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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

---fromFRFrançois_Villon
Le plaisir ne sera que plus grand, si les sens sont exaltés par l’alcool autant que par mon corps. lui souffla Mariane pendue à ses lèvres. Et la mutine tentatrice, sûre de son fait, ouvrant ses longues jambes et s'offrant à la main de François acheva de lui faire perdre sa raison en caressant ses hauts de chausses quelque peu distendus.

Et François, le souffle court, vit que Mariane semblait loin d'être insensible à ce jeu de séduction. Il précisa in petto pour lui même, Mariane semble loin d'être insensible à son propre jeu de séduction. La jolie rousse respirait plus vite et plus irrégulièrement, ce qui mettait singulièrement en valeur sa poitrine. Ses joues rouges et ses cheveux un peu en désordre malgré sa coiffure apprêtée et sa couronne de rose pourpre montraient également qu'outre l'argent, la jolie rousse ne dédaignerait pas de prendre son plaisir.

Et François sourit légèrement, cessant de l'embrasser pour lui caresser d'une main le visage alors que de l'autre, il caressait la jambe offerte. Non plus celle qu'il explorait audacieusement au plus près de la source du plaisir féminin mais celle qu'elle venait de lui livrer. Et il prenait son temps remontant des mollets aux cuisses, se délectant de cette peau douce et de ses muscles fins.

Oh Mariane, tu es plus capiteuse que tous les alcools du monde mais puisque cela te fait plaisir...


Et François se tourne vers Rexane lui demande un alcool de vanille ou de rose, comme il lui plaira.

Un seul verre, Rexane, Mariane le boira et je viendrai en gouter la saveur sur ses lèvres et sa langue


Et François se penche sur Mariane

Ce soir je ne m'enivrerai que par toi et que de toi, catin bien plus belle que les princesses et bien plus honnête que les femmes vertueuses. Bois, ma belle et après, je donnerai son dû à la Succube, si tu veux bien m'accorder, ta nuit et ton corps...
---fromFRAnabella
Bella ne cesse de frissonner à sentant la caresse du regard effleurer son corps, se délecter des ses courbes qu'elle sait généreuses... des ses monts et plaines qui jalonne son corps...

Elle sent bien qu'elle ne laisse pas son compagnon mystérieux d'un soir insensible et elle continue dans son jeu.

Lorsque leur deux regards se croisent, se jaugeant, cherchant à voir en eux deux, l'intensité semble comme monter d'un cran...

Les mots prononcés à son oreille dans un souffle qui vient chatouiller celle-ci renforcé de surcroit par le doux effleurement des lèvres sont comme une étincelle pour Bella qui s'attise encore plus sous le mordillement léger du bellâtre mystérieux.

C'est une douce chaleur qui inonde son ventre pour la faire se sentir encore plus désirable et désireuse.


Oui, Messire le mystérieux, dont je ne connais le nom, mais j'adore le mystère... vous êtes autant en proie que moi au désir...


Et pour lui prouver, de sa main, elle vient lui caresser sa cuisse à travers ses braies remontant vers le haut pour mesurer l'ampleur du désir...


Les deux me font très envie, mais je ne doute pas un instant que vous voyez de quoi je parle...

La voix se fait coquine, mutine, désireuse... les yeux s'emplissent de désir, plaisir, douceur coquine...

Vous aimez jouer, ça tombe bien, moi aussi...

Tour à tour, elle se veut chatte ou souris, féline ou passive...

Que diriez-vous d'un endroit où nous serions plus à l'aise ?


Bella a remarqué discrètement que Marie était avec quelqu'un au bar, et elle ne veut pas les importuner, et puis face à ce comptoir, l'intimité des deux êtres est restreint. Elle délaisse tout doucement le regard de son compagnon pour l'amener à ce qu'il regarde dans la même direction qu'elle : les fauteuils où déjà Mariane et Sana sont avec leurs propres compagnons d'un soir...

Lui laissant à la peine le temps de répondre, elle commence à y aller glissant sa main dans la sienne pour l'entrainer...

Elle passe devant lui, lui laissant ainsi tout le loisir de profiter son dos habillé de dentelles faisant apparaitre son aspect mystérieux à elle : ses tatouages, témoin de traces du passé.

