Adrien_de_lortz
Dans les rêves d'un jeune languedocien...
Force est de reconnaître que l'endroit n'était guère des plus hospitaliers, sans pourtant être des plus désagréables. Certes, le vent dans les ramures des arbres, sifflant sur leurs cîmes dans un vacarme plus assourdissant que les cors de chasse du Roy, n'était pas pour rendre l'endroit calme, mais son éloignement relatif du centre de Bézier permettait une certaine quiétude, un repos relatif, loin des cris divers et des grognements des bêtes. Et c'était après tout bien ce qui importait, du moins pour le jeune homme récemment arrivé en Languedoc, et qui ne voyait dans les villes que des endroits pleins de folies et austères, peu propices à la pensée ou à la réfléction. Arrivé depuis quelques mois en Languedoc , il lui fut forcé de reconnaître en ce comté une beauté indicible. Le temps calme en ce fin de Printemps, bouchait pour quelques semaines encore la plupart des cols, et renvoyait selon la course de l'astre solaire, des éclats aux teintes semblables mais jamais identiques.
Le rouge dominait à l'Aurore, tandis qu'un bleu profond s'imposait à midi, se laissant à son tour dominer par le jaune du crépuscule. La tiédeur des rayons filtrés par le feuillage de quelques centenaires, caressait avec douceur ses cheveux abandonnés au vent . Cette sensation le fit sourire et lever les yeux vers l'étendue infinie s'élevant au dessus de toute chose. Une brise légère et fraîche ébouriffa ses cheveux et fit parvenir jusqu'au jeune homme l'arôme revigorante de la nature.Un peu plus haut, une flore incroyablement dense s'étendant à perte de vue, abrite un village accueillant, bien que modeste. Dans ce village on peut y sentir une farandole d'odeurs qui, par leur puissance, se transforment en saveurs envahissant le palais. Des sourires inondés de douceur s'affichant à chaque coin de rue. Des embrassades et des accolades de-ci de-là sans qu'il y ait une réelle raison, juste le bonheur de se retrouver et de partager une nouvelle journée ensemble. Un éclat de rire surgit de son rêve éveillé, il se décida de continuer sa déambulation dans le labyrinthe de ses pensées.
Derrière le village, une forêt luxuriante, grouillante d'une infinité d'espèces animales et végétales, non connues par la plupart des bonnes gens vivant au-delà de l'océan et des nombreuses étendues dépourvues d'une telle diversité. D'autres odeurs, plus subtiles que dans le village, chatouillent agréablement les narines. A la fois fraîches et sucrées, douces et corsée, elles ont l'étonnante capacité de faire frémir de plaisir le plus enrhumé d'entre nous.Ahhh ! Quelle plaisir aurait été d'avoir vécu dans un lieu aussi magique. Ne plus jamais revoir cette île de toute sa jeune vie serait une véritable souffrance pour lui . Le jeune homme ouvrit les yeux sur un valeureux bois, rempli de charme et de joie de vivre.
PLOUF, PLOF, BLING ( ou un truc du genre )
Dans une Auberge de la bonne ville de Lodève..
Faudra toujours que quelque chose le réveille, lui fasse perdre le la consciencxe qu'il pouvait mettre dans ses rêves. Il avait longtemps cru que c'était un don, qu'il pouvait imaginer tout. Oui, l'imagination était son don, un don sans limites, sans failles, sans défauts. Il lui arrivait souvent de rester des heureus cloitrés quelque part, à penser, à rêver, de tout et n'importe quoi, c'était un peu son deuxième monde. Alors alors, reprenons nos esprits, il était à Lodève, au centre du village, là où les troupes DTC essaiyaient de forcer le fort. Oui, il se trouvait à Lodève, pourquoi déja ? Un voyage s'était-t-il dit, oui un voyage. Les raisons ? euh à peu près aucune, enfin il n'en savait rien, l'important était qu'il était là... dans une auberge.
C'est un bruit d'entrée qui le fit sursauter, lui et son verre discret d'Hydromel...
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It's just a dream !
