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Leçon de Joute

Nennya
Nennya observait, alternant entre claquement de langue, et soulèvement de sourcils. Elle regardait, attendant patiemment le début du cours. Elle laissa faire le magister, jusqu’à que l’envie lui prit d’intervenir. Quittant la douce ombre de l’arbre, elle s’approcha pour se mêler aux élèves, l’œil sévère, elle dit avec distinction :

-Point besoin de démontrer vos capacités Sire Mimmome, puisque vous estes magister ici, c’est amplement suffisant, à présent, je crois que le débat sur la noblesse ou non, ou bien si ces demoiselles doivent jouter, est terminé. Place au cours. Damoiselle Isaure, vous nommerez vostre professeur, Magister, ou Sire ou encore Professeur.

Damoiselle Cyanne, réfléchissez à vostre avenir, la joute est un exercice physique, si vous souhaitez garder une excellente santé tout au long de vostre vie, il vous faudra remuer plus que les froufrous d’une robe. En outre, la joute est un noble art, la personne représente des armes, un blason, une famille, et c’est un honneur de pouvoir le faire.


Elle frappa dans ses mains avec éclats, elle aimait bien passer pour la méchante, toutefois, si on attendait la Saint Glinglin pour le cours…Elle fit un signe de la tête significatif, demandant en ce sens, à ce que les élèves présents se mettent en jeu.
Germaine
Eloïse, à l'écoute des paroles de la sage rectrice, approuva des deux oui/es. Enfin, fut totalement d'accord, de fait.
Sa vie personnelle prenait un tournant intéressant et elle devinait que, peut-être, il serait de bon ton pour elle d'apprendre l'art du combat. Elle s'approcha donc du magister au nom bizarre et s'exclama benoitement :


A vos ordres, soeur, yes , soeur !

Elle n'était pas totalement certaine des paroles, qu'elle avait entendu prononcer en autres lieux, mais elle en avait retenu la mélodie qui lui avait paru bien gouleyante et souriait benoitement pour montrer sa bonne volonté.
Mimmome
Mimmome, suite à l'intervention de la Rectrice, commença donc à faire son cours .

Bien, vu que maintenant les choses sont complétement en place, il est l'heure d'apprendre, messieurs les élèves. Commençons donc par parler de la joute en tant que telle, vu que l'histoire de ce sport nous sert absolument à rien. La joute se divise principalement en 3 types : joute Champenoise, Angevine et Anglaise ( ou Normande) .

La joute Champenoise est celle des longues chevauchés épiques, des éclats d'armes et des grandes récompenses, des chevaux courant au galop et des dames criant pour leur preux chevalier. C'est en général celle qui est la plus connue. Nous y reviendront plus tard.

La Joute Angevine, bien que beaucoup moins connue, est celle qui est de loin la plus cruelle . Cette joute est très très dangereuse, on y compte par ailleurs plusieurs dizaines de morts par an, ce qui cause par ailleurs sa rareté . Elle se divise en deux partie : une première à cheval ou les 2 chevaliers joutent entre eux jusqu'à quand un chevalier est désarçonné , plus une autre ou les deux chevaliers, à pieds, doivent toucher un point bien précis de leur ennemis pour gagner avec des armes lourdes. Inutile de vous dire que nous n'y essayerons même pas , vu sa dangerosité .

En dernier, la Joute Normande ou Anglaise est sans doute la moins connue de tous, bien qu'elle aie à une époque connu une gloire énorme. Elle est similaire à la joute Champenoise mais se différencie de part son ajout d'un concours de tir à l'arc et d'un jeu d'adresse , similaire à celui du jeu de l'anneau . Abandonné au siècle dernier, désormais plus personne ne l'utilise.

Mais revenons donc à notre joute Champenoise: comme vous savez tous, le champ est divisée en 2 parties : pour ceux qui ne le savent pas, il est important aussi de savoir ou se placer à la base de son rang social. Voici un petit schéma, pour vous aider à comprendre.


