Axouni
Cétait une noire, mais certains reflets permettaient de voir certaines scènes de ce qui se tramait dans le village de Gifu.
Le convoi était arrivé à lheure prévue, sans avoir le moindre petit retard.
Tout se déroulait comme prévu, pour linstant sans le moindre accroc. La suite allait être pus délicate dans les jours qui allaient suivre, mais il était patient et avait les épaules solides.
Ils avaient tous été alléchés par leur avarice, pour épargner une poignée de Kobans. Le seul qui avait été encombrant, cétait ce tribun, lui aussi jaloux de ne pouvoir rien vendre. Le pauvre sil avait su.
Et encore une chance que les élections furent retardées de deux jours.
Dans la nuit, il donnait ses ordres au pauvre charretier qui conduisait le convoi :
-Fais gaffe, la route vers chez moi est mauvaise, renverse rien, sinon je te fait bruler les deux mains !
-Toi, là bas, en profites pas pour ten mettre plein les poches, tauras ta part comme convenu.
Un sourire mauvais lui tordit le visage. Il avait réussit son premier gros coup, et il avait épuiser de toutes sa politesse, de toute sa galanterie pour pouvoir arriver à ses fins. Il sétait tous adonner à la corruption, sans rien y voir. Comme quoi, donner un peu de viande à pas cher et on vous suce les doigt de pied. Et il était un peu fétichiste des pieds, ce en quoi, cela lui plaisait vraiment.
Le convoi touchait à sa fin.
Il se retourna , et prit un papier quil accrocha sur la porte du Sô :
A vous, habitants !
Vous mavez pris pour un homme sain, un homme généreux, un homme de confiance !
Et bien je vous dis .Que nenni !
Vous vous êtes bien goinfrés de viandes, de riz et dudon dans la taverne du pied levé ?
Le saké était assez gouteux ?
Je laisse ainsi votre Sô, nayant pas de milice pour demain, vous devriez rapidement en reprendre la possession.
Pour la grandeur du Lézard !
Satisfait il suivit le convoi qui menait dans un planque éloigné du village.
Le convoi était arrivé à lheure prévue, sans avoir le moindre petit retard.
Tout se déroulait comme prévu, pour linstant sans le moindre accroc. La suite allait être pus délicate dans les jours qui allaient suivre, mais il était patient et avait les épaules solides.
Ils avaient tous été alléchés par leur avarice, pour épargner une poignée de Kobans. Le seul qui avait été encombrant, cétait ce tribun, lui aussi jaloux de ne pouvoir rien vendre. Le pauvre sil avait su.
Et encore une chance que les élections furent retardées de deux jours.
Dans la nuit, il donnait ses ordres au pauvre charretier qui conduisait le convoi :
-Fais gaffe, la route vers chez moi est mauvaise, renverse rien, sinon je te fait bruler les deux mains !
-Toi, là bas, en profites pas pour ten mettre plein les poches, tauras ta part comme convenu.
Un sourire mauvais lui tordit le visage. Il avait réussit son premier gros coup, et il avait épuiser de toutes sa politesse, de toute sa galanterie pour pouvoir arriver à ses fins. Il sétait tous adonner à la corruption, sans rien y voir. Comme quoi, donner un peu de viande à pas cher et on vous suce les doigt de pied. Et il était un peu fétichiste des pieds, ce en quoi, cela lui plaisait vraiment.
Le convoi touchait à sa fin.
Il se retourna , et prit un papier quil accrocha sur la porte du Sô :
A vous, habitants !
Vous mavez pris pour un homme sain, un homme généreux, un homme de confiance !
Et bien je vous dis .Que nenni !
Vous vous êtes bien goinfrés de viandes, de riz et dudon dans la taverne du pied levé ?
Le saké était assez gouteux ?
Je laisse ainsi votre Sô, nayant pas de milice pour demain, vous devriez rapidement en reprendre la possession.
Pour la grandeur du Lézard !
Satisfait il suivit le convoi qui menait dans un planque éloigné du village.