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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

---fromFRMariane
La très légère caresse sur son cou, fit sourire Mariane qui se tourna pour remarquer Marie-Jeanne dans une belle robe. Elle remarqua combien les habitudes des filles de plaisir étaient semblables sur quelques points. Ou combien Marie prenait plaisir à taquiner ses gestes. Dans les deux cas, elle lui envoya un clin d'œil en imaginant la douceur de cette peau pâle. Entourée de toutes ces Roses aux milles délices et sensualités, elle ne savait pas si elle ne devait pas regretter, elle aussi, de ne pas être cliente.

Devant elle, entrait un deuxième homme. Nérée et lui se dirigèrent vers des fauteuils non lointains du sien, mais le suffisant pour garder une toute intimité. Mariane les regarda du coin de l'œil, et en toute professionnalité fit un très discret sourire à la belle bronzée.
Elle l'enviait presque d'avoir déjà pu commencer son jeu. Mais Mariane ne s'en faisait pas. Sa cible, en grande discussion avec Basilic, l'avait déjà repérée du regard et elle ne doutait presque plus qu'il viendrait...

Derrière elle, passa une futile présence, et de nouveau Mariane fut caressée. Décidément ! Elle rit doucement en tournant légèrement la tête pour et frôlant avec sa rose le bras de Chloé, qui derrière elle, partait déjà dans un coin de la grande salle, avec sa simple beauté. Si elle croyait qu’aucun homme ne viendrait l’embêter de la soirée, elle se trompait sans doute !
D’ailleurs, le «sien», d’homme, remarqua-t-elle à peine retournée pour l’observer en attente, avait déjà entamé son approche. Mariane ne fit que lui sourire de plus belle sans accomplir autre geste que celui de caresser sa blanche peau et ses roses lèvres avec les pétales de la fleur.

Au fond d’elle, elle sentait déjà l’exaltation que le jeu de séduction produit chaque fois qu’il se commence et ce jusqu’à sa fin. Elle adorait cette sensation. Un cœur qui semble presque battre plus vite qu’à l’ordinaire, la prise de conscience de tous ses mouvements et ses gestes, la prise de conscience de ses lèvres entrouvertes et humidifiés de temps en temps par une langue agitée et maintenue dans le calme jusqu’au moment nécessaire. Le fin sourire qui se dessine, mystérieux et presque éphémère, que l’on craint de perdre.
Et pourtant, ne rien laisser paraitre, qu’une beauté encore plus grande due aux gestes encore plus lents, plus sensuelles, plus réfléchis sans même l’être par la tête, due aux lèvres gourmands, aux yeux presque taquins qui invitent à tout.

L’homme planta ses yeux noirs, ses yeux de jais, dans ceux d’émeraude teintée de miel de Mariane. Et celle-ci soutint le regard, le laissant prendre l’initiative de la parole.
Il y avait des filles et des soirs. Il y avait des fois qu’ainsi la fille allait au devant de son client, et des fois qu’elle les laissait venir à eux. Mariane ne s’était jamais laissé gouverner et ordonner, mais elle savait, pour l’avoir vécu pendant toute sa vie de paysanne, que l’homme aimait souvent commander, et qu’il n’aimait souvent les femmes que quand il leur était indispensable. Il aimait souvent sentir qu’il protégeait et qu’il choisissait, bien que toute fille de joie qui se respecte sache qu’elle choisi son client. Ainsi Mariane l’avait fixé comme cible, et ainsi elle lui laissa croire qu’il venait de la choisir parmi les autres.

L’homme se nommait François, il avait beau parler et n’était pas spécialement moche ni vieux. Il y avait quelque chose en lui d’attirant, et Mariane se félicita de son choix.
Elle décroisa les jambes et s’appuyant doucement sur les accoudoirs du fauteuil, se leva, laissant ainsi son corps frôler celui de François, comme par hasard, et se pencha doucement sur son oreille, lui faisant parvenir dans un souffle frais, un murmure.


