---fromFRmarie-jeanne
Marie se sentait de mieux en mieux, Rexanne voulait la défendre, sana, regardait si elle appréciait bien son breuvage.
La Succube avait éludé la dernière question,
Madame avait raison en tout point, ce nétait pas de demain quelle laisserait son coeur mener sa vie, elle avait donné pour un temps mais elle savait aussi que lamour parfois ne choisit pas son heure.
Iil était trop tôt pour prendre des décisions, mais marie se sentit admise, en observant la Succube qui réfléchissait assise dans son fauteuil observant les filles une à une .
Puis avec rapidité une table fut dressée, Marie navait pas bougé, à vrai dire sa tête dodelinait un peu, mais elle était si bien elle naurait pas voulu sendormir pour tout lor du monde alors elle posa son pied par terre, la douleur , la fit se redresser , elle sourit, voila qui était mieux, et les odeurs savoureuses qui lui parvenaient de la cuisine réveillèrent son ventre en disette.
Marie savait quelle naurait pu reprendre le métier si vite, les derniers mois avaient été si durs, ce nétait pas tant laspect physique, les sévices du corps qui lavait abattu mais plutôt cette douleur morale, lidée que sa vie était foutue quil ny avait plus despoir et là maintenant à nouveau lespoir était dans son coeur, Marie souriait béatement heureuse et soulagée. Elle comprenait que Madame lui laissait un temps de répit.
Marie avait bien entendu la question de Chloé à propos du noir en cuisine, et sa muette question à la Succube pour ce qui était de le garder. Elle attendait soupesant la bourse pleine qui flottait toujours pendue à son poignet.
Voila un argent qui serait bien employé, dorénavant son argent ce serait elle qui le gagnerait librement.
Le bel esclave noir arriva avec le plat. Marie poussa un cri de joie et tapa dans ses mains.
Quest ce que jai faim !!
Baba souriait, visiblement heureux, et servait, ces affamées les unes après les autres. Marie écouta la conversation en se pourléchant les doigts, elle ne faisait guère de manière, elle navait rien mangé de meilleur depuis une éternité.
Puis elle vit à nouveau lil de Chloé aller du cuisinier à la Succube, alors Marie prit un couteau coupa le lien qui tenait la bourse, et sans rien dire, la posa à coté de la main de Chloé,
si cela peut aider murmura telle à Chloé. Marie souriait, elle regarda le noir, ses dents blanches limpressionnaient, elle navait jamais vu dhomme avec une aussi belle bouche.
Puis comme si de rien nétait, se joignit aux questions de marianne.
Oui cest vrai il va bien falloir gagner notre pain, ausitôt elle rougit, elle venait de faire comme si elle était de la maison définitivement.
La Succube avait éludé la dernière question,
Madame avait raison en tout point, ce nétait pas de demain quelle laisserait son coeur mener sa vie, elle avait donné pour un temps mais elle savait aussi que lamour parfois ne choisit pas son heure.
Iil était trop tôt pour prendre des décisions, mais marie se sentit admise, en observant la Succube qui réfléchissait assise dans son fauteuil observant les filles une à une .
Puis avec rapidité une table fut dressée, Marie navait pas bougé, à vrai dire sa tête dodelinait un peu, mais elle était si bien elle naurait pas voulu sendormir pour tout lor du monde alors elle posa son pied par terre, la douleur , la fit se redresser , elle sourit, voila qui était mieux, et les odeurs savoureuses qui lui parvenaient de la cuisine réveillèrent son ventre en disette.
Marie savait quelle naurait pu reprendre le métier si vite, les derniers mois avaient été si durs, ce nétait pas tant laspect physique, les sévices du corps qui lavait abattu mais plutôt cette douleur morale, lidée que sa vie était foutue quil ny avait plus despoir et là maintenant à nouveau lespoir était dans son coeur, Marie souriait béatement heureuse et soulagée. Elle comprenait que Madame lui laissait un temps de répit.
Marie avait bien entendu la question de Chloé à propos du noir en cuisine, et sa muette question à la Succube pour ce qui était de le garder. Elle attendait soupesant la bourse pleine qui flottait toujours pendue à son poignet.
Voila un argent qui serait bien employé, dorénavant son argent ce serait elle qui le gagnerait librement.
Le bel esclave noir arriva avec le plat. Marie poussa un cri de joie et tapa dans ses mains.
Quest ce que jai faim !!
Baba souriait, visiblement heureux, et servait, ces affamées les unes après les autres. Marie écouta la conversation en se pourléchant les doigts, elle ne faisait guère de manière, elle navait rien mangé de meilleur depuis une éternité.
Puis elle vit à nouveau lil de Chloé aller du cuisinier à la Succube, alors Marie prit un couteau coupa le lien qui tenait la bourse, et sans rien dire, la posa à coté de la main de Chloé,
si cela peut aider murmura telle à Chloé. Marie souriait, elle regarda le noir, ses dents blanches limpressionnaient, elle navait jamais vu dhomme avec une aussi belle bouche.
Puis comme si de rien nétait, se joignit aux questions de marianne.
Oui cest vrai il va bien falloir gagner notre pain, ausitôt elle rougit, elle venait de faire comme si elle était de la maison définitivement.