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[RP] Pour reprendre nos écus et...quelques fûts.

Kermaud
Le voyage fut long, terriblement long jusqu'aux terres de l'Anjou
L'avant veille elle fut heureuse enfin d'y fouler ses pieds...de s'approvisionner et d'attendre patiemment dans leur campement
La nuit fut agitée...Son épée à la main elle frappait aveuglement ses assaillants...Sa lame s'enfonça dans le corps d'une jeune femme
Maud la retira non sans frémir...elle n'avait pas l'âme d'une tueuse...mais ses pensées revinrent vers le pourquoi de ces combats: l'honneur de leur comté!
Ce court moment d'hésitation faillit lui être fatal , elle se ressaisit à temps et eut juste le temps d'esquiver celui qui la menaçait de son arme...
Maleus
[Quand la vipère se remet en chasse.]

Des vacances, ouais des vacances.
C'est comme cela qu'on peut nommer le passage à vide de la comapgnie zoko ad eternam.
Quand les vipères passent plus de temps à parcourir le monde qu'à vivre dans le même nid.
Le borgne n'a pas fait exception et durant quelques temps c'est pour son couple et sa petite famille qu'il a donné du temps. Besoin de faire plaisir à la femme qui a abandonné son passé pour le suivre dans ses aventures, besoin aussi de passer du temps avec son fils, bébé et héritier, petit être à l'importance très grande pour le cyclope.
Ansi il y eu un grand séjour en Lyonnais Dauphiné pour le maitre de la zoko...Grand séjour agréable mais peuplé de chimères.

Mais comme habituellement dans la vie du borgne, il vint le jour de retourner en Anjou... Les raisons du retour en ces terres d'acceuil n'étant même pas liées à son metier de mercenaire.
Quelle ne fut pas sa "surprise" quand ses amis angevins lui parlerent d'une probable bastonnade avec du comtois et autres gugus venant de l'Est.
Mauvaise surprise d'ailleurs pour la Miss qui ayant décidé de ne presque plus penser qu'à son propre plaisir a pris rapidement la décision de rapartir en Bourgogne après que le borgne ait décidé de preter main forte aux angevins.

Elle repart seule... Non pas qu'il va emmener son fils sur les champs de bataille, non... Mais à défaut du soutien de la femme qu'il aime elle ne lui retirera pas la deuxieme personne qu'il aime le plus. Ce petit être qui ne sait pas parler, qui n'a d'autre utilité que de faire suer ses parents malgrès son calme étonnant... C'est un soutien pour le grincheux, un soutien de poid qui pousse le mercenaire à ne plus souhaiter y passer de suite.


...





Les raisons de l'attaque comtoise? Il n'en a vraiment rien à cirer.
Sûrement les raisons sont elles justes, il les connait ses amis angevins, des fouteurs de mouise comme il les aime. Les retours de batons ils connaissent.
A dire vrai, il participe à ce conflit pour très peu de raisons, de un l'Anjou est un foyer pour la Zoko, de deux le besoin de combattre se faisant fort depuis déjà pas mal de temps il n'a pas pu se refuser une petite bagarre et enfin, point minime mais qui a du sens, l'occasion de se "venger" des comtois qui par excès de zèle ou par excès d'amour envers leurs alliés bourguignons ont empêchés la fuite de lui et ses hommes les raccompagnant avec moult blessures jusqu'aux gêoles Joinvilloises.

A part ça?
Rien.
Le borgne avance en compagnie de l'armée du vioc Penthièvre Dizneuf, préssé d'en découdre, préssé de se sentir vivre là où la mort est si palpable.
A sa droite, le scandinave niais, l'imbecile de Arnulf tenant l'étendard zokoiste, silencieux comme d'habitude quand il est en presence de son grincheux de maitre.

Vint alors la baston, les vieux réfléxes sont de retour, le sourire malsain du borgne quand avec son épée il exécute une danse macabre... Le vipère est dans son élément, il ne fait qu'un avec sa lame, l'odeur de sueur et de sang l'emporte dans une transe joyeuse ou il aime à se confondre avec la faucheuse elle même...

Jusqu'à ce que la bataille se termine...Alors il faut ranger avec regrets son épée et contempler un instant le champ de bataille qui se vide.
C'est à moment là qu'il hausse souvent les épaules... Le bonheur est toujours de courte durée, hélas.


