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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

---fromFRL'Albinos
Je me sentais bien dans ce fauteuil dés plus confortable, je regardais les mouvements du corps de Bella qui s'approchait de sa maquerelle lui tendant ma bourse et echangeant quelques mots avec elle.

Lui laissant conclure du prix avec sa patronne, je me repris et mes yeux déjà observaient inlassablement tout les coins et les recoins de cette piéce.
Je triturais mes pensées, ummm beaucoups de catins, beaucoups de clients et un seul cerbére a la porte. Je me demande si cela est bien suffisant, humm je me doute bien que le cerbére sait ce défendre et que son serpent doit en refroidir certains mais..... Je parlerais a la maquerelle aprés mon affaire avec Bella, je verais bien.

Sur ce j'oubliais mes idées me contentant de terminer lentement, trés lentement ma fée verte en attendant le retour de la belle tatouée.
---fromFRMariane
Marie qui prends client, ça méritait le regard en coin que Mariane lui jeta, frémissante : par la surprise, par l'angoisse de voir son amie dans le premier état ou elles s'étaient connues, par l'amusement que le jeu de toutes les filles lui procurait, ou par cette main qui, ayant lâché sa cuisse, se posait à présent sur son pied puis son mollet ?
François reculait-il ? Laissant ainsi la douce peau de Mariane prendre froid après avoir eu loisir de se réchauffer sous la main brulante de son amant du soir ? Bien sur, elle savait qu’il ne le faisait qu’afin de faire durer le plaisir et elle en souriait, caressant la main qui modelait son visage. Il n’était donc pas si pressé que ça, ce qui indiquait une longue nuit de plaisirs devant eux.

Les flatteries fussent entre murmures qui ont de plus en plus de mal à garder leur froids et leur distance, ainsi que leur ton à chaque syllabe pareil. Ils sont entrecoupés de respiration et de soupirs, de sursauts aussi, quand le petit doigt de Mariane appuie d’avantage sa caresse, ou quand les mains de François frôlent la peau blanche de la rose rousse.

Une boisson leur est tendue par Rexane. Les coussins des chaises hautes face au bar permettent aux deux amants de s’enlacer, se séparant quelque fois, pour que le feu ne brûle que plus fort à leur prochain contact.


Je t’accorde ma nuit, mon corps, et même mon plaisir, pour créer le tien.

Elle feinte un baiser, mais ses lèvres ne caressent que le coin de ceux de François, puis, le bout de la coupe d’où ils boivent une gorgée. Une longue gorgée, une lente gorgée, même si elle ne boit qu’une très petite part de l’alcool de Roses. La pensée qu’elle devrait penser à en féliciter Rexane lui traverse l’esprit, pendant qu’elle approche ses lèvres encore humides de ceux de François. Il voulait goutter la boisson de la sorte, n’est-ce pas ?
Mariane sais faire, elle à trempé ses lèvres plus qu’elle n’a bu, il est hors de question que la fille de joie perde ses sens, car quoiqu’elle veuille faire penser au client, c’est elle qui gère le bal, et c’est sous sa responsabilité que se déroule la soirée.

A peine les deux paires de lèvres se séparent, la coupe vient rejoindre ceux de François. Mariane lui donne à boire quelque gorgées tout en continuant en constant va-et-vient sur l’haut de cuisse de son homme, tantôt frôlant et ne laissant que supposer un soupçon du passage de ses mains, tantôt plus fermement, usant de l’effet de surprise produit comme prétexte pour rire entre les dents, de son rire doux, aimable et mutin.

Mariane commença une caresse de torse de François, et sauta le bouton ou était la fleur pour ouvrir le suivant. Les Roses ne doivent tomber qu’au dernier moment, qu’au meilleur moment, qu’à l’apogée. Ca leur donne une symbolique.
Ses lèvres continuaient une caresse tout aussi douce que presque brutale du visage entier de François. Tantôt, elle s’arrêtait, laissant le soupire d’extase de son client en suspens, pour faire boire et lui faire boire, cette boisson qui, au début de la coupe les rafraichissait dans leur fièvre, mais qui, plus ils s’enfiévraient plus elle les réchauffait.
La Rose cependant a toujours les mains quelque peu froides tandis qu’elles le caressent. Plaisir, oui, mais administré, contrôlé, professionnel. Quel genre de plaisirs pourrait-elle lui offrir, en intimité, si une fois arrivés dans la chambre, ils sont si chauds et si pressés qu’ils ne peuvent attendre ?
Elle mène la danse et à envie de la faire durer.

