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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

{chloe_la_douce}
Chantonnant, elle revenait tranquillement de la réserve où elle avait mis un peu d'ordre.
Un chiffon sur l'épaule, un pot de cire à la main, elle arriva dans la grande salle.
Curieusement, ça s'agitait dans tous les sens.
La porte était close. Une inconnue se dirigeait vers le bar avec Sana.
La Succube était rentrée.


- Oh, vous voilà.
Votre expédition s'est...

Son regard tomba sur une femme, hagarde, installée dans un fauteuil près du feu.
Sans hésitation, elle déposa son fardeau sur la première table venue et s'approcha.
Son regard fuyant et effrayé lui rappelait douloureusement un passé récent.
Coup d'oeil interrogateur à la Succube, visiblement, elle avait loupé quelque chose pendant qu'elle était dans la réserve.
Elle empoigna 2 buches qu'elle remit dans le feu pour le ré-activer.


- Qu'est ce qui se passe ici ?
Je vois que vous avez fait connaissance avec Mariane déjà.


Un coup d'oeil vers la jeune rescapée. Qui était elle ? De quel enfer arrivait elle ? Après tout, ça n'avait guère d'importance. Il y a peu , elle aussi n'était qu'une fuyarde et elle faisait confiance à la Succube pour prêter main forte.

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---fromFRAnabella
Bella préfère écouter les uns et les autres, les laissant s'exprimer à leur guise...

Elle aura bien le temps de faire plus connaissance par la suite avec Mariane et Rexanne... les deux jeunes femmes lui plaisaient :

la première parce qu'elle sait faire le pain... Bella a un pêché mignon : la gourmandise et elle adore l'odeur du pain cuit... cela lui rapèle trop son enfance, lorsque sa mère lui faisait du pain et qu'elle étalait sur les larges tartines du beurre... hummm, penser à cela dans un endroit comme celui-ci la fit sourire intérieurement... pour l'instant, elle préfére ne rien dire... mais lui en toucherait deux mots lorsqu'elles seront toutes les 2 et puis, avec l'aide de Chloé, cela pouvait être réalisable... du pain et des hommes, quoi de mieux pour elle ?

la seconde, Rexanne, parce que les dagues qu'elle possédait lui conférait un certain sentiment de sécurité... et puis elle avait souri lorsque Sana avait voulu défendre son poste, elle changeait pas son amie... Sana ne pourrait pas tout le temps assurer ce poste et puis comme cela, c'était mieux ainsi, Bella n'aurait pas à se mettre derrière le bar... elle préférait être en salle, chercher à plaire que derrière un comptoir... en fait, elle préférait être actrice que spectatrice...

La Succube remit tout le monde d'accord, Sana et Rexanne officieront ensemble mais c'est Rexanne qui sera la responsable du bar...

Et puis, la Succube propose un repas dans sa chambre, quelle bonne idée !!! il est vrai que la faim se faisait sentir, le dernier repas pris par Sana et elle étant loin... ainsi elle pourra aussi faire mieux connaissance avec les nouvelles venues...

Mais pas le temps que la porte s'ouvre, une femme en piteuse entre... elle a mauvaise mine... est effrayée... La Succube va la voir et donne des ordres aux filles pour que celles-ci s'occupent d'elle...

Le sang de Bella ne fait qu'un tour, elle se lève, se tourne vers Mariane...


Suivez-moi Mariane, je vous montre les chambres pour la couverture.


Bella monte suivie de Mariane et lui indique les chambres.


Servez-vous...

Quant à elle, elle va dans sa chambre, prends son maigre baluchon qui contient quelques plantes et onguents et redescend bien vite pour aller voir la jeune femme...

Son regard se tourne vers la jeune femme et lui sourit pour la réconforter.


Ne vous inquiétez pas, je vais vous soigner...


Elle sort de son baluchon une petite fiole d'absynthe pour désinfecter la plaie. Sur un morceau de tissu, elle dépose de l'absynthe et entreprends de nettoyer la plaie...

Pardonnez-moi mais ça risque de piquer un peu, mais je dois le faire pour enlever toutes impuretés...
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Entre mes bras, un baiser est une gourmandise sucrée qui ne fait pas grossir...
---fromFRMariane
Mariane offrit un énorme sourire à la Succube. Une Succube, voilà exactement de quoi elle avait l’air, le patronyme n’avait pas été choisit au hasard. La sachant patronne, la paysanne sut qu’il n’y aurait pas de faille. Et encore moins de faillite.
Mais ce n’était pas cela qui intéressait le plus Mariane. Même malgré le regard de la Succube, elle se savait paysanne, elle était fière de cela, et elle saurait montrer que le pays aussi avait du bon.


Merci m’dame. Non, pas d’bagages, sauf c’sac ou y’a tout de quoi j’ai b’soin. Sauf t’être une robe conv’nable.