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Entre mes bras, un baiser est une gourmandise sucrée qui ne fait pas grossir...
Lyhra
Cette fois chaque client avait trouvé une jolie femme pour compagnie et la nuit se révélait définitivement prometteuse.

La Rousse laissa échapper un soupir discret, soulagé, en reprenant place. Plus tard, quand son établissement aurait atteint une certaine notoriété, elle ne s’obligerait pas à passer la nuit juchée sur ce haut tabouret mais pour cette première soirée, et quelques autres, il n’était pas envisageable qu’il en soit autrement. Elle se devait d’être là. Attentive et disponible.

Sa tunique glissa, galbant ses cuisses comme la main d’un amant. Un amant… le bout de ses doigts lissa le tissu, lentement, la mettant au supplice d’autres effleurements. Trêve de sottises se dit-elle en affichant port de Reyne et sourire éblouissant. Profitez en mes belles… Ecus sonnants et trébuchants vous combleront au matin après plaisirs nocturnes…

Le décor se dilue, d’autres images apparaissent, le Liquoré… les lys sans parfum, la scène, le grand escalier… les mixtures affreuses d’Hécate qui décrochaient les graines germées… c’est ainsi qu’elle mesure le chemin parcouru, de simple catin elle n’avait tardé à occuper une place de choix auprès de Xénédra la patronne puis elle-même accédant à la première place avant l’effondrement du bordel.

Son esprit y revient de moins en moins souvent, à cette époque, se souvient encore de ses propres mots à Ylaibo, « je suis une fleur qui s’épanouit à l’ombre des puissants », aujourd’hui elle voulait la puissance pour elle même, la fortune, la liberté. Que son nom soit connu et que celui de la Rose Pourpre dépasse les frontières parisiennes et peu importe le temps que ça prendra.

Son regard d’absinthe subtilement brouillé par les fumées d’encens se fixe au-delà de la tenture qui dissimule la grande salle aux premiers regards, cherchant une certitude, complaisante … la justification à tout ça. L’amusement … le plaisir… aussi. Se souvient d’Hémophage et Doigts de Fée. Deux versants d’un cœur sourd aujourd’hui à ces fadaises.


Rexane, fais moi couler un filet de fée verte sur un peu de sucre s’il te plait.

La tenancière savoure l’instant sans se presser, désormais assurée du lendemain…
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---fromFRGirion
En réalité Girion espérait bien que sa compagne d'un soir ne donnerait pas suite à la conversation, préférant glisser lentement vers une autre forme d'échanges, plus charnels. Elle y met même un terme de la meilleure des façons. Ce doigt posé qui barre ses lèvres l'invite au silence et au laisser faire, ce à quoi il consent volontiers !

La tigresse se rapproche encore, à tel point que les deux corps se touchent de tout leur long et basculent sur les moelleux coussins. Les voilà allongés.
La température s'élève d'encore quelques degrés au moment où une main halée se faufile sous la tunique de l'homme, flattant un moment son torse imberbe. Ses doigts fureteurs déambulent, tâtonnent et titillent à volonté, suscitant l'amusement de leur "victime".
Le regard de la belle se relève, le fixe un court instant, avant que son visage tout entier ne plonge vers son cou, à la manière d'une créature nocturne.
Girion ferme les yeux et respire profondément pour profiter pleinement des délicates morsures.

La chasseresse alterne coups de langue et coups de dents pour plus d'effet. Et dieu sait quel effet !
Le sire libère quant à lui ses deux mains et les réunit sur le dos de Savanahh. De là, il leur propose deux desseins différents.

L'une d'elle remonte, pénètre dans la magnifique chevelure d'ébène et écarte légèrement ses cinq phalanges pour laisser filer les longues mèches.

La seconde prend le chemin inverse et part en quête d'une des nombreuses failles du délicat vêtement de la belle. Elle en profite naturellement pour sillonner paisiblement les monts et vallées qu'elle rencontre au gré de sa recherche.
Ça y est, elle trouve ! Une mince entaille au niveau de la hanche droite, tout juste assez grande pour la laisser entrer. Ni une, ni deux, elle s'y engouffre et retrouve le plaisant contact avec cette peau douce et satinée.