Mimmome pris un plan de la poche latérale de Balios, son autre cheval , et l'ouvrit pour le montrer au élèves , en le faisant tenir par son Valet Derrick et par son autre Valet Mario .



Après avoir refermée le plan, il se tourna vers le fils de la Chambellane. Il s'approcha du jeune homme , il donna une lance de taille moyenne, adapté pour son age et lui montra comment la porter :

Là, ici, sous le bras, entre la hanche et le coude, serrez fort. Ensuite, avec ta main, prend la lance au fond de la prise. C'est bon? Bon, ensuite, tu vois au fond le bonhomme en bois. C'est un sarrasin. Fonce y dessus de toutes tes forces. Je l'ai bloqué exprès pour ne pas vous faire tomber, donc, aucun danger. Mais avant, fais quelques tours de piste pour familiariser avec le terrain et le cheval.

Mimmome repris donc la lance et la posa sur le bord de la lice, avant de se retourner vers les élèves, qui n'avaient pas bougés depuis sa dernière intervention.

Bon, Arnaut va vous faire une petite démonstration avec un sarrasin, en étant le plus fort et le plus vieux des élèves ici présents. Mais avant, le temps qu'il fasse quelques tours de pistes et qu'il familiarise avec le cheval, j’attends de vous que vous me fassiez quelques questions PERTINENTES.
Jehan_de_montfaucon
Jehan prit des notes sur les différentes joutes. C'était un domaine qu'il ne connaissait pas, mais dont il s'abreuvait. Tout comme l'était l'équitation au début des cours du Magister Stephandra.

Des questions pertinentes. Le Magister Mimmone voulait qu'on lui pose des questions pertinentes. La pertinence étant d'une relative subjectivité, et cette relative subjectivité étant encore une notion relativement abstraite pour le garçon, il se lança :


Magister, comment gagne-t-on à une joute champenoise ?

Il avait cru comprendre qu'il fallait toucher un point en particulier pour une joute angevine, qu'il fallait être adroit pour le tir et le jeu d'adresse pour les joutes angloises et normandes, mais il n'avait pas compris le but de la joute champenoise.
George_aristote
george interessé par les joutes s'approcha du magistere et observa le plan qu'il faisait tenir
il fut étonné de voir que le peuple était dans les rang proche de la haute noblesse et se demanda si il n'était pas plus judicieux que ce soit la moyenne et basse noblesse et bourgeoisie qui s'y installe
Mimmome
L'homme en noir Répondit à la question.

Nous allons aborder ce sujet un peu plus tard , mais il faut en général désarçonner son ennemi .

D'autres questions?
Stephandra
Stéphandra avait suivi les différents échanges avec un peu d'effroi, certains se permettaient bien des choses sous prétextes peu juste ma foi... Elle avait été à la limite d'intervenir lorsque l'a rectrice apparu et posa les choses tel que point final on en parlait plus!
Regard admiratif vers les Duchesse qui savait employer les mots justes à toutes occasions, puis le cours prit son envol, elle écouta avec une grande attention .. tout en surveillant du coin de l'oeil les élèves.

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Aime_de_fairdowns
Hervald avait écouté le cour du magister et a la fin il lui vint bien une question. De la a savoir si elle etait pertinente...

Magister, pourquoi utiliser un sarasin ?

Apres tout, si Arnaut est le plus fort et le plus agé d'entre nous, je suppose que se retrouver face a moi ne devrait pas etre un probleme pour lui.

