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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

---fromFRAnonymous
Quelques coups frappaient à sa porte lui indiqua que l'heure était venue de se lever. Nérée se leva d'un bond puis s'étira, la nuit avait été de courte durée mais cela lui était égal, les cauchemars , elle en avait soupé pour aujourd'hui. Un peu d'eau fraiche sur le visage puis enlever les marques de la nuit ...brgg, glacée mais vivifiante! Aujourd'hui, c'est un grand jour pour les filles...voir la capitale...se vétir convenablement..Alors Nérée se hate. D'abord la coiffure qu'elle s'apprete à apprivoiser dans une queue de cheval bien lissée puis la voilà qui ote ses vetements et va farfouiller dans son baluchon trouvant des braies beiges puis une chemise échancrée, n'oublions pas les chausses assorties..cela devrait faire l'affaire pour ce jour ci, il sera toujours tant de choisir d'autres choses.

Un dernier coup d'oeil, puis Nérée sort de sa chambre juste derrière Chloé ...
---fromFRSavanahh

Entre donc, ma Bella ! Rexanne et moi nous avons beaucoup discuté hier soir, et finalement il était tellement tard qu’elle m’a tenu compagnie cette nuit.

Sana observe son amie, avec qui elle a vécu tant de coups durs et d’heures difficiles. Bella est resplendissante dans une robe couleur d’émeraude. Cette teinte lui va à merveille.

Tu es magnifique, ma Bella, comme toujours. Assieds toi sur le coin du lit, nous sommes presque prêtes.

Rexanne ayant terminé sa coiffure, Sana accepte volontiers son aide, et la brunette réussit à dompter quelque peu les mèches un peu folles de la métisse.

Les trois belles se regardent, apprécient, enchantées du résultat. Les beaux quartiers vont se souvenir de leur passage.

Savanahh prend le bras de ses amies, et les entraîne dans les escaliers en riant.

Paris, nous voici ! Les belles de la Rose Pourpre débarquent ! Aujourd’hui les cardiaques vont devoir s’accrocher !

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---fromFRRexanne
Un petit "toc" sur la porte elle celle ci s'ouvre immédiatement, livrant passage à Bella, éblouissante dans une robe émeraude.

- Bien dormi? Oui on peut dire ça, mais trop peu de temps j'en ai peur!

Un sourire pour la jolie blonde et elle va chercher quelques épingles a cheveux dans son baluchon dans sa chambre et en revient bien vite.

- Assieds toi Sana que je t'arrange ça avant que l'on soit en retard, j'entends déja des pas dans l'escalier!

Son amie métisse s'exécute et pose son séant sur le bord du lit tandis que Rexanne s'installe derrière elle. En un tour de main elle releve la masse de cheveux de Sana et la fixe meche a meche avec ses épingles, des meches rebelles retonbent ça et là, rendant la coiffure que plus naturelle et charmante.

Apres quelques regards les unes sur les autres, vérifiant qu'il n'y ait pas de défaut et ne trouvant rien à redire, Sana les prit chacune par un bras avant de les entrainer vers les escaliers. En riant elles dévalerent les marches, parées pour une journée à courir le Grand Paris.

Elle rejoignirent Chloé, Marie-jeanne, Nérée et bien sur la Succube dans la salle en bas et Rexy espérait qu'elles avaient encore le temps de grignoter un petit déjeuner sur le pouce.


- Bonjour tout le monde! Vous avez déjà pris votre déjeuner et êtes pretes a partir ou pas encore?
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L'alcool est mon ennemi, fuir son ennemi est lâche! Alors chopine suivante!
Malicieuse vagabonde célibataire...
Lyhra
Venez toutes !

Il y a des choses qui se peuvent trouver aux Miracles et d’autres qu’il faut aller dénicher un peu plus loin, dans les beaux quartiers de l’autre coté de la Seyne et c’est précisément là que nous allons mes toutes belles ! A Paris ! Dépenser de beaux écus et se faire un peu voir !