Plus haut, les deux visages sont revenus à portée de baiser, Savanahh ayant abandonné le cou de Girion désormais tapissé de petites marques rougissantes. L'homme percevait le souffle chaud de sa partenaire, tout en contemplant les traits de son joli minois.
Cette fois il n'y tenait plus, l'attraction était trop forte.
L'approche était lente mais effective.
Elle ne semblait pas reculer, mais il restait attentif.
Leurs lèvres étaient à présent tout juste séparées, accepterait-elle ce premier baiser ?

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Tel est pris qui croyait prendre
pnj
[Au dehors du bordel]

Le frère Sacanonne pose sa patte sale sur le carreau d'une lucarne de l'établissement. Il frotte imperceptiblement, tentant de gommer les traces de buée et de fumée qui s'est agglutinée à la vitre. Mais rien n'y fait, il n'entrevoit qu'à peine l'intérieur de la salle à travers de l'opacité de cette satanée fenestre.
Les ribaudes déambulent, les hommes s'y mêlent, ça rit, ça couine, ça bavarde... Sacanonne lui, renifle, et ramène ses doigts serrés contre son menton, comme deux mains priantes qui cherchent surtout à se démordre du froid de l'hiver. Il souffle contre ses phalanges, mirant de ses yeux torves, contre la surface plane de la lucarne.
Ainsi le bordel avait finalement rouvert. Et la fière Succube lâchait ses femmes de joie aux bras des payants... Luxure, vilainie. Le moine en mord une perle de son chapelet. Et entre ses lèvres sèches, grommelle que l'ange déchu aura le coup tordu, de tenter ses fidèles. Oui, décidément, il faudra porter un peu la bonne parole au ceint de ce trou puant d'âmes damnées. Distribuer quelques flagelles, du moins, et baptiser en masse.

Le frère contourne un petit pan de mur, rasant la chaux et frottant le sol de ses semelles. De son pouce il détache une petite gourde de son ceinturon de corde, et fait sauter le bouchon. L'eau est bénite de ce matin. Et d'un geste rapide, envoie une lancée de liquide en arc de cercle, à la porte de la maison close. Il arrose même la cuisse passante d'une blonde sertie d'un serpent.


Gniah ah ah !... Ca f'ra suer Satan...

Il s'empresse de retourner d'où il vient, à pas rapides et courts, en murmurant contre le col de sa bure :

Artem quævis amor corporae ad nauseam... pfeuh !
Lyhra
Perdue dans ses rêveries la rouquine maquerelle fronça un sourcil narquois devant le vague mouvement perçut à l’une des fenêtres et qui la fit revenir à la réalité, on observait du dehors…

Bien sur les curieux devaient être nombreux après toute l’agitation des dernières semaines, le bruit avait eut vite fait de courir que le bordel reprenait ses activités au Quartier Pourpre et ceux qui n’avaient pas les moyens devaient rôder en quête d’un bout de téton à voir à défaut d’y toucher ou de quelques piécettes à grappiller au passage.

La lumière se reflétait dans le carreau mais la trogne lui disait quelque chose… et c’était assez récent… A force d’y penser et de passer en revue les lieux où elle était allée, la rousse se souvint.

Le moine qui bâfrait des navets dégoulinants chez les Pissevin !
Il l’avait traitée de haut le moinillon et maintenant voilà qu’il venait se rincer l’œil sans payer… Tous les mêmes… ça a l’air de n’y pas vouloir toucher mais qu’est-ce que ça regarde en bavant ! Dégoutant va !

Dommage qu’il disparut si vite de son poste d’observation elle lui aurait fait signe d’entrer au Paradis, pour un homme de Dieu, quelle aubaine.

Cela lui rappela ce moine, bon client, quelques touffes éparses de cheveux roux cerclant l’inévitable tonsure, un ventre bombé surplombant de courtes jambes incroyablement poilues. Il devait bâcler les prières de matines tant il arrivait soufflant et suant pour repartir une bonne heure plus tard, les bourses flasques pendouillant sous sa bure. Où trouvait il l’or pour s’offrir la fille qu’il déguisait en nonne avant de la chevaucher en ahanant quelques psaumes ?
Nul ne posait la question mais toutes riaient sous cape en empochant leur dû.