Une dernière fois elle plonge ses lèvres dans la boisson, laissant les gouttes sur ses lèvres, elle fini celles de la coupe.


Navrée, l’eau de rose est c’est terminée…

Un double sens peut-être, et un sourire coquin pendant qu’elle mordille sa lèvre inférieur et que de son index elle caresse ses propres lèvres pour aller cueillir la rosée. Et dirige ce doit là, ensuite, vers une très douce et lente caresse des lèvres masculines. Pour finir avec un baiser tout en douceur, alors que la main caresse la nuque de François, et celle qui jouait avant sur son haut de cuisse, remonte sans défaire le contact, vers son torse, sa gorge, sa pomme d’Adam. Au même temps que les lèvres se séparent, la main en question se pose à un cheveu de distance de ceux de François. Peut-être pour indiquer le silence.

Les joues se frôlent, se caressent, le souffle de Mariane murmure à l’oreille de son client.


Allons.

La main qui caressait la nuque se pose sur celle qui tien désormais sa cuisse, et la relève avec soins, tandis que son pied retouche terre, et qu’elle descente de sa place avec flegme languissante. Mariane tire doucement de la main de François, et quand celui-ci se relève à son côté, se pose sans gène sur ses fesses, sans serrer, mais faisant sentir sa présence.
Elle se met sur la pointe des pieds pour faire une dernière instruction au creux de son oreille.


N’oublie pas son du a Rexane pour notre dernière coupe.

Et pour la première fois de la soirée, après l’avoir mené à seulement quelques pas de la Succube, le contact des deux corps se rompt.
Mariane fait un clin d’œil discret a la maquerelle, des sourires à Rexane, et un dernier coup d’œil à la salle et aux filles encore présentes.
Puis, se dirige vers l’escalier, où, après monté deux marches, elle s’appuie contre un mur tapissé, relevant son genoux, et caressant avec son pied cette tapisserie murale, qui encadre la montée des amants d’un soir, vers la destinée de la nuit.

Un doigt sur les lèvres, la robe par le geste de ses jambes, relevée et dévoilant presque l’indévoilable, elle attends, en le regardant, le plaisant François.

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---fromFRmarie-jeanne
Jordan, se montrait plus téméraire et ses longues mains douces et chaudes caressaient lentement les cuisses de Marie.

Je serai ravi de vous suivre dans votre chambre, délicieuse Marie, afin d'y prendre un bain, et aussi, de mieux vous connaitre...Laissez moi vous dire que vous êtes vraiment exquise, je serai fier et honoré de pouvoir passer cette nuit avec vous..

Le mordillement répétée sur son lobe d'oreille et les doux murmures, faisait monter une sourde chaleur dans le corps de Marie.
Elle se rendait compte que cela lui avait manqué, tout ce temps sans amant, elle occultait évidemment Basil et les deux porcs.

Marie jouait avec les lèvres de l' homme, et sa main sur son torse se glissa sur la peau nue , lente caresse sur le ventre .

Jordan se tendit alors que ses mains remontaient un peu plus sous sa robe, marie à son tour écarta légèrement les cuisses, simple promesse d'un aprés;

Sa langues joueuse et gourmande,venait provoquer celle du beau jeune homme, leur lèvres se soudèrent en un baiser brûlant, Marie caressait toujours la nuque du jeune homme,
puis lentement elle se recula a son tour,

je pense que nous allons y aller, si tout est en règle avec la Succube, laissez moi un instant je reviens vous chercher , je veux que tout soi fin prêt pour vous accueillir.

Reprenez donc un verre Jordan et avec un sourire enjôleur,
je prendrais bien un autre cocktail.

