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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

---fromFRAnonymous
Kobal rattrapa la jeune Nérée, non il n'en avait pas fini avec elle et c'était à lui de dire si cela l'était ou non, pour le moment, il lui attrapa fermement le poignet et le plaça derrière le dos de la jeune femme. Leurs corps se touchèrent et il pouvait sentir la poitrine de Nérée sur la sienne cela lui donner quelques émotions d'ailleurs...

"Pour cette nuit tu en réchappe mais la suivante est pour moi, ne me fais pas l'affront de refuser à nouveau ma jolie car je n'apprécierais point. Et dis bien à ta maquerelle que son prix sera le mien."

Kobal lacha le poignet un peu rougit par la pression de ses doigts. La catin avait peur et il le resentait , il en jouait même. Il s'approcha de son visage, la reniflant puis y déposa un baiser sur les lèvres...baiser qu'il s'amusa à appuyer ...

"Bonne soirée à Toi ma jolie et n'oublies...Tu seras bientot à moi.."

Il tourna les talons se dirigeant vers la porte , son rire tonitruant faisant trembler la jeune Nérée.
{chloe_la_douce}
En retrait , Chloé observait et notait avec satisfaction que la pièce s'emplissait.
Un ronronnement agréable de conversations douces et murmurées pour certaines emplissaient à présent la pièce, ponctué de tintements de verres et de rires.
Soudain, un homme entra.
Basilic l'avait laissé passer, mais sans savoir pourquoi , son attention s'était fixée sur lui.

Il s'adressa à Nérée qui était déjà occupée et la saisit avec une violence déplaisante. Le regard de la jeune femme exprimait clairement son dégout et les manières de l'homme n'étaient pas en rapport avec les critères de la maison.

Heureusement, il se dirigea vers la porte avec fracas.
Encore un de ces ivrognes probablement.

Chloé quitta alors sa place discrète au fond de la salle qu'elle traversa d'un pas léger, prenant garde à ne déranger personne puis s'approcha de Basilic.


- Tu as vu l'homme qui vient de sortir ?
Je pense que s'il revient, ça n'est pas nécessaire de le faire entrer.


Signe de tête rapide, elles se sont sans doute comprise.
En tant qu''intendante, Chloé n'a pas l'intention de laisser un rustre abimer le décor qui a pris tant de peine à se mettre en place.
Toujours sans bruit, elle se rapproche de la Succube et du bar.


- Tout à l'air de fonctionner parfaitement ce soir.
Je pense qu'on peut déjà parler d'un soirée réussie non ?

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---fromFRSavanahh

Bel homme, vraiment ! Distingué, élégant, poli. A mille lieues des personnages inquiétants qui rôdent autour de ses amies. Savanahh a eu raison de ne pas se précipiter sur le premier venu ! Elle ne devra pas se forcer pour lui faire passer un moment agréable, il lui plait réellement beaucoup.

Généreux, aussi, semble t’il, d’après le sourire satisfait de la Succube, la brièveté de leur conversation, et l’alignement de pièces d’or sur le coin du comptoir. L’accord semble conclu à la satisfaction générale. Sana l’observe, croise son regard, lui offre son plus joli sourire.

Puis elle trempe ses lèvres dans le délicieux cocktail, qu’elle a à peine entamé d’ailleurs, attentive aux conversations autour d’elle, et surtout aux gestes de « gueule d’ange ». Sana remarque le geste discret de Rexane. Son amie, le regard dur, s’assure de la présence de ses dagues contre ses cuisses. Un vaillant petit soldat, la tenancière ! Heureusement, le malotru désirant accaparer l’attention de la belle Nérée gagne la sortie, de manière bien théâtrale, en pestant et en menaçant. L’incident est clos, semble t’il.

Le séducteur la rejoint à cet instant près du comptoir, récupère le tabouret voisin, et lui prend doucement la main. Sana réprime un frisson agréable au contact de leurs peaux. Contrôle toi, ma fille … Elle lève les yeux, sourit, puis glisse gracieusement en bas de son siège, et pose la main sur la cuisse du jeune homme.

