'équipe économique en place (CAC, Bailli, CAM) de trouver la souplesse nécessaire pour que la rigueur ne prenne point le pas en toutes circonstances. Ainsi, en début de mandat, devront être rediscutés en CD mais aussi avec les personnes concernées (CMB pour les mines, doyens pour l'Université) la question des salaires ou des primes pour les meilleurs mineurs, pour les hauts fonctionnaires, et aussi le budget de l'armée régulière (sur ce dernier point, voir également la partie "défense").
Sur le plan commercial, le système des Marchands Ambulants est bien en place et devra être pérennisé, voire le statut valorisé d'une manière ou d'une autre.

En ce qui concerne l'infrastructure portuaire, le travail de la Commission aux ports tarde à rendre son verdict. Tout dépendra donc beaucoup des décisions prises en fin de mandature par le conseil sortant. Néanmoins, il semble inenvisageable, à terme, que la côte Nord-Ouest de la Bretagne ne soit pas équipée d'un port de niveau lui permettant de commercer avec le Royaume d'Angleterre notamment.

La défense

Outre la promotion des tavernes destinées aux soldats de tout poil, car il faut bien boire entre deux guerres, BRET a à coeur de faire s'entendre au mieux les armées féales et l'armée régulière. Si la gestion des armées privées est du domaine Grand Ducale, nous ne pouvons cependant qu'encourager la création d'un Etat-Major commun où se retrouveraient les représentants de chaque partie (féales et régulière) pour gérer au mieux la défense de la Bretagne, sans se marcher sur les pieds. Il est impossible que celles-ci ne puissent parvenir à travailler ensemble et défendre notre Grand Duché ne doit pas laisser de place à l'improvisation.
Par ailleurs, nous suivons de près les débats parlementaires au sujet de la protection des mairies bretonnes. Une solution collective doit être trouvée en amont mais les libertés individuelles doivent être préservées en accord avec l'interêt collectif.

BRET est très attachée à la pérennité de l'armée régulière et les armées féales doivent toutefois pouvoir être un complément judicieux. Des gens de bonne volonté ne peuvent que s'entendre pour faire avancer les choses dans le bon sens.

Diplomatie

Ne serait-ce que pour échanger les spécialités alcoolisées, il paraît essentiel de ne point négliger ce point.
Ainsi, l'Alliance du Ponant est en marche et BRET soutient cette initiative. Nous avons des intérêts communs avec le Poitou et l'Anjou depuis bien longtemps. Cependant, nous sommes plus circonspects concernant la Guyenne, qui n'a pas par le passé brillé par sa stabilité politique et sa sécurité intérieure, et fondamentalement contre l'entrée dans cette alliance du Perigord-Angoumois, auquel la Bretagne ne peut se fier.

Nous devons par ailleurs renforcer nos liens avec l'Artois. Cela semble stratégiquement indispensable, notamment avec la création des ports. Tout comme nous espérons resserrer ceux avec nos amis Anglois, avec qui le commerce pourrait prendre un essor fulgurant dans les mois qui viennent.

Religion et druidisme

Les BRETzels ont certes foi(e) dans la PrunàVampi et le chouchen mais sont sensibles aussi à la capacité de bonne entente qui peut régner sur le sol de Bretagne entre les représentants et pratiquants de l'Aristotéicisme et ceux du druidisme. Sur ce sujet délicat qui a fait débat récemment, nous défendons la reconnaissance de l'Aristotélicisme comme unique religion dans notre Bretagne monothéiste et le druidisme comme une croyance reconnue comme telle avec ses rites qui lui sont propres.


La liste ducale BOMB...Breizh Ô Ma Bro!

Citation:
Pour atteindre ces objectifs, BOMB vous présente une liste où se côtoient compétence, expérience et motivation. La polyvalente Azilliz, la bouillonnante La_renarde dict lallie, le champion des chiffres Lelfenoir, le fier Nagirrok, le diplomate Trilo, le noble Mumia, noble par le comportement et les actes plus encore que par le titre qu’il vient de recevoir, le volontaire Audomare, le discret mais travailleur Lemerco, actuel maire de Vannes, la pétillante Zabou, l’intelligente Bergamoth et le sage et respectueux Clodeweck, Primat de Bretagne.


ARMEE

• Création d’un service militaire volontaire
o Objectif : faire découvrir l’armée
o Objectif : Former des civils aux rudiments militaires
• Refonder les méthodes de recrutement
• Restructurer l’incorporation des nouvelles recrues
o Création d’une école militaire de formation à Rennes
• Assurer la promotion de l’armée régulière
o Objectif : faire mieux connaitre celle qu’on appelle la « grande muette »
• Organisation d’une loterie pour alimenter le budget militaire

JUSTICE ET SECURITE

• Création d’une formation pratique auprès du Procureur et/ou du juge
o Objectif : donner un aspect pratique aux formation théoriques déjà existantes
• Mise en place d’un système d’alerte pour les voyageurs lorsque des brigands sont détectés en train de racketter sur nos routes
o Objectif : limiter les actes de brigandages

CULTURE ET COMMUNICATION

• Bulletin d’information des travaux du Conseil Ducal bi-mensuels
o Objectif : tenir régulièrement au courant le peuple du travail de ses élus
• Ouverture d’une salle de doléance en gargotte
o Objectif : être disponible quotidiennement auprès de la population pour répondre à ses questions
• Institutionnalisation d’un Tro-Breizh volontaire
o Objectif : Faire sortir de leur ville et connaitre les autres cités de Bretagne aux volontaires, assurant ainsi une animation accrue des neuf villes bretonnes