Je suis Mariane

Elle s’était entrainée tous les jours à parler sans écorcher les mots. Son accent des compagnes était encore audible –et elle n’avait pas envie de le changer-, mais ça voix était douce et harmonieuse, et n’avais plus rien de la presque brutalité d’avant.
Toujours frôlant François, elle mit la fleur cueillie à l’œillet de sa chemise, le caressant à peine dans ses mouvements.
Mariane fit un pas en arrière avec un franc sourire et regarda satisfaite l’effet du pourpre sur son homme.
Elle osa dans un geste désinvolte lui prendre la main et le mener vers le bar.


Bonjour belle Rexanne. Pourrait-tu nous servir, au beau, charmant et charmeur François et à moi-même, quelque vin rouge ?

Elle avait lâché la main du bel en cause et se tourna de nouveau vers lui.

A moins bien sur que vous ne désiriez autre chose de précis, ou d’imprécis. La Fleur qui va nous servir est excellente pour préparer tout genre de boissons exotiques et délicieuses.

Elle regarda Rexanne et remarqua que Marie Jeanne était aussi derrière le bar, puis elle regarda Bella et Sana à ses côtés et leur fit un coquin clin d’œil, pour revenir une dernière fois sur François et le fixer d’un coin d’œil visible avec un sourire gentiment provocateur et suffisamment évocateur pour tout homme qui se respecte et qui vient dans un Bordel sachant ce que c’est et que c’en est un.
---fromFRAnonymous
Le mouvement imperceptible de la Succube n'avait pas échappé à Loki. Il laissa descendre ses mains sur ses fesses, les frôlant délicatement puis ses doigts continuèrent le long de ses jambes, arrachant à la jeune femme un gémissement de frustration qui le fit sourire. Il se déplaça vers le pied du lit et se concentra sur la voûte plantaire. Ses doigts allaient et venaient suivant un rythme précis à différents points qu'il avait étudié dans un livre d'acupuncture chinois. Chacun d'eux étaient reliés à une zone érogène qu'il enflammait l'une après l'autre mettant sa cliente au supplice. Lorsqu'il sentit le corps de la jeune femme s'embraser, il lui caressa l'intérieur des cuisses et remonta jusqu'à la toison rousse qu'il effleura du bout des doigts. Là, il resta immobile guettant un signe de la Succube.
Rexanne
Enfin les clients entraient, et se mêlaient aux jeunes femmes souriantes et excitées à l'idée de leur première soirée de "travail". Le flot des mesieurs entrant n'était pas ininterrompu mais déjà deux hommes avaient succesivement passé la porte et étaient en bonne voie d'avoir choisit leurs partenaires... Enfin choisit, ses ravissantes compagnes n'en avaient fait qu'une bouchée avant même qu'ils n'aient le temps de se retourner, il faut dire que les filles ne manquaient pas de charme et de savoir-faire!

Rexane ne s'ennuyait pas au bar, trois de ses compagnes encore désoeuvrées, quoique surment pas pour longtemps, lui tenait compagnie, et les belles jacassaient allégremment, ne perdant pas une miette de se qui se passait dans la salle tout en gardant un oeil sur la porte qu'elles souhaitaient voir bientôt s'ouvrir.

Nérée fut bientôt au bar pour demander du vin pour elle et sa jolie prise, avec un sourire entendu et une oeillade malicieuse la jolie brune s'exécuta sans tergiverser ni proposer autre choix, la jeune femme paraissait en hâte de rejoindre son compagnon et elle ne voulait en aucun cas la retarder. Elle déposa une bouteille de rosé de qualité sur le bar et la déboucha avant de poser deux coupes immaculées à ces cotés. Un clin d'oeil malicieux à la jolie fille de joie qui prenait du service et lui murmura avant qu'elle ne tourne les talons pour rejoindre son bel inconnu:


- N'oublie pas de le faire passer à la caisse ton cher et tendre, je suis sure que le contraire déplairait à notre bien-aimée patronne!

Tiens ben pendant qu'on en parlait de la Succube, où était-elle passé? Rexane le regard quelque peu inquiet fit part de son questionnement aux trois filles réunies autours du bar. La maitresse des lieux ne leurs avaient quand même pas fait un coup de sang en ce jour d'ouverture de la Rose Pourpre!? Certes l'angoisse davait être au rendez-vous en cette soirée test mais tout de même... Mais bien sur ça devait être cela! La Succube avait due se plonger dans un bain relaxant pour calmer ses nerfs certainement à fleur de peau!