Mais la jeune engagée sentait à ses côtés Bella et Sana, et elle restait persuadée qu’elles auraient la gentillesse de lui prêter une robe, voire deux, le temps qu’elle gagne de quoi s’en acheter elle-même.
Tout le reste, comme elle l’avait dit, était dans son sac. Tous ces trucs de fille de joie. Tous ces trucs de femmes.
Indispensables pour la survie de quelqu’un qui aime prendre un minimum soin de soi, et plaisir.

Ne nouvelle jeune femme rentrait. C’était une de ses beauté inaccessibles, vu ses paroles. Son franc parler plut aussitôt à Mariane. Comme tout lui plaisait au Quartier Pourpre.

Elle s’apprêtait à suivre la Succune à l’étage, pour prendre possession d’une chambre, après avoir sourit à Rexanne, nouvelle compagne de travail quand survint ce qui survint.

Vu les yeux hagards de la jeune fille qui venait d’entrer, ce qui survint devait être quelque chose de terrible. Et la réaction de la Succube ne fut que pour renforcer ce respect presque craintif que Mariane avait ressentit pour elle.


Mariane, m’dame

Et d’obéir à l’instant, suivant au pas de course Bella qui avait offert de la guider.
Arrivée à la chambre, elle farfouilla quelques instants, trouva deux bonnes couvertures faites pour le froid hiver, et en descendit avec elles dans les bras, au point de même pas voir ou elle mettait les pieds et de manquer de tomber. Ce qui ne fit pas.

Arrivée elle vit que Clohé aussi était là, et après un sourire entendu, qui exprimait clairement l’accord de la Succube en ce que Mariane concernait, l’ancienne boulangère entreprit de couvrir les épaules, la poitrine, les épaules, les fesses et le ventre de la nouvelle venue d’une couverture, et les jambes de la deuxième. Il n’y avait jamais eu mieux pour tenir chaud que plusieurs couvertures afin de ne laisser aucun passage à l’air.

Sur quoi, Bella arriva avec ses affaires de guérisseuse. Et le temps qu’elle lui soigne les pieds avec « ce qui va piquer », Mariane s’était mise à genoux derrière la pauvre enfant, et lui tenait fermement les épaules, dans un geste de soutient et d’amitié.
Lui murmurant à l’oreille qu’on s’occupait d’elle. Qu’elle n’avait rien à craindre ici.
---fromFRmarie-jeanne
Marie n’eut pas fini de parler que la belle rousse prit les choses en main , elle sut qu’il s’agissait de la patronne, à sa façon d’agir marie restait coite .

En quelques instants elle fut amenée prêt du feu dans un fauteuil ,la patronne donna des ordres a sana, bella, les noms qu’elle retenue , et toutes s’éparpillèrent en un temps record pour s’exécuter.
Marie était plus que confuse de créer un tel empressement .
Elle n’arrêtait pas de trembler à présent comme un contrecoup à toute sa peur, la rousse avait verrouillé la porte derrière elle.
marie tenta de capter son regard pour la remercier, le mantel disparut de ses épaules,

Attendez Madame, ce mantel ne m’appartient pas , pouvez vous le garder dans un coin le propriétaire viendra le chercher un de ses jours il s’appelle baptiste si j’ai bien compris.
Marie se tut , elle avait faim et si froid dans sa robe translucide.
Mais une nouvelle jeune femme arriva surprise mais aussitôt prit l’initiative de réamorcer le feu ; au regard qu’elle jeta sur la patronne,marie comprit qu’elle avait un poste important dans la maison

Merçi merçi infiniment marie ferma les yeux.
Puis les rouvrit

Je m’appelle marie,marie jeanne en fait, je vous revaudrais tout cela soyez en sure.
Tout s’ enchainait pour marie à un rythme d’enfer , elle ne savait qui regarder ,qui remercier, elle avait envie de dormir, et de manger . elle jeta encore quelques coups d’ œils craintifs vers la porte puis se raisonna.
Mais la belle blonde bella fut là et commença à lui prodiguer des soins au pied alors que l’autre jeune rousse, mignonne et souriante la recouvrait de couvertures .
Depuis des années , peut être depuis toujours , marie n’avait pas eu cette sensation merveilleuse d’être aidée ,cajolée même ,sans aucune arrière pensée si ce n’est de lui venir en aide. Alors les larmes roulèrent sur ses joues ,silencieuses alors que la petite rousse la tenait dans ses bras et la réconfortait pendant que la tatouée, lui soignait les pieds.

Madame dit elle en se pinçant les lèvres et en se frottant les yeux tout en regardant la maitresse des lieux .
quel est votre nom je vous prie ? je ne sais même pas qui je dois remercier.