Je ne sais même pas ton nom … Viens, allons terminer notre verre dans un fauteuil, nous y serons mieux pour faire connaissance. Nous avons toute la nuit pour nous …

Savanahh prend la main du charmeur et l’attire vers un divan moelleux, disposé dans la pénombre.

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---fromFRL'Albinos
Je devisageais toujours les deux belles qui étaient a mes côtés quand la tenanciére revint me proposer une autre consommation d'une phrase qui me fît sourire.

Je vous sert de nouveau la même chose messire ou bien désirez vous autre chose ? Je crois que là vous avez à peine goutter à votre nectar, cette larmiche verte n’a pas même suffit à vous colorer les joues !

Je tournais mon regard vers elle et lui rendit son sourire ravageur avec en point d'orgue un clin d'oeil evocateur.

Il est pourtant aisé de faire rougir mes joues de par la blancheur naturelle de ma peau. Mais effectivement il me faut bien plus de ce nectar vert pour y réussir.
Sans hesitation aucune, j'accepte votre offre pour reprendre un verre d'absynthe.


Je saisis ma bourse et l'ouvrit en la déposant sur le comptoir.

Les bons comptes font les bons amis, je vous prie donc de prendre ce qu'il vous doit pour mes deux consommations.

A peine ma phrase finit que je fût attiré par les maniéres plutôt brutales d'un homme a l'air bourru envers l'une des magnifiques créatures.

Instinctivement mais discretement je saisis mon verre vide juste au cas où la situation tournerait mal. Mais quelques instants plus tard je le relachais lentement, l'homme ayant semble t'il pour cette fois-ci décidait de rester sage. Il ce dirigeait vers la porte laissant entendre un rire tonitruant a toute l'assemblée. Je le surveillais discretement du coin de l'oeil jusqu'a ce qu'il est atteint la porte.
---fromFRAnabella
Le jeu de la séduction a commencé, même si celle-ci est mystérieuse s'aventurant sur des pentes obscures... où la galanterie et l'absence de celle-ci se côtoient... désir de séduire, de plaire...

Bella aime ce moment avant la conclusion de la chose, aimant renouveler à l'infini ce jeu... mais ce soir, il est vrai qu'elle aurait peut-être aimé avoir un homme sans doute plus galant tout de suite... soit l'affaire s'avère plus compliquée que prévu, mais elle est prête à en relever le défi...

Sourires esquissés, regards fuyants, elle n'a pas encore vu son visage, mais la patience est de mise...

l'attrait de l'inconnu fait son charme aussi.

Pour votre bourse, j'ose espérer qu'elle soit bien remplie, Messire, enfin, à vous de voir ensuite où vous voulez aller...

Sourire en coin... le verre est reposé sur le comptoir, verre qu'il s'empresse de boire avant de lui répondre.

une sirène, on ne m'avait jamais comparé à une créature de l'eau, je suis plutôt une créature de l'ombre qui aime la luxure et si j'avais voulu être une vulgaire catin comme vous le dites, vous ne m'aurez pas à vos côtés ce soir...


La voix se fait joueuse, mielleuse, séductrice... pour qu'il se prenne entre ses mailles...

Parfois, elle se sent comme une mante religieuse à force de passer de bras en bras, mais point de mort dans ses bras, juste du plaisir, le désir de faire plaisir, d'apporter de l'extase... de faire naitre un feu d'artifice...

Il lèche la dernière goutte sur le verre, elle aurait aimé être cette goutte pour le faire saliver... mais elle préfère le faire attendre un peu elle aussi...

Votre offre était alléchante messire, mais le contenu me brule et me déplait... mais je ne voulais vous offenser... boire autre chose, j'avoue que l'alcool n'est pas mon ami, moi, c'est plutôt le plaisir... mais je ne vais pas vous laisser boire seul, soit, je vais suivre vos conseils...

Elle joue sur les mots avec les lui... tout est histoire de jeu... Se tournant vers Rexane, elle lui demande de lui servir à boire, mais tout en étant très discrète quelque chose de léger...