ECONOMIE

• Assurer le développement portuaire breton après une concertation visant à déterminer les emplacements prioritaires d’un point de vue économique et stratégique
o Objectif : doter la Bretagne d’au moins deux ports de commerce avant la fin du mandat
o Objectif : travailler avec les différents acteurs institutionnels et privés pour le financement et la mise en œuvre des constructions, tout en préservant la propriété ducale des infrastructures
• Améliorer la collaboration entre le duché et les mairies dans le respect des besoins et intérêts de chacun des acteurs
o Objectif : renouer un dialogue constructif avec tous les acteurs économiques du Duché
• Création d’une guilde ducale de Marchands Ambulants
o Objectif : Anticiper la disparition à venir de la foire ducale
o Objectif : améliorer le transport de marchandise dans les frontières du Duché, à usage des mairies et du Duché
• Reprise et achèvement du projet de spécialisation des villes, engagé mais jamais terminé
• Assurer la promotion de la Bretagne pour attirer une main d’œuvre étrangère permettant d’assurer la construction des ports et le remplissage de nos mines
• Favoriser au maximum l’activité minière, première source de revenus du Duché

REFORME DES INSTITUTIONS

Faire valoir et défendre les intérêts du peuple breton en défendant notamment le principe de liberté électorale ou encore le maintien du Parlement


La liste ducale BREIZH...

Citation:
Avant tout , cette liste est composée de personnes expérimentées comme de personnes plus jeunes, certains avec une vie "ducale" derrière eux, d'autres avec une vie " municipale" et d'autres encore juste motivés a montrer de quoi ils sont capable pour la Bretagne...

Joachim, Politain de naissance, voué a sa Bretagne, si si ! A en être jalouse , bref, ce politain est l'actuel CaC, qui soit dit en passant fait de l'excellent travail en tenant les rênes de l'économie ducale de main de maitre. Sportif a courir les jupes, il a forcément la condition physique pour tenir la distance ! C'est qu'il y en a des couloirs dans ce chateau .. de la famille des ' j'suis l'plus beau' , ce môsieur deviendra ... heu ... ben tout ca quoi !

Gwenc'han , Breton tout simplement, qu'y a t'il encore a dire sur lui, plus grand chose, connu comme le menhir de la place a coté, il est d'une extrême polyvalence, gueulard et soiffard par moment, attendrissant par d'autres, mais totalement dévoué a la Bretagne, et quoi qu'on puisse en dire, ceci n'est plus a démontrer. Soutien éternel d'un certain nombre, ce monsieur fait partie de la famille ' pousse toi de la que j'm"y mette ' mais uniquement quand il parle a son frère, dans le cas plus général c'est plutot la famille du ' J'vous écoute que voulez vous savoir, et j'réponds a toutes vos questions ", grand conseilleur mais pas imposeur, que demander de mieux ?

Zigo , brestois , ancien maire, actuel marchand ambulant pour la Bretagne, il parcourt les routes au moment ou nous parlons pour ramener ces choses dont le duché a besoin et ce sans la moindre compensation financière, son dévouement est aussi sans la moindre faille. le Zigo est loin d'être une espèce en voie de disparition, de la famille des ' j'veux apprendre' et ' je donne tout ce que j'ai ' il est sans doute l'un des meilleurs.

Einigriv Actuelle maire de Rieux, n'ayant pas son pareil pour tenir sa mairie, avec une certaine poigne mais aussi avec douceur, baah on est femme ou on ne l'est pas. Petite boule d'énergie, la Einigriv rejoint la famille du ' j'peux pas rester sans rien faire ' et du ' j'suis bosseuse' , pour le plus grand régal des yeux masculins a la regarder. Les féminins aussi, mais uniquement pour le travail, les hommes sont moins bien placés pour juger . Hum .

Meiline Fougeraise au caractère bien trempé, sachant user de ce qu'on appelle la diplomatie, si si ! Boule de vie, débordante hyperactive et ambitieux, nous la classerons dans la famille des ' je me donne totalement dans ce que je fais ' , elle est réputée pour sa volonté d'évoluer dans la société Bretonne en en prenant ce qui est de mieux.

Taizo maire adjoint de Tréguiers, zouli blondinet aux yeux de braises et au popo.. hum .. reprenons nous .. Alors nous parlions de ce brave jeune homme, celui qui gère son travail comme nul autre, celui qui par sa motivation est devenu l'une des figures de Tréguiers, a mettre dans la famille des zouli popo... uuummmmmuhhmmmmm .. famille des ' j'suis trop bon dans c'que j'fais ! ' , voui un peu de vantardise de temps en temps, juste deux secondes, ca ne fait de tort a personne, mais c'est parce qu'il le vaut bien !

Charlotte, jeune brestoise des plus prometteuses, étudiant au couvent des frères franciscains, motivée, fonceuse et bosseuse, nous avons du pour elle créer une nouvelle famille, oui parce qu'il était impossible de la classifier dans quelque chose, nous lui attribuerons donc la famille des ' je pose des tas de questions parce que j'adore çà, j'fonce mais j'dérape pas, j'en prend plein les yeux et plein les oreilles. » .. Nous terminerons par une analyse complète de son post ... deeeeeeeee rien du tout ! Hum

Guiyom, rohannais, ronchon mais loyal, dévoué a la Bretagne sans pour autant être breton de naissance. La loyauté est un trait qui se perd, lui l'a ancrée bien en lui. Entre dans la famille ' touche pas a ma mère ' mais pourrait tout aussi bien etre dans celui du « touche pas a mon fils » quoi qu'il en soit, ce petit grand homme, est l'as de la répartie tranchante, mais surtout du respect. Le premier qui en rajoute .. nan nan nan Egalement marchand pour le duché a plusieurs reprises, il donne sans compter.

