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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

---fromFRmarie-jeanne
Marie n' avait pas pris la peine de reprendre la bourse sur la table, Madame ayant refusé , elle comprenait parfaitement, mais marie trouverait un autre usage pour cet argent.
la Succube souriait grandement satisfaite de l'enthousiame de ses filles,puis elle expliqua à marie l'endroit ou se passerait les bains.

marie n'eut que le temps de s'asseoir, et de jeter un oeil dans la direction adéquate que l'on frappait à la porte .
Aussitôt ,elle se figea, pétrifiée, les anciennes peurs refaisaient surfaces, mais la Succube connaissait l'individu et ouvrit la porte.
les deux personnes qui pénétrèrent dans le bordel pourpre, ne pouvaient guère passer inaperçus ,ni l'une ni l'autre.
Une sorte de bouffon, bossu moitié nain, mais au regard acerbe et à la langue bien pendue. Il fit sourire Marie , mais elle eut un geste vers la bourse que 'l 'homme était prêt à saisir.
Mais la Succube s'interposa, elle se décontracta.
la personne que Welf amenait créa la surprise dans le groupe, un belle femme blonde, mais avec autour du cou un long serpent qui lui servait de cache col. Madame semblait ravie de sa présence .
A nouveau un coup martelé à la porte la fit sursauter ,mais cette fois la Succube , n'ouvrit pas méfiante, elle voulait savoir qui se présentait cette fois.
Marie avait envie de dormir et de se laver, mais la vie semblait prendre le pas sur l'inaction dans cet endroit spécial, alors elle se contenta de regarder la porte , , se disant que Madame n'ouvrirait que si tout allait bien.
demain quand elle se sentirait un peu ragaillardie , elle descendrait voir ou en était les travaux dans le sous sol, il ne fallait pas décevoir Madame,ça non!!
{chloe_la_douce}
Elizabeth semblait dormir comme une bienheureuse, innocente du haut de ses 12 printemps.
Chloé posa donc le plateau à portée de main, la volaille c'est aussi bon froid que chaud.
Elle tira une couverture sur la gamine pour la protéger du froid et descendit sans bruit rejoindre les autres en bas.
Deux nouvelles têtes avaient fait leur apparition, un fol en greloté et une curieuse femme avec une écharpe vivante.
Chloé ne se souvenait pas d'avoir jamais vu un serpent aussi énorme, aussi resta-t-elle à distance.
Marie-Jeanne semblait fatiguée.
Elle se pencha vers elle et lui murmura discrètement.


- Il y a des chambres là haut, et de quoi prendre un bain.
Si tu veux aller te détendre un peu....

A cet instant de nouveaux coups furent frappés.
Elle eut l'impression de sentir la Succube se raidir.
Après tout, cacher Marie à l'étage était peut être une bonne idée.


- Et puis, si quelqu'un vient pour toi, on aura le temps de l'écarter comme ça ?

Main douce qui presse une épaule tremblante.

- Ne t'inquiète pas, tout ira bien.


Chloé se redresse et s'approche de la porte, faisant un large détour pour éviter le serpent.
Il faudrait vraiment embaucher un portier.
Du style costaud et imposant également...

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---fromFRAnonymous
Nérée entendit des pas derrière la porte puis soudain une voix, la propriétaire des lieux sans doute ou une quelconque servante, apparemment, il fallait montrer patte blanche pour pouvoir accéder a la demeure. Le froid s'installait progressivement et Nérée dut à plusieurs reprises remettre ce semblant de chale sur ses épaules..elle respirait puis toussa bruyamment, il fallait se montrer brève, les gens n'aiment pas etre dérangés à cette heure tardive de la nuit.

" J'ai fait longue route pour venir jusqu'ici Dame, votre réputation est semblable à un nuage d'étoile jusqu'au tréfond des Terres, on ne parle que de vos service et ce serait à Honneur pour moi que d'etre à votre service. Je vous le demande à genoux, Dame, pouvez vous m'engagez, je serais à votre entière disposition...Les temps sont si durs ....et j'ai tellement besoin d'etre, comment dire ...utile à quelqu'un..."

Nérée arréta ce flots de paroles, espérant que la personne derrière la porte ne soit pas insensible à sa demande. Elle ne voulait point demander Aumone, juste un travail ..L'avenir lui sera t'il enfin favorable??
Lyhra
Décidant arbitrairement que ce n’était pas une ruse, elle décida d’ouvrir la porte, la voix avait quelques accents de sincérité … bien que le coup du nuage d’étoiles … elle sourit en direction du Fol,

Tu as entendu Welf ? Un nuage d’étoiles, tu n’aurais pas osé celle là ! Si ?