Vous saouler, là n'est pas mon but... je n'aurais rien à me mettre sous la dent... si vous voyez ce que je veux dire.

Elle rit d'un rire cristallin, espérant le dérider tout à fait et puis Marie arrive, et interroge l'inconnu sur le pourquoi de sa capuche... En vouloir à Marie de son intrusion, au contraire, elle lui en ai gré.

Elle peut enfin apercevoir son visage, les traits sont fins, la peau blanchâtre, le regard rougi... et pour la première froid, son regard vient se poser ouvertement sur son corps, le regard se fait caresse, et Bella frémit sous celui-ci.

Malgré l'intervention de Marie, il continue à s'adresser à elle.

M'en offusquer ? bien, au contraire, j'apprécie votre jeu, même si celui-ci est étrange dans le jeu de la séduction mais cela change... pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer ?

Son visage s'éclaire et elle le tente de son regard, appréciant son regard sur son corps...

A l'aise, Messire, sommes-ici en ces lieux pour nous sentir à l'aise ? une ambiance plus tamisée et surtout plus intimiste n'est-elle pas préférable pour cela ?

Le sourire se fait malicieux, voire d'une douce coquinerie, clin d'œil de complicité... le masque est tombé et elle se sent en effet mieux, surtout qu'elle voit qu'il est prêt à intervenir si la situation se dégrade entre Nérée et un homme qui est entré...

L''homme veut jouer, alors, il en aura pour son jeu...

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Entre mes bras, un baiser est une gourmandise sucrée qui ne fait pas grossir...
---fromFRmarie-jeanne
Marie dégustait son cocktail ,l'eau de vie mélée à la vanille lui donnait des coups de fouet à chaque gorgée et elle sentit ses joues rougir; elle se détendit appuyée contre le bar .
l'étrange personne ,client présumé de Bella ôta enfin sa capuche en la regardant un instant.
Un albinos!!!!, mais il avait néanmoins conserver ses cheveux magnifiquement blancs, ses yeux rougis, la dévisagèrent un instant puis il reporta son attention sur Bella et son verre.
Quel étrange personnage pensa marie, une seule fois elle avait eu l'occasion d'en croiser un quand elle était avec jean, elle savait que le corps de ces hommes étaient généralement sans poil et que leur vision était moins bonne.
Elle sourit à cette évocation, sa peau devait être lisse et douce.
était ce du au feu de la boisson ou à cette image fugace et sensuelle mais marie eut un long frisson, bien vite réprimé car la brute entrée il y a peu sortait en faisant un esclandre.
Marie observa aussitôt chloé venir parler avec Basilic.Ce malotrus aurait du mal à entrer la prochaine fois, Une intendante de premier ordre cette chloé,prête à veiller aux grains.

Il sortit alors que la tête du petit gars de la rue Montorgueil se profilait à la porte,marie douta que basilic le laisse entrer.

la Succube rayonnante et satisfaite était en affaire avec le beau blond et peut après sana et lui se dirigeaient vers un coin plus intime de la Rose pour poursuivre les préliminaires.

tout se passait admirablement bien , Marie ne voulait pas ôter le pain de la bouche à bella, ne sachant pas si elle était prête aussi tôt au jeu de l'amour.
Basil et ses deux acolytes lui semblaient pourtant si loin . Elle sourit et écouta les paroles de la belle blonde, tout en observant discrétement l'albinos de profil.
Des traits volontaires , une gueule pas belle mais virile pour le moins, un sourire narquois par moment , ou l 'on sentait pointer un réel plaisir du jeu !;
et une peau d'une telle transparence que sa propre peau laiteuse semblait sombre à coté.
Marie le trouva intéressant , Bella ne devrait pas s'ennuyer, et elle imaginait bien volontiers que sa vision plus faible devait être compensée par un toucher accrue.

Un petit rire s'échappa de ses lèvres rouges , elle faillit en lâcher son verre.

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---fromFRL'Albinos
Mon regard revînt rapidement sur Bella car celle-ci d'une voix de siréne me parlait. De nouveau mon attention était toute a elle, mon regard rouge était clairement posait sur elle mais d'une maniére fine. Je frissonnais intérieurement au son de sa voix et je là laissais terminer avant de lui répondre avec un léger sourire et un regard plein de désir.