Sitôt servie par Rexane, elle irait se lover dans un de ces sofas de velours où l’on avait jeté des pétales de roses et attendrait confortablement que la nuit avance …

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Rexanne
Le jeune homme qui convoitait tant Basilic parut un peu déçut de ne point pouvoir satisfaire son désir mais en homme sensé il n’insista pas et ne vit pas d’inconvénient à venir les retrouver au bar, la Succube l’escortant. Il s’installa alors auprès de la jolie Marie, face à la ténébreuse Rexane, saluant courtoisement les deux jeunes femmes, déposant sur la peau douce de leurs mains un léger baiser d’un effleurement de ses lèvres. D’ailleurs sa compagne ne perdit pas de temps et saisit l’occasion pour approcher et commencer à envoûter le mignon libertin, lui faisait goûter au passage quelques gouttes de son hypocras sur son doigt fin en une caresse sensuelle.

Inévitablement le nouveau client tomba sous le charme de la brunette, à une vitesse vertigineuse, ses sourires et ses regard à la jeune catin en disaient long sur le désir qui s’emparait de lui, apparaissant visible comme le nez au milieu de la figure. Ses doigts frôlaient déjà le corps de la belle et Rexane sourit, amusée de la façon dont on peut faire changer d’avis un homme, un sourire, quelques promesses sous-jacentes et il plongeait dans sa poche ! Il dit désirer la même boisson qu’elle, ni une ni deux, la jeune tenancière du bar ne se le fit pas dire deux fois, elle n’aimait pas faire attendre ses clients, elle servit une nouvelle coupe de nectar ambré qu’elle déposa délicatement devant le jeune tombeur.

Elle eut ensuite le temps de boire tranquillement quelques gorgées de sa propre coupe, ses yeux parcourant la salle, allant d’une de ses amies à l’autre, souriant ça et là à la vue des scènes qui se déroulaient sous ses yeux. Les filles faisaient admirablement leur travail, semant du rêve et faisant germer du désir dans le corps et la tête de leurs amants, leurs procurant des moments de plaisir qu’ils n’étaient pas prêts d’oublier ! Dans un fauteuil assez proche Mariane et son client, un certain François semblait-il, avaient l’air assez avancés dans le jeu de le jeu torride qu’était celui de la séduction, leurs bras et leurs jambes étant tellement emmêlés qu’il était presque impossible de distinguer quoi appartenait à qui… Le jeune homme pourtant réussi à se tourner vers le bar, demandant à la responsable de leur apporter un nouveau verre d’alcool. Celle-ci reposa son verre d’hypocras dans un sourire et servit un verre d’alcool de Rose, assorti avec la couronne de fleurs de sa jeune amie, qu’elle leur apporta aussitôt, la déposant sur une table basse devant eux sans les déranger et revint derrière le bar, a sa place.

La Succube vint bientôt lui tenir compagnie, rêvant, perdue dans ses pensées un moment, et Rexane respecta son silence, finissant tranquillement sa délicieuse coupe qu’elle tenait délicatement comme un objet précieux fragile et qui se respecte. Finalement la maquerelle à la splendide crinière rousse sortit de sa brume intérieure et lui demanda un sucre imbibé d’absinthe… Un sourire entendu et la jeune brune posa sur le comptoir un verre sur lequel elle mit une cuillère en équilibre surmontée d’un peu de sucre. Apprêtant la bouteille ou transparaissait le liquide vert elle demanda :


- Je vous le flambe ou vous le prendrez comme ça ?

Elle admirait ces personnes capables de boire ce liquide infernal, elle-même s’y était essayé et bien qu’appréciant l’alcool plus que de raison elle devait bien reconnaître que même avec un sucre l’expérience ne l’avait guère emballée, l’alcool semblant s’insinuer perversement dans toutes les cellules de sa bouches, les endormant une par une au fur et a mesure qu’il traversait ses muqueuses pour finalement avoir une bouche brûlante dans laquelle plus aucunes sensations ne se faisaient sentir durant quelques minutes… Une sensation amusante mais qu’elle ne souhaitait réitérer trop souvent !
---fromFRL'Albinos
Je venais de mordiller légerement le lob de son oreille et je sentais que la belle avait appreciée cela. J'avais repris place sur le tabouret la fixant droit dans les yeux. De plus belle elle reprit son chant mélodieux, si elle n'était pas siréne elle en avait en tous cas la faculté vocale de charmer ses interlocuteurs.