La barre fut soulevée à nouveau et la porte ouverte à demi, le temps de jeter un œil inquisiteur au-delà du seuil et de vérifier que tout était calme aux alentours.

Quel froid ! Il gèle à pierre fendre ma parole, entrez vite avant que nous ne soyons toutes rendues en statues de glace.

Chloé, reste t’il du ragout ?

Porte repoussée doucement et barre remise en place. Elle se tourna vers la visiteuse, frissonnant et se frottant les bras.

Du travail … du travail … Savez vous bien où vous êtes ?
Et que savez vous faire qui pourrait nous être utile ?

Elle la poussa vers le cercle de lumière, lui désignant un siège.

Parlez devant toutes sans crainte. Vous avez ici les membres de la Rose Pourpre.
Je suis la tenancière.

Ce faisant elle lançait de fréquents coups d'oeil vers Basilic à qui elle n'avait pas encore eu l'occasion de parler.
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---fromFRmarie-jeanne
Chloé redescendit et proposa à marie épuisée de monter se laver et dormir un peu,.
Marie s'apprêtait à acquiescer , les coups frappés à la porte réveillaient les démons à nouveau,
mais la personne répondit aux injonctions de la Succube, il s'agissait d'une femme , et Madame ouvrit.
Une belle brune transie fit son entrée dans la pièce, marie se leva et lui fit place,
elle ne resterait pas mais elle voulait savoir ce qu'il en était de cette femme avant de monter,
merci Chloé, je vais y aller , Bella va m'accompagner , elle me fera la visite.

Marie regardait tour à tour la nouvelle venue , le bossu et la femme au serpent.
Marie était remplié de curiosité sur la nature de la présence requise de cette femme à la Rose Pourpre.
---fromFRMariane
La table fut levée, les plats emmenés aux cuisines, et même lavés. Pour l'instant la Rose Pourpre ne semblait pas avoir de femmes de services. L'établissement n'en finissait même pas avec les travaux, et Mariane était habituée à la propreté : elle lava sans soucis, et en quelques minutes, ressortit des cuisines, jetant des regards sympathisants au futur cuisinier.
En revenant dans la salle où elles avaient mangé, elle aperçut trois nouveaux arrivants parler avec la Succube.
Dont l'un la fit bien rire, d'un rire cristallin et plutôt fort, mais non pour autant grossier, et même plutôt gracieux. Tant par sa posture, son déguisement et ses paroles. C'était un bouffon grotesque, et quelle jeune fille du peuple n'aime pas les farces?
Avec ce tenait une femme, à la peau ocrée, dont la contemplation ne manqua pas de plaire à Mariane.
Elle était plus que charmante, elle produisait le même effet que la Succube, peut-être un peu moins fort car elle manquait de cette position où vous met le rang de patronne, mais tout aussi délicieux, voluptueux.
Sa peau semblait douce au toucher, et était capable de donner à n'importe qui l'envie de la toucher.
Cette femme ne semblait pas méchante, mais en elle ne se lisait pas la même gentillesse presque naïve qu'en Mariane, Bella, Sana, Chloé et Marie. Ni la presque brutalité de Rexanne.
Elle semblait tout autant la passion, le mystère et la luxure que la Succube. Et c'était bien entourée de ce genre de personnes que Mariane avait imaginé sa patronne, au premier regard qui lui fut lancé.
Puis, une troisième femme. A l'aspect plus rude, et la peau foncée, les épaules bien carrées. Comme dans les contes de... euh... "amazones" qu'on venait parfois à raconter. Mais un joli minois et des belles formes, bien qu'absolument pas mises en valeurs par l'habit et l'odeur laissant penser a une trop grande dose d'alcool... bien que vu les paroles, elle savait supporter.

Mariane fit sourires et signes de têtes, et remarqua qu'elle était elle aussi habillée de sorte à ne pas mettre en valeur le Bordel.
Voyant du coin de l'oeil Marie prête a monter avec Bella, Mariane passa près de la Succube et osa un murmure.


Je monte m'mettre en'tat, s'vous avez b'soin d'moi, appelez juste.

Sur quoi elle s'en alla rejoindre ses compagnes, et prenant avec toute la familiarité qu'elle n'avait osé montrer envers la Succube, le bras de Marie, elle pris aussi celui de Bella.