Leurs conversations interrompues une nouvelles fois et avec le plus grand plaisir par Mariane qui trainait derrière elle le deuxième homme et l'interpellait gaiment. Tiens, et presque sans accent en plus! Quel changement!
Du vin rouge en premiere demande mais avant même que Rexane ne le fasse la jolie rousse avait proposé à son amant du soir si il ne désirait pas autre chose de moins ordinaire. Avec un sourire au couple éphémère, la jeune tenancière du bar entreprit de propose ses boissons diverses et variées...


- Bonsoir Messire, et bienvenu à la Rose Pourpre! Je vois que Mariane a déjà marqué votre chemise de son passage... Son regard espiègle était descendu sur la boutonière du François de manière évocatrice. Alors à boire vous désirez? Si vous êtes attaché au vin rouge je puis vous en servir et du meilleur cru, par contre comme le disait si justement Mariane je puis vous servir des choses que jamais vous ne goutterez ailleurs, je puis vous l'assurer. Si la curiosité vous tenaille je peux vous proposer de la liqueur de Rose, de la liqueur de Trois Fleurs, du thé noir à la Rose ainsi que de l'hypocras maison, a s'en taper le postérieur par terre sans vous mentir! Personellement c'est mon favori... Je possede également a portée de main des préparations exotique de mon exquise amie que voilà Rexane, un grand sourire aux lèvres, désigne Sana, la fille des îles à la peau dorée, d'un ample geste de la main. Mais là, bien que je sois sure de la saveur sans précédent de ses boissons, je serais bien en mal de vous indiquer leur composition! Alors mes jolis, sur quoi votre choix s'arrete t-il?
---fromFRAnonymous
Nérée toujours assisse sur Messire Batiste se leva ..

"Buvez votre verre et je reviens de ce pas.."

Elle se dirigea ensuite vers Chloé pour s'entretenir un moment avec elle, à l'abri des regards indiscrets.

"Chloé, où se trouve la Succube? Je ne l'ai pas encore vu ce soir et comme tu peux le voir des Messieurs attendent..Pourrais tu aller la chercher afin que nous puissions commencer les "festivités ?"

Nérée sourit à cette remarque car en effet, les événements allaient sous doute prendre forme et il fallait faire vite.

Chloé parut d'accord alors Nérée revient d'un pas lent vers son hôte puis prit place à coté de lui. La soirée était fort agréable, on entendait le tintement des verres et les murmures parcourirent la pièce.

Mariane avait elle aussi un client pour le moins charmant dont le regard lascive se poser sur les formes généreuses de la jolie catin. Nérée fit un clin d'oeil à Mariane ..puis posa à nouveau son regard sur le jeune Batiste.
---fromFRSavanahh

Sana ne veut certes pas piétiner les plates-bandes de la jolie Mariane, mais elle adresse toutefois un sourire charmeur au client qui l’accompagne, dont elle a entendu le prénom … François. Elle l’avait déjà repéré en descendant l’escalier, quelques minutes auparavant, et sa distinction ne lui déplait pas du tout.

Elle saisit l’occasion de lui adresser la parole lorsque Rexane, toute en beauté, évoque ses préparations exotiques, qui macèrent depuis quelques jours, ou quelques heures simplement pour d’autres, dans d’élégants récipients alignés derrière le comptoir, décorés de fleurs multicolores ou de fruits tropicaux.

Leur composition n’est certes pas un mystère, ce sont des cocktails originaires des régions où j’ai grandi, l’île de Bali notamment.

Sana observe les larges coupes transparentes, cherchant une inspiration, puis se tourne à nouveau vers le dénommé François.

Mon préféré est celui-ci … sa recette est d’ailleurs assez simple. Il s’agit d’eau de vie à soixante degrés, dans laquelle ont infusé longuement des gousses de vanille et des lamelles de chocolat. Le tout allongé de jus de fruits. La légende, mais en est-ce bien une, raconte que la réunion des trois ingrédients compose un mélange qui favorise … euh … les diverses ardeurs.

Savanahh sourit à nouveau, exhibant ses dents blanches et fines, et chantonne ...