Puis je remplacer le sarasin ?
Arnaut_de_malemort
Grand dieu, que la lance était lourde. La magister avait beau vanter la force du jeune Malemort, lui-même en venait à se demander où il pouvait bien avoir rangé sa robustesse. Si ce qu'il porte est une lance de taille moyenne, alors bonjour le poids d'une lance normale ! Les explications sur la joute étaient des plus délicieuses. Alors comme ça, il existait trois types de joutes différentes ? Arnaut connaissait la joute champenoise, la joute angevine, mais pas la normande. Ses camarades étaient rassemblés autour du magister, mais lui avait été élevé au rang de premier testeur. Un rôle somme toute gênant... Au moins, les suivants pourraient profiter de ses gaucheries. Puisqu'on lui avait demandé de faire un petit tour à cheval, il s'exécuta. Heureusement que le magister lui repris la lance des mains, car il commençait à faiblir. Il s'apprêtait à partir lorsque le jeune freluquet d'Hervald osa mettre sa petite touche d'impétuosité. Si le professeur n'avait pas repris la lance, à coup sûr, il l'aurait maladroitement laissé tombée sur les pieds d'Hervald. Tout en confiance après les nombreuses flatteries du magister, le jeune Malemort, adressa un regard supérieur à H, oui H, c'est son nouveau surnom, un regard supérieur parce qu'il était sur son cheval, point du tout l'envie de se montrer hautain, il s'exclama :

- « Le problème n'est pas que je me retrouve face à toi, mais que toi, tu te retrouves face à moi. De même, je doute que tu ais grande expérience en joute, et pour débuter un apprentissage, mieux vaut s'entrainer contre un sarrasin. Nonobstant, je t'ai entendu. Le moment venu, lorsque nous serons prêt, c'est avec plaisir que je jouterais contre toi. »
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Mimmome
L'homme en noir souria . Le fils de la rectrice était plutôt amusant , il voulait servir de pantin pour l'entrainement. D'ailleurs , le Florentin se demandait si ce n'était pas un peu surréel , un enfant qui voulait se faire taper dessus de la part d'un adolescent . "Ça m'aurait amusé, mais je ne peux pas " se dit alors Mimmome. Il avait trop peur du courroux de la terrible rectrice : il risquait sa tête . Il devait donc faire courir la chose et répondre de façon plus ou moins éduqué .

Tks tks tks, Hervald, ne soyez pas sot. Vous risqueriez de vous faire désarçonner et je doute que ma personne ( et surtout votre mère ) apprécie que vous vous fassiez mal le premier jour. Néanmoins, il faut apprécier votre "engouement envers le cours " .


L'homme en noir s'éloigna quelques minutes du groupe pour aller hors du champ chercher une charrette qui était là depuis le début du cours. Elle contenait des lances de différentes tailles et poids , pour que tout le monde trouve lance à son bras ( mouais, ça rend pas terrible). Mimmome fit avancer la charrette qui était tirée par un de ses valets vers le groupe, avant de dire :

Au fait, tout ceux qui ne veulent pas jouter peuvent désormais partir à leur risque et péril pour rejoindre leur chambre. Pour les damoiselles ne portant pas de jupe avec des braies ou des pantalons , ou simplement des braies, je vous invite à courir vous changer plus que rapidement.

En se tournant vers le Malemort, il pris une lance de poids plutôt léger ( quelques 5 kilos ), pour l'utiliser comme démonstration pour les autres. L'homme ne noir n'était pas cruel , il avait bien compris que le poids moyen était trop lourde pour lui. Il lui donna et lui expliqua que il fallait tenir la pointe de la lance vers le haut durant la préparation puis la mettre en position normale pour toucher l'ennemi dés que le galop commençait. Il s'approcha des autres élèves et dit alors :

Regardons tous ensemble messire de Malemort aller lentement vers le sarrasin . Je vous prie, Arnaut
George_aristote
george regarda arnaut aller a l'approche du sarrasin ,la lance bien que d'apparance plus légère que les autres paraissait quand même assez lourde, il regarda donc avec attention la démonstration qui s'apprétait a avoir lieu
Arnaut_de_malemort
Pas la peine de le demander deux fois. Après s'être emparé de la lance, d'un poids inférieur à la précédente, il donna un petit coup sec dans les rennes, accompagné d'un bruit très délicats du style *kik kik*. C'était un langage que sa monture comprenait. A mesure qu'il s'avançait vers l'entrée de la lice, l'excitation laissa place à une légère anxiété. Après tout, c'était la première fois pour lui qu'il allait jouté, même s'il venait à l'instant de dire le contraire à H. Redoublant de courage, il se lança à pleine allure contre le sarrasin. Son regard était posé sur le mannequin qui n'attendait que de recevoir sa lance. Il entama sa course effréné vers la gloire. Après toutes ces années à rêver d'entrer en lice, comme son père avant lui, tel un vrai chevalier, il se laissa aller à ses rêves de gloire et d'honneur. De sa main, il serra fermement la lance, au fond de la prise, comme le magister lui avait dit. En pleine charge, tenir l'arme s'avérait être beaucoup plus ardu que prévu.