Marie sentit son ventre se tordre alors que le pied lui cuisait .
J’ai faim j’ai si faim du pain s’il vous plait, !!
les couvertures et le feu pétillant commençaient à faire leur effet , marie se sentait comme dans un cocon,
Puis elle tourna son visage vers la dénommée Marianne et la blonde,

Je dois puer non, ? j’ai l’impression de sentir mauvais tellement j’ai trainé par les rues immondes pieds nus ;
---fromFRSavanahh

Avec l’aide précieuse de Rexanne, Sana se met à la recherche des ingrédients nécessaires pour confectionner un remontant à l’intention de la nouvelle arrivante. C’est la première fois que la fille des îles passe derrière le bar, il lui faut quelques instants pour se repérer.

Elle indique les flacons et les verres à la brunette.

Peux-tu nous dénicher une bouteille de rhum, ma jolie, et en remplir un bon demi-verre ! Je vais lui préparer un cocktail qui va la remettre sur pied, tu vas voir …

Sana ouvre précipitamment les armoires, les bocaux, les pots en terre, fouille méticuleusement, et en retire tout ce qui lui est nécessaire, du miel, du sucre, de la cannelle …

Elle prend le verre que lui tend Rexanne, et ajoute les composants indispensables, dans une proportion connue d’elle seule. Elle mélange vigoureusement.

Voilà, c’est prêt !

Toujours suivie de la jolie brune, elle se dirige à grands pas vers le petit groupe réuni autour de Marie. Souriant en observant sa Bella occupée à soigner les pieds de la nouvelle venue. Son amie est dans son élément, à cet instant.

Savanahh présente le verre à la fugitive.

Tiens, Marie, avale ça cul sec, ça va te retaper en moins de deux !

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Lyhra
… Bien passée oui.

Répondant à Chloé, elle la remercia d’un sourire.

D’ailleurs j’en ai ramené quelque chose pour toi. Petit clin d’œil dans sa direction.
Oui oui … Mariane et moi avons eu le temps d’échanger quelques mots avant que cette jeune femme ne nous tombe dans les bras et que je n’embauche quelqu’un pour le bar, la jeune femme aux dagues là bas avec Sana.
Pour les détails il te faudra voir avec elle, nous n’en avons pas eu le temps. Une chambre aussi si elle le souhaite, pour le salaire, un pourcentage sur la recette du bar de cinq pour cent me semble correct.
L’échange resta discret.

A vrai dire ma jolie vous ne sentez pas la rose non. Mais nous arrangerons ça aussi.
Réchauffez vous d’abord, empêchez vos dents de claquer et buvez donc ce que l’on vous donne !
Bella va s'occuper de vos pieds, il n'y paraitra plus.

Elle douta que quiconque vienne un jour rechercher ce mantel mais ne voulant contrarier Marie Jeanne dans l’état où elle se trouvait déjà, elle le déposa sur une table puis se présenta pour répondre à ses questions. Elle se nommait La Succube et possédait cet établissement en cours de rénovation. C’était un bordel, elle n’en faisait mystère et c’était sa fierté. Elle présenta également chaque jeune femme et les remercia pour leurs bons offices.

Avisant ensuite l’homme noir qui était resté là, immobile et la lippe pendante, elle lui demanda d’aller sans attendre,


.. quérir quelque chose à manger pour cette demoiselle, s’il vous plait !

Tout le monde s’affairait. Une vraie ruche.

Quand vous aurez repris votre souffle Marie Jeanne racontez nous donc la sombre affaire qui vous a jeté ainsi chez moi.
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---fromFRRexanne
Une fois derrière le bar Savanahh lui avait désigné de la main l'endroit où les verres étaient rangés ainsi que la collection de bouteilles. Une demi-verre de rhum qu'elle demande, tres bien. Rexanne avait pensé à un grog mais sa nouvelle collegue avait apparament une autre idée plus exotique, pourquoi pas apres tout!

Décontenancée face a toutes ses bouteilles inconnues elle saisit la première qui venait, la déboucha et renifla le contenu. Pas du rhum ça! Elle analysa de son nez expert le contenu de deux ou trois bouteilles avant de détecter l'odeur du rhum.

Rapidement elle en remplit un demi verre et le passa à Sana. L'opération n'avait du prendre au total qu'une malheureuse minute. Pendant ce temps la jeune métisse avait déjà réunis quelques herbes et épices et tandis qu'elle les ajoute au rhum Rexanne jette un oeil dans la pièce.

L'inconnue était désormais enroulée dans les couvertures que lui avait apporté Mariane, qui d'ailleurs était restée vers elle, la tenant par les épaules. La jeune femme d'un blond vénitien qu'elle avait vu s'eloigner en arrivant était revenue et alimentait désormais le feu, Bella désinfectait les plaies des pieds de la jeune errante. Elle entendit la jeune femme déclarer s'appeler Marie-Jeanne, ses yeux brillaient de larmes mais elle avait l'air de reprendre un peu du poil de la bète.