Voulez-vous entre ces liqueurs
Que le chocolat brille
Mettez-y parmi ces odeurs
Des gousses de vanille …


C’est un refrain traditionnel de mon île, et à la fois tout le secret de ce cocktail … je vous le recommande, François.

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Lyhra
Où allaient se nicher certaines zones érogènes…

Ce qu’il provoquait en palpant ses pieds était tout simplement divin et une vague de chaleur l’envahit toute entière, rougissant jusqu’à son front, enflammant ses sens sollicités.
Par l’étroite fenêtre elle vit la nuit définitivement installée et se morigéna de ce temps réservé à son seul plaisir plutôt qu’à remplir son rôle au rez-de-chaussée, surtout le soir de l’ouverture !

Mais il était trop tard pour se lever comme si de rien n’était, le feu au ventre.

Certes il connaissait son métier et ses doigts étaient fort habiles, souples et fermes à la fois ; mais il ne devait pas l’avoir souvent exercé au sein d’un bordel car alors il aurait pris l’initiative d’une caresse plus poussée, libératrice, au lieu que d’attendre l’assentiment de sa cliente, fut elle la tenancière elle-même…
Toutefois il avait senti son désir sans ambigüité et ses doigts glissèrent vers son entrejambe, qu’elle écarta encore un peu plus, comme un coquillage gorgé d’eau saline s’entrouvre, un gémissement répondant à l’attouchement du masseur…

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---fromFRAnonymous
Batiste prit le verre et commença a le bore delicatement et trinqua avec Nérée dont le corps le lassait desirer.
Une legere ouverture dans sa robe et voila que son regard quitta son visage pour decendre plus bas jusqu'a se poser sur sa cuisse qui se laisait apercevoir.
Puis elle vint s'assoir sur lui posant son fin corps sur lui avant de laisser s'aventurer ses doigts dans ses cheveux.


J'ai moi même plaisir a être en votre compagnie, vous dont la simple vu eblouie mon coeur.

Puis vint le contact de ses levres douce et charnelle sur ses joues rosie par le vin.Il lui rendit son baisser avat qu'elle parte au bar.
Il n'avait pas vu la tenaciere de l'endroit et il se doutait que cela était en rapport mais il ne s'en préocupa pas quand elle revint s'assoir.

Ha je n'ai pas repondu a votre question, ce que je veut c'est votre presence aupres de moi, je veut vous voir ce soir.

Il s'approcha d'elle et laissa glisser ses doigts sur sa cuisse dénudé les laisant caresser sa douce peau
---fromFRAnonymous
Une main sur sa cuisse, un regard pénétrant, un murmure sans équivoque, Nérée laissait le charme opéré lentement. L'homme savait pertinemment où il était et ce dont il voulait.

"Vous me flattez Messire et se sera un honneur que de partager ma couche avec vous...Nous avons tellement à faire."

Un sourire suivit d'un baiser langoureux. Sa langue si douce frolant la sienne, leurs lèvres préssées l'une contre l'autre, la main ferme saisissant sa cuisse.

"Vous embrassez magnifiquement cela me parait très prometteur.."

Elle reprit son verre et but une goutte du breuvage, Nérée ne cessait de regarder Batiste puis délicatement elle lui ouvrit sa chemise bouton par bouton, lentement, patiemment. Elle posa sa main sur son torse caressant, effleurant ici et là puis l'embrassa à nouveau.

"Si vous me voulez ce soir, veuillez attendre la Succube, elle ne devrait plus tarder ..En attendant profitons en pour mieux nous connaitre Messire Batiste"
---fromFRAnabella
Bella est près du comptoir en compagnie de Sana, son amie de toujours, Marie qui leur a fait de tendres baisers dans le cou, la faisant frémir et sourire sous sa remarque, et enfin Rexanne qui sert les boissons... Celles-ci ont des couleurs divines, robe rose...

Elle regarde tour à tour les filles, elles sont toutes divines, habillées de milles feux pour la circonstance. Dans les yeux de chaque fille brillent des étincelles qui sont prêtes à prendre feu pour donner un feu d'artifice à ces messires qui franchiront le seuil de la porte de la Rose Pourpre.