Citation:
20-06-2010 04:16 : Vous avez frappé Mael_du_haillon. Vous l'avez sérieusement blessé.
20-06-2010 04:16 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Maxima Sequanorum" dirigée par Lothilde.

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Adieu Fab'
Mousseline
Mouss était à ses premières expériences dans les guerres, elle voulait défendre la Franche-Comté. Elle partie avec des amis de Lux pour la défendre, par honneur. Avec chance, elle eu un parcours sans embuche, sauf la perte d'un très bon ami, mais bon les guerres ne sont pas une partie de plaisir. Elle savait qu'il y aurait des pertes autant dans leur rang que dans le clan adverse. Cela lui donna la chair de poule mais se dit que l'honneur vaut beaucoup plus, même sa propre vie.

Arriée à destination, elle regarda son chef d'armée pour écouter les ordres. Elle savait que les combats allaient bientôt être amorcé et cela couterai la vie a des amis même a celui qu'elle aimait et à sa future marraine. Elle soupirait en pensant à ses amis de Lux et son cœur se serra. Elle savait qu'après le sang ce sera des larmes qui couleront

Lorsque le moment venu elle regarda ses compagnon à gauche et ensuite à droite et finalement vers l'avant. Elle vit des gens face à elle. Elle sortit son épée et se cramponna à son bouclier. Elle se batit le mieux qu'elle pu entendant des bruits d'épée et de cris.

Citation:
Vous avez été attaqué par l'armée "Les Aigles de Thouars" dirigée par Melinora et l'armée "Vae Victis" dirigée par 197856.


À l'aube, lorsque les premières lueurs se firent les combats s'arrêtait. Un brouillard était légèrement présent mais elle constata que certaines personnes se trouvaient par terre. Elle vit au loin un attroupement et un ami de Lux transporter Mael. Elle accouru, sa futur marraine, la voir dans cette état lui fit monter les larmes aux yeux. Elle prit une grande respiration et se ressaisit. Elle espérait voir Osa, savoir s'il n'était pas lui aussi blesser mais elle ne le vit pas. Son cœur se serrait, mais se dit que les sentiments dans cet instant n’avaient pas la peine.


Elle regarda autour d’elle fatiguée, geler et s’assit près d’une tente prit une miche de pain prit un morceau et jeta le reste, incapable de manger et attendit que de nouveaux développements surgissent et s’y prépara mentalement.
Luciedeclairvaux


Ses mercenaires n'avaient pas été de la partie en Franche-Comté pour la petite tranche de rigolade à 19 gugusses, mais la Zoko répondait présente pour défendre sa terre d'accueil : l'Anjou.

La balafrée avait déjà rencontré naguère une des leurs, une certaine comtesse qui avait envoyé ses hommes contre la Zoko en balade sur ses terres. Lui en était resté cette balafre sur la joue, une autre cicatrice qu'on ne voyait pas sous la brigandine ... et les pires mois de geôle qu'elle ait eu à subir.

Aussi, quand les armées s'affrontèrent, Lucie chercha dans le lot la tête couronnée. Puis n'importe quel assaillant pouvant passer à portée de lame ... Ce combat attendu depuis plusieurs jours était à la hauteur de ses espérances. Les deux parties étaient sur-armées, déchainées, et s'affrontaient dans des cris de douleurs et des souffles de haine. Le pied, quoi. L'Andalouse affutée sifflait de droite et de gauche, repoussant l'assaillant avec vigueur.



L'ange de la Zoko, ailes déployées dans la pénombre, se repaît de ses proies et veille sur son maître ... Maleus. Jusqu'à l'aube. Jusqu'au spectacle de sang et de boue qui s'offre à eux, repus, satisfaits ... Les valides rentrent au camp.

Alors Lucie, sur son destrier blanc, arpente le champ de bataille, à la recherche de trophées. Au pire, des morceaux de protections toujours bons à récupérer. Au mieux, un ennemi pas tout à fait mort pour entraîner ses talents de couturière. Mais ce matin-là, la mercenaire cherche plus qu'un butin. Elle cherche quelqu'un et les lambeaux de tissus bleus attirent étrangement son œil. C'est alors que des voix familières lui font lever l'oreille. Calyce ... Trella ... Elle approche pour voir qui est étendu là. Le soulagement se lit sous les gouttelettes carmines qui parsèment son visage.


C'est qui c'te mioche là encore ?