Oui, Messire le mystérieux, dont je ne connais le nom, mais j'adore le mystère... vous êtes autant en proie que moi au désir...

Je commençais a entrouvrir ma bouche pour lui répondre, mais déjà sa main caressait ma cuisse remontant lentement vers ma virilité qui sous sa caresse ne restait pas de marbre.

Les deux me font très envie, mais je ne doute pas un instant que vous voyez de quoi je parle...

A cela je ne lui repondis que d'un sourire et d'un regard dévorant sous ses airs mielleux.

Vous aimez jouer, ça tombe bien, moi aussi...

Que diriez-vous d'un endroit où nous serions plus à l'aise ?


Une question dont elle ne me laissa pas le temps de répondre, m'entrainant par la main vers les fauteuils. Je n'eut que le temps de ramasser ma bourse d'écus et d'emporter aussi ma fée verte.

Elle me laissait ainsi admirer les courbes de son dos, ses hanches et deviner aussi ses fesses mais ce sont surtout ses tatouages qui attirérent mon regard.

Je pris place sur un de ces magnifiques et confortables fauteuils l'invitant a venir sur mes genoux. Ma curiosité sur l'instant l'avait emporté sur le reste et je ne pûs me passer de lui demander la signification de ses beaux tatouages.


Trés confortable, vous aviez raison siréne.....

Je pris une légére gorgée de mon absynthe avant de reprendre.

Vos tatouages sur votre dos, ont-ils une signification particuliére?

Je ne sais pourquoi mais je les voyais encore dans mes pensées et j'étais impatient d'entendre sa réponse.
---fromFRAnabella
Bella jubile, se sentant de plus en plus désirée... surtout en sentant l'œil qui se fait caresse et désireux de son compagnon mystérieux d'un soir, détaillant chacune de ses courbes...

Elle est habillée et pourtant, un doux frisson la parcourt de l'extrémité de ses cheveux à la pointe de ses pieds... touchant chaque parcelle de sa peau... Sous un simple regard, elle serait prête à s'enflammer tellement elle est est désireuse...

Elle adore ce jeu, le jeu de la séduction, plaire et faire plaisir avant l'aboutissement final de toute joute amoureuse.

Arrivés près des fauteuils, il s'assoit l'invitant sur ses genoux, elle ne peut qu'acquiescer, et le rejoindre.

Et elle s'assoit gracieusement sur ses genoux prenant soin de remonter sa robe quelque peu pour éviter qu'il ne se prenne dans celle-ci, dévoilant ainsi ses chevilles fines et le début de ses mollets. Sa peau est laiteuse, semble soyeuse comme le tissu d'une robe..

Sa cheville se frotte quelque peu à ses braies... elle se serre contre lui faisant s'écraser légèrement sa poitrine contre sa chemise.

Ses bras viennent tout naturellement se positionner autour de son cou jouant avec ses cheveux blanc.

A travers le tissu de sa robe et celui de sa chemise, elle sent son corps qui répond... Sa poitrine à elle se soulève par moment, dévoilant la naissance de sa poitrine et son émoi qui grandit...

Elle lui sourit... et lorsqu'il achève de boire sa gorgée d'absynthe, elle lui répond tout en lui caressant sa nuque et en le regardant au plus profond de ses yeux...


Ah mes tatouages ? ils vous intriguent, c’est pour rajouter du mystère, je vous dirais un jour peut-être la signification... un jour, mais pas ce soir… sinon, vous ne reviendrais plus gouter à mes charmes… chaque chose en son temps, vous pourrez déjà les admirer tout à votre aise si vous le souhaitez toute à l’heure.

Une goutte de son breuvage est restée sur ses lèvres et Bella vient cueillir cette goutte verte de son majeur tout en effleurant légèrement les lèvres pour ne rien perdre avant de le porter à ses lèvres et en gouter la saveur.

Humm, meilleur que la première fois.