Voyant la moue dépitée de son prochain amant , marie murmura à nouveau.
Cette courte absence sera vite comblée, je vous en donne ma parole, mais pour vous il faut que tout soit parfait,
Ses doigts coururent sur sa joue en un geste tendre et ses lèvres simulaient un baiser coquin,
Rexane je te le confie un instant

Marie s'éloigna, s'approcha de la Succube,

je ne sais si tout est réglé pour mon client je monte un instant préparer le bain, de messire.
elle lui sourit, et se faufila discrètement entre les couples enlacés pour monter à l'étage .
Mariane eut surement la même idée ,
ils étaient beaucoup plus avancés avec son amant d'un soir, et Marie les laissa passer , faisant un sourire complive à la magnifique rousse

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---fromFRjordan13
La reponse de Marie fut chaleureusement accueillie par le ténébreux, ses levres allant se perdre une fois encore sur la peau blanche du cou de la delicieuse brune. Elle etait d'une exquise douceur et son parfum l'envoutait;

Une envie soudaine se fit sentir, voyant les jambes de la belle s'ouvrirent a lui lentement...sentir son corps contre le sien, la voir s'asseoir sur ses genoux et l'enlacer contre son torse..oui...la sentir plus pres encore de lui.

Il allait l'attirer vers lui lorsqu'elle s'eloigna pour voir si tout etait correctement reglé avec La Succube. Il savait tres bien ce qui l'attendait lorsqu'elle reviendrait a ses cotés. L'homme en profita pour la devorer des yeux, se delectant de ses courbes parfaites, de son magnifique teint...
Tout, absolument tout etait parfait chez cette jeune femme et le libertin savait tres bien qu'une nuit avec elle ne serait que merveilleuse.

Il se retourna vers la charmante Rexane afin de commander d'autres de ses fameux breuvages. Il sortit quelques ecus de sa poche, lui sourit et lui dit


Il me faudrait un autre de vos delicieux cocktails pour la belle Marie chere Rexane, pour moi par contre mettez quelquechose de plus fort maintenant, et profitez pour servir tout le monde, c'est ma tournée.

Si tout se passait bien ce soir, le ténébreux deviendrait certainement un client fidèle, les catins sachant mieux lui apportait ce qu'il recherchait constamment...
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---fromFRL'Mendiant
Tout avait changé depuis. Le temps avait fait éboulé quelques galeries et les chemins qui dans le temps étaient utilisés fréquement étaient désormais bouchés. Impossible de rejoindre le quartier pourpre à Paris. Il fallait d'abord sortir. Seuls les murs reliaient désormais les bâtisses. Les sous-sols quant à eux, étaient éffondrés. De même que la rue Saint Martin. Coincée dans un cul de sac. Malgré sa connaissance, l'mendiant ne pouvait plus faire ce qu'il voulait.

On pouvait cependant se balader encore dans certain endroit. D'un oeil avisé, il avait visualisé les différents lieux. A travers un trou dans le sol, avant la sortie, il avait regardé le cimetière. Puis continuant son parcours, un quartier nommé Azur désormais. Saint Michel de même. Les In Ténébris, paraît que c'était eux dans l'endroit maintenant, il en allait de même. Petite ouverture et hop, gueule de Marena découverte. Pas vu, pas pris. Demi-tour et continuer à visualiser tout Paris à partir de la cour des miracles.

Il n'y avait pas beaucoup de bruit, seules les gouttes d'eau tombant des stalagtites qui tombaient dans une légère flaque d'eau. Ploc.

Puis se fut au tour d'une sorte de forge. Ploc. Verifier et continuer. Toujours le calme. Parfait.

L'mendiant avait fait son tour de ronde. Il fallait revenir au quartier maintenant. Comme dans le temps. Sauf que là, il était seul. Ploc. Point de Trois-Doigts pour raconter soteries ou balivernes. Casse-cailloux qui ne donnait plus de coup de tête pour rire. L'Minus qui ne se frottait plus dans ses pattes. Aucun n'était là. Le calme, toujours.

Ah et puis, c'est vrai, il les avait oubliés pendant un temps. Il y avait aussi l'Simplet et puis l'Roussi. Le premier qui était aussi intelligent qu'une poularde qu'on a cuit et le roussi qu'était tout simplement cuit comme la poularde. Noir comme le charbon. Ah qu'ils étaient bien ces gens là. Sympas, attentionnés. De vrais camarades comme il n'en aurait plus. Ploc.