Rexanne sourit puis suivit Sana qui avait finit sa mixture, l'apportant à Marie-Jeanne. Vu la dose de rhum elle gageait que sa lui activerait les sangs à la malheureuse! Elle aperçut La Succube echanger quelques mots avec la jeune femme sortit de l'arrière boutique mais n'en distinga pas les paroles. Elle sourit, assurant que c'était tout a fait normal lorsque La Succube les remercia toutes de leur contribution.

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L'alcool est mon ennemi, fuir son ennemi est lâche! Alors chopine suivante!
Malicieuse vagabonde célibataire...
pnj
Hé Hé. Ci à Baba qu'on cause. Baba il est content. Baba il va fai'e comme si les dames elles avaient pas igno'é Baba. Et comme si elles avaient été gentilles et qu'elles n'avaient pas fait les pucelles dégoutées. Oui, Baba il va fai'e ce qu'il peut pou' aller che'cher à manger. Baba il est déjà pa'ti. Baba il 'evient avec plein de bon manger. Baba il va vous fai'e saliver.

Et tout en parlant Baba était parti rejoindre ses collègues noirs.
Et voyant ce qu'il mangeait, il eut un air désoeuvré. Du pain rassis, et quelques morceaux de viandes crues.


ho là là. Baba il peut pas 'eveni' avec ça. Les dames elles vont pas aimer. Il faut fai'e quelques choses de bien, quelques choses qu'elles n'oublie'ont pas. Faut pas qu'elle oublie.
L'avait l'ai' gentille plus que les aut'es la 'ousse. Beaux yeux. Un peu pâle mais bon. Sa voix. Un petit effo't pou' elle. Elle qui a pa'lé à Baba.

Il retraverse la salle à grande enjambée, la chemise toujours au vent. Direction la cuisine.
Il bouscule les casseroles, les poeles, trouve des herbes, de la volaille et quelques petites bricoles qui feront bien l'affaire.


Baba est un fin gou'met,
il va les épater.
Toutes elles vont tomber,
dans les b'as d'Babatunde.

Fai'e rissoler la volaille
couper finement l'ail.
N'pas a''oser le vit'ail,
comme ça qu'Baba t'availle.

'ajouter doucement le bouquet
des he'bes et des baisers
l'a'ôme est aiguisé
Baba s'fait cuisinier...

Le temps passe et Baba continue en chantant son repas, qui l'espere ravira les papilles des dames...
---fromFRmarie-jeanne
La métisse arriva un verre dans la main, son sourire chaleureux lui fit du bien.
Merci murmura t’elle en portant le breuvage à ses lèvres.
Elle renifla le contenu, sourit, l’odeur était agréable, marie but un peu trop vite, et faillit s’étrangler.

Wouah !! Des rougeurs aussitôt sur ses traits apparurent.
Hé !! Bien voila un breuvage qui réveillerait un mort, je crois que je vais survivre,
Pour la première fois depuis des lustres marie se mit à rire, un rire clair et gai.
Puis la patronne se présenta, et présenta toutes les femmes présentes.
Dans sa tête marie se remémorait les noms
La patronne : la Succube, marie se souvenait avoir déjà entendu parler d’elle dans le passé.
La tatouée superbe : annabella,
Savahnna, pour la métisse si belle,
Chloé au regard si doux pour l’intendance, elle sourit à ce nom si l’ancienne intendante de son père était là quelle tête elle ferait.
Rexanne, la belle brune, aux dagues il ne fallait pas s‘y frotter et enfin, le sourire délicieux de Marianne, la jeune rousse.
Marie nota l’efficacité de la Succube à donner des ordres sans élever la voix, et de remercier aussi le personnel simplement, attirant le sourire chez toutes les filles.

Marie eut le sentiment de se trouver au coeur d’une famille soudée et franche, ou chacun pouvait s’épanouir à sa guise dans une bonne ambiance. , et ou surtout elles pouvaient avoir confiances les uns aux autres.
Alors que Marie reprenait des couleurs et qu’elle retirait les couvertures de son corps,
Madame lui demande de se raconter. Elle leur devait bien ça, et puis toute la maisonnée était présente elle n’aurait pas à répéter.
Mais marie aurait elle le courage de tout avouer. La jeunette se cala dans le fauteuil, faisant tourner le verre dans ses mains fines.
Bella avait fini de soigner ses pieds, Marianne était un peu en retrait vers la cheminée.Marie se décida à parler a raconter sa vie, sa courte vie si pleine déjà.