Elle respire nonchalamment le parfum de la rose qui se dégage des bougies allumées dans la pièce. L'odeur est envoutante, mystérieuse propre aux charmes et au dévoilement de ces mystères.

A Marie, elle glisse tout bas deux mots en souriant.


Notre charmante Succube prend peut-être un acompte quelque part, qui sait ? Si c'est le cas, elle a bien raison.

Bella sourit en entendant la chanson de Sana et rajoute à l'attention de ce gentilhomme qui est déjà entre les mains sans aucun doute expertes de Mariane.

le chocolat, pour l'euphorie...
la vanille, pour l'exotisme.


Au passage, elle fait un léger clin d'œil très discret à Marianne. Point de jalousies entre elles, juste de l'admiration et du soutien...

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Entre mes bras, un baiser est une gourmandise sucrée qui ne fait pas grossir...
---fromFRAnonymous
Doucement Batiste se laissa charmer par la belle Nérée et inévitablement leur lèvres se rencontrèrent et leur langues s'effroler tandis que sa main s'était affermi sur sa cuisse.
Le baiser fut long et langoureux.


"Vous embrassez magnifiquement cela me parait très prometteur.."
SI j'embrasse bien j'ai trouvé adversaire a ma mesure en votre présence.

Nouveau sourire tandis qu'il prit son verre et le porta a ses lèvres tandis que Nérée ouvrit sa chemise laissant son torse nue qui frissonné tandis que les mains délicates de Nérée l'explorer.
Frisson de plaisir et d'excitation.
Nouveau baiser et nouveau plaisir tandis que sa langue explorer tendrement la bouche de sa partenaire et que ses lèvres mordiller avec douceur sa langue.


Mais je ne suis pas pressé, la nuit nous appartient, et profitons en effet de ce temps pour faire connaissance.
Nous pourrions commencez par vous Nérée.
---fromFRFrançois_Villon
François frémit entouré de tant de jolies filles. Mariane, Savannah et Rexane se pressaient autour de lui toutes parées de beaux atours.

François qui se laisait griser choisi d'être sobre et de ne point laisser ses sens être échauffés par l'alcohol comme disent les mahometans. Aussi malgré l'alléchante proposition de Savannah, dont la peau avait la teinte du pain d'épices que les boulangers cuisaient à Noël et qui était tant du point de vue de la boisson que des plaisirs être une redoutable tentatrice.

Il dit à Savannah,

- Merci belle fleur des contrées lointaines, le vin que propose Rexane ne semble point âpre ni aigrelet et semble convenir à Mariane.

- Servez donc Mariane puis moi-même de ce breuvage qui plaisait tant à Noé et Bacchus. Vous prendrez bien du vin pour trinquer avec moi belle Mariane ?


La jolie fille, d'un sourire mutin acqiesa et tendit sa coupe en étain à Rexane lui disant :

- Sers généreusement François aussi. Il me semble parler beaucoup et, en conséquence avoir soif.

Et lui chuchota quelque chose que François ne saisit pas complètement mais où il cru discerner

- ... et il se montrera d'autant plus généreux avec nous


Peut être se trompait-il mais en fin de compte, cela n'avait pas d'importance.

Après qu'ils furent servis, la jolie Mariane fit un sourire mutin à François.

Il la regarda tremper ses lèvres pleines dans sa coupe puis laissa un instant son regard vagabonder sur sa gorge dévoilée et ses tétins qui tendaient l'étoffe grège de sa robe. Une couleur semblable à celle de sa peau, l'impression était plus que troublante et François sentit son émoi grandir...

- Belle Mariane, je ne puis résister à votre séduction, tout en vous appelle le baiser. Puis-je ?

François se pencha délicatement et pris les lèvres de Mariane, insistant pour parvenir à l'embrasser jusqu'à ce que leurs langues se trouvent.

Alors, discrètement, François glissa une bourse pleine d'écus, une faible part de l'argent qu'il avait dérobé au robin qui l'employait et lui dit

- J'espère que cela vous conviendra ... et que je vous conviendrai. Vous êtes fort jolie, fort attachante et j'aime vos manières simples de fille qui ne connait point trop la ville. Vous venez bien de la campagne n'est ce pas ? Votre accent charmant de provinciale vous trahit ...