Surement qu'il en avait oublié mais c'était normal. Il ne fallait pas lui en vouloir, ça faisait dans les dix ans que l'histoire, leur histoire s'était terminée. Que des souvenirs restaient. Ploc. Hélàs...

Il vit la lumière du jour pointé le bout de son museau. Le retour au quartier pourpre était pour bientôt. Il avança encore un peu et fut inondé par les lanternes.

En pleine cour ; il était revenu à la surface, chez lui.

Il lui fallait donc maintenant faire un bilan à la succube. Passage impossible et passage possible...
Lyhra
Flambé, belle brune, flambé au feu des enfers. Je le vaux bien.
Le liquide brûlant allait lui racler l’intérieur des joues et enflammer son ventre mais elle aimait les sensations fortes.

Elle répond à son mouvement de tête par un sourire discret, mi enjôleur mi réservé, ce soir elle empoche mais ne va pas au charbon elle-même… Bella a ferré un joli poisson et elle sait que la nuit est réservée et va être bien payée. D’ailleurs c’est la jolie catin qui vient elle-même porteuse du paiement. Une bourse pleine que la Succube fait diminuer de deux bons tiers avant de la rendre à Bella, profites ma belle… il est plutôt bel homme.


Excellente soirée… pour toutes il me semble. Nous avons gagné la partie Bella.

Un sourire s’élargit à la vision de chaque couple qui s’apprête à consommer la nuit entière, consommer à foison l’un et l’autre…

Vas. Ne le fais pas attendre.

Un geste tendre esquissé de la main, la belle a filé rejoindre son premier client avec la bénédiction de la Succube.

Mariane semble être parvenue également à ses fins, persuader son client de monter à l’étage pour une belle somme… mais c’est Marie Jeanne contre toute attente qui vient la trouver.


Ne t’inquiètes de rien, ce jeune homme a payé et bien payé pour tout ce qu’il voudra durant cette nuit. Elle pense à la bourse qu’elle a conservée. Dodue. Offres lui ce qu’il veut, bain … boisson… repas… toi si tu en as envie.

Elle ne pensait pas que Marie se sentirait si tôt prête mais l’ambiance ne l’a pas laissée indifférence. La grande salle va se vider peu à peu et l’étage deviendra nid à soupirs…
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---fromFRFenril
Fenril était devant la femme, celle ci s'approcha et lui caressa la tête, quand il recut de l'eau sur lui, il se redressa et regarda autour de lui pour voir un homme s'enfuir en courant, il laissa la jeune femme et ses caresses et decida de suivre le moine.
Il couru et s'enfonca dans la brumeà sa poursuite.


[mode chef modo on]

J'ai longuement hésité c'est vrai.
les règles doivent elles être appliquées aux animaux ?
(les fameuses cinq lignes GRAND minimum)
Et j'ai conclu, au terme d'une réflexion poussée, que oui.

Donc.... merci de nous fournir un texte un peu plus long, quitte à grogner méchamment.

[mode chef modo off]
---fromFRGirion
Une fraction de seconde plus tard, les deux bouches se rencontrent. Ambassadrices du désir, leurs langues s'emmêlent comme pour mieux délivrer leur message. Les négociations prennent la forme d'un jeu complexe mais limpide, qui semble ne plus vouloir finir...

Sensuel à souhait, ce baiser finit de convaincre Girion qu'il est tombé sur la partenaire parfaite pour cette première soirée. Et il était bien décidé à savourer chacun de ces instants.

Le regard de la belle s'illuminait tandis que son corps divin venait se lover contre le sien. Le jeune homme sent une délicieuse pression s'exerçant sur son torse.
Il baisse le regard et ne peut réprimer un sourire. La poitrine opulente de la métisse s'offre à sa vue, laquelle n'en perd pas une miette. Lentement ses yeux se relèvent et plongent dans ceux de sa vis-à-vis. La vision est quelque peu rêveuse mais tout aussi envoûtante.

L'instant d'après est à nouveau dédié au baiser.
Cette fois Girion n'hésite plus, et va quérir de lui même une nouvelle étreinte.
Les lèvres charnues de la belle, dépourvues de tout artifice, n'en sont que plus goûteuses. Quel savoureux moment ! Nouveau jeu de langue, toujours aussi doux.