L'espace d'un instant, il revînt à la réalité de sa situation. Soumis au regarde de ses camarades, arbitres de son habilité, après tant d'éloge faite par le magister. Sera-t-il à la hauteur ? Entendre le rire d'Hervald sera sûrement la pire des jacqueries. Heureusement, le plaisir d'accomplir enfin son rêve repris le pas, et sa concentration se fixa à nouveau sur le sarrasin, qui s'avançait à grande vitesse, à moins que ça ne soit Arnaut qui s'approchait de sa cible ? Et voila ses yeux qui se trouble. Dans un état d'extrême concentration, il regarda le bout de sa lance. Zut, elle avait dévié vers la droite. Le bout s'éloignait dangereusement du centre de l'écus, son bras ne tenait plus, emporté par le poids de sa lance, il perdit légèrement l'équilibre. Finalement, la lance se contenta effleurer la cote du sarrasin. Il avait raté sa cible. Zut. Dommage. Crottes. Pestouille. Quelque peu déçu, il s'avança vers le magister. Peut-être devait-il laisser un autre essayer ? Il ne s'en voulait pas d'avoir manqué sa cible. De par les sensations qu'il venait de vivre, il était loin de considérer son expérience comme un échec.

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Mimmome
En fait, l'homme en noir, sans que personne ne s'en était rendu compte, avait profité de l'attention centrée sur Arnaut pour se faire porter une chaise relevée . Il s'y était assis et avait regardé avec plaisir le jeune Malemort jouter. Néanmoins, il voyait l'adolescent s'approcher du groupe et ce lui plaisait un peu moins. Qu'attendait il pour ressayer? Mimmome comprenait que peut être un doute s'était insinué dans les pensée de cet homme, enfin, de cet jeune homme, donc il ne le pris pas trop en compte la non-action et répondit de façon calme et posée :

Bien bien . Je doutes que les autres auraient fait le tier de ce que vous avez réussi à faire. Maintenant, il faut reussir. Allez hop hop, on y retourne .
Nennya
Le cours débuta, et à cet instant, la rectrice se retira à nouveau, elle n’allait pas intervenir tout au long du cours, et pourtant, elle en avait envie. La Duchesse écouta avec attention le cours, peut être pourrait elle s’en inspirer pour les vassaux d’Alcalnn qui n’avait jamais jouté. Nennya n’était pas grand chose par rapport à son époux, et elle aimait au moins enseignée ce qu’elle pouvait à ceux-ci. Son oreille s’éveilla lorsque son fils prit la parole, non pour poser des questions, mais pour faire le coq ou le sarrasin. On entendit un raclement de gorge de sa part. Elle les laissa régler le litige de vive voix, le Magister semblait avoir beaucoup d’estime pour le jeune Arnaut, et ne prit pas en compte la demande de son fils. Fort bien, elle ne souhaitait pas à avoir le soigner, il lui était difficile de prodiguer des médications à sa famille.

Comment ça ceux qui ne souhaitaient pas jouter aller dans leur chambre, il faudrait lui passer sur le corps… Tout le monde était en cours, à part, si l’un deux avait une sacrée bonne excuse, comme un bras cassé, une perte subite de jambes.