Et François plongeant son regard sombre dans les yeux clairs de Mariane, posa, comme en catimini une mai ouverte sur ses cuisses blanches que dévoilait la robe en tissu souple.
---fromFRAnonymous
Messire Batiste voulait connaitre Nérée, catin de la Rose Pourpre, que pouvait-elle bien lui dire de son parcours mise à part que du soir au matin et du matin jusqu'au soir, elle accueillait dans ses bras d'inonbrable hommes. Elle ne parla pas de suite de ce fait avéré mais s'amusa plutot de la situation, il fallait etre charmeuse..

"Je suis celle qui remplit votre coeur d'espoir.." Elle caresse son torse puis vient lentement jusqu'à son coeur.

"Celle qui invente ou non des histoires" Sourire enjoleur..

"Celle qui attend chaque nuit..et qui ne s'apaise qu'au petit jour dans les bras d'un amant ébloui après l'amour. Je suis celle qui parfois seche les pleurs, qui désèche les vieux et attendrie les coeurs"

Nérée caressa le visage de Batiste et lui susurra:

"Voyez je peux être tout à la fois, Amie, Amante, Esclave aussi si le coeur vous en dit mais Messire tous cela à un prix et il vous faudra montrer patte blanche pour gouter au plaisir de Nérée.."

Elle lui sourit puis plaça sa main entre les cuisses de ce dernier.

"Je constate que mon discours vous fait un drole d'effet alors embressez vous de payer afin que nous puissions faire autre chose que de parloter."

Nérée laissa le temps de la réflexion au jeune Batiste mais elle savait que ce dernier serait pret à mettre le prix pour assouvir toutes ses ardeurs
Lyhra
Elle s’était ouverte sous la pression des doigts experts du masseur.
Telle une anémone de mer découverte en un creux de rocher, corolle précieuse et cachée, languide, gorgée de sève à peine iodée.

Le plaisir la prit comme une vague forte, rapide et violente, l’emportant avec remous dans des courants qui secouèrent tout son corps.

Un instant elle reposa… muette, le souffle court et les yeux clos, froissant le drap du bout des doigts.
Puis, assouvie et détendue elle pivota sur la couche, exposant l’autre face de sa fière nudité, posant les yeux sur lui.


Les hommes apprécieront la force de tes paumes sur un dos douloureux, quand aux femmes, et bien … je gage qu’elle sauront goûter à d’autres attraits de ton art…

Avec un sourire la tenancière se releva gracieusement, essuyant soigneusement sa peau à l’aide d’un linge propre, repassant ensuite sa tunique et recoiffant la crinière de ses cheveux fauves à la va vite, laissant glisser quelques mèches folles jusqu’aux reins.

Il fait nuit, c’est l’ouverture, descendons. Je n’ai que trop tardé.

Merci pour cet agréable moment, puisse tu contenter nos futures clientes à la mesure de leurs désirs.

Et ce fut tout.

Elle quitta prestement la pièce et descendit l’escalier, surprise de voir les premiers clients.
Il était donc si tard ?
Elle alla courtoisement les saluer , s’enquit qu’il ne leur manquait rien et s’en fut vers l’extrémité du bar, pleinement rassurée de les voir en de si séduisantes mains…

Prenant place sur un haut tabouret de bois sculpté muni d’un coussin de velours noir, qui allait devenir bientôt sa place attitrée, elle observa la salle, relevant quelques détails qui clochaient. Il faudrait espacer un peu plus les tables et les chandelles des alcôves éclairaient trop mais dans l’ensemble c’était parfait, tout le monde avait remarquablement travaillé pour faire de ce lieu un endroit magique et pour la première fois depuis bien longtemps, elle se permit un sourire de triomphe…

Elle était la Reyne des miracles, et pour longtemps ! Qu’on vienne donc la détrôner …

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---fromFRL'Albinos
J'avais marché un long moment au travers de maintes rues et ruelles observant les gamins délaissés jouant avec tout et n'importe quoi, lançant des regards vides aux nombreux mendiants que je croisais, repousant les avances des catins de bas quartiers et emjambant quelques poivrots affallés a même le sol cuvant leurs alcool parfois même dans leurs propres vomit. C'était aussi ça la cour des miracles.