Bella lui adresse un clin d’œil coquin…
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Entre mes bras, un baiser est une gourmandise sucrée qui ne fait pas grossir...
---fromFRL'Albinos
Elle vînt s'assoire délicatement sur mes genoux n'omettant pas de bien se coller usant ainsi de tout ses charmes pour m'attirer encore plus a elle. Une de mes mains tenait mon précieux breuvage pendant que l'autre se reposait quelques instant sur le bord du fauteuil.

Je fût soudain légérement deçu de sa réponse concernant ses tatouages.


Ah mes tatouages ? ils vous intriguent, c’est pour rajouter du mystère, je vous dirais un jour peut-être la signification un jour, mais pas ce soir… sinon, vous ne reviendrais plus gouter à mes charmes… chaque chose en son temps, vous pourrez déjà les admirer tout à votre aise si vous le souhaitez tout à l’heure.


Mais j'avoue qu'elle avait plus au moins dit ceux a quoi je m'attendais, laissant ainsi une part de mystére. Elle était donc bien joueuse et je me délectais de cela justement.


Mefiez-vous siréne, je suis capable de revenir juste pour connaitre l'histoire vos beaux tatouages. Vous voulez jouer, soit alors jouons.

je pris délicatement sa main et trempa un a un les bouts de ses doigts dans mon verre avant de lécher lentement du bout de ma langue les gouttes d'absynthe les parcouraient. J'allais entamer un jeu un peu plus osé mais je m'arretais lui adressant un sourire et quelques mots des plus sérieux.

Avant de ne trop jouer, peut-être que votre rousse patronne apprécierait que je lui verse quelques écus.

Je pris ma bourse, l'ouvrit et la donnait a Bella.


Je vous prie apportez cela a votre maquerelle qu'elle prenne ce que je lui dois.

De mes mains se posant sur les fesses de la catin je là poussais légerement l'invitant ainsi a donner l'argent a la maîtresse des lieux.
Mon regard ce portait a cet instant dans la direction de la maquerelle et je lui fît un signe courtois de la tête.
---fromFRmarie-jeanne
Le goût de son doigt avait du lui paraître satisfaisant Jordan commanda un verre d’hypocras, puis sans plus s’attarder il prit l’initiative ;

Le mouvement de la main de Jordan sur sa cuisse, confirma à Marie que le beau Ténébreux était prêt à oublier basilic,
sa main ferme et chaude commença une lente remontée sur son corps pour venir effleurer son sein nu,
Dans un geste tendre et au combien galant il réajusta sa bretelle.
Leurs visages étaient tout prêts et la bouche de l’homme vint se perdre au creux du cou gracile de marie, en lui prenant la main et la portant sur sa propre chemise, il lui murmure


Je peux vous dire que je ne pense déjà plus a ce qui s'est passé tout a l'heure, votre sourire m'a fait tout oublié ravissante Marie....
Pour le repas je vais me fier a vous, choisissez ce que vous voulez, mais d'abord j'aimerais prendre un bon bain, je n'aime pas dîner en si bonne compagnie dans cet état, je ne suis pas vraiment présentable.


Baisers exquis sur sa peau laiteuse, marie frémit, à son tour, s’approchant de son oreille bien ourlée, et faisant glisser ses doigt sur la fine chemise, en un mouvement lent rotatif,

elle lui répond : Je suis bien aise, mon ami, de vous plaire, elle le regarda un instant soutenant son regard sombre,
Ma chambre est disponible, je peux vous aider à prendre votre bain, et je me permettrais de vous procurer un délassement complet de votre corps fatigué,

Ses lèvres couraient en disant ces mots, sur les joues de Jordan, glissant en un frêle mouvement vers ses lèvres pleines ;

Je dois dire murmura t’elle encore, que vous ne m 'êtes pas indifférent et que je prend un plaisir réel à vous servir.

Sa cuisse bougeait lentement effleurant ’l intérieur des cuisses du jeune homme, elle le sentit refermer ses jambes sur son genoux,

Marie eut un sourire malicieux, de sa main libre, elle enlaça la tête de l’homme, posant ses doigts menus sur sa nuque tendre,

elle se mit à lui masser le cou, alors que ses lèvres cherchaient à butiner la bouche souriante de Jordan.