Gwillherm Vannetais, petit bout de bonhomme gai et joyeux, avec une bonté d'âme excessive, fonceur et bosseur, sans nul besoin de reconnaissance, il donne a qui veut et a qui a besoin . Marchand aussi, bon sang y'a que çà par ici, c'est pour dire ! Des Marchands qui ne se font pas payer .. leur dévouement ... bref !!! Ce monsieur n'a pas hésiter a braver les armées normandes pour aller nous chercher ce dont nous avions besoin, courageux en plus ! De la famille des ' j'vous aime tous ' j'ai nommé Gwiiiiiiiiiil !


Aelyia ... est il encore nécessaire de la présenter ? Doyenne du cercle de la connaissance, ancienne Porte parole ducale, actuelle intendante du Grand duc meme si la fonction n'est pas dite comme telle, elle se dévoue corps et âme a ce qu'elle fait, et nul ne pourrait dire le contraire. Petit brin de douceur, elle fait partie de ma famille, certes, mais aussi de la famille des ' je fonce et peut importe l'épuisement, la lassitude ou la fatigue, je donne encore et encore '

FenrislePal, de Treguiers, grande gueule mais fine bouche, notre gaillard fut maire de sa ville a quatre reprise, et en y est toujours actif en tant que conseiller au commerce et policier. Le Fenris est un ptit animal qui évolue positivement par tous les temps, imperméable notre gugusse, de la famille des ' j'ai des dents attation ca pique ' il est néanmoins une valeur sure et quelqu'un sur qui on peut compter

Le tout sur la base de projets, donc non aboutis, mais bien soumis a discussion au conseil ducal qui sera représentatif du choix des bretons, ce qui en sortira sera donc, tout aussi représentatif:

Un grand audit de l'armée, pour voir ou celle ci en est, et revoir toute la défense de notre belle terre Bretonne.

- Une vision plus globale de l'économie avec un grand audit pour équilibrer les productions, ceci pour éviter les pénuries d'une chose et la surproduction d'une autre, et faciliter le commerce tant intérieur qu'extérieur.

- Un projet d'aides aux mairies, maires et futur maires plus complet que ce qui existe actuellement, de sorte a éviter au maximum ce qu'on peut voir actuellement, avec Rohan pour exemple et pour réinstaller cette relations mairies , duchés .

- Enfin s'y mettre pour les ports , avec la créations d'un poste rien que pour ça, en soutien au CaM .

- Remise a niveau des mines, parce que maintenant faut les remettre.
- Le conseil des anciens, avec les plus grands noms de Bretagne qui s'y associent parce qu'il faut savoir s'entourer des bonnes personnes pour avancer.

- De l'amusement, parce que nan, les bretons savent plus rire , ça s'crepe le chignon pour sur, sont bien coiffés mais c'est tout, bref un peu rigoler .. beaucoup même.

- Le coté diplomatique qui a été évoqué a deux ou trois reprises avec la signature du Ponant , nous avons l'avantage d'avoir en tête de cette liste, des personnes aux relations extérieures fortes , très cordiales voire amicales, ce qui permettra de conclure cela dans d'excellentes conditions , y'a pas a dire, le commerce , quand c'est bien fait, ca aide


Et bien vous avez de quoi potasser et bien sûr poser toutes vos questions sur les stands en place publique de la Capitale.

LES COULISSES EFFROYABLES DES ELECTIONS DUCALES

Revenons aussi à ce qui fait les coulisses de ces élections ducales qui ont fait surgir des actions malveillantes pas encore vu jusqu'à aujourd'hui ou du moins pas à ce point là dans la diffamation, la médisance et la calomnie.

Procédé utilisé le balisage de chaque entrée de ville bretonne où les banderolles étaient clairement explicites:


Citation:
NE VOTEZ PAS LES LISTES EN PRESENCES SE FICHENT BIEN DES BRETONS


Citation:
Larenarde vient d'faire perdre plusieur dizaine de milliers d'écusNagirrok accusé:Trahison 2 BOMB.


Citation:
BREIZH si proche de vous qu'ils vous piquent vos sous


Et bien on ne peut pas dire qu'aucune liste n'est en fait épargnée mais là où le mal aurait pu et aurait du être pour un bien, et bien non, ce n'est pas le cas...

Alors où allons-nous?

Et bien nous y allons c'est certain et au lieu de se serrer les coudes et de combattre et de condamner ce type de procédé,nous remarquerons comment ces messieurs et gentlemen préconisent à ces belles damoiselles de ne point s'offusquer et de préférer l'ignorance et l'indifférence face à ses imbécilités!

Comme d'habitude, que les femmes viennent se scandaliser ou bien montrer du doigt, c'est anormal. Mais que ces messieurs le fassent, c'est tout naturel!

Alors dites-moi en toute réalité, pourquoi remettons-nous à sa place des femmes qui revendiquent sur la place publique des actes purement honteux alors que les hommes ont leur accorde tout le respect et on vient y débattre avec tout le naturel qui les caractérise ?

Dites-moi quelle est la dIfférence entre le procés de Nagirrok en place publique et l'intervention de Dame Leyah ?

Que je sache tout le monde a été courtois pour l'intervention de Messire Nagirrok! On ne l'a pas traité de "puceau effarouché"...


Messire Kurios:

Citation:
Je ne vois pas l'intérêt de jouer aux pucelles outrées et encore des pucelles sorties du sein de leur nourrice réagirez moins que vous.