Veuillez m'excuser, mon attention était porté sur autre chose pendant quelques instants.
Je crains de ne pas vous avoir totalement ecouté et j'en suis vraiment confus mais je crois avoir compris l'essentiel.


Je m'interrompis quelques secondes pour me souvenir des paroles de la belle et je repris aussitôt.

Ah oui! pour la siréne, je disais cela car le son de votre voix a la facultée de charmer les clients. Un atout idéal dans votre métier mais n'y voyez aucunes moqueries de ma part.
Rassurez vous, votre voix ne ma pas encore totalement charmé.


Je me mis a rire d'un air taquin.


Ne vous en faite pas, moi aussi j'aime plus le plaisir a l'alcool mais ça fait trop longtemps que je n'avais pas eu l'occassion d'assouvir ma petite faiblesse pour l'absynthe. Une faiblesse que je maîtrise parfaitement car je la modére connaissant l'effet néfaste de toute alcool et spécialement de l'absynthe sur un homme.


Je regardais Bella mais aussi la tenanciére et la curieuse qui m'avait demandé d'oter mon capuchon. J'avoue que sur le moment je trouvais plaisant d'avoir autant de femmes a mes petits soins.

A vous ecouter charmante Bella, vous semblez plus pressé que moi de gagner un endroit plus intime.
Auriez-vous plus de manque que moi? ou etes vous une déesse du plaisir que j'aurais tord de faire languir?


Je jouais avec mes cheveux blanc, attendant ma deuxiéme boissons et les réactions de Bella.
---fromFRAnonymous
Nérée qui croyait être tranquille en attendant le militaire n'était pas au bout de ses peines...L'homme, nouveau venu à la Rose Pourpre, la suivi puis lui prit de mauvaise grâce le poignet afin de se faire mieux entendre. Il la voulait pour une nuit rien que ça et semblait sur de son fait. La jeune femme ne dit mot d'ailleurs que pouvait elle bien rétorquer puisque celui ci ne lui laissa pas le temps de répondre. Justa avant de partir, il la gratifia d'un baiser..forcé puis s'en alla la tête haute et le sourire aux lèvres. Encore un peu sous le choc de "l'invitation prochaine", Nérée reprit son souffle et ses esprits. Un dernier verre, il lui fallait au moins ça pour finir la soirée qui avait pourtant si bien commencée. Elle fila vite au bar et demanda un alcool fort à Rexane..Aussitot dit, aussitot fait, Rexane se montrait d'une grande efficacité
Un rapide coup d'oeil à son hôte qui parlementer avec la Succube et réglé l'affaire. Nérée vida son verre d'un trait et reprit contenance, un geste sur ses lèvres pour effacer illusoirement un baiser non autorisé puis elle reprit place devant l'escalier ou le jeune Batiste attendait.

"Je vois que l'affaire s'est très bien déroulé Messire Batiste, venez avec moi que je vous montre mon alcove...La nuit nous appartient désormais"

Elle lui prie la main et tous deux montèrent à l'étage.
---fromFRMulot...
Mulot, après avoir poussé la porte, se retrouva face à face avec une femme, sur l'épaule de laquelle se tenait un serpent.

Le gamin frissonna, grimaça, avant de se défendre.

Attendez ! Je viens voir madame la Succube. Elle avait dit que je pouvais venir pour manger !
dit-il d'une petite voix plaintive.

Vous avez qu'à lui demander, sûr qu'elle dira que je ment pas !

Il pensa se faufiler entre les jambes de la portière, mais le serpent lui faisait trop peur et même avec son petit poignard qu'il cachait dans son pantalon, il serait impuissant devant l'animal, bien plus vif qu'un petit garçon comme lui.

Mulot se campa donc sur ses petites guibolles, espérant que sa requête serait acceptée, mais prêt à déguerpir si la jeune femme le menaçait de sa bestiole.