Les amants éphémères éternisent leurs batifolages amoureux tandis qu'autour d'eux se poursuit la vie de la Rose...

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Tel est pris qui croyait prendre
---fromFRDemetria.
Elle cherche enseigne dans les rues de la Cour.
Elle cherche endroit où elle pourra être Pompadour.
Elle cherche endroit où se poser.
Elle en a marre de vadrouiller.

Une lumière, diffuse, faiblarde.
une main qui s'accroche à la rambarde.
Grimpe les marches vers la fenêtre, vers cette porte.
espère au fond d'elle qu'on ne la traitera pas tel un cloporte.

Elle grimpe, elle marche, elle avance.
Telle la jeune fille qu'elle est, qu'elle devient,
Pas après pas, elle danse,
Elle sautille de marche en marche, telle la jeune fille qu'elle, qu'elle devient.

En haut de l'escalier un espoir, une lumière.
Chaleur, âtre, chaumière.
Ah non, une taverne. Chaleur, âtre et séduction.
Mais enfin, comment la belle pourrait elle dire non ?

A pas lents et mesurés,
Demetria pousse la lourde porte, mouvements concentrés,
Elle passe son nez dans l'entrebaillement,
Portier la rejettera-t-elle durement ?

Elle ose un pas, ose un geste.
Cuisse blanche se révèle au mouvement de la jambe gracile.
Nulle esthète,
Demetria, jeune nubile.


Bonsoir ! Offririez vous à jeune femme frigorifiée de quoi se réchauffer ?
---fromFRFrançois_Villon
François était grisé. Non tant par les alcools, il avait tenu à conserver intacte sa lucidité pour profiter pleinement des plaisir du bourdeau et, dès qu'il l'avait vue, des charmes de Mariane.

Aussi, la dernière goutte de boisson de rose, bue avec forces léchouilles et baisers à la bouche même de Mariane, celle-ci lui dit

Allons, lui faisant sentir que la légère fièvre qui la gagnait et rosissait ses blanches joues n'était pas que la fièvre de l'or.

Mariane faisait commerce de ses charmes et de son corps mais par surcroît, y ajoutait une fraicheur, un enthousiasme et pour tout dire un appêtit de sensualité qui n'avait pas de prix.

Que cette fraicheur et cette ingénuité dans la perversité sont belles et comme elle distingue les filles de la Succube des ribaudes des étuves des bords de Seine.
se dit François.

Mais il n'était plus temps d'attendre, Mariane l'avait précédé, passant devant la Succube et montant quelques marches. Comme elle était belle. La robe en soierie et draperies fluides laissaient deviner une silhouette déliée et le tissu s'écartant très indiscrètement s'ouvrait jusqu'à découvrir le haut des jambes. Mariane avec un rire clair, faisant signe du doigt qu'elle posait ensuite sur ses lèvres, l'appelait, tentatrice aux cheveux mordorés, un peu en désordre à cause de leurs baisers fougueux, et dont la teinte était avivée par la lueur du feu des chandelles.

François se rapprochant de la Succube avant de rejoindre Mariane s'entendit dire

Messire c'est déjà payé, je garde votre bourse et vous rendrai le surplus au matin mais n'hésitez pas à la dépense et profitez des charmes de Mariane... ou d'une autre...
dit elle d'un air ou il perçu comme mélées lubricité et rapacité.

François fit son plus beau sourire et marcha, courant presque , vers Mariane et la prenant par la taille il lui souffla :

Montons vers les cieux et jusques au septième si le coeur t'en dis ...
Rexanne
La bouteille à la main, prête a verser l’absinthe sur le sucre demandé lorsque la Succube lui répond :

Flambé, belle brune, flambé au feu des enfers. Je le vaux bien.

[i] Rexane sourit, amusée, elle se doutait de la réponse de la jolie Reyne des Rose mais préférait avoir sa réponse plutôt que de la pronostiquer. Ainsi une fois fixée son poignet s’abaissa un instant, laissant une rasade généreuse d’alcool vert tomber au dessus de la cuillère, imbibant les sucre au passage et remplissant le fond du verre de la couleur anis. En un tour de main elle le flamba rapidement, laissant les flammes bleutée ce consumer un bref instant avant de les souffler afin que tout l’alcool ne se ventile pas et poussa le verre de quelques pouces, devant la Rousse.

