Guerre Anjou/Bretagne contre l'Ost Royale (RP)

Nous avons décidé avec les représentants de l'ost royale de faire du rp sur cette guerre. Il serait impensable que des évenements majeurs de cette période soit fait sans la présence de RP.
Il y aura donc des postes RP dans chacune des gargottes ou le conflit pourrait etre présent. Il y a cependant des règles précises qui doivent etre respectées pour que ce rp corresponde aux actions IG.

- Il est demandé à tous de respecter chaque participant, d'éviter les abus de language ou propos HRP

- Il est interdit de tuer une personne expréssement nommée. Par exemple: je tue héraklius a la suite d'un combat acharné.

- Il est conseillé de respecter les batailles médievales.

- Enfin chaque matin (si il y a lieu) et afin que le RP respecte les actions IG, un détail et récapitualtif des actions IG de la veille sera fait afin d'orienter le rp dans le sens de la réalité

- Il peut etre créé d'autres topics par exemple campement des armées royales, mais ceux ci doivent mentionnés la marque RP dans le titre.

- Des possibilités de duels ou escarmouches RP sont autorisés.

Bon Rp a tous.
_________________
Signature hors charte

Au petit matin, le calme régnait dans le campement de l'armée angevine. L'état major avait préconisé de monter ce camps aux abords de saumur. Seulement une vingtaine hommes étaient debout. la plupart des hommes étaient déja partis sur leurs positions clés qui leur avait été affectées.

L'état major était dans la tente du duc ou ils discutaient des derniers rapports de la vieille et des mesures a prendre. Apparment un régiment mené par le baron 19 avait tué 3 soldats enemies qui avaient essayés de franchir la frontière.

Un soldat pénétra dans la tente sans prévenir et dit avec une voie effrayante ,

capitaine, mon duc venez voir.

Tous sortirent quand tout a coups. 2 flèches enflammés furent visible dans le ciel. Puis 3 autres fléches furent tirés du meme endroit et étaient visible du campement.

Tydual regarda Kaikai le capitaine, puis le duc cria;

le signal c'est le signal 5 flèches, les troupes enemies ont franchis la frontières. MESSAGERS, allez dire a chaque régiment en position de venir rejoindre ma bannière et celle du capitaine. Nous devons les stopper ou au pire les freiner.

Les messagers furent à peine partis que déja tous les hommes présent dans le campement étaient à cheval.
Tydual tira son épée et cria:

mes frères, pour l'Anjou, cette journée va déterminer le sort de l'Anjou, Pour la terre et la patrie.
_________________
Signature hors charte

Darkpingou, était présent dans la tente au côté du reste de l'Etat-major et du Duc, où ils discutaient des derniers rapports apportés par les éclaireurs...
Dark était parti pour Saumur dès son retour de sa mission sur les frontières au nord de La Flêche. Il était venu en urgence retrouver l'état major établit à Saumur pour pouvoir recevoir les ordres pour les troupes basées à La Flêche.

Soudain, tout le monde se retrouva dehors suite à la demande d'un soldat. On put apercevoir alors les flêches signalant l'arrivée imminente des troupes ennemis.
Le campement, du moins les soldats présents, s'éveilla d'un coup et tout le monde se prépara pour aller au devant de troupes de l'Ost.

Mon Duc, je ne peux rentrer à La Flêche vu les circonstances et l'état actuel des événements.
Je me joinds donc à vous et aux troupes présentent ici. Je vais envoyer les ordres pour La Flêche par pigeon.

Dark prépare et envoye un courte missive pour ses troupes Flêchoises par un petit oiseau qui s'envole vite fait en direction du nord...
Puis il va rejoindre les cavaliers...

En avant pour l'Anjou et pour notre Duc!!!

A Chinon...

L'ost royal démontait ses dernières tentes. Le soleil se levait sur la plaine qui avait abrité pendant la semaine l'armée gigantesque venue des 4 coins du royaume, à la demande des Pairs du Royaume.
L'armée était déjà en marche. Les retardataires finissaient de plier bagage. La colonne s'étendait sur une longueur impressionnante. Les troupes, réparties par duché avançaient, suivant l'étendard de Saint Denis que portait le Grand Maitre de France.
Une petite troupe, constituée de près de 400 chevaliers ( chiffre rp...) avançait, ceignant une bannière à la licorne.
Wanou avançait aux côtés de son Grand Maitre, le sire Thierry, duc d'Argenton et Comte de Corbières. Il était à petite distance de l'Etat Major royal, et réglait les préparatifs de la troupe de son ordre. Tous, montés en selle et parés pour la bataille, arboraient écus, destriers et caparaçons de bataille. Tout était prêt...De l'avant vint le bruit fatidique, venu d'un éclaireur:

- Les Angevins! Les Angevins nous ont repérés! Ils préparent leurs mouvements! Le combat est imminent!