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---fromFRAnonymous

Batiste après avoir payer écouta les dernières paroles de la Succube et partit rejoindre Nérée, tout en traversant la salle il observa le manège qui se déroulait sous yeux et il vit petit à petit sombré la conscience des hommes par la vision des filles et de l'alcool.

Il était presque arrivé devant Nérée quand il vit un homme qui l'embrassa presque de force avant de partir.Batiste le regarda un long moment et voyant que l'homme ne revenait pas il revint à ses préoccupations de la soirée tout en gravant le visage de l'inconnu dans sa mémoire au cas ou..

Arriver en bas de l'escalier Nérée lui prit la main et il montèrent les marches ensembles en s'éloignant des bruits de fête et de l'ambiance sensuel de la salle pour arriver à l'étage encore silencieux à cette heure de la soirée.
L'ambiance était plus personnelle et bientôt derrière les portes fermé frissonneront les hommes et trembleront les lits.
Ils s'approchèrent de la chambre de Nérée et le coeur de batiste battit comme une première fois.
Il attendit un seul geste de Nérée pour rentrer.
---fromFRMariane
L’attention de Mariane n’avait quitté François que quelque secondes, le temps de remarquer que la salle se remplissait de clients. Belles, Sana et Bella avaient déjà pris compagnons, Rexane et Marie s’agitaient derrière le bar, servant d’ici de là, le regard de la dernière intriguait sa camarade. Elle se demandait comment Marie prenait cette première soirée, seule par sa propre décision, et pourtant, entourée d’hommes et de femmes séduisant. Tout comme Rexane, après tout, se dit la jeune Rousse frémissant légèrement au souffle chaud qui venait caresser son cou.

Elle était assise de profil au comptoir, les jambes croisées, le regard sur toute la salle –pour voir Nérée monter avec un sourire aux lèvres-, en particulier sur son client –pour remarquer la façon dont celui-ci l’observait-, les jambes toujours croisées de sa façon si ouverte, la robe remontant, un coude sur le bar, tenant de la main sa coupe de vin mi-pleine, ses mèches rebelles sur le visage.

Et la main qui remonta se dirigeant vers l’intérieur de sa cuisse la fit sourire avec un léger frisson, ainsi que les mots qui furent prononcés. François l’appelait catin, mais cela ne l’offusqua pas, c’est ce qu’elle était, ce qu’elle avait choisi d’être, et il était bon que le client s’en rappelle. Mariane ne voulait pas avoir à faire avec un éperdu amoureux qui gâcherait le plaisir de son travail. Car plaisir il y avait, comme, elle s’en doutait, chez toutes les filles de la Rose Pourpre en commençant par la maquerelle. Toute catin qui ne ferait ça que pour l’argent ne mériterait pas sa place dans un tel endroit de luxe, mais dans les rues. Et puis, Mariane continuait dans sa politique, comme quoi l’homme aime diriger et plaire. Elle laissait à celui face à elle les deux avantages.

La main chaude de François vint se poser sur la sienne, et la dirigea –justement– près d’où elle pourrait donner du plaisir. Mariane l’appuya et avec le petit doigt commença une caresse suave et frôlant de l’entre jambe masculin, déduisant, sourire aux lèvres, une virilité plutôt grande.

Mariane pose sa coupe sur le bar, et frôlant le torse à moitié dénudé de François, ramène sa paume experte et encore froide sur le front brulant de son amant d’un soir, puis ses doigts caressent ses lèvres fiévreuses.
Elle s’approche de nouveau de lui, ses lèvres à elle lui caressent la visage. D’un coup d’œil elle remarque que le verre de son homme est vide.


Tu ne va pas refuser à Rexane un verre de quelque chose de plus fort, de plus chaud, avant de monter, si ? Elle mordille son oreille Le plaisir ne sera que plus grand, si les sens sont exaltés par l’alcool autant que par mon corps.