Au détour d'une rue mon regard fût attiré par une enseigne.


"La Rose Pourpre"

Je souriais a la vue de son nom, cette couleur me replongea sur le coup une dizaines d'années en arriére..... Je secouais la tête car cela n'était forcement qu'une simple coincidence. Mais ce nom aiguisa ma curiosité, peut-être que cet endroit me ramenera a la vie en donnant de l'appétit a mon corps et puis j'avais depuis ma longue marche une forte envie de boire. Cette vieille boisson qui était ma favorite par le passé me manquait terriblement.

Je me décidais donc a pousser la porte et a pénétrer en ce lieu. J'observais rapidement l'intérieur, il y avait là déjà pas mal de monde et de splendides créatures. A leurs vue je sentis mon sang ce réchauffer et s'en m'attarder au pas de la porte, je la refermait dérriére moi et pris place sur l'un des tabourets du comptoir.

Je laissais le capuchon de ma cape sur ma tête et posa calmement mes mains sur le comptoir attendant de voir si une des serveuses viendrait s'occuper de ma personne.
---fromFRMariane
Clins d’œil d’ici, sourires de là, paroles, regards. Ce n’était qu’une partie de plaisir, de plaisirs, pour filles et clients. Le sien était bon, il avait de la classe et elle sentit frémir son corps, tout près du sien, quand il fut apostrophé de tant de beautés. Mariane en sourit. Et sourit aussi de l’accueil qui lui avait été réservé par Bella et Sana, les deux amies de toujours. Ainsi que par Rexane et ses invitations à boire. La jeune rousse fut quelque peu désolée que François ne voulut point goutter a la liqueur de Roses, mais le client était maître, et un bon vin n’était pas non plus hors de sa place.

Je prendrais bien du vin si c’est de cette boisson que vous voulez enivrer vos sens pour partager une soirée en ma compagnie.

Mariane lui sourit en pinçant doucement le coin de ses lèvres avec une dent blanche. Elle tendit sa coupe à Rexane et continua l’observation en coin d’œil de son charmant bonhomme. Avec des gestes des mains, ayant pour but d’attirer sur elles une attention éxtasiée, elle riait avec ses amies.

Nous goutterons un autre jour les délices de tes pays, délicieuse Sana.
Rexane, belle, sers généreusement François aussi. Il me semble parler beaucoup et, en conséquence avoir soif.


Elle se pencha sur Bella à son côté, croisant les jambes et sentant sa robe remonter en souriant de ce plaisir mutin de plaire et de se faire désirer.

Il se montrera d'autant plus généreux avec nous... et avec moi!

C’était dit d’un faux murmure et un petit rire qui visaient bien entendu les oreilles de François. Mariane le regarda, s’apercevant que ses paroles et ses gestes avaient eu l’effet recherché. Il la regardait avec tant d’insistance et d’envie !
Les mots qui suivirent le lui confirmèrent. Elle fit une coquette affirmation en hochant la tête et reçu les mains de l’homme sur ses joues, ses cheveux, ses oreilles. Chacun de ses doigts avait une forme précise et occupait un espace précis sur sa peau, des points de chaleur, ainsi que les lèvres qui virent tout d’abord caresser les siens, pour s’appuyer ensuite d’avantage, et finir ouverts, laissant les langues jouer à une sorte de chat lent et harmonieux, une danse.
Les mains de Mariane commencèrent par caresser, elles, les mains de François, puis ses doigts descendirent en frôlant les bras masculins. Elles descendirent jusqu'à la ceinture, où elles recommencèrent une suave montée, lente montée, sous la chemise cette fois. Frôlant, volant, caressant, les doigts de Mariane dansent sur la peau de François, avec la peau de François, pour lui provoquer des frissons.

D’un œil resté ouvert, Mariane vit la bourse se poser sur le comptoir et fit, quand le baiser termina, et quand les mains et les lèvres de François la quittèrent, pour ne rapprocher que d’avantage les corps, un signe à Rexane, un signe complice pour lui signifier de prendre ce que le vin coutait.

