Tigre-d-o
Tigre avait suivi Petit à travers les bois et les ronces, d'un pas aussi rapide que possible. Une petite troupe avait pris position. Toinin était resté sur la palce du village, surveillant les malandrins, avec son plan en tête. Il regarda Petit, sûr que le gamin ne mentait pas. La cabane était bien cachée. Tigre mit un grand coup de pied dans la porte, qui s'arracha sous la violence du choc.
Tigre s'attendait à ce qu'elle soit vide. Fagin n'était pas stupide. Il commença même à douter qu'il soit dans une cabane... Cependant, la cabane avait été visitée récemment. Il ressortit, après avoir regardé le sol de terre, sûr qu'il ne recelait pas de trappe.
Il fallait espérer que ceux de ses complices connus et capturés sachent quelque chose.
Tigre fit un signe à ses hommes qui se mirent en devoir de démolir consciencieusement la cabane. Tigre s'était assis sur un rocher, pensif, et , pour la première fois depuis le début de cette histoire, décontenancé, impuissant. Il ne voulait pas céder à la rage.
Il décida que les bois seraient surveillés sur leur orée extérieure... de sorte qu'y entrer ou en sortir soit impossible sans être vu. de même que l'espace séparant les bois de la ville.
Il regarda Saluz, qui était là, bras ballants. Il ne savait quoi lui dire. Petit avait l'air aussi désolé que terrorisé. Comment en vouloir à ce gamin dont la seule faute avait été la naïveté. Comment du haut de son jeune âge aurait il pu lutter contre tant de rouerie et de fourberie.
Soudain il eut un éclair...
Petit ? Fagin voyait il parfois des gens qui n'étaient pas d'ici ? As tu déjà entendu parler de sicaire ? de Lion de Judas ? de réformés ? Réfléchis bien ! c'est important ! Pends ton temps !
Il le regarda, avec une lueur d'espoir, tout en rédigeant une missive qu'il remit à un de ses soldats qui y jeta un oeil avant de regarder Tigre avec une énorme surprise et une hésitation évidente dans le geste et le regard.
Tigre le regarda avec un sourire et ferma les yeux. En les rouvrant, il regarda le soldat en lui disant :
Gehe schon ! Ich weiss was du denkst. Wir haben keine Wahl. Ausserdem fürchten sie uns mehr als umgekehrt ! Beeile dich. Wir brauchen eine schnelle Antwort. Nimm Zehn Leute mit dir. Wir durchsuchen die Wälder bis zur Finsternis.
Tigre se leva alors que les autres chevaliers présents se regardaient, assez incrédules devant cette décision surprenante. Aucun d'eux ne broncha. Le messager partit avec une dizaine d'hommes en direction de Pontarlier...
Tigre le regarda s'éloigner, visiblement en proie à un doute, puis se retourna vers Petit qui n'avait pas encore répondu... alors que saluz semblait chercher dans sa mémoire un repère quelconque.
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Tigre s'attendait à ce qu'elle soit vide. Fagin n'était pas stupide. Il commença même à douter qu'il soit dans une cabane... Cependant, la cabane avait été visitée récemment. Il ressortit, après avoir regardé le sol de terre, sûr qu'il ne recelait pas de trappe.
Il fallait espérer que ceux de ses complices connus et capturés sachent quelque chose.
Tigre fit un signe à ses hommes qui se mirent en devoir de démolir consciencieusement la cabane. Tigre s'était assis sur un rocher, pensif, et , pour la première fois depuis le début de cette histoire, décontenancé, impuissant. Il ne voulait pas céder à la rage.
Il décida que les bois seraient surveillés sur leur orée extérieure... de sorte qu'y entrer ou en sortir soit impossible sans être vu. de même que l'espace séparant les bois de la ville.
Il regarda Saluz, qui était là, bras ballants. Il ne savait quoi lui dire. Petit avait l'air aussi désolé que terrorisé. Comment en vouloir à ce gamin dont la seule faute avait été la naïveté. Comment du haut de son jeune âge aurait il pu lutter contre tant de rouerie et de fourberie.
Soudain il eut un éclair...
Petit ? Fagin voyait il parfois des gens qui n'étaient pas d'ici ? As tu déjà entendu parler de sicaire ? de Lion de Judas ? de réformés ? Réfléchis bien ! c'est important ! Pends ton temps !
Il le regarda, avec une lueur d'espoir, tout en rédigeant une missive qu'il remit à un de ses soldats qui y jeta un oeil avant de regarder Tigre avec une énorme surprise et une hésitation évidente dans le geste et le regard.
Tigre le regarda avec un sourire et ferma les yeux. En les rouvrant, il regarda le soldat en lui disant :
Gehe schon ! Ich weiss was du denkst. Wir haben keine Wahl. Ausserdem fürchten sie uns mehr als umgekehrt ! Beeile dich. Wir brauchen eine schnelle Antwort. Nimm Zehn Leute mit dir. Wir durchsuchen die Wälder bis zur Finsternis.
Tigre se leva alors que les autres chevaliers présents se regardaient, assez incrédules devant cette décision surprenante. Aucun d'eux ne broncha. Le messager partit avec une dizaine d'hommes en direction de Pontarlier...
Tigre le regarda s'éloigner, visiblement en proie à un doute, puis se retourna vers Petit qui n'avait pas encore répondu... alors que saluz semblait chercher dans sa mémoire un repère quelconque.
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