Une à une, elles descendaient de l’étage, l’on entendait bruissements de tissu et rires de gorge, la Succube trônait au milieu du grand salon que les ouvriers avaient commencés d’investir, tirant et poussant du matériel, installant des casiers derrière le bar et montant les estrades en bois lisse et brillant, noir comme eux.

Baba avait installé de quoi se restaurer. Crêpes au miel et aux pommes, galettes dorées et fruits frais découpés. Un pichet de lait sucré fumait sur une table et un deuxième de vin mêlé de cannelle laissait échapper un ruban de fumée odorante.

Il faisait encore froid malgré la grande cheminée qui ronflait un feu d’enfer.
L’hiver avait installé ses pièges de frissons gelés sur la Cour. Les miséreux allaient encore périr par dizaines sous ses assauts mauvais.

Elle s’assit et croqua dans une galette encore tiède, un vrai régal.


Ne laissez pas les cochers tâter vos rondeurs ! Ni les bourgeois d’ailleurs ! Vous êtes les Princesses des Miracles pas des poissonnières à vendre à la criée, il faudra qu’il paient, et cher encore, ces Messieurs, pour avoir le droit d’y toucher et qu’ils se comportent comme des hommes bien éduqués et non comme des cochons lâchés au pré.

Une fois la galette terminée, elle bu un bol de lait mousseux et se sentit prête à affronter la froidure du dehors. Avant cela elle s’arrangea pour croiser Chloé et lui glissa dans les mains l’aumônière qu’elle avait achetée pour elle chez les Pisse-Vin après avoir prit soin de la bien garnir.

Une avance sur de prochains gains…
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{chloe_la_douce}
Maison joyeuse et pleine de vie qui s'éveille.
Rires, cavalcades, hâte joyeuse et fébrile d'une fête anticipée.
Chloé sourit en faisant honneur aux galettes de Baba.
La Succube semble avoir un don.
Celui de l'oubli.
En une nuit, les filles semblent avoir oublié la misère, le chagrin et les duretés de la vie.
En une nuit, le miracle de la vie a repris le dessus.
La recette, chaleur, confort et surtout, respect.

Respect de leur différence, de leur force et de leur faiblesse... bref, respect de ce qu'elles sont et de ce qu'elles seront.

Les ouvriers arrivent, en s'activant.
Il est temps de leur laisser la place.
Ils feront le principal.
Elles rapporteront le superflu, l'indispensable...

Chloé suit le petit groupe, quand elle sent un poids glissé dans sa main.
Surprise, elle lève les yeux vers la Succube.
Le tissu est lourd et doux sous ses doigts.
Une avance ?
Mais elle a fait si peu pour l'instant !
Peut-elle accepter un cadeau ?
Elle n'en a pas eu beaucoup pour le moment.
Rougissante, elle murmure un "Merci" incrédule, puis d'instinct, se hisse sur la pointe des pieds pour coller une bise maladroite sur la joue de sa bienfaitrice.
Gênée par son propre geste, elle baisse les yeux, décontenancée.
Doigts serrés autour de son "trésor" elle avance comme sur un nuage.


La suite à Paris ...
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Rexanne
En voyant la Succube s'assoire et grignoter une des apétissantes galettes disposées sur la table et dont Baba devait être l'auteur, Rexane afficha à un sourire ravit et s'élança vers une de ces crepes qui suintaient de miel un peu plus loin.

Se délectant de la patisserie sucrée qu'elle tenait et qui lui collait les doigts elle aquiesca aux dires de la jolie Rousse qui les menait. Evidemment qu'aucun homme ne poserait ses pattes sur elle, il risquerait de le regretter amerement sinon! Un sourire pervers rien qu'a cette pensée.