Messire Ninnoz:

Citation:
Bref, si vous poussez des cris d'orfraie pour des ragots pareils, qu'est-ce qu'ça va être plus tard, au conseil. Venir ici vous outrer, c'est totalement inutile.


Messire Joeyboy65:

Citation:
Vous les lisez encore ces âneries? Parce que je me demandais où étaient ces foutus messages. J'ai cherché dans les halles sans succès.
J'ai finalement trouvé mais bon ça ne sautait pas aux yeux immédiatement donc, comme dit plus haut par le cureton et l'aveugle, c'est bien grand bruit pour rien.


Messire Nagirrok:

Citation:
Sinon ,les retranscrire ici leur fait finalement de la pub, ce qui n'est pas ton but.


Et bien voilà Messieurs, là où on devrait forcément se serrer les coudes, vous ne le faites même pas. Peut-on savoir poourquoi...

Pis là où vous avez vu de la plainte, de la victimisation de la part des réactions féminines, vous n'avez rien compris. Bien au contraire, il s'agit de véritables messages de défis et de prise en main pour irradier ce type de procédé.

Et oui Messieurs, alors que vous, vous en êtes encore à pleurer sur votre égo, elles passent à l'action et prennent le probléme à bras le corps et appellent au face à face.


Laceter de Bellefort
Directeur et Rédacteur en Chef
_________________
Petite_fleure
Vendredi 11 décembre 1457

Voilà quelque temps que je n'avais point de nouvelle de Mr le brigand, je commençais a me faire du soucis.Et voila qu'aujourd'hui j'ai reçu un petite pigeon de sa part ...Ca y est il reprend les chemins...mais je vous laisse le soins de lire ses quelques phrase.
Je vous souhaite bonne lecture et vous dis a la prochaine lettres


Citation:
Bonjour Petite-fleure

Je suis sorti de ma retraite. Je vais muser sur les chemins en espérant trouver à brigander. J'espère pouvoir faire fortune cette fois-ci. Je pense descendre bientôt vers le sud pour faire équipe avec un vieil ami. Je t'enverrais un pigeon en arrivant au prochain village .

Je suis un brigand qui flâne,
un de ces brigands fainéants des chansons populaires,
un de ces vagabonds qui traînent d'un moulin à l'autre
et qui dorment à la belle étoile.

En espérant ne pas tomber sur plus fort que moi.

LE BRIGAND DES NUITS SOMBRES

_________________

Moi j'ai besoin de ta tendresse, de tes baisers, de tes caresses.....
Laceter
L'éditorial vous informe que Laceter de Bellefort et Petite_Fleure seront absents pendant une semaine et vous souhaite une bonne continuation à vous tous et toutes!

[ De retour Samedi prochain normalement ]
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Petite_fleure
Dimanche 13 décembre 1457

- la foret de broceliande (partie 2)

LA FORET DE BROCELIANDE ( partie 2)

Viviane promit à l'Enchanteur, une amitié qui saurait toujours demeurer forte et pure. Alors, il fit surgir, devant elle, un château somptueux, précédé d'une vaste pelouse qu'entourait un verger aux arbres chargés de fruits sûrs et sur laquelle des couples nombreux de dames et de seigneurs s'avancèrent aux accords d'une musique exquisément mélodieuse. Leur danse terminée, les couples s'évanouirent dans la forêt. Le château disparut

ensuite. Seul, à la demande de Viviane, le verger demeura.

Viviane était curieuse comme toutes les jeunes filles. Elle pria Merlin de lui apprendre le secret de ses jeux. Merlin y consentit, à condition qu'elle se donnerait elle-même à son plaisir.

- Je le ferai si vous m'enseignez tout ce que veux savoir.

Il lui apprit ainsi à faire couler un ruisseau en tous lieux qu'il lui plairait, à marcher sur un étang sans se mouiller les pieds.

Quand il l'eut satisfaite, il prit congé d'elle, après lui avoir promis de revenir bientôt.

A son retour, Merlin fut accueilli avec joie à la cour de Léodagan où l'attendaient Arthur et ses compagnons. Le roi de Carmélide ne savait toujours pas quels étaient les chevaliers qui, si courageusement et si gentiment, étaient venus se mettre à son service, bien qu'il les eût, à maintes reprises, invités à décliner leurs noms et qualités.

Il renouvela ses questions devant Merlin. Celui-ci lui répondit, en désignant Arthur :

- Si grand que vous soyez, il est encore plus grand. Nous courons tout le monde dans l'espoir de lui trouver une femme qui soit digne de ses mérites.

- N'ai-je pas ici, en ma fille Guenièvre, la femme la plus belle et la plus sage qui soit ?

- Elle ne sera pas refusée, s'il plaît à Dieu.

Léodagan prit la main de Guenièvre et, bien qu'il ignorât toujours ses titres, la plaça dans la main d'Arthur.

Merlin, reprenant la parole, déclara au roi que le gendre qu'il venait librement de choisir n'était autre qu'Arthur, roi des Bretons.

On fit les fiançailles. Dès qu'elles furent terminées, Arthur annonça qu'il se voyait dans l'obligation de s'éloigner pour quelque temps, car il lui restait encore des ennemis à vaincre.

Léodagan et Guenièvre s'inclinèrent.

Arthur et ses compagnons gagnèrent le Val Périlleux. Le roi de Bretagne y découvrit, toujours par l'entremise de Merlin, quinze épées merveilleuses. Il vit également venir à lui, le soir même, quatorze chevaliers, que conduisait Gauvain, fils du roi d'Orcanie.

