Umiko
sir_hugo a écrit:
[ Dans la cour, avec la Garde.]
Le Garde d'Argent était toujours dans le cour d'un château, qu'ils n'avaient encore jamais visité. Il faisait toujours nuit, et les torches des Garde éclairaient légèrement les visages cachés des soldats d'élite. Depuis que Kam et le Coms étaient entré rapidement dans la demeure, les Gardes attendez, veillant à ce que personne ne puisse entrer. Lommyr, qui était non voyant depuis peu, posa la question de savoir où ils étaient. Hugo lui répondit:
-Nous sommes dans un château, Lommyr, ne t'en fait pas, tout se passe bien, nous attendons maintenant le Coms.
Les gardes n'étaient pas informé de leur visite ici, mais peu leurs importaient. Il s'agissait sûrement de quelque chose de médicale, car Kam était présent, et Skip avait proposé son aide. Une chose importait pour le ponot; que le Coms soit en vie. Pour l'instant c'était le cas, alors tout ce passait très bien. Hugo vérifia ces armes, et regarda si son épée était toujours aussi tranchante. Il ne souhaitait pas rencontrer des brigands sur le chemin du retour, mais un peu d'action lui ferait sûrement du bien. Cela faisait déjà plusieurs dizaines de minutes qu'ils attendaient. Il espérait qu'ils allaient bientôt rentrer dans leur Languedoc.
Le Garde d'Argent était toujours dans le cour d'un château, qu'ils n'avaient encore jamais visité. Il faisait toujours nuit, et les torches des Garde éclairaient légèrement les visages cachés des soldats d'élite. Depuis que Kam et le Coms étaient entré rapidement dans la demeure, les Gardes attendez, veillant à ce que personne ne puisse entrer. Lommyr, qui était non voyant depuis peu, posa la question de savoir où ils étaient. Hugo lui répondit:
-Nous sommes dans un château, Lommyr, ne t'en fait pas, tout se passe bien, nous attendons maintenant le Coms.
Les gardes n'étaient pas informé de leur visite ici, mais peu leurs importaient. Il s'agissait sûrement de quelque chose de médicale, car Kam était présent, et Skip avait proposé son aide. Une chose importait pour le ponot; que le Coms soit en vie. Pour l'instant c'était le cas, alors tout ce passait très bien. Hugo vérifia ces armes, et regarda si son épée était toujours aussi tranchante. Il ne souhaitait pas rencontrer des brigands sur le chemin du retour, mais un peu d'action lui ferait sûrement du bien. Cela faisait déjà plusieurs dizaines de minutes qu'ils attendaient. Il espérait qu'ils allaient bientôt rentrer dans leur Languedoc.
Eliandre de Saunhac a écrit:
Ailleurs.
Extérieur.
Brûlure. Lumière qui fane les yeux.
Brûlure. Air qui incendie les poumons.
Brûlure. Cri qui râpe les cordes vocales.
Solitude ? oui je ne le sens toujours pas. Non, présence dautres, détrangers.
Mouvement. Sons. Mouvements.
Présence ! Près de moi. Hors datteinte.
Main qui se tend. Ensemble ailleurs.
Soulagement. Noir. Sommeil. Nous sommes deux.
Extérieur.
Brûlure. Lumière qui fane les yeux.
Brûlure. Air qui incendie les poumons.
Brûlure. Cri qui râpe les cordes vocales.
Solitude ? oui je ne le sens toujours pas. Non, présence dautres, détrangers.
Mouvement. Sons. Mouvements.
Présence ! Près de moi. Hors datteinte.
Main qui se tend. Ensemble ailleurs.
Soulagement. Noir. Sommeil. Nous sommes deux.
Aymeric_de_Saunhac a écrit:
Dans le couloir
On me transporte, ça n'en fini plus.
Je la cherche des mains, je l'appelle de mes cris.
Aucune réponse ne me vient.
Où es tu? Pourquoi m'as tu laissé seul ici? Il fait si froid!
Un instant je me calme, il me faut de l'air.
Au loin un faible cri s'élève.
On s'agite autour de moi, des cris se rapprochent.
Est-ce toi?
Oui c'est toi! Je te sens prés de moi! Tu m'as enfin rejoint...
On me transporte, ça n'en fini plus.
Je la cherche des mains, je l'appelle de mes cris.
Aucune réponse ne me vient.
Où es tu? Pourquoi m'as tu laissé seul ici? Il fait si froid!
