Tigre-d-o
Tigre vit arriver ses hommes et soutint le regard des archers en noir. Il sourit quand Saluz intervint.
Il dégaina son épée et trancha net la tête de celui qui se trouvait devant lui, sous le regard médusé des chevaliers présents. ensuite, il prit tranquillement une longue branche et planta la tête au sommet de cette pique improvisée, puis alla trancher la tête des deux autres archers morts, répétant son geste.
enfin, il approcha du dernier, qui avait une flèche plantée dans la jambe. Il la tordit, arrachant un gémissement de douleur à l'homme, en lui souriant férocement.
se retournant vers un de ses hommes, il tendit la main et se vit tendre un arc et une fleche. Il regarda l'homme en noir et recula de quelques mètres en le mettant en joue.
Tu a quelque chose à dire ?
puis regardant Saluz avec un air désolé mais déterminé, il lui dit :
Saluz, c'est allé trop loin. Je ne peux plus me permettre d'avoir de la pitié, ni même de la compréhension. Je suis vraiment désolé !
L'homme en noir ne disais rien, fixant Tigre. La flèche partit, puissante, se plantant en plein front de l'archer noir.
Tigre rendit son arc à son homme, trancha cette dernière tête, la planta sur une autre pique, puis se retourna vers ses hommes et hurla :
Ich will vor der Finsterniss alle Köpfe auf stabe sehen ! die vier sollen sofort am Rande des Waldes aufgestellt werden ! Alle sollen sehen was passiert wenn mann uns anngreift ! Und macht Schell; Der wald soll Meter für Meter, Baum fûr Baum, Fels für Fels und Busch für Busch durchsucht werden ! Jetzt !
Les hommes s'égaierent dans tous les sens et deux d'entre eux s'éloignerent avec les piques. Tigre se retourna, essuia son épée avec des herbes, puis se dirigea vers l'endroit où il avait entendu du bruit.
Il reconnut un des chiens de Dereb, surpris de le voir, et soudain habité d'un espoir vague. Il s'accroupit et tendit sa main vers le chien, en souriant à Saluz et Petit.
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Il dégaina son épée et trancha net la tête de celui qui se trouvait devant lui, sous le regard médusé des chevaliers présents. ensuite, il prit tranquillement une longue branche et planta la tête au sommet de cette pique improvisée, puis alla trancher la tête des deux autres archers morts, répétant son geste.
enfin, il approcha du dernier, qui avait une flèche plantée dans la jambe. Il la tordit, arrachant un gémissement de douleur à l'homme, en lui souriant férocement.
se retournant vers un de ses hommes, il tendit la main et se vit tendre un arc et une fleche. Il regarda l'homme en noir et recula de quelques mètres en le mettant en joue.
Tu a quelque chose à dire ?
puis regardant Saluz avec un air désolé mais déterminé, il lui dit :
Saluz, c'est allé trop loin. Je ne peux plus me permettre d'avoir de la pitié, ni même de la compréhension. Je suis vraiment désolé !
L'homme en noir ne disais rien, fixant Tigre. La flèche partit, puissante, se plantant en plein front de l'archer noir.
Tigre rendit son arc à son homme, trancha cette dernière tête, la planta sur une autre pique, puis se retourna vers ses hommes et hurla :
Ich will vor der Finsterniss alle Köpfe auf stabe sehen ! die vier sollen sofort am Rande des Waldes aufgestellt werden ! Alle sollen sehen was passiert wenn mann uns anngreift ! Und macht Schell; Der wald soll Meter für Meter, Baum fûr Baum, Fels für Fels und Busch für Busch durchsucht werden ! Jetzt !
Les hommes s'égaierent dans tous les sens et deux d'entre eux s'éloignerent avec les piques. Tigre se retourna, essuia son épée avec des herbes, puis se dirigea vers l'endroit où il avait entendu du bruit.
Il reconnut un des chiens de Dereb, surpris de le voir, et soudain habité d'un espoir vague. Il s'accroupit et tendit sa main vers le chien, en souriant à Saluz et Petit.
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