Bon, t'nous montres n'chambres ma belle d'pays chauds?
---fromFRAnonymous
La lourde porte s'ouvrit, baignant de lumière la ruelle. L'air y était glacial que Nérée en tremblait de tout son long. Vétue de simple haillons, ne la couvrant qu'à peine, la chair y était rougit. Une femme fit son apparition puis l'invita à entrer. Nérée s'avança, observant à la dérobée les personnes présente. Il y avait cet homme et cette femme qu'elle avait suivi jusqu'ici. On pouvait entendre le petit rire de ce dernier...puis stupeur, un serpent accroché au cou de la femme..curieux...mais pas vraiment surprenant. Mais son attention se porta bien vite sur la femme aux cheveux aussi écarlate que les flammes de l'Enfer. Ses yeux n'exprimaient ni compassion ni animosité. Elle l'invita à parler...

"Je ne suis point là pour faire l'Aumone Madame, ma demande est toute autre, je cherche à travailler.."

La femme aux cheveux rouge lui demanda quel genre de travail cette dernière recherchait et si finalement Nérée savait au juste où elle avait atterit.

"Les murs ont des oreilles Madame et vous devez le savoir...Je ne crois pas m'être trompée de lieu. Comme je vous l'ai dit auparavent, j'ai besoin d'argent...et n'est que mon corps à vous vendre...Chose que j'ai fait il y a peu mais dont on ne s'est jamais plaind"

Un peu honteuse d'avouer cela devant une telle assemblée, elle n'en laissa pourtant rien paraitre au contraire, on aurait pensé qu'elle disait cela comme une banalité.

Nérée savait qu'elle devrait un jour ou l'autre dévoiler son histoire mais sa pudeur lui interdisait, est ce trop tot pour avouer toutes les bassesses dont elle avait fait preuve pour se nourrir et se vétir. Mais s'il n'y avait qu'elle, la voie aurait été facile mais le sort en avait décidé autrement...
pnj
Il était retourné dans la cuisine après avoir dit à la succube ce qu'il lui manquait.

Oh la la. La po'te elle est fe'mée, je l'ai vue. Oh la la. Baba y ne va pas pouvoi' so'ti'. Comment il va fai'e ? le pat'on y va pas êt'e content. Il doit le che'cher pa'tout et il va le f'apper comme toujou's. Oh la la. Mauvaise jou'née qui s'annonce pou' Baba. Ca oui.

Tout en pleurnichant à moitié, il s'était appuyé contre un mur, les mains sur la figure.

Bon, allez. Faut s'y mett'e maintenant. Y a du boulot pour tout 'anger et nettoyer. Ca me change'a les idées.

Et pendant qu'il commençait à bosser, on vint l'aider, le dévisager. Il faisait de petits sourires et puis c'est tout.

elle est pa'ti. Baba se 'et'ouve bien seul dans la cuisine avec ses malheu's. Et comment qu'il va fai'e pour ne pas p'end'e une bonne 'aclée pa' le pa'ton... Comment ?

Il faisait les cents pas dans la cuisine alors qu'il entendait un peu plus de bruit dans la grande salle. Des nouvelles venues peut être...
---fromFRBasilic
Elle avait suivi Welf. Malgré sa petite taille et son ventre qui prenait de la place, il avait un bon pas. C'était ni trop fatigant, ni trop enervant de le suivre. Les pas se faisaient sans aucun souci. Les coins dans lesquels il passait lui étaient complètement inconnus. Mais elle avait trop faim pour supposer un piège. Et il semblait que la trouvaille que Welf avait faite allait lui rapporter gros. Sans pour autant se mettre dans les ennuis.

C'est dans le quartier pourpre qu'ils s'arretèrent. Jamais elle n'était venue ici. Elle avait entendu parler du lieu, des « on dit », mais uniquement cela. Elle espérait juste que les drames, si jamais ils avaient eu lieu, ne se reproduirait pas tant qu'elle était là.

Son guide savait où il allait. Il frappa à une porte et attendit. Ca ne semblait pas être terrible. On entendait quelques sons qui sortaient. Des voix de femmes. Pas la peine de s'inquiéter. Mais qui sait. Il valait mieux toujours rester sur ses gardes.

Elle demanda à Welf gentillement.


Quel est donc ce lieu, dans lequel nous venons tous les deux.