Elle saute de cheval, met un genoux en terre et soulève délicatement le tissu. C'est moche de chez moche, mauvais, profond. Les sourcils de la mercenaire se froncent, trahissant sa pensée.

Calyce, compresse la plaie avec c'que tu peux. Si j'vois un brancardier j'vous l'envoie.

... s'en retourne glaner les restes de la mort ...


Citation:
20-06-2010 04:16 : Vous avez frappé Cameliane. Ce coup l'a probablement tué.

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Mael_du_haillon


Les bruits se faisaient moins entendre ils s'éloignaient de plus en plus.
La douleur s'était envolée,la jeune femme ne ressenti plus aucune souffrance, elle se sentait légère l'impression d'être portée par le vent.

Que m'arrive t'il pourquoi je ne ressent rien ,pourquoi je n'entends plus rien est ce normal????
Ne devrais je pas ressentir une douleur horrible suite à mes blessures ????


Soudain, Mael, entendit des pas lourd sur le sol ,la poussière ce soulevait à chaque nouveaux pas.

L'impossibilité d'ouvrir les yeux, la jeune femme ne pouvait reconnaître les personnes qui s'approchaient d'elle.

Sur son visage une vague de chaleur se posa, Mael reconnu la main qui portait cette caresse. Seul Derborence pouvait lui procurer une telle sensation.

Mael perdit très vite connaissance.....

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Si rester défendre les Franc comtois c'est être traitre, alors je suis fière d'être un traitre.
Isatan
[ Un oeil c'est bien, mais deux c'est mieux ! ]

La Jarretière était à peine sortie de son bois qu'on lui avait dit de surtout pas s'éloigner, paraissait qu'il y avait du réglage de comptes dans l'air ...
T'façon l'avait pas grand chose à faire dans l'immédiat et espérait bien se venger de ses dernières blessures faites par des Mainois. Bon d'accord là c'était des Comtois, mais c'pas grave !
Y croyaient quoi eux qu'on allait s'laisser faire, nous ont pas r'gardé !
S'en cognait pas mal de claquer, mais n'avait surtout pas envie d'écoper d'une nouvelle décoration corporelle. Et à force d'attendre que les " jesuispascontentquonmapiquémescoffres" daignent enfin franchir les frontières, Isa ne pensait qu'à ça ! Le fait d'être dans la même lance que la jeune Calyce ne l'aidait pas à songer à autre chose.
Les soirées de franche camaraderie où le borgne, assurément jaloux du fait qu'elle avait deux yeux et qui essayait discrètement de changer cet état - Bah ouais discrétos, la suz' aurait vu sinon que son chouchou il fait rien que le fayot ! - faisaient agréablement passées le temps sans pour autant combler ce manque lancinant ... Celui du combat !
Parce que bon faut être réaliste hein, sont pas juste venus pour supplier un quelconque remboursement, nan nan, sont venus se faire tuer pour rien !!
C'est alors, qu'enfin !
Oui enfin - Christos existe !!! Je vous passe les génuflexions pas même amorcées par la donzelle - l'ordre de se mettre en marche tombe.
Suivre l'Ancien, le Chiffré, la Jarretière le ferait aveuglément. Sauf que l'est pas aveugle ELLE ! Et c'est sur ce genre de moquerie qu'elle suit non loin du borgne, lui adressant un clin d'oeil alors qu'il commence une danse mortelle.
C'est fou ce que ce type, ou p'tet le grand blond pas loin arrivent à faire le vide autour d'eux ...
Désoeuvrée la Jarretière se contente d' achever une blonde qui passe à porté de mains ou du moins d'épaule, car c'est là qu'elle lui enfonce son épée ...
C'pas drôle, la fille tient à peine sur ses pieds, m'enfin si le mercenaire avait voulu la tuer c'était raté !


Heyyyy Mal, l'est pas morte celle là, t'vois que ça sert d'avoir ses deux yeux !

Faut toujours qu'elle la ramène, Isa, m'enfin elle va pas non plus s'appesantir sur le fait qu'au final, à part la demi morte elle a pas fait grand chose ...

ISA ! ILS ONT EU VIKY ! A L'AIDE !

Vicky, la roussette, d'puis quand on laissait le droit aux non angevins le droit de tuer LEURS roux ! Namého ! Cherchant l'origine de l'appel, la Jarretière se déplace au milieu des nombreux morts Comtois ...