Un instant je me calme, il me faut de l'air.
Au loin un faible cri s'élève.
On s'agite autour de moi, des cris se rapprochent.
Est-ce toi?
Oui c'est toi! Je te sens prés de moi! Tu m'as enfin rejoint...
Vanye I Chia a écrit:
[Dans la cour du château]
Vanyë attend avec les autres membres de la Garde d'Argent dans la cour du château. Ils sont dans le noir, à l'exception de quelques torches qui viennent les éclairer quelque peu. Le commandant commence à trouver le temps long, mais il sait que cela fait partie de son métier. Attendre, encore attendre et toujours attendre... Tel est le lot du soldat. La Garde est réputée pour sa grande patience et sa capacité à rester sur le qui vive tant que cela est nécessaire, sans esquisser le moindre geste. Oui, ils attendent. Il a juste dépêché deux hommes à l'intérieur pour assurer la sécurité du Coms jusqu'à l'intérieur de la demeure.
Les chevaux ont été pris en charge par le personnel des lieux, mais rapidement ils ont été ramenés dans la cour, à la demande du Commandant. Il doit pouvoir compter sur les montures en cas d'urgence, sans avoir à perdre du temps pour les seller. Les hommes ont avalé un repas frugal et Vanyë a refusé toute distribution de vin ou d'alcool plus fort. Tous doivent demeurer attentifs et prêts à intervenir. Il n'a jamais vraiment aimé ce genre de missions secrètes. Personne ne sait au Languedoc où ils se trouvent. Ils ne peuvent espérer aucune aide, aucun renfort. Cette fois, ils sont tous livrés à eux mêmes et ne doivent compter que sur leurs propres forces pour revenir sains et saufs en Languedoc. D'une certaine façon, cela ne change pas beaucoup de l'habitude puisque même au coeur de la capitale languedocienne, face aux In Tenebris, ils ont dû se débrouiller seuls.
Vanyë s'approche de Sir_Hugo et de Lommyr, lesquels se tiennent près de la porte d'entrer du château :
"Soyez attentifs. On ne sait pas vraiment où nous sommes, ni qui on peut redouter dans le coin. Nous devons être sur nos gardes".
Le commandant a chuchoté ces paroles. Il ne sait pas très bien pourquoi, sans doute l'atmosphère tranquille de la nuit l'y a-t-elle incité...
Vanyë attend avec les autres membres de la Garde d'Argent dans la cour du château. Ils sont dans le noir, à l'exception de quelques torches qui viennent les éclairer quelque peu. Le commandant commence à trouver le temps long, mais il sait que cela fait partie de son métier. Attendre, encore attendre et toujours attendre... Tel est le lot du soldat. La Garde est réputée pour sa grande patience et sa capacité à rester sur le qui vive tant que cela est nécessaire, sans esquisser le moindre geste. Oui, ils attendent. Il a juste dépêché deux hommes à l'intérieur pour assurer la sécurité du Coms jusqu'à l'intérieur de la demeure.
Les chevaux ont été pris en charge par le personnel des lieux, mais rapidement ils ont été ramenés dans la cour, à la demande du Commandant. Il doit pouvoir compter sur les montures en cas d'urgence, sans avoir à perdre du temps pour les seller. Les hommes ont avalé un repas frugal et Vanyë a refusé toute distribution de vin ou d'alcool plus fort. Tous doivent demeurer attentifs et prêts à intervenir. Il n'a jamais vraiment aimé ce genre de missions secrètes. Personne ne sait au Languedoc où ils se trouvent. Ils ne peuvent espérer aucune aide, aucun renfort. Cette fois, ils sont tous livrés à eux mêmes et ne doivent compter que sur leurs propres forces pour revenir sains et saufs en Languedoc. D'une certaine façon, cela ne change pas beaucoup de l'habitude puisque même au coeur de la capitale languedocienne, face aux In Tenebris, ils ont dû se débrouiller seuls.
Vanyë s'approche de Sir_Hugo et de Lommyr, lesquels se tiennent près de la porte d'entrer du château :
"Soyez attentifs. On ne sait pas vraiment où nous sommes, ni qui on peut redouter dans le coin. Nous devons être sur nos gardes".
Le commandant a chuchoté ces paroles. Il ne sait pas très bien pourquoi, sans doute l'atmosphère tranquille de la nuit l'y a-t-elle incité...