Force est de reconnaître que l'endroit n'était guère des plus hospitaliers, sans pourtant être des plus désagréables. Certes, le vent dans les ramures des arbres, sifflant sur leurs cîmes dans un vacarme plus assourdissant que les cors de chasse du Roy, n'était pas pour rendre l'endroit calme, mais son éloignement relatif du centre de Bézier permettait une certaine quiétude, un repos relatif, loin des cris divers et des grognements des bêtes. Et c'était après tout bien ce qui importait, du moins pour le jeune homme récemment arrivé en Languedoc, et qui ne voyait dans les villes que des endroits pleins de folies et austères, peu propices à la pensée ou à la réfléction. Arrivé depuis quelques mois en Languedoc , il lui fut forcé de reconnaître en ce comté une beauté indicible. Le temps calme en ce fin de Printemps, bouchait pour quelques semaines encore la plupart des cols, et renvoyait selon la course de l'astre solaire, des éclats aux teintes semblables mais jamais identiques.
Le rouge dominait à l'Aurore, tandis qu'un bleu profond s'imposait à midi, se laissant à son tour dominer par le jaune du crépuscule. La tiédeur des rayons filtrés par le feuillage de quelques centenaires, caressait avec douceur ses cheveux abandonnés au vent . Cette sensation le fit sourire et lever les yeux vers l'étendue infinie s'élevant au dessus de toute chose. Une brise légère et fraîche ébouriffa ses cheveux et fit parvenir jusqu'au jeune homme l'arôme revigorante de la nature.Un peu plus haut, une flore incroyablement dense s'étendant à perte de vue, abrite un village accueillant, bien que modeste. Dans ce village on peut y sentir une farandole d'odeurs qui, par leur puissance, se transforment en saveurs envahissant le palais. Des sourires inondés de douceur s'affichant à chaque coin de rue. Des embrassades et des accolades de-ci de-là sans qu'il y ait une réelle raison, juste le bonheur de se retrouver et de partager une nouvelle journée ensemble. Un éclat de rire surgit de son rêve éveillé, il se décida de continuer sa déambulation dans le labyrinthe de ses pensées.
Derrière le village, une forêt luxuriante, grouillante d'une infinité d'espèces animales et végétales, non connues par la plupart des bonnes gens vivant au-delà de l'océan et des nombreuses étendues dépourvues d'une telle diversité. D'autres odeurs, plus subtiles que dans le village, chatouillent agréablement les narines. A la fois fraîches et sucrées, douces et corsée, elles ont l'étonnante capacité de faire frémir de plaisir le plus enrhumé d'entre nous.Ahhh ! Quelle plaisir aurait été d'avoir vécu dans un lieu aussi magique. Ne plus jamais revoir cette île de toute sa jeune vie serait une véritable souffrance pour lui . Le jeune homme ouvrit les yeux sur un valeureux bois, rempli de charme et de joie de vivre.
PLOUF, PLOF, BLING ( ou un truc du genre )
Dans une Auberge de la bonne ville de Lodève..
Faudra toujours que quelque chose le réveille, lui fasse perdre le la consciencxe qu'il pouvait mettre dans ses rêves. Il avait longtemps cru que c'était un don, qu'il pouvait imaginer tout. Oui, l'imagination était son don, un don sans limites, sans failles, sans défauts. Il lui arrivait souvent de rester des heureus cloitrés quelque part, à penser, à rêver, de tout et n'importe quoi, c'était un peu son deuxième monde. Alors alors, reprenons nos esprits, il était à Lodève, au centre du village, là où les troupes DTC essaiyaient de forcer le fort. Oui, il se trouvait à Lodève, pourquoi déja ? Un voyage s'était-t-il dit, oui un voyage. Les raisons ? euh à peu près aucune, enfin il n'en savait rien, l'important était qu'il était là... dans une auberge.
C'est un bruit d'entrée qui le fit sursauter, lui et son verre discret d'Hydromel...
Rp ouvert dans la joie et la bonne humeur, juste pour le bon plaisir d'écrire. Suivez la cohérence des choses SVP !
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It's just a dream !