De toute la colonne monta un grondement gigantesque...On y pouvait reconnaitre des " MONTJOIE! SAINT DENIS! ", des " TAILLAUT! ", des " JUSTICIA ET BRAVOURA! ". L'armée, attendant les ordres de bataille de l'état major, piaffait d'impatience...
_________________
Ainsi vécut Erwyn William Conrad of Kylebonhamm, 35e du nom, fils de Muron of Kylebonhamm, et de Jean Bunois

Posté sur une sommet d'un val, les chevaux cachés en arrière, le Baron de Beauvau observe le passage des troupes ennemis quelques dizaine de minutes. Puis il se retourne vers ses compagnons d'arme et leur annonce :

Nous frapperons ce soir, quand la nuit nous dissimulera à leurs éclaireurs...Ils se sentent encore trop en sécurité, nous leur montrerons qu'ils se trompent. Preparons nous à la mort, à la leur comme à la notre...allons.

Une fois en selle, sans un seul mots échangés, le Baron 197856 de Penthièvre mis son escouade en route. Il songeait en souriant à cette petite escarmouche, peut être par gout du sang ou car il connaissait la futilité de son acte. Puis il maudit intérieurement tout ces hommes, venus faire plier d'autres hommes.

Les cavaliers angevins arrivèrent au contact plus rapidement qu'ils ne le pensaient, le choc fut violent mais la charge ne fut pas arrétée, deux cavaliers angevins furent cependant désarconnés.
Les lances vinrent se briser sur les écus et sur les soldats de l'ost royale, impossible de savoir avec la vitesse de l'impact, ce pendant plusieurs soldats enemies tombèrent à la reverse du fait de cette charge.
Les cavaliers angevins conformément a l'ordre donné ne contiunuèrent pas le combat et se replièrent dés le premier contact à une centaiçne de pieds des soldats de la licorne.
Puis tydual cria:

A vous soldats de l'ost, à vous frères aristoliciens, renoncez à cette folie, nous sommes du meme sang, de la meme patrie, nous avons juste honorer nos traités.
Nous ne voulons pas vous combattre. C'est vous qui venez en nos terres. Si vous continuez plus en avant, il n'y aura que désastres et tueries. le peuple angevin tout entier y compiris les femmes et les enfants défendront leurs terres, leur patrie.
Tout n'est que folie, renoncez, cat la prochaine fois que vous verrez les étendarts angevins, ce sera véritablement un combat et je vous assure que nous en entrainerons beaucoup avec nous.

Une fois dit, la troupe repartit au galop en direction de l'ouest.
_________________
Signature hors charte

Au sud, les troupes du Limousin et de la Marche avaient reçu l'ordre de se tenir prêt à partir. Les soldats avaient préparé leurs provisions, les cavaliers sellaient les chevaux et les officiers finissaient la répartition des troupes.

Le Lieutenant Stroyk sortit de la tente de l’état major d’un pas rapide et regroupa les sergents des différentes lances présentes au centre du campement.

- Nous avons reçu l’ordre d’entrer sur le territoire Angevin. Levez le camp et rassembler les troupes !

- Bien lieutenant !

Les sergents se dispersèrent alors à travers le campement afin d’informer les soldats du départ imminent.

Quelques temps plus tard, la Compagnie d’Ordonnance du Limousin et de la Marche quitta la ville de Thouars.
_________________

Darkpingou n'avait encore jamais participé à réelle charge à cheval. Sa place avait toujours été un peu en retrait, en soutient avec le Génie qu'il dirigait d'habitude sur les champs de bataille. Le maniement des trébuchets, çà il connaissait mieux. Mais il ne regrettait rien, il défendait ses terres et protègeait son Duc.

Il fut donc surpris par la rapidité mais surtout par la violence de cette charge. Ils avaient atteind les rangs de l'Ost à une telle vitesse que le choc avec les première ennemi failli le désarçonner de sa monture.

Pour l'Anjou et pour notre Duc!!!