Elle continue encore : Je suis disposée à exaucer vos voeux les plus chers mon ami,
et pour ce qui est du dîner, nous aviserons après le bain voulez vous.


Son regard coquin et mutin vint capter a nouveau les pupilles brillantes du jeune amant.


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---fromFRSavanahh

Le jeune homme reste silencieux, les paroles semblent d’ailleurs bien inutiles, voire dérangeantes. Leurs regards, leurs gestes et leurs soupirs sont suffisamment éloquents …

Les chuchotements discrets, naissant dans l’intimité des canapés et des fauteuils voisins, et les froissements de l’étoffe, sous les doigts de Girion, sont les seuls bruits, infimes, furtifs, qu’ils peuvent percevoir. Les échos des conversations, au comptoir, ne parviennent pas jusqu’à eux …

Une main du jeune homme se met à jouer agréablement dans les boucles sombres de la chevelure de Sana. L’autre franchit peu à peu le rempart fragile et soyeux de la robe écarlate, découvrant une fente suffisamment large pour s’y glisser, et elle caresse doucement la peau halée de la fille des îles. Savanahh se cambre imperceptiblement, pour permettre aux doigts de Girion d’explorer davantage ses hanches fines, et la naissance de ses fesses, hautes et fermes.

Leurs souffles se mélangent, leurs regards se pénètrent, intenses, profonds. Celui du charmeur exprime un désir violent, puis se voile d’un léger doute, un court instant. Il se penche toutefois vers l’avant, lentement, vers le visage bronzé et souriant, vers les lèvres rouges et charnues. Sa main est toujours occupée à caresser la nuque de Sana, mais il a l’élégance de ne rien imposer. De ne pas contraindre …

Et Sana tend la bouche vers lui, sans attendre. Vers ce long baiser qu’elle devine déjà troublant, sensuel. Un instant d’hésitation, très bref, puis sa langue part à la rencontre de l’autre langue … elle s’y enroule, la taquine, la fuit, la poursuit, dans un tendre duel. Les yeux coquins de la belle métisse scintillent comme un ciel étoilé. Elle se serre contre le jeune homme, pressant délicieusement sa poitrine généreuse contre son torse viril, ondulant doucement dans ses bras.

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---fromFRBasilic
Basilic aimait les regarder. Les filles qui usaient de leurs charmes. Et les hommes... Ah qu'il était mal avisé de penser par un endroit si peu approprié à cela. Les écus en tomberaient, la Succube y veillerait. Et les filles en seraient ravies. Ainsi, elles pourraient faire des emplettes, plus tard, quand le calme sera revenu.

L'endroit était vivant et c'est tout ce qui importait. Depuis les catacombes, Basilic n'avait pas vraiment apprécié le climat et la chaleur humaine. Et juste le fait de les voir tous déambuler lui réchauffait le coeur. Hélàs pour le plus brave des hommes, malgré cela, elle resterait frigide à la moindre avance. Elle n'était pas des leurs, et ne le serait jamais. Juste la gardienne de la porte d'entrée.

Puis soudain, la chaleur humaine aidant, elle eut chaud. Elle décida d'aller profiter un peu de l'air frais du dehors et ensuite de revenir le corps apaisé.

C'est là qu'un animal se figea devant elle. Il semblait attendre quelque chose, mais Basilic ne pouvait l'aider. Quand il fut près d'elle, elle lui caressa la tête et puis retourna à l'intérieur du bordel.

L'atmosphère était identique. Elle resta un instant à regarder les gens puis décida de se remettre en place. C'est à cet instant qu'elle sentit de l'eau sur sa jambe. Ca aurait plus être la pluie – elle n'avait pas fermé la porte d'entrée – mais comme elle venait juste de sortir, elle avait remarqué qu'il ne pleuvait pas. De plus, vu la quantité d'eau, ça aurait plus ressemblé à un torrent qui tombait sur elle, telle une cascade dans la forêt où elle avait trouvé Sfsik.

Elle se retourna vivement et vit au loin, la bure d'un curé, abbé, évêque... d'un croyant s'enfuir à toute jambe. Alors pour se moquer, elle hurla à son intention.


Ahhh. C'est douloureux, qu'on vienne vite me soigner.
Je brûle, je flambe, qu'on m'enlève cette saleté.