La main qui se posa sur sa cuisse et qui remonta d’avantage sa robe, ne surpris pas Mariane, elle l’avait presque prévue. Les hommes avaient l’habitude de commencer par les lèvres et de poursuivre par les cuisses. Il remonterait à chaque baiser ou à chaque instant opportun, un peu plus la main, finirait par tenir les fesses, puis par oser aventurer ses doigts un peu plus loin, avant de demander explicite ou implicitement une chambre pour la suite et fin de la soirée. Non, ce geste ne surpris pas Mariane mais la fit frissonner de plaisir. C’était peut-être le geste de tous les hommes, mais certains savaient mieux faire que d’autres, et celui-ci était sur la bonne voie.

En réponse à ce geste, elle ouvrit un peu plus les jambes croisées. La main s’était posée sur celle du bas. C’était signe de l’envie. Tout amoureux éperdu, naïf presque puceau l’aurait posée sur celle du haut. Mais celle du bas…
Elle le regarda avec un sourire. L’entrouverture des cuisses permettait à la main de glisser vers l’intérieur pour remonter en toute facilité, au lieu de rester simplement posée sur le dessus.


Mon accent ne me trahi pas, il me dévoile… comme tous les voiles.

Elle se pencha pour poser lèvres contre lèvres, puis ses lèvres contre le menton de François, voyant par-dessus son épaule les cheveux flamboyants de la Grande Rousse descendre l’escalier. Mariane s’approcha d’avantage de François, posant ses mains sur le torse, ouvrant un premier bouton pour ne pas avoir la chemise entre ses doigts et la peau de François.
La joue de Mariane frôla celle de son client, elle mordilla doucement son oreille, entre quelques murmures.


Ne te retourne pas François, elle va venir s’assoir juste devant toi, la Succube, maîtresse de la Rose Pourpre. Quand toi et moi auront envie d’un peu plus d’intimité, avant de monter vers nos plaisir mutuels, tu devras passer la saluer pour lui payer.

Sa joue se frotte contre François. Ses lèvres caressent sur leur passage oreille et joue, puis se posent sur les lèvres masculines et délicieuses de François. Elle les entrouvre et fait passer sa langue sur celles (les lèvres) de l’homme, puis sur son menton. Ses mains dansent encore avec le torse velu et ont ouvert un deuxième bouton. Les doigts vont rapidement, diriez-vous, et bien justement non, ils vont au temps nécessaire. Sans cette ouverture, les mains ne seraient pas passées, et la chemise aurait gêné pour le plaisir et les frissons de François.
Sur le bouton qui suivait, était toujours la rose qui commençait à s'enflammer.
Mariane pose son front sur celui de son client, les bouts des nez se caressent, les lèvres se frôlent, les souffles se mélangent. Elle le regarde dans les yeux, passant un bras sur ses épaules, caressant la nuque. Un sourire se dessine sur ses lèvres, et elles caressent un instant de seconde, celles avides et gourmandes de François.


Ainsi, tu peut reprendre ce laissé sur le comptoir, pour plus tard, après que Rexane ai pris l’argent du vin… ou tout dépenser en boissons, si tu en à plus.

Elle l’embrasse, sourire toujours aux lèvres. Parler de prix n’enlève pas le charme, tant qu’on sait s’y prendre. Mariane avait soupesé du regard la bourse, elle était suffisamment garnie pour la soirée et la boisson, son client était assuré, et elle s’en ravissait, elle commençait à apprécier la compagnie de François. Mais il était habitude que l’homme paye la maquerelle, et non la fille de joie. Et la maquerelle, elle venait de passer près d’eux, demandant si tout allait comme ils le voulaient.

Je pense que tout est en ordre, divine Succube.

Elle lui sourit, s’éclipsant de l’étreinte de François. Tout donner d’un coup ôtait le plaisir de l’envie. Les corps, assis l’un contre l’autre continuaient d’être collés, la main de François sur sa cuisse (un peu plus remontée ? elle sourit), les siennes, une baladeuse sur le bas du dos masculin, sous chemise, l’autre sur le verre qu’elle porta à ses lèvres gourmands et souriants.

La porte s'ouvrit sur un troisième client, le regard de Mariane sur François ne fut que très rapidement détourner par curiosité, avant de revenir à sa contemplation discrète, coquine et prometteuse.

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