Suivant les ordres donnés par le Duc Tydual, Dark suivit la cavalerie Saumuroise qui battait en retrait.
C'est à un moment d'inattention, que Dark reçu de plein fouet un coups de lance dans la cuisse.
Malgrés la blessure qui le fit crier, il réussit à s'exstirper de la confrontation avec le cavalier ennemi et reprit la direction de Saumur où il rejoint le campement, presque évanouit...

Voyant Tydual prendre la parole, il donna rapidement des ordres:

Dragon, va t'assurer que les blessés vont bien. Tout de suite!

Sortant des rangs, il alla vers Tydual. Encore une fois, il n'écouta personne d'autre que lui. Bouillonnant de rage sur ses étriers, il s'avança à mi distance entre l'ost et leurs agresseurs, désireux de lui parler.

TYdual! Tyduaaaaaaaaaal!

N'observant même pas si le duc se retournait:

Et vous, messire Tydual, nous connaissez vous? Nous sommes françois, comme vous. Nous avons un roy, comme vous. Nous lui avons juré fidélité, comme vous. Qui est le plus fou des deux? Celui qui se retourne contre son roy, conspire contre lui, lui ment et s'allie à ses ennemis, ou celui qui le sert fidèlement?

LEQUEL, Tydual, vous parait le plus fou?

Croyez vous que mettre votre peuple sous le coups d'une réaction armée soit sage? Croyez vous qu'il soit noble de mettre sous le joug d'une épée telle que celle du roy un peuple ENTIER, uniquement pour vos intérêts personnels?
NOUS SOMMES DU MEME SANG! Et vous l'avez trahis...
Quelle patrie défendez vous? La France, ou bien le royaume de Tydual, pauvre petit duc? QUI défendez vous?

Honorer des traités? Lorsque l'on va attaquer et piller un conseiller Poitevin CHEZ LUI, AVEC VOS TROUPES?
Honorer des traités, lorsque vous attaquez Chinon de façon infructueuse depuis plusieurs jours?
QUI HONORE DES TRAITES ICI???

Nous non plus ne voulons pas combattre le peuple Angevin. Vous l'avez entrainé dans la guerre par VOS actes, par VOTRE inconscience.
L'Anjou n'est pas notre ennemi! Le seul que nous venons combattre, ici, c'est VOUS, Tydual.

VOUS avez provoqué la colère royale, en vous mettant du mauvais côté de la barrière. VOUS avez accepté de combattre aux côtés des félons et des fratricides, au côté de l'anglois et du breton.
VOUS avez accepté de laisser votre duché se faire massacrer par une guerre inique. VOUS avez accepté les risques.
Prenez donc vos responsabilités, Tydual...

Nous venons sur les terres de sa majestéLévan III, roy de France et de tous les duchés, sans exception. Nous venons rétablir la paix et la justice sur ces terres, qui ont été conduites au bord du chaos par des belliqueux, des impies, des infames qui s'imaginent que s'élever contre le roy est juste et sain!
Nous ne sommes pas ici pour piller, tuer, massacrer et détruire. Nous sommes là pour vous, Tydual...

Si VOUS continuez dans votre entêtement, il n'y aura que carnage et désolation. Vous n'avez aucune chance. Tout juste pourrez vous nous attaquer à la nuit, comme je l'imagine pour profiter de votre avantage teritorial. Pensez vous nous résister longtemps?

Vous avez fait passer votre combat pour un combat au service del'Anjou, alolrs qu'il ne servait que vos intérêts propres! En vérité, chevaliers d'Anjou, je vous le dis: cet homme qui vous mène se bat pour sa gloire personnelle! Il a vendu votre duché aux anglois et aux bretons, pour mener une guerre injuste contre un roy qui demandait simplement la reconnaissance de ses pairs. IL VOUS A TRAHIT!!!!

Nous espérons bien que le peuple angevin défendra sa terre, et sa patrie. Mais qu'il le fasse contre ceux qui s'imaginent pouvoir décider à la place du roy!
Le roy, nobles chevaliers d'Anjou, est l'élément qui rassemble ce qui était épars. Qui fait de duchés désunis un ensemble cohérent, uni sous une même bannière! L'auriez vous oublié?
Quel union aurons nous face aux anglois, si le roy n'est plus là?

Je le répète: il n'y aura aucun combat inutile. Nous ne venons pas exterminer les angevins. Nous venons arrêter le félon Tydual...