20-06-2010 04:16 : Vous avez frappé Mael_du_haillon. Ce coup l'a probablement tué.
20-06-2010 04:16 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Maxima Sequanorum" dirigée par Lothilde.

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Aurelien.
[ Dans sa tour d'Ivoire ]

C'est à Angers , alors que les troupes ont quitté la ville que le jeune Duc reprit chemin vers son château quelque peu vidé de vie. Les armées angevino-poitevine avaient provoqué une certaine vie dans la capitale , qui comme toute citée phare des provinces était assez éteinte . Et la vie des derniers jours dans la ville donnait un certain baume au cœur du brun , un peu moins seul pour sa convalescence près de son château , mais en cette soirée , ils étaient partie.

Direction le rassemblement des ennemis comtois , ses ennemis. Il avait rejoint le plus haut donjon de la citadelle angevine , histoire de pouvoir guetter au loin l'armée qui prenait route pour La Flèche . C'était comme un signe du destin ce qui allait ce produire durant cette nuit , la première fois depuis des années que l'on retrouvait angevin et poitevin , cote à cote pour affronter un ennemi . L'affaire ne le concernait peut être que lui , mais dans ses actions , les réactions en chaine qui devait se produire avait toujours du bon , et aujourd'hui encore , ils prouveraient à la France entière que les ennemis de hier , était les amis de demain. Des hommes et des femmes qui marchaient vers une victoire , encore incertaine à l'heure du départ , mais qui dans l'alliance du Ponant ne pouvait que retentir comme le son de la réussite.

Étrangement , cette nuit , il se retrouvait dans la situation inverse qu'avait tenu son parrain. Cette nuit ce n'était plus les comtois qui "défendait" , chose qui était un bien grand mot pour les évènements de l'hiver précédent , mais ils seraient la partie qui tomberait. Il était écrit que 1458 serait l'année ou les Adams-Mélincour devait en prendre pour leur grade , subir le retour de flamme de leurs années de haines et de vices en Empire. Et c'était avec un certain plaisir , que le Duc comprit que c'était grâce à lui que tout cet enchevêtrement d'épisode pouvait avoir lieu , c'est alors qu'il leva la tête vers le ciel après que l'armée ait disparu derrière un bois . Pensée profonde à Sirius de Margny-Riddermark , les jours prochains , il serait définitivement vengé , Lothilde allait mourir et si le jeune Penthièvre pouvait en être la cause , voir même l'exécutant , il n'en serait que plus heureux.

Les armées de l'alliance qui avait disparu , et ses pensées de nouveau perdu dans l'abime de la nuit , Aurélien quitta la fenêtre du donjon et redescendit les marches pour retourner dans son bureau afin de régler quelques affaires contractuels . Il y avait combat au nord de la province , mais l'Anjou ne devait pas pour autant s'arrêter de vivre , la vie devait continuer comme toujours , l'épisode des armées comtoise prendrait fin . Enfin pour ce jour tout du moins , c'est ainsi que le brun retourna à sa couche , seul pour cette fois ...

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Alatariel


L'appréhension gagnait la baronne au fur et à mesure qu'elle se rapprochait de La Flèche. Cette histoire ne lui disait rien de bon... et puis, elle n'avait pas combattu depuis des années... Elle se sentait comme rouillée, vieillit.
Alatariel regardait autours d'elle, la jeunesse : Calyce, Estrella, Viktorya... Les gamines semblaient si sereines... si confiante... alors qu'elle, qui avait fait les guerres d'indépendances, tremblait presque.

Les armées Franc Comtoises étaient maintenant visibles. La baronne déplia alors son étendard... seule -sa maigre garde reposant dans le cimetière de Saumur- et sorti son épée. Elle pria Aristote de la protéger et surtout, de protéger les gamines qui étaient a côtés, et lança son cheval au galop.

Le choque avec l'armée ennemie ne fut pas aussi violent qu'elle l'avait imaginé. Elle renversa un Franc Comtois déjà bien amoché dans sa charge.
Le reste du combat semble irréel à la Baronne. Pourquoi, comment ? Elle a perdu des yeux Kilia dans la mêlée...

Et puis il y a les voix... La bataille s'est calmée, presque finie...

La baronne met du temps à comprend de quoi il s'agit, et puis... et puis... Elle lance son cheval jusqu'au regroupement. Viktorya est à terre...
Les goutes de sueur commencent à perler sur son front. Qu'Aristote la rappelle, elle qui a déjà vécu, mais pas la gamine !