Tandis qu’elle voulait voir la tête que tirait la patronne en avalant ce brule-gozier, l’attention de la jeune brunette fut attirée par Marie qu’elle vit se lever du coin de l’œil, en l’interpellant…

Rexane je te le confie un instant

La jeune et jolie catin s’approcha en passant de la Succube, l’informant qu’elle allait préparer le bain de son client et Rexane lui répondit en riant :


- Ne te fais pas de soucis ma belle, je te le garde au chaud !

Un clin d’œil à la jeune femme et elle regarde un instant celle-ci monter les escaliers, des escaliers bien encombrés puisqu’elle vit Mariane et François déjà occupés à le gravir… à leur rythme !
Alors elle se détourna avec un sourire d’excuse de sa rousse patronne, et vint auprès du jeune homme ténébreux que Marie n’allait pas tarder à se mettre sous la dent. Un sourire enjôleur, un regard ardent et rieur comme elle seule en avait le secret et faisant tourner autours de son index le bas d’une mèche de sa chevelure ondulante, frôlant au passage le filet de peau de son ventre découvert…


- Un second cocktail pour Marie et un verre fort pour vous ?! D’accord, vous souhaitez quelques chose en particulier ou je vous sert ce qui me passe par la tête, faisant confiance à mon instinct ?

Un sourire malicieux et la jeune femme prépare la première partie de la commande, la boisson de Marie. Un verre de ratafia d’orange devrait li convenir, épicé de cannelle et de gingembre celui-ci était doux, sucré, agréable et le gingembre ne pourrait qu’encourager les élans amoureux déjà bien partis de sa buveuse. La bouteille se déverse, le verre se teinte d’un liquide mielleux, doré, jaune orangé, limpide. Une rondelle d’orange vient s’accrocher au bord d du verre pour la décoration. Puis elle reprit, réagissant aux derniers mots du charmant jeune homme en regardant les quelques pièces qu’il a négligemment jetées sur le comptoir de bois poli, un sourire s’esquissant de nouveau sur ses lèvres.

- C’est très généreux de votre part que de vouloir offrir une tournée à tous mais je crains qu’il ne vous faille encore tirer quelques piécettes de votre bourse pour cela, ces quelques ferrailles ne sauraient couvrir la dépense ! C’est pas de la pisse d’âne que je vous sert comme vous l’avez remarqué sûrement, et la qualité a un prix mon bon messire, c’est bien connu !

Un regard espiègle, un sourire dévoilant ses dents blanches, ses doigts fins courent le long du bar pour récupérer les diverses piécettes déjà présentes…
{chloe_la_douce}
Les escaliers deviennent échelle vers les délices.
Chloé souriante surveille et note.
Les filles ont l'air heureuses, détendues et mutines.
La Succube trône, reyne de la nuit, charmeuse et majestueuse.
Clients qui dépensent sans compter, prêts à tout pour prendre le plaisir offert.

Elle espère qu'ils seront satisfaits.
Calepin sorti de sa bourse, elle note :

-Prévoir plus de verres pour le bar
Aller voir les Pissevin pour absinthe
Vérifier le niveau des épices.

La porte s'ouvre provoquant un léger courant d'air dans l'atmosphère chaude de la grande salle.
Elle tourne la tête, curieuse de voir qui pénêtre les lieux.

A sa grande surprise ça n'est pas un client, enfin, à priori.
C'est plutot une frêle jeune fille, à peine moins agée qu'elle.

Que vient-elle chercher ici ?
Chloé se lève, fait un petit signe à Basilic.
Elle s'en occupe, laissant la Succube a sa divine boisson.

Toujours souriante, elle s'approche de la jeune fille.


- Bonsoir, je suis Chloé, l'intendante.
Vous offrir de quoi vous réchauffer, certes.
Venez, suivez moi.