Mais il ne repondit pas et la porte s'ouvrit. La Succube était là. Elles s'étaient déjà croisées jadis. Dans un ancien lieu, un ancien temps aurait-on pu dire. Et c'est donc là, qu'elle s'était réinstallée. Les filles avaient changé. Il n'y avait donc eu que peu de survivantes...

La succube était en train de parler avec une demoiselle. Polie comme elle l'était, Basilic attendit sagement que son tour arrive. Ce n'était pas toujours facile de construire un bordel. La patience était le point fondamental à respecter dans un tel lieu. Ou alors on se retrouvait dehors facilement et sans ménagement.

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Serpentant en transversal dans la salle, personne ne saurait esquiver son désir de suivre les principes d'une tenue somptueuse...
Lyhra
Une à une les filles de la Rose Pourpre, ses précieux pétales pourrait on dire si l’on se voulait essayer à un peu de poésie, s’apprêtaient à monter à l’étage, la journée avait été riche en émotion et un peu de repos ne serait pas de refus, d’ailleurs la nuit était avancée depuis de longues heures et chacune avait envie d’un peu de calme. De sécurité pour l’une d’elle, de simple détente pour les autres.

La Succube quant à elle était loin de pouvoir goûter à quelque tranquillité car il lui fallait discuter avec Basilic et Welf sans compter cette nouvelle candidate qui lui tombait dans les bras.
C’était bien joli toutes ces filles... si les clients se pressaient assez nombreux ce serait une aubaine mais pour le moment, restait une quinzaine de jours avant l’ouverture et il allait falloir les occuper en attendant.


Vous avez déjà de l’expérience... bien.
Pour l’heure vous m’avez plus l’air d’un moineau gelé qu’une catin. Nous en reparlerons demain. Vous verrez les détails avec Chloé, c’est notre intendance.
Suivez ces demoiselles à l’étage, elle vous trouveront une chambre libre et vous indiquerons où trouver de quoi vous vêtir. Prenez aussi de quoi vous restaurer, on dort mal le ventre vide. Nous nous verrons demain, ne vous inquiétez de rien pour l’instant. Il est tard ...

Le ton était doux mais ferme. Pour elle aussi la journée avait été longue. Elle se tourna vers Basilic et fit un signe d’apaisement en direction de Welf, qui semblait dire ... prends patience ! tu l’auras ton or ...
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---fromFRFrançois_Villon
François Villon, entré avec un peu d'appréhension dans cette cour des miracles où, jusqu'alors, il n'était venu qu'accompagné, vit cette lumière rougeoyante au fronton de cette maison, moins abimée que les autres.

Il subodora qu'il s'agissait peut être d'un de ces bourdeaux, où se vendent et parfois logent, ribaudes et catins. Mais il n'y avait pas là cette affluence des hommes, entrant, impatientés par leurs sens mais en même temps comme craintifs du pêché et sortant, un sourire aux lèvres, parfois interrompu par quelque grimace exprimant cette tristesse de la chair.

Soudain, la porte s'entrouvrit, et, dans la lumière des torches, il vit une frêle silhouette... une jeune femme, visiblement gracieuse mais vêtue de pauvres hardes était à l'entrée et semblait parlementer avec l'hôte ou l'hotesse...

François Villon attendit, curieux, de voir ce qu'il allait advenir... Il vit finalement la porte s'ouvrir pour laisser entrer la gracieuse jeune femme. Il n'oublierait pas de sitôt, ce joli visage, à peine entrevu.
---fromFRAnabella
Bella regardait les nouvelles venues, elles formaient déjà toute une grande famille, le repas s'était déroulé dans une atmosphère bonne enfant...

la nourriture préparée par Baba avait dépassé les effluves... c'était tout simplement succulent et elle espérait bien comme toutes les autres qu'il serait leur cuisinier...

humm, rien que d'y penser, elle en salivait d'avance pour les prochains repas, vivre dans la luxure, le plaisir et avoir une bonne table pour être nourrie à sa faim, quoi de mieux comme vie !!! Bella sentait qu'elle allait plus qu'apprécier cette vie...

Et puis, d'autres coups à la porte de la taverne retentirent et un bouffon amusant à voir fit son entrée en compagnie d'une femme portant comme foulard un serpent... mystérieuse était la visite tout comme la femme... Bella n'avait pas souvent vu de serpent, et elle semblait fascinée par ce spectacle... et puis une autre venue fit son apparition, apparemment, une fille comme elles toutes.