Alors, devant le roi, les seigneurs, les chevaliers assemblés, Merlin conta l'histoire du saint Graal, le vase précieux dans lequel Joseph d'Arimathie avait recueilli le sang de Jésus-Christ au moment où, après sa mort, on le détachait de sa croix. Il exposa comment, de Judée, Joseph d'Arimathie avait transporté le Graal chez les Bretons du pays de Galles et de l'Ecosse pour, finalement, le déposer au château de Corbanie, sous la garde du plus jeune de ses frères, fondateur de la dynastie des Rois Pêcheurs, dont le dernier descendant, Pellehan-Pellès, donnerait le jour à une fille qui, elle-même engendrerait celui qui connaîtrait la vérité du saint Graal et achèverait les temps aventureux.

Ce récit avait été écouté avec autant d'attention que de respect. Merlin, finalement, s'adressa plus particulièrement à Arthur : il lui dit qu'il lui appartenait, maintenant, de dresser la table du Graal en mémoire de la Sainte Trinité et que, de cette table, il aurait grand honneur, car il en adviendrait moult merveilles.

- La table sera dressée au château de Carduel, en Galles, répondit Arthur, et, le jour de Noël, j'élirai les chevaliers qui auront le droit d'y siéger.

Fort de cette assurance, Merlin retourna en Brocéliande, auprès de Viviane. Ils eurent l'un l'autre grande joie de se revoir, mais elle, tout de suite, lui demanda de lui enseigner quelques nouveaux jeux : par exemple, de pouvoir endormir un homme à son gré !

- Et pourquoi voulez-vous savoir pareille chose ? questionna Merlin.

- Pour pouvoir endormir mon père, et ma mère quand vous viendrez me voir.

Merlin n'était aucunement dupe de la ruse de Viviane. Il se refusa tout d'abord à lui livrer son secret. Elle n'en parut pas chagrine cependant. Elle savait qu'elle arriverait à ses fins. Le dernier jour, il céda. Il lui donna trois mots qu'elle prit par écrit coeur qui avaient cette vertu que nul homme ne la pouvait posséder charnellement lorsqu'elle les portait sur elle .

Arthur obtint à quelque temps de là l'hommage de tous ses vassaux. N'ayant plus rien à redouter d'eux, il leur rendit leurs fiefs et il épousa Guenièvre.

Quand, le jour de ses noces, la future reine parut, ce fut un éblouissement. Elle était merveilleusement belle. Les plus somptueux vêtements que l'on eût jamais vus drapaient son corps. Sa robe tissée d'or traînait à plus d'une demi toise. Les fêtes durèrent toute une semaine. On y entendit les meilleurs ménestrels du pays. Les chevaliers coururent la quintaine. Les dames et les jouvenceaux dansèrent dans les salles du palais, décorées de fleurs rares et de tentures de soie.

Le neuvième jour, Arthur prévint ses barons de se préparer au départ, car, en compagnie de la reine, il désirait regagner son château.

Les rois Ban de Benoic et Bahor, qui n'avaient pas quitté leur suzerain depuis qu'il guerroyait contre les infidèles, obtinrent de rejoindre leurs domaines. Ils partirent, accompagnés de Merlin.

Ce fut grande joie chez eux quand ils arrivèrent. La nuit même, la reine Hélène conçut du roi Ban un enfant qui, plus tard, eût nom Lancelot, et la femme du roi Bahor, elle aussi, conçut, cette nuit-là, un fils lorsqu'il naquit, portait sur la poitrine l'image d'un lion couronné, ce qui fit qu'on le baptisa Lionel.

En quittant les rois Ban et Bahor, Merlin se rendit, pour la troisième fois, dans la forêt de Brocéliande. Viviane fit à son ami un accueil si chaleureux qu'il sentit grandir encore pour elle son amour. Elle connaissait déjà la plupart de ses secrets. Elle savait surtout qu'il était incapable de ne pas lui accorder ce qu'elle réclamerait.

Il fit surgir, pour lui complaire, à la place du lac, au bord duquel ils cheminaient, un, château plus merveilleux encore que le premier qu'il avait évoqué pour elle.

- C'est votre manoir, lui dit Merlin. Jamais personne ne le verra qui ne soit de votre maison, car il est invisible pour t out autre ; aux yeux de tous il n'y a que de l'eau. Et si, par envie ou traîtrise, quelqu'un de vos gens en révélait le secret, aussitôt le château disparaîtrait pour lui, et il se noierait en y croyant entrer.

Viviane ne cacha pas sa joie. Elle était vraiment femme et elle savait pouvoir se montrer impunément exigeante. Elle demanda à son ami de lui apprendre quelques autres de ces enchantements.

- Beau sire, murmura-t-elle, il y a encore une chose que je voudrais savoir : c'est comment je pourrais enserrer un homme sans tour, sans murs, et sans fers, de manière qu'il ne pût jamais s'échapper sans mon consentement.

Merlin qui devinait toute sa pensée lui répondit :

- Je vois bien ce que vous voulez. Votre but est de me retenir ici, mais je vous aime tellement qu'il me faudra bien vous obéir.

- Puisque je vous aime autant que vous m'aimez, ne devez-vous pas faire mes volontés et moi les vôtres ?

- La prochaine fois que je vous viendrai voir, je vous enseignerai ce que vous désirez...

Et Merlin fut obligé de se faire violence à lui-même pour retourner auprès d'Arthur et de ses compagnons.