Alatariel sauta à terre, planta son étendard dans le sol, espérant que la Croix hospitalière parlerai aux Franc Comtois et s'approcha aussi vite que son armure lui permettait de la jeune fille. Elle regarde Calyce qui est près du corps... et voyant le sang, l'endroit de la blessure, sans plus chercher à comprendre, elle dégrafe sa cape, la réduit en lambeaux pour pouvoir faire un bandage...

- Il faut l'emmener au campement Hospitalier que le frère Thomas puisse s'en occuper, ça dépasse de loin ma compétence... Et a moins que vous trouviez des fraises ou des orties... j'ai rien pour faire un Cataplasme...


20-06-2010 04:16 : Vous avez frappé Yoyo73. Ce coup l'a probablement tué.
20-06-2010 04:16 : Vous avez engagé le combat contre une armée.
20-06-2010 04:16 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Maxima Sequanorum" dirigée par Lothilde.

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Lothilde
[Avant les combats, campement de Maxima Sequanorum]

" Je sais tout cela...Je sais que nous ne sortirons pas vivants, je sais qu'il n'y a rien à prendre dans les caisses parce que le duc d'Anjou a conservé pour lui tout ce qu'il a dérobé dans notre château...Je sais et nous le savons tous !
Mais voyez-vous, comtesse, ce n'est ni pour les écus ni pour gagner quoi que ce soit que nous sommes venus de si loin : c'est pour avoir le droit de relever le front, et ne plus rougir d'être comtois. Nous nous battrons jusqu'au dernier...Ce duc angevin...


Compagnon !! Voyons !!...An-ge-vin ! comme ça se prononce !...

Les deux mains croisées dans le dos, Lothilde arpentait à petites foulées nerveuses l'étroit espace compris entre la porte et la table où elle avait fait asseoir un guerrier qui avait eu la malchance de passer trop près de la tente. Elle lui avait fourré une plume d'oie entre les mains et l'avait poussé d'office sur le petit coffre qui servait de siège et dictant sans conviction quelques réponses agaçantes, faisait sans cesse l'aller-retour entre l'écrivain qui n'en revenait toujours pas de sa déveine et la porte de toile entrebâillée d'où elle pouvait embrasser d'un seul regard toute la campagne environnante.

Penchée au-dessus de l'épaule du brave, elle avança un index vengeur et le pointa sur le mot incriminé

An-ge-vin, compagnon ! vous avez écrit Ange Vain !! ...Encore que...corrigez donc plus haut...là ! mettez lui donc deux ailes à cet Aurélien de Penthèvre...comme Lucifer !

Elle se redressa, dissimulant son sourire au brave qui s'était détourné et avait planté dans les siens ses yeux luisant d'incompréhension. Elle lui tourna le dos après lui avoir lancé un petit coup d'oeil amusé...N'était pas César qui voulait, et son flair ne l'avait pas guidée pour choisir judicieusement son Aulus Hirtius de circonstance...à la guerre comme à la guerre...

deux L...la lettre L, compagnon ! comme..Lascar...Larron...

Une trompe interrompit brutalement la quiétude laborieuse de la tente et effaça aussi brutalement le sourire de ses lèvres...A l'arme...Alors elle ne s'était pas trompée... A la nuit tombée..D'un seul coup son sang reflua et elle sentit la terre se dérober sous elle. Ce n'était pas le moment. Ramassant son épée, elle s'écarta pour laisser le passage au soldat et sortit à son tour, et traversa à la course le terreplein que les guerriers helvètes et comtois venaient d'abandonner pour rejoindre leurs positions...Un regard circulaire rassurant...Ils étaient tous à leurs postes et elle rejoignit le sien, le coeur battant, aux côtés de la générale Caméliane, échangeant avec elle un regard complice...Elles avaient fait ce qu'elles pouvaient, elles savaient que peut être l'une ou l'autre...ou les deux... Elles n'avaient pas peur...

Si...Si, elle avait peur...Et sa main devenue soudain moite glissait sur la garde de son épée. Trop lourde...pourquoi elle était tellement lourde, cette épée, toutes les fois qu'il avait fallu la sortir du fourreau ? La passant à l'autre main pour essuyer sa paume contre l'étoffe de ses hauts de chausse, elle se tapit dans le replis du terrain, l'oreille tendue aux cliquetis des armures et aux grondement des sabots de la cavalerie qui approchait...Les laisser arriver, ne se relever qu'au dernier moment pour les surprendre et les occire...C'étaient les consignes qu'elles avaient données...Pas trop tôt....juste à temps... et son groupe les prendrait à revers...