Tydual, livrez vous à nous. Et je jure, sur mon honneur de gentilhomme, de chevalier françois, sur celui de Chevalier de la Licorne que nul ne touchera à votre tête avant votre jugement en la Bastille!
Je jure même que le peuple Angevin, par soutien s'il le désire à celui qui le commande pourra atténuer votre peine!
Vous avez le moyen de ne pas faire souffrir votre peuple, Tydual. PRENEZ LE!

Se faisant, il regarda l'Etat major, se demandant si sa prise de parole n'était pas intempestive...
_________________
Ainsi vécut Erwyn William Conrad of Kylebonhamm, 35e du nom, fils de Muron of Kylebonhamm, et de Jean Bunois

Le lieutenant Alerik accompagna les autres membres de l'Etat Major du Maine qui se portèrent au galop a l'avant de leurs régiments. Il rejoignit alors ses lances.
L'heure etait venu et il etait vif, ne pensant qu'a la bonne organisation de ses troupes.

Il avait laissé ses états d'âmes a Montmirail, les dangers de la route lui ayant fort occupé l'esprit : une arrière garde de Mayenne avait été décimée par des groupes d'angevins embusqués, une de ses escouades avait disparue, les soldats sûremement egarés sur les chemins de Tourraine et offrant une cible de choix aux pillards, attirés de partout tels des charognards, par les mouvements des troupes.

Cependant le gros des forces, de fiers soldats, étaient la, prêts à en découdre : nombreux n'avait jamais combattus, et nombreux ne comprenaient pas pourquoi ils venaient combattre les angevins, sinon que leur Duc etait un félon et qu'ils ont juré fidelité au Roy prêt à en payer de leur vie.

Il vit un de ses sergents qu'il savait fervent pieux :
- Adieu sergent dit il, alors que son cheval fit une virevolte, puisse Aristote nous pardonner...
il se dressa alors et harrangua les hommes de Montmirail :
... Que trepasse si je faiblis !! Les soldats reprirent en coeur la devise.

Puis il galopa en direction des cavaliers de la Licorne, rejoindre son Grand Maitre, et se placer sous sa bannière, sur le flanc droit de son capitaine.
Il aperçut le cavalier seul en haut de la crête..mais il l'oublia lorsqu'il vit la charge des cavaliers angevins : ils etaient pas nombreux, se dit il, mais le choc fut violent et une partie de l'avant garde fut defoncée...
il se recommanda alors du profond de son cœur à son épouse, la priant de le secourir en un tel péril ; puis, bien couvert de son écu, il etait prêt a donner de l'eperon a son destrier lorsque l'odre serait donné. Mais les cavaliers firent volte face et il vit le Duc harranguer les hommes. Il le regarda avec mépris, tandis que wanou s'avançait pour lui porter réponse...
_________________
Alerik "Bastard" de Mirabeau
Ex colonel de l'Ost Mainois, et tout un tas de petits trucs. Epoux d'Eliane et père du petit Aël.

Paquerette sortit de sa tente en hâte, la plume encore à la main, et allat observer les troupes qui partaient en courant vers l'Ost.

Coincée ici, pas le droit de me battre... juste celui de compter les soldats qui arrivent et de leur dire où aller...

Paquerette bouillait intérieurement. Trop loin pour entendre vraiment ce qui se disait, elle ressentait les rumeurs, les cris, la haine... entre tous ces hommes et femmes d'un même pays ! Non, décidément, elle n'aimait pas la guerre !
Et là bas, c'était son père en tête, son père qu'elle avait retrouvé il y a si peu de temps, qu'elle admirait tant et qui lui avait fait des adieux... Son père, ses amis... elle ne pouvait admettre de les perdre.
Un cheval arrivait à pas mesurés, son cavalier semblait mal en point.

Dark ! blessé encore... décidément, que ce soit à la caserne ou sur le terrain, c'est toujours toi qu'il faut recoudre... Allons viens avec moi. Je vais te remettre sur pied, au moins avec mon expérience d'infirmière, je serais utile !

Lucius etait rentré avec le gros de la troupe , il vit Paquerette tentée de porter Dark , il vint l'aider .

Scrogneugneu pourquoi on a emmené des aprenties cavaliers , la moitié a faillit se faire tuer .
Paq je peut t'aider avec ce branquignol ?