Elle lui sourit, l’embrassant, et releva soudainement, la pliant avec une flegme féline et languissante, puis la décroisant, la jambe croisée sur l’autre, cette du haut, la posant sur celles de François, ouvrant ainsi totalement le passage de sa main sur la cuisse de la jambe encore pliée et lui remettant l’autre jambe, blanche délicate et musclée. Un plaisir ne vient jamais seul, et c’est pourquoi la femme fut crée avec deux jambes, et Mariane avec deux jambes tentatrices.
La main de la rousse remonta un peu encore.
Ne jamais oublier une partie de son corps, quelle qu’elle soit, et toujours en faire bon usage, telle était la loi d’une bonne fille de joie. Ce n’est pas parce qu’elle lui confiait ses cuisses, sa jambe et son pieds, qu’elle arrêtait le manœuvrèrent de ses lèvres et de sa main.

L’ambiance entre eux se réchauffait, bientôt, pensa Mariane, ils imiteraient Nérée et son client. Elle voulait juste tenter de le faire consumer un peu plus d’alcool, la fièvre ne serait que plus grande, et le plaisir mutuel que plus intense.

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Rexanne
Ses yeux noisettes quittèrent un instant le visage de l’homme albinos pour venir se poser sur le rustre qui rattrapait Nérée, lui adressant quelques phrases menaçantes bien que depuis le bar elle n’en saisit pas tous les mots, puis il s’éloigna en direction de la porte. Le regard noir de Rexane escorta l’homme au visage buriné et aux cheveux filasseux jusqu’à la porte, trouvant ce bonhomme déplaisant jusqu’au bout des ongles. Le visage de la belle se durcit, son regard se faisant plutôt éloquent sur son envie qui la démangeait de le transformer en poupée vaudou, elle aurait presque sentit ses froides colombes sautiller dans ses bottes contre la peau soyeuse de ses cuisses, elles ne demandaient qu’à s’envoler… Pourtant, maîtresse d’elle-même, la brune ténébreuse ne sourcilla pas, hors de question de faire désordre à la Rose Pourpre alors que la soirée avait été jusqu’à présent si agréable. Elle vit alors Chloé se lever et glisser quelques mots d’un air entendu à Basilic, Nérée ne serait a priori plus inquiétée…

D’ailleurs la jeune catin rappliqua bien vit au comptoir, visiblement un peu retournée et lui demanda un alcool fort. Avec un sourire compatissant la belle brune lui servit vite fait bien fait un petit verre de liqueur de Rose, fleur qui était après tout le thème de la soirée, et Nérée le descendit en un clin d’œil avant de retourner auprès de son amant éphémère qui avait réglé sa nuit auprès de la Succube.

Retirant son verre à l’Albinos elle le plongea dans un grand baquet d’eau sous le bar, la vaisselle se serait pour demain, au petit matin ! L’homme au teint blanc lui rendit son sourire en y ajoutant un clin d’œil et la jeune femme s’amusa de sa réponse, heureuse qu’il ne se soit pas offusqué de ses paroles…


Il est pourtant aisé de faire rougir mes joues de par la blancheur naturelle de ma peau. Mais effectivement il me faut bien plus de ce nectar vert pour y réussir.
Sans hésitation aucune, j'accepte votre offre pour reprendre un verre d'absynthe


Un sourire de connivence et la jeune femme lui prépara de nouveau un verre d’absinthe, ne lésinant pas sur la dose, la jolie n’étant pas voleuse et puis il fallait bien fidéliser le client. Alors qu’elle posait devant lui un verre de nouveau plein, l’Albinos y posait sa bourse, lui laissant le soin de piocher dedans les pièces pour régler ses consommations. Elle posa un regard étonné sur lui, surprise de la confiance qu’il lui témoignait, soit il croulait sous l’or soit il ne s’était pas assez fait voler dans sa vie pour être devenu méfiant.

Les bons comptes font les bons amis, je vous prie donc de prendre ce qu'il vous doit pour mes deux consommations.

La jeune tenancière partit d’un petit rire chaleureux qui secouait ses boucles brunes et faisait briller un peu plus ses prunelles malicieuses tandis qu’elle ouvrait la bourse sous les yeux de son propriétaire et en extrayait la somme correspondant au prix des deux verres consommés, ni plus, ni moins. Alors elle referma soigneusement les cordons de la bourse et lui tendit celle-ci avec un sourire amusé.