Un cri la fit sursauter et pourtant elle l'attendait, celui-là ! Celui du premier diable d'angevin qui venait de tomber dans l'embuscade et soudain, la ruée des guerriers et les corps à corps meurtriers, les gémissements des hommes qui tombent ..Et une ombre qui s'effondre à côté d'elle et l'entraîne dans sa chute...ami, ennemi, elle ne sait pas...

Étourdie, elle se relève, repoussant délicatement ce blessé qui l'a miraculeusement protégée et dont le poids pèse sur elle faiblement...si faiblement. Quelque chose de chaud et gluant coule sur la main qui s'est agrippée à son épaule et qu'elle écarte doucement...Caméliane...? Maele ??


Ils partent !! Ils partent !!!!

La huée dans le camp la sort de son hébétude...et se baissant en vitesse pour prendre la blessée sous les aisselles, elle puise dans ses forces pour la traîner à l'écart de la trajectoire des chevaux ennemis qu'elle entend approcher...vite..vite... et se laisse tomber face contre terre pour reprendre son souffle...Aristote...Ou le diable n'a pas voulu d'elle...Il lui avait dit, un jour, son sénéchal...Ils ne sont pas assez fous pour s'encombrer d'une guigne pareille pour l'éternité...Se soulevant sur un coude, elle se passe la main au front...Le plus dur reste à venir...

Citation:
20-06-2010 04:16 : Vous avez été attaqué par l'armée "Les Aigles de Thouars" dirigée par Melinora et l'armée "Vae Victis" dirigée par 197856.

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Albatrus
[Angers la belle..dans une taverne..]

Il se délectait d'un doux breuvage,grignotant quelques amuses bouches...
Il faisait doux en ce mois de Juin,les jouvencelles Angevines belles comme des fleurs..
Il attendait,attendait la suite,les renforts Bretons étaient là,prêt à renforcer les lignes Angevines en cas de besoin..



Un soldat Angevin entra dans la taverne et se dirigea vers sa table..


Sir Alba de Guérande?

Posant sa chopine..

Lui même..

Le soldat reprit son souffle..

Les combats ont commencé,ca y est!Il est temps d'y aller!

Hum..non pas maintenant..ne vois tu pas que je suis en pleine dégustation?

Il le regarda surpris..

Mais!il faut se battre!

Ecoute!toi tu va aller rejoindre les lignes alliées..
Moi,je reste ici avec mes hommes..
Si Aurélien à besoin de mon épée et des renforts Breton.
Il sait ou nous trouver!
Pour l'instant les hommes de Breizh se restaurent avant la bataille.


Mais Sir..

Pas de mais!File...avant que je ne t'envoie moi même sur le champs de bataille à grand coup de pieds au cul!

Il sortit alors sa pipe,la bourra,l'alluma en attendant la suite...
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Jasona
Pendant que le campement se mettait en place, le Lieutenant de Vesoul ne put s'empêcher de penser à ceux tomber dans la plaine avant d'arriver au village de la Flèche. Le gouverneur Lothilde lui avait dis les noms de ceux qui étaient au porte de la mort et ceux gravement blessé. Le Sénéchal était du nombre!, et les autres, elle ne les connaissait que de nom, mais cela suffisait, du sang comtois avait coulé.
Et la vengeance serait sanglante.
Elle savait qu'elle ne reviendrait pas en Franche Comté, ou du moins pas en un seul morceau.
La comtoise caressa son ventre et se maudit en s'excusant en silence de ne pas pouvoir rendre la liberté à son enfant encore prisonnier de son ventre, qui ne sortira surement jamais de là où il était. Il ne pouvait pas vivre après ce qu'il allait lui arriver, elle avait été idiote de venir, mais elle était une comtoise avant tout et une militaire! elle se devait de défendre sa patrie.
Aristote avait veillé sur elle dans les plaines avant d'arriver ici, mais là, il n'y avait plus d'espoirs. Les larmes aux yeux, son épée en main, elle attendait les armées du Maine arrivés sur eux. Elle se tenait prête.
Le combat fut rapide, les armées étaient désorganisées, une chance pour eux, malgré quelques blessés grave dans leur camps, ils avaient réussi à repousser l'ennemi.
Leur trouve se retirait. Première victoire, elle n'avait toujours pas reçut de coup d'épée.
Elle s'agenouilla et pria longuement Aristote en le remerciant de lui avoir une fois de plus, veillé sur elle.
Puis, se retournant, elle porta secourt au blessé de leur camps.