Elle l'attire dans un coin discret de la salle.
Discuter quelques instants, pour voir ce qu'elle souhaite.
Manger visiblement, mais ici tout à un prix.
D'un regard qui commence à être exercé, elle l'examine.
Jeune, très jeune, et très fraiche.
Elle se demande si les scellés de l'enfance sont toujours en place.
Une première fois se négocie, et très cher parait il.
C'est ce que la Succube lui a laissé entendre.


- Alors damoiselle, qu'est ce qui vous pousse en ces lieux ?
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---fromFRAnabella
Aux paroles que dit la Succube sur son futur amant d'un soir, Bella ne peut que soupirer d'aise pensant avec frivolité aux jeux futurs...

Elle reprends la bourse en souriant...


Humm, le faire attendre... Ne dit-on pas qu'attendre, c'est se faire désirer...

Elle lui adresse un clin d'œil coquin, et un sourire complice propre à sa condition de catin... un sourire à Marie qui semble être entre de bonnes mains et Bella part ensuite accompagnée par le geste furtif de la Succube.

D'un pas souple, ondulant à l'infini son corps, regardant son futur complice de jeux, elle avance doucement pour faire monter le désir qui ne cesse de croitre. Il déguste son verre d'absynthe... humm, Bella se prend à rêver d'être ce verre, afin qu'il pose les lèvres sur elle... Frisons, émoi grandissant...

Arrivé à sa hauteur, elle s'assoit sur ses genoux prenant garde à ne pas faire tomber son verre, lui rends sa bourse...

Se tournant vers lui, d'un regard coquin, sa voix se fait encore mielleuse.


Le jeu peut commencer... Qui lance le dé en premier ?

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Entre mes bras, un baiser est une gourmandise sucrée qui ne fait pas grossir...
---fromFRmarie-jeanne
Marie redescendit enfin, le sourire aux lèvres , Mariane avait disparu avec son charmant client, il allait être comblé, Mariane était divine.

Bella la tatouée et l'albinos semblaient aussi prêt a entamer la montée, la nuit prenait tout son sens a présent,

Les murs du Rose pourpre résonneraient bientôt de soupirs et autres gémissements délicieusement coquins.

Jordan discutait avec la belle Réxane maitresse avertie des flacons et des bouteilles.

La jeune brune s'avança vers son client et se colla à lui, glissant sa cuisse entre les jambes de l'homme et sa main sur le torse .

N ai je pas été trop longue , je m'en voudrais de vous avoir fait attendre.
Prenons nos verres voulez vous et montons.


Mais elle chercha une nouvelle fois ses lèvres pour sceller leur contrat, et finir de l'aguicher.

Le bain est prêt mon ami, venez!! le sourire enjôleur , et le regard de Marie en disait plus long que toute phrase superflue.

_________________
---fromFRDemetria.
Bonsoir, je suis Chloé, l'intendante.
Vous offrir de quoi vous réchauffer, certes.
Venez, suivez moi.


Enlever son capuchon, laisser la chaleur se glisser sous ses vêtements... Ici, au moins, la réaction est rapide.
La belle n'aura pas attendu longtemps, voilà qui fait plaisir.
Jeune fille, son âge ou un peu moins, l'invite dans un coin. Hum, qu'il fait bon quitter la rue.
Intendante dit-elle. L'endroit est bien tenu.
Vert se balade sur la salle. Observe, épie, devine.
Curieuse, fouineuse et plus si naive, la gamine.

Coin discret, chaleur insistante, enlever sa cape. Demetria est à l'aise partout.
Chloé l'examine. Sourire en coin. Devinera rien de la demoiselle.
A moins de demander. D'ailleurs c'est ce qu'elle fait.


Alors damoiselle, qu'est ce qui vous pousse en ces lieux ?

Bonsoir. Je m'appelle Demetria. Ce que je cherche icelieu ? Chaleur, boisson, repas et compagnie. Travail pourquoi pas...

Regarde la bourse qu'elle vient de dérober. Pas de quoi tenir bien longtemps...
Travail... Se demande ce qu'elle pourrait bien offrir comme services à la tenancière.
D'après ce qu'elle a vu, Dem n'a pas l'expérience requise.
N'a même pas d'expérience tout court. Plonge son regard dans celui de son interlocutrice.
Pas farouche, la Dem, pas naive. Mais pure encore. Enfin, pure, on s'comprend.
Attend la réponse.
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