Darkpingou arriva près de la tente de l'état major chancelant sur son cheval.
Il se "réveilla" en sursaut lorsque la connétable Paquerette et Lucius l'aidèrent à descendre de sa monture de le portèrent dans la tente où était l'infirmerie.

Aie, j'ai un peu mal à la cuisse...Merci Paquerette et Lucius...Et bien je m'en rappellerai de cette charge. Rien ne vaut un bon petit assaut d'un château...
Merci de t'occupêr de moi Paq.

Darkpingou, s'allonge sur une table qui servait à l'occasion de table d'intervention, et laissa Paquerette s'occuper de sa blessure...

Il faut que je me remette au plus vite pour rejoindre les soldats et le Duc. Décidément, il faut que je m'entraine un peu plus à la caserne.
On aura besoin de tout les bras disponibles vu le nombre de soldat que représente l'Ost.

S'étant levé avant le déjeuner pour fêter l'évènement, mais aussi parce que les assaillants et les défenseurs faisaient un bruit de tous les diables en montant les scorpions, catapultes et autre balistes, le sergent Benidon s'en alla chercher sa petite escouade.

-Garligi, Lodoss, Cheveux2feu, vous vous êtes engagé dans l'armée pour protéger votre Duché des invasions. Bien sur, aucun d'entre nous ne pensait a ce moment là que ce serait les armées du Roy....de notre ANCIEN Roy qui viendrait nous chercher des noises, mais cela ne change rien, nous avons tous prêter allégeance a notre Duc et, si je ne me trompe pas, personne ici n'apprécie qu'on vienne nous dicter notre loi a grands renforts de bataillons, non ?
Pour certains d'entre vous, c'est votre première expérience de la guerre, et je voudrais vous demander si vous êtes prêt a aller jusqu'au bout, a mourrir pour votre Duc, pour votre Duché ?

Et les hommes de répondre à l'unisson :

Oui !!! Vive l'Anjou, vive notre Duc Tydual !!!

-Très bien, je suis fier de vous, et nul doute que Tydual, une fois cette guerre finie, le sera encore plus !!!

Peut être était-ce du à la poussière, ou alors au soleil, toujours est-il que ses soldat purent voir Benidon écraser une petite larme.

- Snif, elle est partie.....hum, excusez moi soldat, je m'égare :

TOUS A VOS POSTES BANDES DE BUSES, ET PLUS VITE QUE CA, VOUS ETES TROP MOUS !!!!
_________________
Ciao bello...

Tydual était en haut des murailles et regardait le campement de l'ost. Tant de haines, de rancoeurs, mais le pire allait etre éviter.

Il fit porter une missive a tous les soldats angevins, dans chaque lieu, chaque salle d'armées, chaque muraille d'anjou

_________________
Signature hors charte

Le nuit était pofonde et sous le couvert de leur ruine, les soldats du 2eme régiment offensif de Craon campaient autour d'un petit feu, une hulotte passa au dessus de leurs têtes.

Tiens se dit Rose, elle s'enfuit, qui vient ?

D'un bond elle fut sur ses jambes et s'approchant d'un murret de la ruine, risqua un regard au dehors.

Tout était calme, pas un mouvement allentour, pourtant elle sentait une présence.

Elle secoua ses soldats pour les réveiller, leur ordonnant de faire sans bruit le tour, chacun par un côté, et se plaça elle meme tout prêt de l'entrée béante.

Un bruissement dans les buissons et, tout à coup, un gamin s'enfuit à toute jambe.

Au même moment, une clameur de Joie montait vers le ciel, dans laquelle elle distingua les mots de "Vive l'Anjou", "Vive notre Duc",

Elle rappela ses soldats et leur indiqua la direction de la clameur, cela ne pouvait être que bon signe et traduisait la présence de l'armée d'Anjou. Ils allaient la rejoindre. En avançant elle découvrit une missive sans doute tombée des mains du gamin, elle pu y lire :
Cher soldats, mes frères,
Je vous demande de stopper dés a présent toutes attaques contre les troupes de l'ost royale. Restez sur vos positions, ne bougez, défendez vous mais n'attaquez nullement meme si on venait a vous provoquer. la paix est proches.
Pour l'anjou

Enfin, il était temps pensa -t-elle, et reprit la marche en direction de la clameur qui s'amplifiait.

