[Dernier voyage...ou presque]
Maine dernière étape.
Le cur content, il avait gravit les chemins, pour rejoindre ce lieu rêver ou il pourrait contempler sa vie et en mesurer son ampleur, ce lieu où toute ces énormités fleurirait comme une fleur.
Il se rendait dans ce lieux où il n'aurait ni père, ni mère, ni sur, ni frère,.Ce lieu n'étant autre que l'endroit ou tout commença. Et dans ces collines et vallées ou se meurtrirent combats et discourt alors la nuit s'installerait et ses rafraichissante ténèbres tombant a son arrivé serait le signal d'une fête intérieur annonçant le début de la fin.(1)
Il avait abandonné famille et amour, réussite médiocre de sa vie d'errance et d'idéaux. Il s'était sacrifier de cette vie pour en protéger une autre, celle de la perpétuité d'un patronyme qui n'avait plus d'avenir avec son héritier, héritier qu'il avait été.
Toute sa vie il s'était battu en l'honneur de ses idéaux, et ce sont ses derniers qui le guidèrent ainsi vers son épilogue. Ferveur d'une vie et d'un homme, ils avaient fait de lui ce qu'il était, préfèrent la justice à l'amour, et l'honneur à la fidélité. Ils l'avaient guider dans son cheminement, et mener jusqu'au grand de se monde, partageant tous ses valeurs, en les gérant parfois beaucoup mieux.
Mais cet homme à la peau d'orient, n'avait plus rien à prouver à ceux-ci, il s'était abandonner à eux.
Et ce n'est qu'au crépuscules de sa vie qu'il eu découvert se qu'il avait omis.
Et sa réaction fut celle d'un homme en pleine possession de sa tête, ne se doutant de l'importance du temps : il lui courrait après. Mariage, adoption, vie de famille sous le chant des cigales, un retour aux origines qu'il n'eut jamais connu. Loin des enfants de ses idéaux, Loin certes, mais pas assez. Une part en lui ne se détachait de cette patrie, avec qui il continuait d'échanger, certes par simple courriers, mais son siège n'était pas vide, et il le savait.
Seulement, lorsqu'on cours après le temps, il finit toujours par nous courir après. L'utopie de la jeunesse se dissipe ainsi dans l'horizon de sa vie, comme les lueur roses qui traînent à l'agonie du jours sous l'oppression victorieuse de la nuit.(1)
Doucement il se mit ainsi à l'évidence, l'évidence que cette n'aurait pas suffit, à allier pouvoir et passion. Il avait fait battre le ciel plus que son propre cur, pour un future plus beau, qui ne sera pas siens.
A la lumière obscure, il se rendit enfin compte de ce qui lui fallait protéger : Ce future qu'il avait voulu construire.
Il était certainement un architecte inachevé, mais dans le paradoxe de sa vie, il savait parfaitement qui il devait remercier.
Son souffle glacé dans les nuits chaudes de l'été résonna alors comme la cloche d'une horloge que l'on aurait pas inventer. Il lui fallait abandonner une vie, pour mieux abandonner l'autre, et enfin réaliser son coup de grâce. S'abandonner enfin pour laisser place au lendemain. Le monde dont il aura fait partit et qu'il a aider à façonner, son monde,disparaitra cette nuit là. Et le lendemain un nouveau monde naitra, une nouvelle ère que la jeunesse façonnera. Une nouvelle ère où il n'aurait pas eu place.(2)
C'est ainsi que les idéaux qui l'avaient façonner devait le ramener au lieu de leur création. C'est ainsi que ces valeurs combattrait son faible souffle jusqu'au moment ultime de sa rédemption. Il gravirait les sentiers pour retourner là d'où il venait.
La persévérance le protègerai de toute souffrance, et l'honneur fera oublier les malheurs. Tel est le chemin de son destin dont il ne mesure plus le train.
La fin de la semaine marqua la fin de son périple, adosser à son cheval à la robe noire peste,il arborer quand à lui son pénultième habit que l'on confondrai au bleu nuit. A son arrivé il retrouver enfin trace de la civilité. Les hommes le dévisageant, le voyait comme un personnage mourant allant enterrer sa vie en un terrain maudit. Mais quenini chers amis ! L'homme qui présent gît, s'en va enterrer l'homme qu'il fut, là ou il ne sera plus.
Aux lignes que son serviteur traverser à petit trot, l'homme ressentait son histoires, et il n'eut nul besoin d'ouvrir ses paupières trop lourdes pour voir que le moment approcher. Bientôt il entendrai les flemmes des torches, qu'il n'approcherai pas, de peur de se bruler. Bientôt il entendrait le crissement des épées, dont leur froideur d'acier lui rappellerai celle de son souffle. Bientôt, il arrivera au bout...de son premier voyage.
A son arrivé tout avait déjà commencés, bien sur il s'en doutait mais cela ne gêner.
Ô non ne le chercher pas auprès de quelques lueurs vous ne le trouverai, ne le chercher pas sur son siège, il demeurera vacant. N'attendait pas non plus qu'il interviennent, vous ne l'entendrai pas. Non ça chair et ses os était bien plus amont de cette cérémonie représentant l'aval.
Prédisposé dans l'obscurité, il observerait, il admirerai ceux qui le remplaceront.
Car ces derniers le représenteront, ils seront lui comme ils sont déjà les autres, porteur d'un héritage qu'ils ont décidé d'assumer.
Il n'avait la force de distingué les visages, seul la voix portante de certains marqué les personnages.
On attendait alors cette musique, leurs musiques. Musiques d'allégeances, d'émotions et d'honneur.
Ah oui c'est cela, la fougue et les idéaux qu'il fut, la raison de chaos et de sa venue.
Tous avait un timbre différent mais chanter à l'unisson, la force d'une licorne spirituelle défait de toute cher, défait de tout os. Ils ne vouent pas un animal d'odeur et de maladies, ils ne vouent pas un animal animait par la simple pulsion de son cur répartissant son sang. Non, ils vouent un animal qu'ils servent au nom de ses idéaux. Un animal sacré aussi intemporelle qu'inépuisable.
Et dès lors qu'ils s'intronisent à lui, ils lui offrent leur âmes.
Ah..maintenant bien qu'il soit dans l'obscurité, son âme de chevalier par instants brillait, et s'allonge, et s'étale, telle un spectre fait de grâce et de splendeurs,à sa rêveuse allure orientale. Quand elle atteint sa totale grandeur, elle reconnu sa belle visiteuse, c'était bien Elle, de bleu et d'azur nuit et pourtant lumineuse. (1²)
Son corps de chevalier est alors semblable au prince des nuées, qui hante la tempête et se rit de l'archer, exilé sur le sol au abords des huées, ses ailes de géant l'empêchent de marcher.(1-3)
Mais patience ! Rien n'est encore terminer, tout n'a même pas commencer, rien ne serre de se presser il ne faut rien perturber. Alors attendez il n'a encore rien jouer de son requiem..le silence n'a d'égal, que dans la manière par laquelle il est briser.
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Certains passages son directement tirés d'uvres d'auteurs adapté aux récits, elles sont tirés de ces livres/uvres qui ne sont en rien fidèle à l'époque.
1 Le spleen de Paris, Baudelaire
1² Les ténébres,les fleurs du mal, Baudelaire
1-3 L'albatros, les fleurs du mal, Baudelaire
2 V for Vendetta written by the wachowski brothers