J’ai connu jean sabot à 14ans, il m’a enlevé à mes parents, m’a séduite à tel point que j’étais folle de lui, folle à en crever à lui obéir au doigt et à l’œil. Il m’a fait connaître l amour, mes parents voulaient me marier à un vieux grigou fortuné.
Mais jean était plus âgé que moi, il m ‘aimait à sa manière, dominateur, et quelques mois après alors que nous vivions de larcins, il a connu une bande de trois types basile et ses acolytes. Et tous les quatre faisaient les quatre cents coups.
Puis jean a eu une idée, je devenais gironde , suffisamment belle pour intéresser des gens fortunés de tous poils, hommes et femmes confondus ,alors il m’amena chez ces bourgeois, dans des soirées privées ou il me vendait ;
Par amour de lui j’ai tout accepté le meilleur et le pire, me soumettant à tous les vices et toutes les orgies possibles, y prenant plaisir même parce que chaque fois que je revenais entre ses bras il disait m’aimer me disait que ce que je faisais était la plus belle preuve d’amour. Avec lui je me sentais fondre, je n’avais plus aucune fierté, aucune résistance.


Marie a cette minute devant ces femmes habituées à en voir beaucoup et peu farouches ,eut honte de parler ainsi de cet homme qui la vendait.
Elle qui avait enfouie sa honte depuis belle lurette.
Mais elle reprit le souffle court., but une gorgée de breuvage fort ,elle irait jusqu’au bout de son histoire.

Jean me dominait, il avait le pouvoir sur moi et le temps a passé 5 ans presque ,j’étais heureuse ,je l’aimais , et puis il y a quelques mois les trois pourritures ont voulu se servir de moi .
Jean a eu le malheur de m’offrir à Basil pour une nuit, Pour la première fois je n’étais pas d’accord et jean l’a regretté aussitôt il était devenu jaloux de Basil qui lorgnait toujours sur moi et voulait récidiver. Alors ils se sont battus à mort.
Et jean a été tué, défenestré par Basil.

Marie a mal encore si mal d’en parler , son cœur bat vite ,de manière saccadé,
J’ai cru mourir, j’avais le sentiment que l’on m’avait amputée des bras et des jambes, que je ne pouvais plus respirer non plus, jean était le centre de ma vie,
Je suis devenue leur esclave ,leur chienne,
marie crache ses mots,
sonvisage devient livide, les mots ont du mal à sortir de sa bouche, elle se tord les mains,

ils m’ont enchaînée et me sont passés dessus à tour de bras, nuit et jour et ‘m’ont rasé quasiment le crâne.
Elle passe ses mains dans ses cheveux, là ils ont repoussé un peu,les crapules se disaient que ça me ferait peur de fuir ainsi coiffé.
Mais hier dans la nuit j’ai eu l’opportunité , ils ont oublié de m’attacher, ils avaient bu comme des trous et sont partis sur un coup, alors je n’ai pas réfléchi.
J’ai pu récupérer une bourse que jean avait planquée il y a longtemps, et je me suis enfuie mais manque de chance ils revenaient de leur escapade qui avait foirée et ils m’ont poursuivi et j’ai couru tout le jour pour leur échapper couvrant plusieurs lieux, perdant mes chausses à moment donné.
Durant des heures je me suis cachée aussi et quand j’ai cru être sortie d’affaire je les ai retrouvé derrière moi jusqu’a la cour.
Je n’avais qu’une idée venir ici, jean connaissait la cour, il me vantait sans cesse le bordel licorée.
Et me voilà ici devant vous dans ce triste état.

Marie se tue, n’osant pas lever sa tête pour regarder les autres femmes, le verre tremblait dans sa main la jeune femme but une longue gorgée en regardant le feu dans l’âtre.

Puis d’une voix qu’elle voulut ferme et déterminée.


Si vous avez encore besoin d’une fille, et si je ne vous semble pas trop amochée Madame, je suis prête à travailler ici, je peux faire n’importe quoi, si vous ne voulez pas de moi en tant que catin.J’ai juste besoin d’un peu de temps pour me requinquer voilà tout. et reprendre du poids. Mais je peux servir ou faire le ménage tout plutôt que la rue.
au loin dans une autre pièce une douce chanson s'égréne lentement.
{chloe_la_douce}
Présentations faites.
Réconfort et asile offert.
Les choses semblent prendre leur place finalement.
Une chanson curieuse sort de la cuisine, ainsi que des odeurs alléchantes.
Chloé s'interroge sur les paroles de sa patronne.
Rapporter quelque chose pour elle ? Pourquoi ?

Mais il y a plus urgent.
Marie-Jeanne raconte.
Histoire triste et somme toute assez commune.
Jeune fille abusée par des sentiments trompeurs.
Ce genre de choses arrivent souvent hélas.

Chloé écoute.
Les rouages de la maison se mettent en place.
Chacune trouve sa place, chacune épaule les autres.
Elle est étonnée de voir la solidarité et l'efficacité de ses femmes.
Soudées... voilà ce qu'elles vont être.
Ensemble, envers et contre tous pour affronter la vie et montrer qu'on peut être fille de peu et donner beaucoup.
Un peu en retrait, elle observe.
Elle n'est pas l'une d'entre elles. Pas encore en tous cas.
Son rôle est autre. Elle devra être le ciment quand la Succube sera l'armature.
Les odeurs sortant de la cuisine font gargouiller son estomac.
Sourire sur ses lèvres. Voilà une idée amusante, mais pourquoi pas après tout.
Marie-Jeanne a fini son récit.
Elle laisse à la Succube le soin de juger de la suite, mais il faut détendre l'atmosphère.