- Les bons amis dites vous ? Heureuse de constater que vous pensez revenir souvent !

Un sourire charmeur pour ponctuer ses quelques paroles et elle le laissa en grande conversation avec Bella et Marie, bien que cette dernière ne fasse qu’écouter, et débarrassa quelques verres, englobant la salle de son regard. Un peu plus loin, dans un fauteuil, Mariane et son client offraient à sa vue un nœud de jambes hors du commun, Nérée et son militaire avaient filés certainement à l’étage bien qu’elle ne les ait pas vu monter et Basilic était aux prises avec un gamin curieux. D’ailleurs son visage lui était vaguement familier, où donc l’avait elle vu ? Quelques secondes et la lumière fut, c’est dans les rues de Paris qu’elle l’avait vu, le petit effectuait de temps a autre quelques courses pour la Succube apparemment. Sana quant à elle avait entraîné son mignon vers un divan où la lumière était plus tamisée, pour mieux le croquer sans aucun doute. La brune tenancière se passa la main dans sa chevelure et réajusta les fines bretelle de sa robe écarlate qui avaient tendance à s’écarter, creusant et élargissant un peu plus son décolleté déjà vertigineux. Alors elle sourit à Marie qui était seule également et elle plaisanta…

- Alors ma belle, pendant ce temps on a le choix entre un petit verre ou une partie d’échec, qu’en dis-tu ?
Lyhra
Avoir l'oeil à tout... et l'oreille aussi.

Réussie oui, je le crois, et les clients ne sont pas venus les mains vides je te l'assure. C'est un bon début.

Tu as entendu celui qui vient de sortir ? Son rire m'aurait glacé le sang si je n'avais pas déjà eu affaire à pareil triste sire.
Il reviendra tu peux me croire,
il faudra le surveiller de près. C'est Nérée qui l'intéresse, vois avec elle demain si elle le connait, elle a m'a semblé faire une drôle de figure en le voyant.

Avait elle pris la bonne décision en mettant la douce Basilic à ce poste, certes elle avait un argument sifflant à disposition et de la ruse aussi, et puis elle était physiquement moins délicate qu'il n'y paraissait... mais un homme brutal et armé se laisserait-il impressionner et réduire au silence ? Ces brutes n'imaginaient jamais une femme capable de leur tenir tête.
Peut être qu'un homme fort en gueule et bardé de muscles aurait été une meilleure option, mais elle avait fait un choix et l'avenir lui dirait si c'était une erreur ou non.


Qu'en penses tu toi Chloé de cette soirée ? Es tu d'avis que nous aurions du donner un spectacle ou une saynète impudique pour ce premier soir ?
j'y ai pensé vois tu...

Excuses moi un instant je reviens.


Rapidement elle se dirigea à l'autre bout de la pièce et se coula sans bruit derrière la tenture qui séparait l'entrée de la grande salle, elle avait été repoussée par une petite main et cela ne lui avait pas échappé.

Tu as le chic pour apparaître quand on ne s'y attend pas toi ! Dès la nuit tombée, je ne peux te laisser entrer par ici mais si tu passes par l'arrière, tu pourras entrer aux cuisines et Baba te feras un bon souper.

Elle réfléchit un bref instant puis reprit,

L'homme, celui qui vient de sortir, trouves moi tout ce que tu peux sur lui, je paierai bien. Comme d'habitude ! Mais cela peut attendre demain matin sourit elle en disparaissant à nouveau derrière le lourd tissu broché.
sa tête réapparut,

Basilic ? Au moindre souci, n'hésites pas à user de ... persuasion.

Elle revint vers Chloé et termina son verre avant de poursuivre,

Au liquoré, je me souviens de spectacles dont les clients raffolaient ... nous avions même utilisé un énorme baquet de verre empli d'eau, la danse y fut fort brûlante bien que dans l'eau fraîche ! Je me demande... peut être pourrions nous prévoir quelque chose de semblable. Demain après déjeuner, fais en sorte s'il te plait de réunir tout le monde ici, nous en parlerons.