Sa crepe engloutit elle se lechait méticuleusement les doigts que le miel avait collé, il était si délicieux! Une fois les mains propres elle empoigna le pichet de lait fumant et en proposa à la ronde:


- A qui je sers un petit verre de ce lait fumant? Pour vous réchauffer les tripes avant d'affronter la morsure du froid à l'extérieur...

Quelques échos favorables à sa proposition se firent entendre et elle remplit plusieurs verres du blanc liquide crémeux. Tenant son verre a deux mains elle trempa ses levres dans le lait et commença a le boire par petites gorgées. La douceur du sucre était agréable à déguster.

Son regard passait d'une silhoutte a l'autre, contemplant les efforts de toilette qu'avait fourni les différentes filles de la Rose Pourpre. Elles étaient toutes plus jolies les unes que les autres, chacunes dans son style, et Rexane pensa en souriant qu'un groupe de si jolies femmes ne passerait pas inaperçut dans les rues de Paris.

Et puis enfin c'est l'heure du départ, la jeune femme suivit la propriétaire et l'intendante d'une démarche guillerette, un regard complice à Sana, ça y'est elles sont en route! Paris les attends!
---fromFRWelf le Fol
Pelotonné et tordu au pied de sa couche, notre drôle d’ami Welf avait passé la nuit dans la chambre de la Tenancière.

Il grimaça en se frottant les côtes.

Mfrrrr j’aurais bien aimé que la Rouquine me fasse une bonne place au chaud sous ses coussins, au moins elle m’a laissé dormir !
Maudits vieux os !

Ronchonna t’il en s’extirpant de dessous la couverture que la Dame Pourpre avait obligeamment déposé sur son corps cabossé.

Epoussetant son habit multicolore et ajustant la bourse honnêtement gagnée à sa ceinture, il sautilla gaillardement jusqu’à la porte qu’il referma ensuite derrière lui avec des mines de conspirateurs et poursuivant sa cavalcade dans l’escalier il manqua de basculer cul par-dessus tête et échoua lourdement au bas des marches.

la peste soit de mes pieds gourds !

Humant délicieux restes d’odeurs disparates…

Reste il un peu de brouet pour le pauvre Welf ?
pnj
Ah oui, bonjou' ou bonsoi', je sais pas t'op. Ca fait un moment que je t'availle. Avec des 'estes de tout ce que j'ai pu t'ouver. Pa' le bout de Baba, y avait pas g'and chose. J'ai p'is quelques mo'ceaux de pain, de l'oeuf, un peu de beurre et de suc'e. J'ai fait ça. 'ega'dez, ça b'ille comme de l'o'. Pa' le bout de Baba que ça va vous plai'e. Gouttez, pas de timidité ent'e nous. Si Dame Succube vous envoie, ça veut di'e beaucoup. Elle est gentille. C'oyez moi.

Aucune raison pour lui d'avoir peur d'une dame envoyée par la Succube.

Ah. Je c'ois que quelqu'un a faim a côté. On di'ait qu'il crie p'esque. Je vais lui amener un peu de pain, tiens. Je vous en laisse un peu, se'vez vous tant que vous voud'ez et tant qu'il y en a. J'en fe'ai ap'ès s'il faut. Mes avis que les aut'es dames vont mou'i' de faim aussi. Ah ah. Baba est content. Baba se fait plaisi'.

Il ouvre en grand la porte de la cuisine et entre dans la pièce principale.

Ah tiens, un missié. Bonjou', bonsoi', je ne sais pas. A voi' vot'e 'âle, on di'ait que vous avez faim. Je vous appo'te de quoi vous nou''i'. J'espe'e que ça vous fe'a du bien.

Pa' cont'e, vous n'avez pas vu des demoiselles ? Y en avait plein tout a l'heu'e et là, plus pe'sonne sauf vous... Se'ait-il le temps de se coucher ? Oh lala, je ne vois pas le temps passé...

Allez, je vous laisse, j'ai enco'e plein de choses a fai'e.