Le jour de Noël qui suivit ces événements, il y eut grand festin au château de Carduel. Comme le repas se terminait, Merlin, avec la permission du Roi, prit la parole en ces termes :

- Seigneurs, je vous rappelle que le très saint Graal, où Joseph d'Arimathie recueillit le sang divin, a été transporté dans la Bretagne bleue. Il sera retrouvé par le meilleur chevalier de ce monde. Il est écrit aussi que notre roi Arthur doit établir ici même la table qui sera la troisième après celle de la Cène et celle du Graal. Cette table sera ronde, pour signifier que tous ceux qui s'y devront asseoir n'y jouiront d'aucune préséance. A la droite du roi demeurera toujours un siège vide en mémoire de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Qui se risquerait à le prendre, sans être l'élu, serait englouti en terre puisqu'il est réservé au Chevalier qui ayant conquis le saint Graal en connaîtra le sens et la vérité.

- Qu'il en soit ainsi, déclara Arthur.

Ces mots étaient à peine achevés qu'apparut, au milieu de la salle, une immense table ronde, autour de laquelle se trouvaient cent cinquante sièges de bois. Sur beaucoup d'entre eux était écrit en lettres d'or : " Ici doit seoir un tel ". Sur le fauteuil à droite du roi, aucun nom ne se lisait.

Arthur fit alors apporter et placer sur le milieu de la table les meilleures reliques que l'on put trouver. Gauvain prononça, au nom de tous, le serment solennel : que jamais dame, demoiselle ou homme ne viendrait demander aide à la cour sans l'obtenir et que si l'un des compagnons présents disparaissait, les autres, tour à tour, se mettraient sans arrêt à sa recherche, pendant un an et un jour.

Tous les chevaliers, d'une même voix, jurèrent alors sur les saints de tenir le serment exprimé pour eux par Gauvain. La reine, à son tour, demanda que les quatre clercs se tinssent toujours céans et consignassent par écrit les aventures des chevaliers. Et il en fut ainsi décidé.

Pour la quatrième fois, Merlin quitta la cour du roi Arthur. De longtemps on n'y entendit plus parler de lui.

Il était retourné à Brocéliande auprès de Viviane, et, cédant à sa prière, il lui avait donné les moyens de le faire prisonnier d'amour pour toujours désormais.

Merlin avait été ordonné chevalier par Arthur avant son départ de Carduel. Gauvain résolut donc, conformément à son serment, de se mettre à la recherche de l'Enchanteur, puisqu'il ne revenait pas. Il partit bien décidé à courir le monde et à le retrouver.

Un jour qu'il traversait une forêt, il rencontra une demoiselle qui chevauchait montée sur un magnifique palefroi. Perdu dans sa rêverie, il passa auprès d'elle sans la saluer. Pour un chevalier c'était une faute grave. La demoiselle lui reprocha son manque de courtoisie et lui dit que, par représailles, elle lui souhaitait de ressembler au premier homme qu'il croiserait.

Gauvain continua sa route, sans trop prêter d'attention à ce souhait. Tout à coup, il se trouva face avec un nain. Il le salua et poursuivit son chemin. A mesure qu'il avançait, il sentit ses bras et ses jambes diminuer de longueur et son corps se rapetisser à la taille de celui d'un enfant. Il comprit alors que, suivant le désir de la demoiselle, il était à son tour devenu nain. Il ne voulut pas, malgré son chagrin d'une pareille mésaventure, abandonner sa mission et il s'enfonça dans la forêt de Brocéliande.

Comme il arrivait auprès de la fontaine de Baranton, il s'entendit appeler par son nom et reconnut la voix de Merlin.

- Où êtes-vous - demanda Gauvain à l'Enchanteur. Ne pouvez-vous vous montrer, vous le plus sage des hommes -

- Dites le plus fol, car je savais ce qu'il m'adviendrait si je revenais ici, et je suis revenu.

Et il raconta comment, pendant son sommeil, Viviane l'avait enserré pour le retenir à tout jamais, et l'empêcher, à moins qu'elle le lui permit quelque jour, de retourner chez le roi.

Gauvain, désolé, se remit en route pour Carduel, de façon à y être de retour un an, jour pour jour, après son départ. En retraversant la forêt, il rencontra de nouveau la demoiselle qui l'avait enchanté. Elle était aux prises avec des chevaliers félons qui lui voulaient du mal. Gauvain fondit sur eux et, malgré la petitesse de sa taille, comparée à celle de ses adversaires qui étaient grands et forts, il les mit en déroute. La demoiselle se montra reconnaissante de son dévouement, et, sur la promesse qu'il lui fit d'être toujours courtois, elle lui permit de redevenir ce qu'il était avant leur première rencontre.

Gauvain arriva à la cour au jour prévu. Il fit à Arthur et à Guenièvre un long récit de son voyage, récit que les clercs couchèrent immédiatement par écrit.

La puissance et la gloire d'Arthur avaient atteint leur apogée. Cependant, pour les garder, le roi de Bretagne se voyait obligé de lutter continuellement contre ses irascibles ennemis, les Saxons, les Pictes et les Scots. Il en triomphait facilement, car de nouveaux chevaliers, vaillants autant que dévoués, étaient venus prendre place autour de la Table Ronde, où le siège réservé à celui qui aurait l'honneur et la joie de reconquérir le saint Graal demeurait pourtant toujours inoccupé.

C'est ainsi qu'Arthur combattit tour à tour dans 1'lle de Bretagne et en Armorique. Il débarrassa Tombelaine et le Mont Saint-Michel d'un géant qui les terrorisait. Il mit à mort, avec l'appui de saint Efflam, le dragon de la Lieue de Grève qui était bien le monstre le plus redoutable qui se fût vu en Armorique.