- Te remplumer oui.
Voilà une idée que je partage.
Les émotions, ça creuse.


Petit clin d'oeil d'encouragement.
Après tout, le danger est loin et elles seront plusieurs pour lui faire face.
Elle se tourne vers la Succube.


- Dites voir... Si le goût vaut l'odeur, je pense qu'on a trouvé notre cuisinier non ? On pourrait...

Elle se mord les lèvres. Combien vaut un homme ?
Curieuse question pour quelqu'un dans sa position.
C'est sans doute hors de ses moyens. Mais peut être pas hors de ceux de la Succube.

- Enfin, on pourrait gouter déjà. J'ai faim aussi.
Je vais voir s'il a fini.


Elle se relève et se dirige vers la cuisine.

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Lyhra
Et voilà où vous conduisent ces fadaises qu’on appelle l’amour !

S’écrie la Succube d’un ton où se dispute humour et compassion. D’autres choses aussi mais de cela elle ne laisse rien paraître. Il y a belle lurette qu’un homme ne lui a pas tourné la tête en tous sens et elle s’est bien juré de ne donner à nouveau cette occasion à personne ! Fut il le mieux attentionné des amants ou le plus fortuné.

Les hommes il faut les mener par là où ça les démange et rien de plus.
Un soupçon de ruse, une louche de chatteries, un tombereau de flatteries et vous les tenez au creux de votre paume, tout chauds et prêts à tout pour avoir l’heur de vous plaire… mais si tant est que vous leur laissiez un peu de pouvoir sur vous et c’en est fini !
Usez en des hommes pour votre plaisir et pour assurer votre fortune, pour le reste, fuyez les comme la peste !

Bien sur elle savait parler dans le vent. Quelle femme ne désire pas un jour laisser parler son cœur ? Etre aimée en retour et couler des jours bénis comme dans ces contes de petites filles ? Mais ici, aux Miracles, embrassez toutes les grenouilles que vous trouvez mais aucune ne deviendra jamais un fier chevalier caracolant sur un blanc destrier pour vous emmener conter fleurette ailleurs, les Princes Charmants avaient des allures d’aigrefin et sentait l’oignon frit.

Mangeons d’abord Marie-Jeanne, nous reparlerons de tout cela une fois l’estomac contenté. Pour le moment ne vous souciez de rien, vous êtes au chaud et à l’abri, soignée et en bonne compagnie, l’on ne vous jettera pas à la rue après le diner.

Pendant que Chloé était partie du coté des cuisines, elle rapprocha quelques petites tables pour que toutes puissent dîner là et s’éloigna vers le bar pour y prélever quelques flacons de vin léger, il ne s’agissait pas de finir le souper en braillant comme des poissonnières et puis il y avait à penser et à dire, à décider de la suite.
Pour le cuisinier, l’idée était pour le moins insolite mais pourquoi pas ? Maintenant qu’elle avait récupéré ses bijoux, rien ne semblait interdit. Si comme l’avait dit Chloé, le goût était à la hauteur du fumet, l’homme serait plus que le bienvenu aux fourneaux ! D’autant qu’il n’aurait plus à vivre sous le joug d’un fouet et s’en trouverait bien mieux. Dès que ce fou de Daimones réapparaitrait et SI le diner était fameux, elle négocierait son achat. Pour lui, un esclave de plus ou de moins ne devait pas changer grand-chose…

Puis elle choisi un profond fauteuil et s’y installa confortablement, les regardant une à une sans dire mot.
Toutes elles avaient quelque chose de bien particulier, une histoire, un vécu, des talents et un sourire attachant. Toutes se rejoignaient ici, dans ce bordel en construction, poussées par l’urgence, la curiosité, l’appât du gain ou le simple hasard… si différentes et pourtant tant en commun. La solidarité n’était pas si fréquente dans cette vie rude.
Et puis elle, la maquerelle, valait elle mieux au final que ce Basil dont Marie Jeanne avait parlé ? Bien sur que ces filles allaient lui faire gagner de l’or, mais sa fierté était la liberté qu’elle offrait, de bonnes conditions de travail et la sécurité. Oui, elle était fière.

Quant à Marie-Jeanne, elle se demandait si ce n’était pas un peu tôt… Meurtrie et humiliée, elle avait besoin de temps loin des hommes… aurait elle le courage de se jouer d’eux en relevant ses jupons si vite après toutes ces épreuves ? Elle en doutait. Il fallait trouver autre chose …
Une idée germait lentement … mais il était temps de manger !