Veux tu boire quelque chose ?
Regardes les ... ne sont-elles pas toutes magnifiques ?

De la fierté transparaissait dans son regard allant de Rexane à Marie, suivant Bella et Nérée, s'attardant sur Mariane, revenant à Chloé.

Nous serons riches bientôt !
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---fromFRAnabella
Enfin, l'inconnu mystérieux face à Bella semble réagir à la magie des mots, au pouvoir du regard... et Bella sent qu'elle est sur la bonne voie du jeu de la séduction...

Sourire qui en dit long, regard pétillant... le désir s'installe quelque peu...

Le regard de Bella se veut complice, malicieux et coquin et c'est de sa voix féminine propre à sa condition qu'elle enchaine sur ses paroles.


Mais, vous êtes tout excusé par avance, Messire, je m'en voudrais de vous rendre si confus...

La complicité semble s'installer...


que je sois rassurée parce que je ne vous ai pas totalement charmé, alors, dois-je continuer à vous parler pour que vous soyez totalement charmé...

Et en disant cela, elle s'est rapproché de lui pour lui glisser des mots à l'oreille...


Plus près, cela renforcera-t-il le charme ?

Il la taquine et elle apprécie cela, voulant jouer avec lui.

Alors, pour l'alcool, je suis rassurée...


Même s'il est vrai qu'elle doit faire consommer le client, elle sait bien que l'absynthe est assez vite néfaste pour l'homme et elle a pas envie de se retrouver avec un homme auprès d'elle à moitié saoul...

Sa main s'approche de la sienne jusqu'à l'effleurer...


pressée, non, désireuse, oui, tout comme vous... en manque, mon cher ami, c'est la soirée d'ouverture, donc, je n'ai pas eu de plaisirs à assouvir depuis quelques temps... et quant à la déesse du plaisir, il ne tient qu'à vous de venir le vérifier...

Le voyant jouer avec ses cheveux, elle rêve d'y glisser sa main, le sourire toujours au bord des lèvres. Et puis, n'y tenant plus, elle joint ses gestes à son rêve et sa main s'approche de ses cheveux pour les toucher.
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Entre mes bras, un baiser est une gourmandise sucrée qui ne fait pas grossir...
---fromFRGirion
Girion avait suivit comme les autres l'entrée tonitruante de cet homme bourru, mais ne s'en était guère soucié. Il serait bien sur intervenu s'il l'avait fallu, mais il était à vrai dire trop envoûté par cette femme qui s'interrogeait à présent sur son identité en le tutoyant. Il ne s'en offense pas, au contraire, il s'en réjouit.

Mais où ai-je la tête, je manque à toutes mes obligations !
Je me nomme Girion, et suis originaire de Champagne. Mais heureusement pour moi qui suis un voyageur, je dispose de pieds à terre dans la plupart des régions du Royaume.


Une fois de plus elle lui sourit, assurément consciente de l'effet de chacune de ces attentions. La voilà qui descend lentement du tabouret, dépose une main sur le haut de sa jambe et lui propose d'aller poursuivre la conversation sur un des confortables canapés qui semblaient n'attendre que les couples en mal de commodité.

Ils se retrouvèrent donc sur un divan écarlate du meilleur ton, entourés d'une légère obscurité au combien appréciable. La distance entre eux s'était passablement réduite, répondant ainsi à la volonté du jeune homme de faciliter les contacts.
Il reprit dès lors l'initiative en faisant glisser son index le long de ce corps parfait. Partant de l'épaule, le doigt suivit ces courbes fameuses, passa sur la main délicate, embrassa la cambrure des hanches et finit sa course un peu au dessus du genou de la belle. Son coeur palpitait joyeusement, et son toucher s'exacerbait sous la douce et longue caresse.
Il remarqua quelques très légers frissons sur la peau dorée, mais rien ne se lisait sur ces traits orientaux. Sa main restait là, posée sur la cuisse ferme et élancée, tandis qu'il reprenait la conversation :

Mais peut être veux tu savoir autre chose ? Je n'ai guère de secret pour une si jolie femme...

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Tel est pris qui croyait prendre
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