Au cours de ces chevauchées, il résida successivement dans son camp, auprès du Huelgoat, dans son château de Kerdhuel, bâti sur les plans de celui de Carduel, dont les murailles se reflétaient dans l'eau de l'étang que l'on voit toujours en Pleumeur-Bodou sur le chemin de l'Ile Grande et de l'Ile d'Aval. Arthur séjourna également dans le château de Joyeuse Garde, devenu le domaine de Lancelot, lequel, après avoir chassé les quarante géants qui l'habitaient, en avait fait un lieu de délice.

Lancelot, fils du roi Ban de Bénoie et de la reine Hélène, avait été, au moment de sa naissance, baptisé du nom de Galahad. Ses parents avaient dû prendre la fuite, parce que Claudas, roi de la Terre-Déserte, s'était emparé de leur château, par suite de la trahison du sénéchal Banin. Viviane avait recueilli Galahad. Elle l'avait élevé dans une retraite au fond du lac de Diane et avait exigé qu'il prit le nom de Lancelot.

Lancelot, par sa mère, descendait directement de Pallès, frère de Joseph d'Arimathie et dernier des riches Rois Pêcheurs. La gloire de reconquérir le saint Graal, suivant la tradition, devait donc lui revenir. Il en fut autrement.

Compagnon de Gauvain, frère d'armes de ses cousins Lionel et Bohor, et aussi de Perceval, Lancelot était, comme ce dernier, jeune, ardent et fort, d'une grande beauté et d'un caractère généreux et noble.

A l'âge de seize ans, il quitta, malgré ses supplications, la " Dame du Lac à qui il devait tout Et se présenta à la cour. Arthur et la reine l'accueillirent avec amitié et Guenièvre ne tarda pas à lui témoigner une tendre affection qu'il lui rendit.

Arthur avait vieilli. Certains, dans son entourage, désiraient qu'il disparût. Ils espéraient, en leur for intérieur, lui succéder. Cependant les événements ne tournaient ni assez vite, ni selon leur gré. Les serviteurs félons n'hésitèrent donc pas à sceller une alliance avec les pires ennemis de leur suzerain et tout particulièrement avec le roi c du pays d'où l'on ne revient pas ". Supposant que les difficultés extérieures ne suffiraient pas à abattre Arthur, ils essayèrent encore de jeter le trouble dans son esprit et dans son coeur. Ils lui firent entendre que l'affection de Guenièvre pour Lancelot était un amour coupable. Arthur refusa d'écouter la calomnie. Ce que voyant, les ambitieux déçus attirèrent la reine dans un guet-apens. Le roi " du Pays d'où l'on ne revient pas> la surprit et l'emmena en captivité.

Le vieux roi, désespéré, appela à son recours les chevaliers qui lui étaient demeurés fidèles. Gauvain, Perceval et Lancelot partirent à la recherche de la reine, décidés à mourir ou à la ramener. Les félons les attaquèrent et les séparèrent, si bien que chacun d'eux, après s'être défait de ses adversaires, se retrouva seul sur la route. Lancelot mena de rudes combats. Jamais son courage et sa patience ne furent à bout. Mais à l'issue d'une rencontre avec les partisans du ravisseur de Guenièvre, il découvrit enfin le château où elle était retenue prisonnière et la délivra.

Le retour de la reine et le triomphe de Lancelot constituaient un échec pour les coalisés. Ils n'en devinrent que plus audacieux. Ils n'eurent plus d'autre pensée que de provoquer un scandale qui rejaillirait sur Guenièvre, chagrinerait le roi et perdrait le " chevalier blanc -

L'amour entre Guenièvre et Lancelot avait grandi. S'il demeurait pur, il pouvait, aux yeux du monde, paraître coupable. Le roi lui-même, cédant aux instances de ceux qui ne cessaient d'attirer son attention sur la prétendue trahison de la reine et du chevalier, se résolut un jour à les chasser. La cour était assemblée et Arthur allait prononcer la sentence, quand il vit arriver Merlin accompagné de Viviane. L'Enchanteur démasqua les délateurs et convainquit le roi de l'innocence des accusés.

Les noirs projets des chevaliers félons échouaient donc une fois de plus. Ceux-ci, pourtant, ne se considéraient pas encore comme battus. Ils reprirent la lutte sur un terrain plus vaste. lis mirent à leur tête Medraud, le propre neveu du roi, et déclarèrent une guerre ouverte. L'ennemi se montra partout dès son entrée en campagne. La haine et la jalousie s'entr'appuyèrent. Les Saxons, les Pictes et les Scots donnèrent la main aux Norvégiens, aux Normands et aux Danois. Leurs nefs croisèrent en vue des côtes. Les soldats r épandirent la terreur dans les villes et dans les villages.

Arthur, malgré son grand âge, releva le dé passa en Armorique.

Un grand combat eut lieu dans l'île d'Aval, en avant de l'Ile-Grande, dont les falaises de granit blanc dominent la côte entre Trébeurden et Trégastel, à quelque distance de Kerdhuel. Arthur, grièvement blessé, aurait été fait prisonnier si les siens ne l'eussent emporté. Et il serait mort sans aucun doute, si la fée Morgane n'avait elle-même pansé ses blessures.

Quand les forces lui revinrent, Arthur manifesta l'intention de quitter l'île d'Aval et de prendre sa place à la tête de ses chevaliers. Mais il dut demeurer prisonnier de celle qui l'avait soigné et qui le faisait étroitement garder par neuf de ses fées. Il souffrit d'abord beaucoup de cette situation, contre laquelle son caractère se révoltait. Il pria Merlin de lui indiquer les moyens de réduire à néant les effets de l'enchantement qu'il subissait. L'ami de Viviane se rendit aussitôt à l'île d'Aval et, au lieu d'entrer dans les vues d'Arthur, à sa grande surprise, il lui recommanda la patience et la résignation.

