Lyhra
Ici dans la grande salle, vous devrez appâter les clients et leur donner envie de beaucoup plus mais attention ! quelques privautés pas plus. La suite, si vous avez été convaincante, se passera en privé ...
un discret coup doeil vers létage puis elle poursuit, afin denlever le moindre doute qui pourrait subsister,
des chambres là haut, vous aurez la votre bien sur.
Je prends la moitié de vos gains mais ne vous retient rien pour la chambre et la nourriture.
Nabusez pas du bar il va sans dire. Vos charmants offices en souffriraient...
Toutes les babioles quun client pourrait vous laisser sont à vous.
Cest équitable il me semble.
La laissant réfléchir, elle vérifia que le Mulot ne soit pas aux prises avec le dingue et constata quil nétait plus là, soupira dun vague soulagement puis manqua sétouffer de rire en écoutant les propos de louvrier à la peau si noire quil semblait droit sorti dune cheminée. Nétait-ce pas celui quelle avait trouvé pâmé ici même il y avait quelques temps ? Si fait. Elle le reconnaît. Et bien... en voilà un à qui les dures brimades de Daimones navait pas ôté la langue ! Et amateur de femmes qui plus est !
Il faudrait aussi quelle parle à Elisabeth, il nétait pas bon quune fillette de son âge traîne par ici, elle devrait trouver à se placer chez une bourgeoise, Paris en regorgeait, mais un bordel ... ce nétait décidément pas lendroit approprié, surtout si elle savisait de donner des ordres aux ouvriers.
En revanche les deux filles étaient éblouissantes. De vraies courtisanes. Cela crevait les yeux. A deux elles devaient faire des merveilles. Fulgurance dune image qui sétala devant ses yeux, elle les vit onduler en rythme, improvisant une danse lascive sur lune des estrades, sous les regards concupiscents dune assemblée aux bourses largement déliées ...
Parfaites, elles étaient parfaites.
Adressant un geste dexcuse et d'apaisement au petit groupe, elle fit signe quelle viendrait bientôt, et fronça les sourcils en direction du noir efflanqué.
Alors Thaï .. Quen dites vous ?
Mon offre vous convient elle ?
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un discret coup doeil vers létage puis elle poursuit, afin denlever le moindre doute qui pourrait subsister,
des chambres là haut, vous aurez la votre bien sur.
Je prends la moitié de vos gains mais ne vous retient rien pour la chambre et la nourriture.
Nabusez pas du bar il va sans dire. Vos charmants offices en souffriraient...
Toutes les babioles quun client pourrait vous laisser sont à vous.
Cest équitable il me semble.
La laissant réfléchir, elle vérifia que le Mulot ne soit pas aux prises avec le dingue et constata quil nétait plus là, soupira dun vague soulagement puis manqua sétouffer de rire en écoutant les propos de louvrier à la peau si noire quil semblait droit sorti dune cheminée. Nétait-ce pas celui quelle avait trouvé pâmé ici même il y avait quelques temps ? Si fait. Elle le reconnaît. Et bien... en voilà un à qui les dures brimades de Daimones navait pas ôté la langue ! Et amateur de femmes qui plus est !
Il faudrait aussi quelle parle à Elisabeth, il nétait pas bon quune fillette de son âge traîne par ici, elle devrait trouver à se placer chez une bourgeoise, Paris en regorgeait, mais un bordel ... ce nétait décidément pas lendroit approprié, surtout si elle savisait de donner des ordres aux ouvriers.
En revanche les deux filles étaient éblouissantes. De vraies courtisanes. Cela crevait les yeux. A deux elles devaient faire des merveilles. Fulgurance dune image qui sétala devant ses yeux, elle les vit onduler en rythme, improvisant une danse lascive sur lune des estrades, sous les regards concupiscents dune assemblée aux bourses largement déliées ...
Parfaites, elles étaient parfaites.
Adressant un geste dexcuse et d'apaisement au petit groupe, elle fit signe quelle viendrait bientôt, et fronça les sourcils en direction du noir efflanqué.
Alors Thaï .. Quen dites vous ?
Mon offre vous convient elle ?
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