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---fromFRRexanne
Rexanne observa Marie-Jeanne gouter le contenu de son verre, le feu montant peu à peu sur ses joues pâles à l'origine, et sourit gentiment en la voyant rire, des petites fossettes se creusant dans ses joues.
Puis la jeune femme se mit à raconter son histoire tandis qu'à la demande de La Succube un homme Noir c'était dirigé en cuisine.

Rexanne fut consternée en entendant l'histoire de la fuyarde installée dans le fauteuil. La méchanceté et l'esprit retors de l'Homme ne l'étonnait plus, depuis toute petite qu'elle vivait sur les chemins de l'errance elle avait rencontré toutes sortes de personnages hauts en couleurs. Par contre la naiveté et la soumission l'étonnait toujours autant, comment pouvait on avoir la faiblesse de se laisser diriger par quelqu'un d'autre? Surtout quand il demandait des choses aberrantes au nom de son soi disant "amour"...

Elle ressentait de la peine pour Marie-Jeanne, de la peine et de la pitié... De l'indignation aussi. Elle lui sourit, les mains tapotant doucement ses dagues et plongeant son regard droit dans les yeux de la jeune égarée, un instinct protecteur refesant surface:


- Ne te fais plus de soucis pour ce qui est de Basil et sa clique, si tant est qu'il te retrouve je ferais partie du comité d'acceuil. Un comité d'acceuil dont ils devraient se souvenir...

Ses yeux se firent durs en achevant ses paroles puis elle s'aperçut enfin du délicieux fumet qui s'échapait de la cuisine, venant emplir la pièce et lui chatouiller les narines. Son regard redevint rieur et l'eau lui vint a la bouche. Elle sourit aux paroles de La Succube a propos des hommes, les approuvant à moitié. Rester maitre du couple ou tout du moins de soi, oui bien sur ça allait de soi, ne pas avoir du tout de sentiments et les considérer comme des objets elle en était moins capable.
Elle respectait les personnes qui la respectait également, et ce que ce soit des hommes ou des femmes. D'ailleurs son couple fonctionnait tres bien ainsi, en tout cas pour le moment.

Chassant ses pensées en voyant la Succube approcher des tables elle proposa son aide, le sourire aux levres et les papilles frétillantes:


- Je peux peut etre me rendre utile en mettant la table? Si quelqu'un veut bien m'indiquer où je peux trouver de la vaisselle...
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L'alcool est mon ennemi, fuir son ennemi est lâche! Alors chopine suivante!
Malicieuse vagabonde célibataire...
pnj
Et ça chauffe, et ça do't
p'enant la belle couleu' de l'o'.
Pou' elle, j'en fe'ai enco'e
Si, ce soi' dans un bon lit, je do's.

Le rythme s'est fait plus vivace. Baba a pris son élan. Les vapeurs s'élèvent toujours autant. Et ça chante.

Mett'e un peu d'oignons
pou' pa'fumer l'champignon
Epice fo'ce de pe'suasion,
quand vient l'ébulition.

Et ça chauffe, et ça do't
p'enant la belle couleu' de l'o'
elles aime'ont comme un t'éso'
ce que Baba élabo'e...

Quelques minutes plus tard, Baba enlevait le couvercle de ce qu'il avait préparé. Il huma le tout et referma. C'était prêt.

En se retournant avec sa marmite dans les bras, il sursauta. Une demoiselle était là en train de le regarder...


Maît'esse, si je peux me pe'mett'e, vous dev'iez 'etou'ner avec les aut'es. J'appo'te le 'epas.

Et là, il se demanda pour combien de personnes était ce fameux repas. Lui, il avait prévu pour une bonne douzaine avec ses deux poulardes...

Excusez moi, si vous plaît, excusez moi. Baba il ne voud'ait pas vous b'ûler. Je le pose là ?

Mais la marmite était déjà au milieu de la tablée. Il souleva le couvercle et annonça

Emincé de volailles et sa ga'niture fo'estière. A'ômatisé pa' mes soins.

Et rejoignant la cuisine, il laissa quelques mots à la Succube, tout bas.

il n'y a plus de thym, ni de pap'ika dans vot'e cuisine. De même, faud'a penser à 'écupé'er des épices. Il y en a plus beaucoup...
{chloe_la_douce}
Appuyée sur l'encadrement de la porte, elle l'observait en silence.
Ses gestes étaient précis et sûrs.
Sa chanson suivait un rythme étrange et apaisant.
Les odeurs qui s'élevaient des casseroles étaient alléchantes.
Aucun doute dans l'esprit de Chloé, cet homme était cuisinier, et un bon probablement.
Comment s'était il retrouvé à la cour depuis son Afrique natale.
Mystère.
Mais il était là, à portée de main et serait un compagnon idéal pour compléter leur petite équipe.
Il était la dernière pièce du puzzle, à n'est pas douter.
Avec un sourire, elle s'écarta pour le laisser passer et rejoignit les autres dans la grande salle.
Table improvisée dressée.
Rires et discussions entre les filles.
Une nouvelle communauté se construit, elle sera forte et douce à la fois.