- Rends-moi ma jeunesse et rends-moi mon royaume, supplia le roi de Bretagne.

- Je n'en ai plus le pouvoir, lui répondit Merlin.

- N'es-tu plus l'Enchanteur

- Je ne suis plus qu'un homme. J'ai abdiqué toute ma science dans le coeur de mon amie. En échange elle m'a donné toute sa tendresse. Fais comme moi. Détache-toi de la grandeur et de l'amour humain. Ton trône était éphémère. Conquiers, tu le peux, un trône éternel et en outre tu demeureras immortel dans l'esprit des hommes.

Le roi comprit toute la sagesse des paroles de Merlin. Il renonça à sa couronne pour qu'en fût ceint le front de Gauvain à la conquête du saint Graal, qui fut l'oeuvre du fils de Lancelot, lequel s'appelait du premier nom de son père Galahad à Guenièvre, l'épouse qu'il avait injustement soupçonnée.

Et c'est ainsi que, depuis quinze siècles, Arthur repose dans l'île d'Aval, en attendant que sonne l'heure où la Bretagne, ayant besoin de lui, le rappellera à la lumière.

Je vous souhaite une bonne semaine a vous chers lecteurs ....


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Moi j'ai besoin de ta tendresse, de tes baisers, de tes caresses.....
Petite_fleure
Eh bien voilà ....la suite des aventures du brigand.Je pense que ça va vous faire rire !!! quand on dit que les femmes sont toujours les plus forte c'est pas pour rien noméoh !!!! la preuve ci dessous !!!



Coucou petite fleure

Comme promis je t'envoie de mes nouvelles. Enfin j'ai trouvé une victime. Et oui j'ai osé m'attaquer à une demoiselle. Malheureusement pour moi elle était un peu plus forte que moi.
22-12-2009 04:12 : Vous vous êtes battu avec la demoiselle (coefficient de combat 3), qui essayait de vous résister. Hélas, elle a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.
Mon premier combat en tant que brigand et je me fais battre par une demoiselle.
Je n'ai vraiment pas de chance.
A bientôt petite fleure.

Le brigand des nuits sombres


VIVE NOUS LES FEMMES !!!!! hihihi ...allez sur ce petit courrier qui me fait sourire en grand je vous souhaite une agréable journée


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Petite_fleure
Mercredi 23 Décembre 1457

Titre de l'Éditorial :

- Le Clocher de Tréguier (partie 1)
- Talmouses


LE CLOCHER DE TREGUIER ( partie 1 )


La ville actuelle de Tréguier n'existait probablement pas avant le VI ème siècle. C'est en 545 que Tugdual, fils du roi Hoël 1er et parent d'Arthur, sur l'ordre de Dieu, vint planter son bâton apostolique à l'entrée de la vallée de Traoun-Trécor. Il avait traversé la Manche sur un vaisseau que montaient les « jeunes gens de bonne façon », dit Albert Le Grand. Sa mère, sainte Pompée, qui est devenue la patronne de Langoat, sa soeur, la bienheureuse Sève, soixante-douze solitaires et une sainte veuve, nommée Mahélen, l'accompagnaient.

Le monastère de Tugdual fut bientôt le plus important de la Domnonée. Des pêcheurs et des agriculteurs, attirés par la beauté et la sainteté des lieux, y établirent leur foyer. La ville naquit ainsi, puis se développa jusqu'à devenir une cité florissante : à telle enseigne qu'à la mort de Tridanus, le dernier évêque de Lexovie, le peuple appelé à se prononcer, désigna Tugdual pour le remplacer.

Tréguier grandit de plus en plus, jusqu'à ce qu'elle fût digne de son titre de capitale de Trécor où la campagne, pleine de verdure et de fleurs, semble un îlot arcadien, un joyau de splendeur, qu'entourent des côtes sauvages sans cesse battues par les tempêtes...........

TALMOUSES


* 2 dl d'eau
* une pincée de sel
* 2 cuillers à table de sucre
* 1 pincée de canelle
* 1 pincée de muscade
* 100 g de beurre
* 125 g de farine
* 5 oeufs (4 pour la préparation 1 pour dorer la pâte)
* 100 g de fromage blanc

Préparez une crème-pâte ressemblant à la pâte à choux :
1/Mélangez l'eau, le sel, le sucre, la cannelle, la muscade, le beurre fondu.

2/Amenez à ébullition et versez la farine d'un coup, puis travaillez énergiquement à la cuiller de bois, sur feu doux, pour dessécher la pâte qui doit avoir la consistance d'une boule compacte.

3/Découpez des ronds de pâte plus grands que des moules à tartelettes.

4/Dans un bol, ajoutez un à un, en tournant, les oeufs, puis le fromage blanc.

5/Mettez une cuillerée de cette préparation sur chaque ronds de pâte, dorez à l'oeuf battu et refermez en forme de tricorne, en pinçant la pâte entre deux doigts.

6/Faites cuire à feu moyen.
Servez avec une purée de fruits ou une compote.

J'espère que ca vous a mis l'eau a la bouche le p'tit dessert ....hummm miam miam !!!! Piou piou ...passons passons vous aurez pendant les 3 semaines suivant la suite du clocher de Treguier et oui car il est en 4 partie c'est pour mieux faire durer le suspense

Bonne journée a vous


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Moi j'ai besoin de ta tendresse, de tes baisers, de tes caresses.....
Laceter
L'éditorial le Volte-Face vous souhaite un trés Bon et un trés Joyeux Noel à vous tous et toutes, de la part de son Directeur Laceter de Bellefort et de sa Rédactrice Petite-Fleure:


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