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Lieutenant de l'Ost Luxeuil-Vesoul, Arbalétrière, ex CAM
Mathieu__l
La Fleche - Campement de l'armee Comtoise


Mathieu etait depuis quelques jours a la Fleche attendant l'arrivee des Comtois. Il se dissimulait dans une batisse delabree ne sortant que tard sur le marche et ayant pour seule activite la lecture du chef d'oeuvre "A la recherche d'un traitre" de Monseigneur Evra. Des traitres, il en avait decouvert de nombreux parmi ses compatriotes. L'honneur est une qualite qui se fait rare de nos jours.

Les forces comtoises arriverent dans la nuit du samedi, et il fut depite de voir que leurs rangs etaient forts degarnis. D'abord tentes de prendre ses jambes a son cou, il reprit ses esprits. Il devait compenser pour la couardise du conseil Mainois.

Juste derrière les armées franc-comtoises, deux groupes sans oriflammes s'approchaient. Il sourit quand il reconnut Assirian, Cdent, Merovee, et une partie des compatriotes présents lors de leurs vacances à Craon. Il les salua et rejoint leurs rangs aussitôt après.


Preparons nous au plus vite. Ca risque de chauffer très vite. Nous sommes plus faibles que prevu et les angevins risquent d’en profiter.

Les preparatifs s’etaient fait sans encombre, et Mathieu avait pu discuter avec Lothilde Comme les Mainois, les Comtois etaient prêt a tout pour recouvrer leurs honneurs, et comme les Mainois ils combattraient jusqu’au bout, meme si ils devaient tomber jusqu’au dernier.

Même si nous devions tous subir une cuisante defaite, cela ne nous empecherait pas de revenir encore et encore ! Nous n’abandonnerons pas !

Soudain des cris. Un nuage de poussière au loin. Comme redoute, les angevins avaient décidé de prendre les devants. Deux solides armees marchaient d’Angers dont une arborait l’etendard poitevin. Il etait triste que les poitevins aient decide de s’allier aux angevins. Mathieu avait enormement de respect pour eux, pour avoir pietine et humilie le peuple angevin en laissant leur château en ruine. Ils devraient les combattre. Il espera en jamais faire face a un poitevin.

L’attente ne fut pas longue. Les angevins arriverent au pas de course. Il nota que tous tous les assaillants se concentraient sur le contingent suisse dont les rangs etaient fort degarnis. Il palit. Cette technique etait audacieuse, et fort efficace si les defenseurs n’avaient pas vu le coup venir. L’armee se defendit vaillament mais fut vite submerges.

L’armee de Lothilde entra dans le tumulte de la bataille. Mathieu se trouva nez a nez non pas avec un soldat mais une combattante angevine. C’etait la deuxieme fois fichtre. Il degaina son epee et fit face.


(desole pour les accents, clavier qwerty snif)
Kunfry
[Quand l’on attaque, l’empire contre attaque]

Partir de la flèche pour défendre son duché, partir à Saumur attendre les étrangers aux tactiques de l’Est. Puis finalement faire mouvement sur la capitale avec les poitevins devenu frère d’arme. Toute animosité que ressentait Kunfry envers eux était effacée et même il avait tout bonnement confiance en eux mais aussi de la reconnaissance.

Samedi dans la journée les rumeurs circulerent, elles disaient que des armées étaient arrivées à la flèche, chez lui.Il était heureux de voir qu’aux moins ils n’étaientt pas complétement suicidaire et qu'il n’avait pas filé sur la capitale. La raison de leurs venus chez les angevin c’était la vengeance surement mais kunfry put voir qu’il disait regagner leur fierté. Du respect Kunfry en avais peut pour ceux qui osent marcher sur les splendides terres d’Anjou, ses terres qu’ils chérissaient, il aimait cette contré bien plus que n’importe quoi d'autre.