Direction la cuisine pour le cuisinier joyeux.
---fromFRAnonymous
Il pleuvait des cordes et la nuit commençait à tomber. Loki s'avança comme un ombre bien que sa taille et son physique passe difficilement inaperçu. La pluie avait trempée sa chemise de drap blanche et laissait apparaitre des muscles saillants. On aurait dit un soldat ou un lutteur. Comme personne ne semblai répondre il cria à travers la porte

Ola, je me suis laissé dire que la Succube embaucherait un masseur pour son établissement. Je suis venu de loin pour proposer mes services et j'apprecierai que l'on m'ouvre avant que le froid ne me gèle les doigts. Ce sont mes instruments de travail et j'y tiens.
---fromFRBasilic
Basilic se jeta sur le pain que Baba avait désigné. Le prenant à pleine main, elle enfonça ses incisives à l'intérieur. Le goût était frais, sucré, appréciable. Elle n'avait jamais autant savourer un si petit morceau de pain. Comme si cela faisait une éternité qu'elle n'avait pas mangé. C'était le cas, il lui semblait.

Sfsik gouta le pain également. Il s'était fait quelques repas de rat dans les catacombes. Mais ces derniers n'étaient pas vraiment à son goût. Pas assez gras, et ils puaient. C'était vraiment parce qu'il avait faim. Mais là, les tranches fines de pain avaient une bonne petite odeur. Alors il en croqua quelques morceaux qui laissa glisser directement dans sa gorge.

Baba était parti dans la pièce principale et était revenu assez vite. Déjà, il se remettait à travailler. Un bon cuisinier qui voulait remercier la succube comme il le pouvait. Ca se voyait.

Elle lui jeta un regard souriant pour le remercier de lui avoir donné ce pain et elle retourna dans la pièce. Welf était là, en train de manger quelques morceaux. Elle passa à côté de lui sans rien dire et se posta à côté de la porte. Sa place désormais.

On cria à la porte. Un masseur qui se présentait. La Succube avait donc cherché à rassembler plein de monde pour remplir son nouveau bordel. Elle parla derrière la porte, sans pour autant l'ouvrir


Bonjour Monsieur le masseur, fait-il donc si froid à l'extérieur ?
Désolé mais cela fait peu de temps, que je suis dans l'établissement.
Je ne sais rien des agissements de la gérante, par contre de la porte je suis la garante.
Présentez-vous gentillement, et peut être que Basilic vous ouvrira calmement.


Le serpent de Basilic monta sur l'encadrement de la porte, au dessus. Ainsi, il serait près à attaquer.
Eux deux attendaient que l'homme se présente.

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Serpentant en transversal dans la salle, personne ne saurait esquiver son désir de suivre les principes d'une tenue somptueuse...
---fromFRAnonymous
Loki entendit un bruit étrange derrière la porte et se recula. On aurait dit le glissement d'un serpent mais Loki savait que ces animaux a sang froid craignent la morsure de l'hiver. Néanmoins le corps de Basilic devait pouvoir offrir la chaleur nécéssaire... Prudemment il se recula.

Pardonnez moi...Basilic, je me nomme Loki. J'ai été mercenaire dans une autre vie puis prisonnier en Orient. J'y ai appris l'art des massages: Je sais guérir les tensions ou éveiller les sens, mes talents sont multiples et ils sont tous à votre service...enfin à celui de votre maîtresse.

Il s'inclina devant la porte et attendit.]
---fromFRBasilic
Basilic écouta l'homme parler. Il se nommait donc Loki. Un mercenaire. Ayant appris l'art des massages. Etrange pour un mercenaire. Quoi que des fois, les gens pouvaient facilement changer d'avis sur telle ou telle chose. Cela allait si vite. Qui aurait pu croire que le meilleur ami de cette femme aurait été un serpent alors qu'elle avait dans les 9 ans. Personne, cela était évident. Et pourtant, cela était désormais.