Bella serait bien restée encore un peu mais la fatigue se faisait sentir et puis Marie réclamait sa présence pour la visite des chambres et puis Mariane aussi... Cette dernière lui prit d'ailleurs le bras, Bella ne put résister et les entraina toutes les 2 à l'étage faisant au passage un bisou sur la joue à Sana pour lui souhaiter une bonne nuit.


Venez...

Elles se connaissaient à peine et pourtant Bella sentait déjà qu'une très grande complicité allaient toutes les liées. Au moins, elles se serraient les coudes...

Elle montèrent toutes les 3 à l'étage.


Faites comme nous, choisissez la chambre qui vous conviendra, dans chaque chambre, il y a un bac pour se baigner et un coffre aussi, où il y a des robes toutes plus affriolantes les unes que les autres. Pour le mobilier, il y a pour l'instant juste un lit. Chloé nous a dit, à sana et moi que nous pourrions choisir la décoration que nous voulions.

Bella regarda avec Marie et Marianne les autres chambres, puis elle bailla et prit congé d'elle...

Ne m'en veuillez pas les filles, je crois que je vais aller dormir. Marie, prends un bain, tiens, lorsque tu auras fini, rappliques cette crème sur tes pieds.

Elle lui tendit un pot d'onguent.

Bonne nuit, Marie, Bonne nuit Mariane.

Après un dernier sourire à ses 2 compagnes, elle prit congé, pénétra dans sa chambre, se déshabilla et se coucha nue dans les draps... Ceux-ci étaient doux et soyeux sur sa peau... humm, le luxe suprême... elle regarda la chambre et l'imagina décorée de tentures, des chandeliers pour l'éclairer, un paravent dans un coin, des fauteuils en velours dans un autre. Elle s'étira, ferma les yeux et s'endormit peu à peu le sourire aux lèvres, avec des images de luxe et de plaisir en tête, s'imaginant dans ce lit avec une présence masculine.
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Entre mes bras, un baiser est une gourmandise sucrée qui ne fait pas grossir...
---fromFRla_fouine
Sous le porche et la lumière rouge, La Fouine tenta d’ouvrir la porte :
Et M@¤ fermée de l’intérieur.

Il éructa et secoua la porte qui ne bougea pas.

Tout à coup il entendit des pas venant de la ruelle dont il venait.

Les pas se rapprochaient.
Il se tapit dans l’ombre du Porche, n’osant jeter un coup d’oeil...

Si c’était son poursuivrant il faudrait en finir, il n’en pouvait plus, la course depuis les halles, en passant par les toits pour atterrir ici…

Il attendit en restant vigilent, Il ferma son poing prêt à bondir si c’était cet opiniâtre jeune homme.

Il haletait espérant que ce ne fut point lui.



[Mode joueur on ] espère que les Modos seront satisfait de ma mise à jour. Pour des raisons IRL pas de RP d'ici demain soir... [Mode joueur Off]
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---fromFRAnonymous
Nérée esquissa un sourire puis remerçia son hôte. Elle se dirigea vers la table rempli de victuailles, cela faisait longtemps que Nérée n'avait gouté à un vrai repas. Ainsi, rassassiée, elle observa les jeunes femmes montaient à l'étage. La nuit était avançé et il fallait penser à se reposer. Nérée essaya de deviner qui pourrait bien etre cette Chloé...Les présentations n'avaient pas été faite et il faut dire que sa visite était pour le moins inattendue...Alors, docilement, elle monta à l'étage...
{chloe_la_douce}
En haut des marches Chloé attendait tranquillement que la nouvelle venue ait terminé son repas.
Trop d'arrivées en peu de temps et trop peu de sommeil.
Elles devaient toutes se reposer à présent, prendre des forces et se refaire une beauté avant le grand jour de l'ouverture.

Le diner improvisé terminé, Chloé intercepta la jeune femme en haut des marches.


- Bonsoir. Je suis Chloé, je vous attendais.
Il reste encore 2 chambres libres à cet étage. Je vais vous les montrer.
Je pense qu'on verra le reste demain.
Une bonne nuit de sommeil fera du bien à toutes.


Toujours souriante, elle la conduisit vers les 2 pièces libres.


- Si ça ne vous convient pas, il reste 2 chambres vides en haut.
La grande suite est déjà réservée par contre.

Ouvrant une porte, elle la fit entrer dans une pièce encore peu meublée, mais le lit était prêt et le feu pétillait dans la cheminée.
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