Il avait enfilé son armure, une nouvelle armure. Ils ce l’était offerts après son anoblissement. Ils prirent la route, en direction du nord. Une longue journée de marche pour arriver a la ville de la flèche. Il ne put s’empêcher de remarquer que les mainois n’avait pas compris encore, leur action avait été longue et pourtant tellement inutile. Ils devaient être la pour permettre aux angevin de rendre compte que les armées alliées de l’empire valais bien mieux que ses gus qui ne se sont toujours pas remis du sac de leur capitale pourtant devenu pendant quelques jours célèbre grâce a cela.

Kunfry avais aussi remarqué que sa ne serai pas pareil qu'avec les mainois. La il y avait tout plein de soldats de carrière pas des paysans a qui on a offert une épée et qui se servent de leurs épées en tapant avec l’étui. Qu’elle plaisir un vrai défi, enfin. Malgré la surprise de l’attaque il y allait avoir des pertes. Mourir contre eux ne dérangeais pas a kunfry c’était un honneur, mais quand il vit le petit groupe de gamine trop jeune et inconsciente malgré leurs dires si contente d’aller tuer il en était navrés.

Les angevins touts comme les poitevin se mirent en formation de combat. La cavalerie parti causer du ravage dans le camp, casser leur formation essayer rien que par une charge de puissant destrier de combat faire apeurer l’ennemis. La charge avais été mené par la duchesse Kilia elle fut désarçonner lors du combat. La réponse ne se fit pas attendre l’ordre a l’infanterie de charger fut lancer. Kunfry parti, à pas de course épée en avant. Les soldats les plus rapides en première ligne commencèrent à prendre une légère avance.

Le choc ne se fit pas attendre. Comme redouté par kunfry l’ennemis savais bien se battre il fallut du temps pour se débarrasser des adversaires. Les combattants s’étalaients dans tout le camp, le chaos c’est abattus devant les remparts de la Fleche.
Kunfry regarda autour de lui et repéra une cible, un homme il avait l’air fort, bien équiper c’était belle et bien un militaire.
Il s’élança sur sa cible cherchant à le percuter, les épées se croisèrent un long moment jusqu’a se kunfry porte a coup puissant sur le bouclier de son adversaire celui si vola en éclat. Ils se retrouvèrent a quelque mètres face a face. Son adversaire chargea et kunfry lui envoya un violent coup de bouclier dans la tète. On entendit alors des os se briser, l’homme tombât les mains sur son visage, le sang sortais de son nez.
Kunfry approcha son épée au dessus du corp de sa victime, il hésita.

Tu t’es bien battu, tu mérite la vie.

Il le laissa la dans la souffrance lorsqu’il entendit au loin


ISA ! ILS ONT EU VIKY ! A L'AIDE !

La haine dans le regard il allait tuer à présent. Il combattit avec rage jusqu'à se que sonne la retraite. On devait rentrer et respecter la trêve dominicale mais il reviendrait et cette fois kunfry ne laissera plus vivant ses ennemis.

Citation:
20-06-2010 04:16 : Vous avez frappé Danytr. Vous l'avez grièvement blessé.

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Osadus
Osadus retourna près de sa section déjà réduite de moiter des Sans Braies Rots de Luxeuil en effet le chef de section a déjà du essuyer pas mal de perte parmi ses hommes et quand il rentra au campement il ne vit que ses compagnons derborence et mousseline. Il s'inquiéta de ne pas voir mael et il espérait qu'il ne lui soit rien arrivé de grave malgré cela il était quand même heureux que sa petite protégée mousseline se porte a merveille.

Assez exténué de la bataille et après avoir tué quelques misérable résistants, il se laissa tomber dans l'herbe et se reposa espérant que sa mouss viendrai s'occuper un peu de lui.
Mousseline
Mouss vit au loin Osa arriver. Son visage laissait transparaitre de la fatigue et de l'inquiétude. Elle le vit s'étendre dans l'herbe. Elle regarda autour d'elle et se dit qu'elle devrait aller lui parler question de savoir ou en était tout cela et peut-etre manger un peu. Elle se rendit près de lui et s'assit.

Hey Chef on se repose on dirait! Tu veux un morceau de pain? J'arrive pas à manger.

Elle le regarda et décrocha un de ses plus beau sourire

Bah t'a vu suis pas si mal pour me défendre. Non je sais tu m'as aidé un peu mais bon...

Elle ricana en pensant aux quelques bons coups qu'elle ait donner et en était fière.
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