D'accord, je veux bien vous laisser passer, puisque de masseur vous avez le doigté.
Mais faites attention à vous en entrant, le mercenaire qui sommeille en vous se doit hésitant.
La voix de femme que vous entendez n'est pas sans défense, et il serait dommage de blesser votre véhémence
a masser les bien venus, dans l'antre de la Succube.


Intérieurement, Basilic riait. Effrayer une personne à travers une porte était amusement. Et au moins, cela prévenait qu'en cas de dommage, cela pouvait mal se passer. C'était une bonne garde.

Sfsik était bien caché au dessus de l'encadrement de la porte. Il ne sifflait pas, le silence total de sa part. Et c'était tant mieux. Il savait de toute façon qu'il fallait faire le discret. Il l'avait appris avec Basilic. Elle le protégeait contre toute attaque, et il faisait de même pour elle quand il la sentait pas tout à fait sûre d'elle.

Basilic déplaça la barre qui retenait la porte fermée. Et ouvrit ensuite la porte. La pluie tombait drue. Et le visage de son interlocuteur, enfin, lui apparaissait.


Entrez je vous en serai gré, ou alors restez et vous gélerez.
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Serpentant en transversal dans la salle, personne ne saurait esquiver son désir de suivre les principes d'une tenue somptueuse...
---fromFRAnonymous
La porte s'ouvrit devant Loki; il se pencha légrement pour entrer et se planta devant Basilic, la détaillant de haut en bas. Elle avait un charme indéniable...vénéneux comme le suggérait son nom. Il avait conscience que son physique pouvait avoir des effets assez divers sur la gente féminine: Certaine le trouvait effrayant, d'autre plutôt séduisant. Mais Basilic ne laissait rien paraître. Il essuya l'eau qui ruisselait sur son visage et tendit la main.

Merci à vous Basilic; J'espère que nous apprendrons à faire plus ample connaissance...en tant qu'employé je veux dire. Puisque vous travaillez ici pourriez vous m'en dire plus sur la maîtresse des lieux?
---fromFRBasilic
L'homme entra dans la pièce entièrement trempé. Basilic le dévisagea sans montrer aucune émotion ou marque d'affection. Son regard était figé comme les traits de son visage. Tant que la Succube ne serait pas là. Cet homme ne pourrait pas faire grand chose.

Désolé mais la tenancière n'est pas là, je vous demande de patienter là.
Quant à discuter d'elle avec vous, je n'en prendrai aucun goût,
vous ferez vous même sa connaissance, quand elle sera présente.

Je vous prie donc d'attendre qu'elle rentre dans la demeure, je ne peux en rien vous aider sur l'heure.

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Serpentant en transversal dans la salle, personne ne saurait esquiver son désir de suivre les principes d'une tenue somptueuse...
---fromFRAnonymous
Le chemin du retour lui avait parut interminable et c'est avec satisfaction qu'elle vit au loin la cheminée de la Rose Pourpre encore quelques ruelles à passer et enfin, elle pourrait entrer au chaud. Oh que oui, la chaleur d'un foyer, un bon repas après tout ce temps passé dehors, faire face au vent et au froid qui vous saississent les membres au point qu'ils en deviennent violacés.

La porte était devant elle, Nérée frappa puis attendit qu'on lui ouvre. La Succube avait parlé d'un portier ..De nouveau, elle frappa fallait faire vite, elle n'y tenait plus.

Nérée réfléchit..quel était ce nom?? Elle se souvenait d'une femme dont le cou était orné d'un serpent ...blonde, svelte à priori, elle n'avait que des images fugaces....Bon, il fallait bien tenter quelque chose si elle voulait enter.

"Madame, je suis Nérée de la Rose Pourpre, je reviens de Paris avec Dame Succube ainsi que mes "amies" , je souhaiterais entrer , veuillez m'ouvrir car dehors, il fait grand froid et cela me glace ..."

Nérée se frotta les mains afin que le sang circule au mieux puis attendit, il lui sembla qu'on lui ouvrit.
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