Et tout en hurlant, elle rigola. Ce moine avait déjà eu le courage de venir voir ce qui se tramait ici même. Et pour cela

Juste le fait d'être venu
dejà, Satan t'a eu.


Finit-elle par dire.

Ne trouvant plus d'utilité à rester dehors, elle rentra et ce coup-ci elle ferma la porte de la poutre en bois.

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Serpentant en transversal dans la salle, personne ne saurait esquiver son désir de suivre les principes d'une tenue somptueuse...
---fromFRjordan13
Il sortit quelques ecus de sa bourse afin de payer la belle Rexane et se delectait du breuvage agreablement preparé par elle meme tout en se noyant dans le regard sombre et au combien envoutant de la douce Marie et l'on put lire dans ses yeux que la belle l'avait conquis..
Le genou de la jeune femme vint se frotter delicatement contre son entrejambe, ne le laissant pas indifferent, son desir de gouter sa peau si satiné ne faisait que s'intensifier face aux caresses de la belle.

Les murmures de la jeune catin firent sourire Jordan.

Attentif a l'appel de ses levres, il ne put s'empecher de tourner la tete afin de gouter aux levres pulpeuses de la charmante Marie, leurs levres se frolerent avec finesse, pour enfin se caresser, les levres de la catin n'etaient que pure douceur.
Les baisers echangés etaient d'une incroyable sensualité... il put gouter a la douceur de sa langue alors que leurs levres s'entrouverent...Leurs langues se cherchaient, se provoquerent pour se melanger le temps d'un fabuleux baiser..Son corps bouillonnait de desir pour la douce...

Son coeur s'emballait pour Marie, sa reine d'un soir, un soir qu'il voulait inoubliable pour lui comme pour elle.

Ses levres reculerent ensuite de celles de la jeune femme, pour venir se poser pres de son oreille et il lui suçurra quelques petits mots.


Je serai ravi de vous suivre dans votre chambre, delicieuse Marie, afin d'y prendre un bain, et aussi, de mieux vous connaitre...Laissez moi vous dire que vous etes vraiment exquise, je serai fier et honnoré de pouvoir passer cette nuit avec vous..

Ses mains caressaient ses cuisses fermement, tandis qu'il lui mordillait gentiment le lob de l'oreille, attendant la reponse de la divine catin..
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---fromFRAnabella
Agréable sensation que celle de sentir sur ses doigts la douce caresse de lèvres avides, puis la langue curieuse de gouter... faisant ainsi augmenter le désir, la tentation, la luxure...

Les yeux se cherchent, se découvrent, sourires... tout est histoire de douce coquinerie pour le moment...


Me méfiez ? de vous ? devrais-je avoir peur de vous ? le mystère m'attire tout comme vous... revenez...

La caresse de la bouche sur les doigts s'arrête, frustration... et puis, lorsqu'il lui donne la bourse, elle sait que le jeu va continuer... et cela la ravit... sentir qu'elle charme, qu'elle plait... cela ne fait qu'accroitre son désir...

Le sourire qu'il a est partagé par Bella... elle sait ce que cela veut dire, et rien de penser à la suite, elle en salive d'avance.

Un dernier regard, sa main sur ses fesses, douce caresse, certes fugace, mais o combien annonciatrice de la suite.

Elle se lève lui souriant d'un air complice et s'en va avec sa bourse, ondulant légèrement le corps pour lui montrer ce qu'elle est capable de faire et qu'il ne perd rien pour attendre.

D'un pas souple, elle se dirige vers la Succube, sourire charmeur...


Ma chère Succube, mon mystérieux compagnon d'un soir vient payer son du... Voici sa bourse... je vous laisse prendre ce qu'il vous revient pour que nous puissions jouer d'avance.

Elle se penche vers elle et lui glisse tout bas quelques mots.

C'est un joueur comme je les aime, et je suis sure qu'il reviendra par la suite...

Puis, d'un air détendu...

La soirée se passe comme vous voulez ?

Elle lui tends la bourse, regardant son compagnon éphémère, lui envoyant de la bouche un baiser sucré... et un regard qui en dit long sur la suite.
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Entre mes bras, un baiser est une gourmandise sucrée qui ne fait pas grossir...
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