_________________

Bien que le sol soit dur et inconfortable, Ajantis avait passé une bonne nuit... hier, l'estafette leur avait dit qu'une trêve serait conclu entre l'Anjou et l'ost, et l'idée de revoir se chère et tendre Biber lui était plus qu'agréable... Il était quand même un peu déçu de ne pas avoir pu prendre part aux combats, de ne pas avoir pu faire acte de bravoure, mais c'était mieux ainsi... Au moins ramènerait il son régiment au complet...
Déjà ses soldats s'affairaient à leurs taches. Au loin, il vit un cavalier qui courait a bride abattue. L'homme s'arrêta quelques instants, leur annonçant la nouvelle :

Saumur a été attaquée et prise, par un dénommé Chibax !

Puis repris sa route aussitôt...

Pourquoi ? Pourquoi cela ne pouvait il se terminer pacifiquement ? Pourquoi l'ost a t'il capturé Saumur, malgré la trêve ? Cela ne se pouvait pas... sans doute une bande isolée, des bandits...

Soldats, on lève le camp et on se rend au château, nous devons en assurer la protection a tout prix ! Je vous promet de bientôt vous ramener chez vous, mais pour le moment, il semblerais que ce ne soit pas fini... Toutefois, je vous demande de ne pas attaquer ceux de l'ost... contentons nous de nous défendre, je ne veut pas qu'une trêve fragile vole en éclat aussi bêtement...
_________________

Paquerette observait encore les soldats qui remontaient vers le campement. dès les acords signés, son père, le Duc l'en avait informé. Elle tenait encore dans ses mains son message, adressé à tous :
Cher soldats, mes frères,
Je vous demande de stopper dés a présent toutes attaques contre les troupes de l'ost royale. Restez sur vos positions, ne bougez, défendez vous mais n'attaquez nullement meme si on venait a vous provoquer. la paix est proches.
Pour l'anjou

Pourtant le doute et le scepticisme se lisaient encore sur son visage.

Cette paix me semble suspecte... Le Roy a t il fait preuve d'autorité pour faire reconnaitre à tous que rien ne justifiait l'invasion de l'Anjou ?
Mais Saumur a été pris tout de même...
Et les renforts de l'Ost continuent à avancer aussi...
Très bien, c'est la paix... mais restons sur nos gardes tant qu'il y aura des soldats étrangers en Anjou ou autour de chez nous.
Je vais même renforcer encore nos protections.

bonjour chere enemis ici un soldat de lost je menviens je vais etre la bientot jarrive vous allé connaitre votre erreur et arreter d attaquer les civil et de les raketté bande de sauvage

Il ne faut leur en demander trop, sinon il n'y arrive plus

M'inviter ? Pour un pique nique avec vos armées ?

Mince je me transforme en Sanctus/gerfried/floodeurs ( entourez la mention utile... Enfin faites ce que vous voulez..)

Présent
_________________
Déçu par trop de gens.

Alors Dor, on fait le malin en gargotte bretonne et angevine ? Ca veut dire quoi ça ?

Garligi qui arpentait les terres angevines entendit une vache meugler quand soudainement il y trouva quelque chose de compréhensible.

Après avoir longtemps hésité ... Parlait il aux vaches ? Pouvaient elles le comprendre ? Il se rendit compte que ce n'était qu'un mercenaire, à la solde des Mainois, il va s'en dire vu l'état de leur armée ce n'est pas étonnant.

Mais ce qui l'interpella le plus, etait le slogan de fin

C'est amusant pensa t'il, en principe on met en premier lieu ce qu'on souhaite, et en second l'éventualité. Ainsi les mercenaires appellés devait être au moins aussi doué que les mainois, à savoir qu'ils vont perdre et mettre leur victoire que dans une éventualité
_________________
Garligi de Penthièvre, Perfection Penthièvrique

Très tard à la nuitée, Loo arrive à Angers. Voila des jours et des jours qu'elle arpente les remparts de Saumur.

Les seules attaques qu'ils ont essuyées sont celles des rumeurs, des on-dit et des racontars. Pendant ce temps, les Saumurois se sont entraînés et ont organisé les défenses. En haut des remparts, ils attendent.

Et ce soir, Loo vient demander aux gens qui décident, tout le haut à la capitale...

"Dites, Messires, on en est où là ? Vous négociez ? Vous négociez pas ? Il sont où, les terribles soldats qui vont venir dans nos campagnes égorger nos fils et nos compagnes... Euh... Je veux dire... Je m'ai gouré encore... Bref, vous faites quoi ???"