Bella et Sana. Les amies de toujours, compétentes et dévouées.
Mariane, la boulangère fraiche et faussement innocente.
Rexanne, l'amazone guerrière reine des cocktails.
Marie-Jeanne, encore fragile mais sans doute promise à autre chose que son destin tragique.
BabaTundé, improbable cuisinier , peut être..
La Succube, exerçant son office avec justice et respect.
Et enfin elle... Il faudrait qu'elle trouve sa place parmi toutes ses femmes si expérimentées et compétentes.

Elle note de voir avec Baba de quoi il aura besoin dans sa cuisine, s'il est engagé bien sûr.
Elle prend place sur un fauteuil, au milieu des autres.
Ca sent bon, et elle a faim.
Soulever le couvercle pour laisser filtrer l'odeur appétissante.
Se lécher les lèvres, gourmande et affamée.
Il est loin son dernier repas au Palazzo.


- Aller !
On fait honneur au repas de Baba et on fait passer les assiettes !


Son regard passe du cuistot improvisé à la Succube.
Que va-t-il se passer entre eux ?
Et l'homme bleu, va-t-il le laisser partir ?
[/i]
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---fromFRMariane
Sous les soins des ma'm'zelles, le nouvelle venue semblait se sentir mieux. Elle avait été accueillie, bienvenue, soignée, appréciée. Marianne souriait tandis qu'elle se relevait et s'approchait du feu, le fixant, le voyant jouer. Paysanne qu'elle était, elle était venue à Paris et avait découvert que la capitale était loin d'avoir la chaleur du pays, pourtant, le Quartier Pourpre semblait n'accueillir que des jeunes femmes toutes plus aimables et gentilles que les autres. Elle ne doutait plus de trouver sa place dans la maisonnée, entre des compagnes de jeu, de travail, aussi amicales, elles allaient être soudées. Et c'était tant mieux.
Sous les ordres d'une maquerelle distinguée, et qui savait prendre les choses en main. D'une Succube capable d'enseigner les arts les plus profonds et obscures de la Luxure, et capable, de la même sorte qu'elle semblait pouvoir diriger un homme au lit, diriger les filles de joie au Bordel.
Sous le regard bienveillant d'une intendante douce, calme, compatissante.
Aux côtés d'une guerrière prête à défendre contre tout celui qui touche à ses partenaires.
De deux amies, une qui soigne, l'autre qui réchauffe.
Et visiblement d'une jeune fille, d'une Marie-Jeanne, déchirée par la vie, et qu'il faudrait aider à relever.
Oui, Mariane ne doutait plus de la possibilité de se plaire à l'endroit.

Surtout si, à chaque repas, une si délicieuse odeur devait s'échapper de la marmite.

Elle n'avait fait aucun commentaire à l'histoire de Marie-Jeanne. Elle avait sourit, tristement, à la dureté de la vie des autres. Elle qui, bien que peut-être n'avait pas vécue à l'eau de rose, avait toujours tout pris avec une légèreté dans la possibilité d'être qualifiée d'excessive.

Mariane aida Rexanne à mettre la table, et en moins de deux, elles étaient assises devant des plats, près d'un homme à la couleur étrangement trop foncée qui leur servait de quoi se nourrir.
La boulangère ne connaissait pas le rang de cet homme, et des quelques bribes de conversation entre la Succube et Chloé, elle n'en avait pas su d'avantage. Ne c'était-t-elle pas non plus intéressé énormément. Un esclave, peut-être futur cuisinier. Elle ne voulait pas s'en mêler, il y avait patronne et intendante pour ça.
Dans tous les cas, elle lui offrit un sourire qui indiquait assez clairement que la volaille sentait excellente.

Une fois assise, et bien calée dans un fauteuil, les mains prêtes à plonger dans le repas chaud, Mariane s'adressa cependant à la Succube. D'après mémoire, celle-ci avait voulut parler avec toutes elles, avant l'arrivée de Marie-Jeanne.


J'supose qu'on est n'équipe d'travail complet C'était, au même temps qu'une supposition, une double question : Marie-Jeanne, elle faisait désormais partie du groupe? La Succube avait dit qu'elles verraient après le repas. Elles verraient le post, pas l'appartenance? Mariane l'espérait.
L'autre question était de savoir s'il y avait d'autres 'employés', hommes ou femmes, avec qui elle n'avait eu l'occasion d'une rencontre pour le moment.
'Lors j'voulais d'mander à quand l'ouverture. S'besoin d'encore plus d'filles. D'garçons t'être? -pour tous l'gouts?-. Et quel'sont l'choses à faire 'tre-temps -o va pas f'l'marder d'ici l'verture, j'pose!-

Et de plonger délicatement quatre doigts dans le plat pour en sortir un bout de viande à couper Bon'p'tit. et à mettre à la bouche avec une moue de délice.
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