Elle s’appuya contre le bord de la lice, et regarda la joute présente, elle avait envie de jouter…la dernière était celle de Montbazon, et avant celle du Lavardin, sa vie parisienne avait du l’encroûter, à son grand désespoir !
Arnaut_de_malemort
Oookkkeeyyy... ça marche toujours comme ça les cours à Paris ? On recommence. Encore et encore. Jusqu'à y arriver ? De la part du fils de la Grande Chambellan de France, on aurait pu s'attendre à un comportement capricieux et provocateur. C'était sans oublié son secret le plus cher, mais également le plus honteux, son état de bâtardise. Sur les 11 enfants de Nebisa, d'ailleurs le chiffre est à vérifié, onze ou douze, peut-être treize max, seuls deux étaient des héritiers. Il était su de tous qu'à chaque fois qu'on évoque le nom le Malemort, il existe une probabilité non négligeable que les liens de parentalités soient douteux... Douteux ? Jamais bougre de dieu ! Par les saints poils de Saint Binasse, jamais sa mère n'avait forniqué avec un bougre, et toutes la mesnie était de descendance glorieuse, un sang mêlé honorifique. Donc tout ça pour dire qu'Arnaut n'était pas du genre à renoncer, contrairement à d'autres héritiers qui ne compte que sur le népotisme.

Et voila que le Malemort repars en lice ! Redoublant de courage, trouvant dans la fougue de sa jeunesse la vaillance pour affronter une seconde fois cette épreuve ! Au galop tornado ! Arf non. Il avait depuis belle lurette oublié le nom de son fidèle destrier. Mais comme il était moche, il l'appellerait sûrement : l'âne, rapport à un vieux conte que sa mère lui avait lu jadis... Lancé au galop, au triple galop même, il abaissa sa lance en direction du sarrasin, pièce inerte qui l'avait déjà humilié précédemment. Le regard fixé vers la pièce centrale, cet écus qui vous hypnotise. Seul ceux qui ont déjà jouté peuvent savoir ça. Et là, pour le coup, Arnaut parlait d'expérience ! Pfff. Ces camarades ne pouvaient pas comprendre. Arrivé à proche distance, la chaleur le fit perler de sueur. Il n'avait point eu le temps de reprendre son souffle. La lance commença à glisser. Ajouter à cela son poignet faiblard, il n'en fallut pas plus pour manquer sa cible. Son second essai était raté, tout comme le premier, mais en pire. Un peu comme les enfants de Nennya. (hihi). Ah déception ! Il avait enchaîné le deuxième essai avec trop de précipitation. Le manque de concentration était flagrant.

Il ne quitterais pas le cours sans avoir réussi à toucher le sarrasin. Ainsi décida-t-il de rejoindre la lice, sans même prendre le temps de s'arrêter devant les élèves, de peur d'entendre les moqueries, ou de se voir interdir l'entrée de la lice une troisième fois. Un petit galop, et hop, ni vu ni connu j'tembrouille. Placé pour la troisième fois devant la lice, il pris le temps de reprendre son souffle, de déguster les bourrasques de vent, de faire une légère prière, puis de se lancer à nouveau en lice ! Après deux tentatives, les variables n'étaient de moins en moins flous. La lance était tenue d'une main forte, il avait chassé toutes les mauvaises pensés de sa tête pour se concentrer uniquement sur son ennemi. Oui, son ennemi. Faire de lui un méchant, un diable, mettre sa vie en jeu, c'est un vieux truc d'indiens de native kingdom pour se concentrer. Il suffit de modifier les enjeux, et PAF ! Une bonne dose d'adrénaline. Arrivé à proche distance du sarrasin, il se rappela la devise des Malemort : Omnes vulnerant, ultimat necat : toutes blesses, la dernière tue. Et oui, la dernière le tua. Sa lance toucha le mannequin en plein milieu de l'écus, avec encore plus de précision que Robin des bois lui-même. Le sarrasin, bien que fixé, se mit à tourné, heureusement que le Malemort était un fin connaisseur de l'artisanat parisiens, ainsi ne fut-il pas frappé par le retour. Quelle victoire ! et quelle adresse ! une preuve de plus de l'avantage innée du vivant sur la matière inerte. Après sa victoire, il s'avança vers ses camarades avant de descendre de son cheval, satisfait. Les deux précédents défaites avaient été bien vite effacé.


- « A qui le tour ? »

[J'ai tiré aux dés la réussite d'Arnaut. Il n'a réussi à toucher la cible qu'au bout du 3ieme jet. ]
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